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Le projet d’unification en cours de l’Europe

TOBIAS SCHWARZ/AFP/Getty Images

Le projet d’unification en cours de l’Europe

L’historique des résurrections répétées d'une superpuissance européenne préfigurent son ascension en tant que confédération redoutable de nos jours.

Au cours des deux derniers millénaires, l'Europe a dominé l'histoire du monde. Des pièces de monnaie romaines ont été trouvées en Grande-Bretagne, en Afrique du Nord et aussi loin que la Chine. C'est pour une bonne raison que les étudiants de l'histoire du monde de cette période se concentrent sur l'Europe.

Mais la dominance de l'Europe est-elle une chose du passé ? Dans un monde de superpuissances massives—des États-Unis, de la Russie et de la Chine—l'Europe, avec tous ses pays beaucoup plus petits et moins peuplés, est-elle obsolète ?

En regardant l'Europe aujourd'hui, il est difficile d'imaginer l'apparition d'un autre Charlemagne, Napoléon ou Hitler. Pour de nombreux observateurs, l'idée que l'Europe participe à un autre conflit mondial destructeur, sans parler d'en initier un, semble impossible et scandaleuse.

Un grand nombre de personnes considèrent l'histoire de l'Europe—ses donjons et ses châteaux, ses armes anciennes et ses champs de bataille renommés, son passé médiéval célèbre, rempli d'intrigues royales et politiques—comme ayant une valeur importante uniquement comme attraction pour les touristes. Les jours de conquête et d'empire de l'Europe sont finis.

On peut comprendre cette perception. Après tout, le monde n'a pas été effrayé par une armée européenne depuis la Seconde Guerre mondiale. L'Europe est multiculturelle et sophistiquée, et un chef de file mondial dans la défense des droits humains et de l'activisme environnemental. En outre, l'Europe lutte pour éviter la ruine économique et financière, ainsi que les troubles sociaux et la révolte. L'Union européenne est un ensemble inefficace et encombrant d'États confrontés à des intérêts conflictuels, enlisés dans la bureaucratie et apparemment incapables de devenir un chef de file mondial redoutable, et encore moins une superpuissance impériale meurtrière.

Mais 1 500 ans d'histoire européenne devraient nous mettre en garde contre la sous-estimation du pouvoir destructeur des nations européennes.

Nous ne devons pas simplement regarder l'Europe dans son état actuel. Elle doit être étudiée dans son contexte historique. Et nous devrions considérer le potentiel de l'Europe. L'UE compte plus d'un demi-milliard de personnes—près de 10 pour cent de la population mondiale. Son économie est deux fois la taille de la Chine et beaucoup plus grande que celle de l'Amérique. Un cinquième de l'activité économique mondiale se passe dans l'UE. Les nations européennes ont 1,5 million de personnel dans leurs forces armées. Et l'Europe est dirigée par l'un des pays les plus forts, les plus sains et les plus populaires du monde : l'Allemagne

L'Europe a un grand potentiel pour devenir une puissance financière, politique et militaire dominante.

L'Europe a aussi une longue histoire d'impérialisme et de domination mondiale. Imaginez si ces éléments du pouvoir étaient mobilisés dans une entité géopolitique cohésive et dynamique.

Et si un tel empire impressionnant est près d'être formé maintenant ?

La Trompette prévoit que l'Europe va s'unir et va devenir une formidable dynamo mondiale. L'unité retrouvée de l'Europe ne sera pas parfaite, elle ne se réalisera pas facilement ou pacifiquement, et elle ne durera certainement pas. Mais l'Europe va devenir une superpuissance unifiée et une puissance mondiale sérieuse et intimidante. L'émergence de cette nouvelle Europe aura des conséquences profondes et dramatiques pour nous tous.

Qu'est-ce qui soutient cette prévision ? Regardez notre histoire, et celle de notre magazine prédécesseur, la Pure Vérité, sous la direction de l'éditeur et auteur Herbert W. Armstrong. Vous verrez qu'elle est soutenue par les prophéties sûres de la Bible.

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L'Union européenne est une union politique et économique de 28 États membres.

Prévisions

Immédiatement après la Seconde Guerre mondiale, alors que l'Allemagne n’était guère plus que des décombres fumants, M. Armstrong prévoyait que cette nation se relèverait à nouveau pour diriger une union de nations sur le territoire de l'ancien Empire romain. Vous pourriez dire que c'était la prophétie signature du travail de Herbert W. Armstrong pendant plus de 50 ans.

Considérez l'état de rupture de l'Europe à ce moment-là, comment l'Allemagne d'après-guerre était faible, et comment improbable que l'Allemagne était pour émerger en tant que nation dirigeante sur le continent.

Examinez ensuite à quoi l'Europe ressemble aujourd'hui.

M. Armstrong savait que la Communauté économique européenne des années 1950 était l'étape du commencement de la résurrection finale du Saint Empire romain. Son magazine, la Pure Vérité, a écrit ceci en septembre 1967, il y a un demi-siècle :

Si 300 millions d'Européens étaient unis et pouvaient parler d'une seule voix, cela surpasserait n'importe quelle puissance dans le monde aujourd'hui .... Il y a une chose sur laquelle vous pouvez compter. En fait, cela est si sûr que vous pouvez miser sur elle : le cri d'une union politique en Europe deviendra plus fort et d'ici peu nous verrons le Marché commun se développer en un États-Unis d'Europe.

Herbert Armstrong savait qu'il y aurait une union politique. Cela s’est produit. Il prévoyait que l'Allemagne de l'Est et l'Allemagne de l'Ouest finiraient par se réunir. Cela a été accompli juste quelques années après sa mort quand le mur de Berlin est tombé le 9 novembre 1989. M. Armstrong a prédit que l'Europe s’unirait un jour dans une monnaie commune. Cela est devenu réalité le 1er janvier 2002, avec l'introduction de l'euro. Il a dit qu'une puissance allemande relancée dominerait une union des nations européennes. Peu de gens disputeront que cela décrit avec précision la situation sur le continent aujourd'hui.

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Un homme attaque le Mur de Berlin avec une pioche le 9 novembre 1989. (Getty Images)

En 1984, M. Armstrong a averti qu'une crise bancaire massive « pourrait soudainement entrainer les nations européennes à s'unir en tant que nouvelle puissance mondiale plus grande que l'Union soviétique ou les États-Unis » (lettre aux co-ouvriers du 22 juillet 1984). Nous avons été témoins d’une telle crise. La crise bancaire qui a débuté aux États-Unis en 2008 et qui s'est rapidement propagée pour infliger de terribles dommages à l'Europe a provoqué d'importants changements politiques et financiers en Europe. Elle force—bien que par des crises et des soubresauts, avec beaucoup de tension et de débat—davantage l'intégration et la fédéralisation des économies et des finances en Europe. Les bouleversements financiers mondiaux forgent, et continueront de forger, l'Europe en une superpuissance financière.

M. Armstrong a également averti qu'une Russie renforcée inciterait l'Europe à s'unir. Dans sa lettre aux co-ouvriers du 23 janvier 1980, il a averti que la crainte de la Russie « serait l'étincelle qui amènerait les chefs des nations en Europe ensemble avec le Vatican à former un ‘États-Unis d'Europe’ ». Cela aussi se passe. Le comportement belliqueux du président russe Vladimir Poutine inquiète l'Europe. L'émergence de la Russie en tant que superpuissance agressive façonne l'Europe en une puissante et efficace superpuissance politique et militaire.

Maintenant, la crise des migrants et la terreur islamique ajoutent à la pression déjà énorme. L'Europe a beaucoup d'histoire, souvent une nation affrontant l’autre. Il faudra beaucoup de pression pour fusionner l'Europe en cette puissance unie. Mais cette pression est en hausse.

Ces crises ont amené de nombreuses voix éminentes à demander des changements radicaux. Nombreux sont ceux qui demandent que l'Union européenne—actuellement 28 nations, dont 19 qui composent la zone euro—soit réduite à un noyau d'environ 10 nations. Certains se servent même de l’étiquette identique que M. Armstrong a utilisée il y a 50 ans : les États-Unis d'Europe !


L'Allemagne au cœur

N'est-il pas remarquable que les déclarations dans les actualités d'aujourd'hui soient si semblables à celles que M. Armstrong a faites il y a des décennies?

En 1952, M. Armstrong a écrit : « Les États-Unis sont déterminés, maintenant, à ne laisser aucun obstacle à l'édification d'une Allemagne réarmée et indépendante. Ce sera le cœur et le noyau de l'Europe unie qui fera revivre l'Empire romain » (la Pure Vérité, juin 1952).

L'Allemagne est aujourd'hui le chef incontesté et incontrôlé de l'Europe, politiquement, financièrement et militairement. La crise financière qui a débuté en 2008 a renforcé Berlin, qui, comparé au reste de l'Europe et du monde, est en bonne santé financière et économique. L'Allemagne a dû sauver plusieurs États européens de la faillite, un processus qui a politiquement augmenté Berlin et a créé une relation maître-serviteur distincte entre l'Allemagne et une grande partie du reste de l'Europe.

L'ascension de l'Allemagne est si évidente que de nombreux journalistes et politiciens populaires et respectés parlent ouvertement aujourd'hui du quatrième Reich allemand.

L'ascension de l'Allemagne est si évidente que de nombreux journalistes et politiciens populaires et respectés parlent ouvertement aujourd'hui du quatrième Reich allemand. Dans son édition du 21 mars 2015, le journal allemand Der Spiegel—un magazine respecté avec un tirage de plus d'un million—a comparé explicitement l'Allemagne moderne au Saint Empire romain. Il a parlé de la façon dont le terme Reich se réfère simplement à « un dominion, avec un pouvoir central exerçant un contrôle sur de nombreux peuples différents. Selon cette définition, serait-il erroné de parler d'un Reich allemand dans le domaine économique ? ... Un empire est en jeu, au moins dans le domaine économique. La zone euro est clairement dirigée par l'Allemagne, bien que Berlin ne soit pas incontestée. Elle a, cependant, un rôle important dans le destin de millions de personnes d'autres pays. »

Spiegel est loin d'être la seule voix épousant ce point de vue. Considérez seulement quelques observations de ces dernières années.

  • Simon Heffer, Daily Mail, le 17 août, 2011 : « Là où Hitler a échoué par des moyens militaires à conquérir l'Europe, les Allemands modernes réussissent grâce au commerce et à la discipline financière. Bienvenue au quatrième Reich ». Le 29 mars, 2013 : « L'histoire montre que c'est, toujours, seulement une question de temps avant que l'Allemagne finisse par dominer l'Europe. Après des années de refuser de s'affirmer, le temps de l'Allemagne est revenu. Le quatrième Reich est ici sans qu’un coup de feu n’ai été tiré : Et le reste de l'Europe, et le monde, feraient mieux de s'y habituer. »

  • Stephen Green, Telegraph, le 23 juin, 2015 : « L'Allemagne se trouve au centre géographique et économique—et par conséquent de plus en plus au centre politique—de la nouvelle Europe. Tous les chemins ne mènent plus à Paris, mais à Berlin. »

  • Nigel Farage, ancien chef du Parti de l'indépendance du Royaume-Uni, au Parlement européen, novembre 2011 : « Nous vivons maintenant dans une Europe dominée par les Allemands—quelque chose que le projet européen était censé arrêter—quelque chose que ceux qui nous ont précédés ont effectivement payé un lourd tribut au prix de leur sang pour l’empêcher. »

  • Peter Oborne, Daily Telegraph, le 21 juillet, 2011 : « L'Allemagne est venu très proche de réaliser le rêve de Bismarck d'un empire économique s'étendant de l'Europe centrale à la Méditerranée orientale ». Le 5 mars, 2015 : « Ceci marque un tournant essentiel dans le monde d'après-guerre. L'Allemagne a longtemps été la puissance économique dominante au sein de l'Union européenne. Avec Mme Merkel en charge, elle transforme maintenant ce pouvoir économique en pouvoir diplomatique. »

  • Martin Wolf, Financial Times, le 8 mai, 2012 : « Ce n'est pas une union monétaire. C'est beaucoup plus comme un empire. »

  • Nicholas Kulish, New York Times, le 10 septembre 2010 : « De petite et grande façons, l'Allemagne contracte ses muscles et réaffirme une fierté nationale longtemps réprimée. Des dizaines d'entrevues récentes à travers le pays, avec des travailleurs et des hommes d'affaires, des politiciens et des ménagères, des artistes et des intellectuels, ont trouvé un pays plus à l'aise avec lui-même et ses symboles, comme son drapeau et son hymne national—un peuple toujours conscient de l'histoire de leur pays, mais moins enclin à le laisser dicter leurs actions. »

C'est incontestable : l'UE est désormais une puissance mondiale dominée par l'Allemagne et dirigée par l’Allemagne.

L'Allemagne moderne est, par une large marge, l’économie dominante de l'UE. C'est le centre de transit pour le fret maritime et terrestre pour l'Union européenne. L'Allemagne est également prête à contrôler les carrefours énergétiques entre l'Europe et la Russie. Francfort abrite la banque la plus puissante du monde, la Banque centrale européenne. Et le vieux Haut commandement allemand—que les alliés de la Seconde Guerre mondiale ont juré qu’il serait à tout jamais démantelé—a été assemblé une fois de plus portant de nouveaux vêtements et un nouveau nom : l'État-major des forces armées. C'est le cerveau du développement d'une puissante force de défense européenne dotée d’armes nucléaires.

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Des soldats de la Bundeswehr et des chars du Panzergrenadierbataillon 122 de l'infanterie blindée se déploient en Lituanie au début de 2017. (Johannes Simon/Getty Images; Sean Gallup/Getty Images)

À quel point les prévisions de M. Armstrong étaient précises à propos de l'Allemagne comme étant le « cœur et le noyau de l'Europe unie » !

Ces mots prémonitoires ont été mis en parallèle avec une précision étonnante dans une déclaration de 2009 par Philip Murphy, l'ambassadeur américain en Allemagne. « L'Allemagne est la pièce maîtresse de l'Union européenne », a-t-il déclaré à Berlin le 1er décembre de la même année.

L'histoire de l'Europe nous dit de s'attendre à ce qu’une puissance européenne joue un rôle majeur dans le monde. La domination économique et géographique de l'Allemagne sur le continent nous indique qu'elle sera la nation dirigeante de l'Europe. Mais pourquoi s'attendre à un conglomérat de 10 nations ?

Cette prévision est soutenue non seulement par plus de 1 500 ans d'histoire européenne mais par la prophétie biblique.


La source des prévisions

À la mention de prophétie, beaucoup de gens décrochent immédiatement. Mais avant de le faire, réalisez que toutes ces prévisions qui se sont déjà produites étaient basées sur des prophéties que tant de gens rejetteraient sans considération.

L'Europe aujourd'hui est une preuve vivante et palpitante de la pertinence et de la véracité de la prophétie biblique !

Regardez cette déclaration faite par M. Armstrong en 1962 : « La prophétie montre que 10 rois ... apparaîtront en Europe et donneront leur pouvoir à l'Allemagne. » C'est à cause de la prophétie biblique que M. Armstrong savait qu'une union de 10 nations sortirait d'Europe dans ces derniers jours.

Apocalypse 17 décrit en détails saisissants cette septième et dernière résurrection du Saint Empire romain. « Il va y avoir une résurrection de cet ancien Empire romain. Peu de gens y croient parce que les gens sont devenus complètement dépassés de vraiment croire que la Bible affirme ce qu’elle dit », a déclaré M. Armstrong il y a plus de 50 ans. « Vous allez devoir le vivre et le voir, et vous allez devoir savoir que Dieu parlait quand Il a dit que cette chose allait arriver. »


Bête de l'Apocalypse 17 (Gary Dorning /Trompette)

La Bible a prophétisé qu'après l'effondrement de l'Empire romain en 478 après J.-C., sa « blessure mortelle » serait guérie (Apocalypse 13 : 3) et qu'il y aurait sept résurrections d'un « Saint » Empire romain à sortir du territoire de l'Empire romain d’autrefois.

L'empereur Justinien a reconnu la suprématie du pape en 554 après J.-C. Ainsi, quand nous arrivons à ces résurrections prophétisées dans Apocalypse 17, il y a une « femme » prostituée qui chevauche cette « bête » romaine ressuscitée. C'est un symbole prophétique de la grande fausse église qui influence fortement et règne sur l'empire politique. C'est une union impie de l'église et de l'État.

« Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes » (Apocalypse 17 : 3). Ces sept têtes et dix cornes sont les termes bibliques utilisés pour décrire le Saint Empire romain dans ses sept étapes spécifiques, culminant dans l'union finale de 10 nations (ou groupes de nations) à la fin de cet âge.

Ici, la Bible parle clairement d'une grande bête politique qui s’élève en Europe, qui sera dirigée par une grande bête religieuse européenne dans une alliance impie qui vise à conquérir le monde !

Ces sept résurrections successives du Saint Empire romain auraient des pauses entre elles, illustrées par les sommets des montagnes et les vallées dans Apocalypse 17. Comme l’a écrit H.G. Wells dans The Outline of History (Esquisse de l’histoire universelle), « L'Empire romain chancelle, s'étale, sort de la scène et réapparaît, et ... c'est l'église de Rome qui joue le rôle du magicien et maintient le cadavre vivant. »

Les 10 cornes mentionnées dans Apocalypse 17 font partie de la septième tête. Ces 10 cornes sont 10 chefs d'État en Europe qui vont rassembler 10 nations ou groupes de nations dans le cadre de la résurrection finale du Saint Empire romain.


Bête de l'Apocalypse 13 (Gary Dorning / Trompette)

Beaucoup d'autres prophéties s'alignent avec celles de l'Apocalypse. Daniel 2 décrit en symbole quatre empires mondiaux, traçables à travers l'histoire, dont le quatrième est l'Empire romain, « fort comme du fer » (verset 40). La prophétie montre qu'à la fin, cet empire aura 10 parties, illustrées par 10 orteils de cette statue. Daniel 7 représente les mêmes quatre empires, mais avec des symboles différents ; il souligne les résurrections répétées de l'Empire romain. (Ces prophéties sont expliquées dans notre brochure gratuite Daniel enfin descellé!). Des prophéties supplémentaires qui fournissent encore plus de détails peuvent être trouvées dans Ésaïe 10, Habacuc 1 et beaucoup d’autres passages.

Remarquez ce qu'un écrivain populaire en Grande-Bretagne, connu sous le pseudonyme de l'archevêque Cranmer, écrivait en 2011 : « L'Union européenne est essentiellement la reconstitution de l'ancien empire de Charlemagne : dès la signature du traité de Paris en 1951, la Communauté européenne du charbon et de l'acier a lié les destins économiques et politiques de la France et de l'Allemagne. » Ce commentateur a récemment reconnu ce fait. Mais qui, outre Herbert W. Armstrong, écrivait à ce sujet il y a plus d'un demi-siècle ?

M. Armstrong était sur la scène lors de la sixième résurrection du Saint Empire romain, et il a prophétisé la septième et dernière résurrection. Nous assistons à cette résurrection finale aujourd'hui !

La Bible prophétise que cette résurrection finale se poursuivra pour une courte période—deux ans et demi seulement. Toutes les prophéties qui se sont réalisées et qui se réalisent montrent très clairement ce qui arrivera à la fin de cette courte période. Bien que le règne final de cet empire impie soit brutal et sanglant, il prendra fin après une courte période par l'événement le plus excitant et rempli d'espoir de l'histoire de l'humanité : le Second avènement de Jésus-Christ. 

L'ALLEMAGNE ET LE SAINT EMPIRE ROMAIN

Beaucoup de gens sont au courant des atrocités commises par l'Allemagne durant la Seconde Guerre Mondiale, mais les considéreraient comme de l'histoire ancienne. Ces personnes sont totalement ignorantes du legs que fit Adolf Hitler quand il créa sa machine de guerre nazie. Le sien était simplement la dernière résurrection d'un empire guerrier avec une longue et sanglante histoire. Savezvous ce que la Bible prophétisa sur son régime—aussi bien que sur la terrible émergence d'une ultime résurrection de nos jours?