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Le droit d’aînesse—à son apogée—et maintenant! (deuxième partie)
La suite provenant de Le droit d’aînesse—à son apogée—et maintenant! (première partie)
Q
uelques statistiques
Dans quelle mesure le Dieu tout-puissant a-t-Il honoré les promesses qu’Il a faites à l’intention des descendants de Joseph en ces derniers temps depuis 1800—promesses concernant «les meilleurs fruits du soleil … les meilleurs produits des antiques montagnes … les meilleurs produits de la terre»?
Le 5 janvier 1921, Charles Schwab, l’un des magnats de la sidérurgie américaine, déclara devant l’association des banquiers du Massachusetts: «Les États-Unis ont reçu de Dieu tout ce qui leur est nécessaire pour devenir et demeurer la plus grande nation industrielle et commerciale du monde.»
En 1950, la production pétrolière approchait les 3,8 milliards de barils. De ce total, les États-Unis en produisaient à eux seuls, plus de la moitié—près de 52%. Le Commonwealth britannique et les États-Unis produisaient, à eux seuls, 60% du pétrole brut, sans compter leurs investissements à l’étranger. Toutefois, en 1966, année fatidique de la fermeture, à Londres, du British Colonial Office sanctionnant la dissolution officielle de l’Empire britannique, il n’était plus question de 60 % de la production mondiale, mais de 32%.
Auparavant la Grande-Bretagne et l’Amérique extrayaient de leur sol 150% de la production mondiale du charbon. En 1966, leur production n’atteignait plus que 30,9%, soit moins du tiers de la production mondiale!
En 1950, le Commonwealth britannique et l’Amérique produisaient les trois quarts de l’acier dans le monde—les États-Unis, à eux seuls, produisant presque 60%, ou presque 105 millions de tonnes, en 1951. Ils produisaient 133% plus de fonte que tous les autres pays réunis.
Cet index de base en matière de prospérité avait, en 1966, baissé au point d’atteindre 33,6% de la production d’acier (le tiers) et 17,8% (le sixième) de la production mondiale de fonte.
Les pays anglo-saxons produisaient près de 95% du nickel (produit surtout par le Canada); 80 % de l’aluminium et 75% du zinc. En 1966, en revanche, ils ne produisaient plus que 3,6% seulement de tout le nickel, 40,2% de tout l’aluminium et 12,4% du zinc.
En 1950, le Commonwealth britannique était, pour ainsi dire, le seul producteur de chrome (extrait en Afrique du Sud). À eux seuls, la Grande-Bretagne et l’Amérique produisaient les deux tiers de la production mondiale de caoutchouc; ils étaient les principaux fournisseurs de cuivre, de plomb, d’étain, de bauxite et d’autres métaux précieux. En 1966, ils ne produisaient plus que 2,3% du chrome, 23,4% du cuivre, 9,9% du plomb, 6,3% de la bauxite et ils ne produisaient plus d’étain.
En 1950, le Commonwealth britannique produisait les deux tiers de l’or—approximativement $642 millions—alors que les réserves d’or des États-Unis étaient trois fois plus importantes que celles du reste du monde. Cependant, en 1966, les réserves d’or américaines avaient tellement baissé que le dollar était en sérieuse difficulté.
Les États-Unis et le Commonwealth produisaient et utilisaient les deux tiers de toute l’électricité produite sur la terre—l’Amérique produisant 283 milliards de kWh en 1948; quant au Royaume-Uni et au Canada, ils dépassaient la Russie, l’Allemagne et la France rassemblées. Mais en 1966, les pays anglo-saxons n’en produisaient plus que 20,1%!
Auparavant, la Grande-Bretagne et les États-Unis possédaient plus de la moitié des navires marchands parcourant le globe. En 1966, le pourcentage n’était plus que de 32,5%. Les îles Britanniques construisaient plus de vaisseaux que n’importe quelle autre nation au monde. Mais moins de deux décennies plus tard, deux ou trois nations de «Gentils» avaient déjà dépassé la Grande-Bretagne et l’Amérique. En 1950, ces deux nations anglo-saxonnes étaient responsables de près de la moitié du fret par voie ferrée. Mais en 1966, leur volume n’était plus que de 26% du fret ferroviaire mondial.
Il fut un temps où les États-Unis construisaient 73% des automobiles du monde. En 1966, de pair avec le Royaume-Uni, ils n’en fabriquaient plus que 55%—44% étant fabriqués par les États-Unis. Le Japon, la France, l’Allemagne et l’Italie, par contre, ont considérablement augmenté leur production.
Comment le Commonwealth et L’Amérique ont-ils pris possession de tout cela?
Comment le Royaume-Uni et les États-Unis ont-ils pris possession de tant de richesses terrestres? Les ont-ils obtenues grâce à leur sagesse humaine, à leur travail, à leurs aptitudes ou à leur puissance?
Abraham Lincoln répond à ces questions: «Nous nous trouvons dans la possession paisible de la meilleure portion du globe, pour ce qui est de la fertilité du sol, de l’étendue de notre territoire, de la douceur du climat … Nous nous trouvons être les héritiers légitimes de ces bénédictions fondamentales. Nous n’avons rien fait pour les acquérir ou pour les conserver.»
Dans le discours qu’il prononça le 30 avril 1863, pour annoncer une journée de jeûne et de prière à l’échelle nationale, ce grand Président déclara: «Il est du devoir des nations, et de chaque individu, de reconnaître leur dette envers Dieu, le Souverain tout-puissant … de reconnaître la vérité sublime qu’annoncent les Saintes Écritures et que corrobore l’histoire, à savoir que seules sont bénies les nations dont le Maître est Dieu … Nous avons été les bénéficiaires des plus grandes bénédictions du ciel. Nous avons été protégés, pendant toutes ces années, dans la paix et dans la prospérité. Nous avons grandi en nombre, nous sommes devenus riches et puissants, comme nulle autre nation. Mais nous avons oublié Dieu! Nous avons oublié la Main favorable qui nous a gardés en paix, qui nous a multipliés, enrichis et affermis. Nous nous sommes vainement imaginés, dans la séduction de nos cœurs, que ces bénédictions étaient le résultat de notre sagesse supérieure et de notre intégrité.»
Le Président américain voyait combien sa nation avait oublié Dieu, qu’elle était ivre d’un succès pour lequel elle n’était pas responsable—une nation qui s’attribuait le mérite et la gloire de sa grandeur—c’est pourquoi, il proclama un jour de jeûne et de prière pour la nation tout entière, afin de confesser devant Dieu leurs péchés. Lorsque Lincoln fit cette proclamation, le sort du pays était des plus précaires. Mais Dieu entendit les prières de la nation et l’exauça—et l’Amérique fut épargnée!
À présent, le sort de ce pays est de loin plus précaire. Les Américains n’ont plus, à présent, un président possédant suffisamment de sagesse et de courage, pour amener le peuple à se mettre à genoux.
Abraham Lincoln savait que le peuple américain n’avait pas mérité les bénédictions qu’il avait reçues, mais elles lui avaient été données par le Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël.
Nos peuples devraient se rendre compte que ces bénédictions nationales ont été déversées sur les descendants de Joseph à cause de la promesse inconditionnelle que Dieu fit à Abraham! Et Dieu fit cette promesse à Abraham, à cause de l’obéissance du patriarche envers les lois et les commandements de Dieu.
Nos pères, après Moïse, ne purent recevoir les bénédictions du droit d’aînesse, parce qu’ils refusèrent de vivre conformément aux lois de Dieu.
Aujourd’hui, dans maintes prophéties, telles que celles contenues dans Ézéchiel, Jérémie, Ésaïe, Michée et bien d’autres, Dieu avertit nos nations occidentales de se repentir. Si elles ne se repentent pas de leurs péchés, si elles ne reviennent pas à Lui en jeûnant, en pleurant et en priant avec ferveur, Il va détruire leurs villes et toutes les forteresses par l’épée des ennemis. Il va nous punir par les mains d’un peuple cruel. Nous allons être conquis, envahis et réduits à l’esclavage! Puisse Dieu nous aider à prêter l’oreille à cet avertissement!
En conclusion, posons-nous la question suivante: Si nous ne sommes pas la nation d’Israël—faisant partie des Dix Tribus «perdues»—les descendants prospères de Joseph et d’Israël—les héritiers actuels des bénédictions qui devaient accompagner le droit d’aînesse et qui ne furent accordées à nos peuples (principalement les États-Unis et le Commonwealth britannique) qu’à partir de 1803—qui d’autre, en ce cas, pourrait représenter Israël? Aucun autre pays ou groupe de pays, n’a jamais possédé ces bénédictions relatives au droit d’aînesse. Rappelez-vous que les États-Unis et le Commonwealth britannique ont possédé plus des deux tiers—presque les trois quarts—de toutes les matières premières, de toutes les ressources et de toutes les richesses des nations du globe, tandis que ces autres pays ne se sont partagés qu’une petite portion de ces richesses.
Connaissez-vous une preuve plus évidente de l’inspiration divine de la Sainte Bible, prouvant qu’elle constitue la parole du Dieu vivant? Des êtres humains, mortels, auraient-ils pu, sans l’inspiration divine, rédiger les prophéties que nous avons mentionnées dans le présent ouvrage; ayant fait ces promesses à Joseph (Israël); et, après que 2520 ans se fussent écoulés, à partir de 1800-1803, être en mesure de faire s’accomplir ces prophéties? Il ne saurait s’agir de promesses insignifiantes. Ces promesses impliquent l’obtention d’une prospérité incroyable et des énormes ressources naturelles du globe.
Exposez ces faits comme un défi à vos amis athées ou irréligieux! Exigez d’eux une réponse. Demandez-leur de vous expliquer, s’ils en sont capables, qui d’autre que le Créateur Lui-même aurait pu faire en sorte que ces prophéties, écrites il y a plusieurs millénaires, s’accomplissent avec une précision remarquable à l’époque annoncée, quelques milliers d’années plus tard?
Comment un Américain—ou un anglophone qui est héritier de toutes ces bénédictions merveilleuses de Dieu—peut-il, face à l’accomplissement aussi spectaculaire et aussi évident de telles prophéties—devant une démonstration aussi stupéfiante des pouvoirs, de la puissance et de la fidélité du Dieu tout-puissant—accepter et prendre part à ces bénédictions, et puis négligemment ignorer l’avertissement que Dieu adresse, aujourd’hui, au sujet de nos innombrables péchés? Comment peut-on ne pas s’agenouiller devant le Tout-Puissant, se repentir, et intercéder par des prières ferventes en faveur de nos nations israélites, et faire notre possible pour les avertir du terrible péril qu’elles courent? ▪
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