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Comment les sept mystères furent révélés (première partie)
La suite provenant de Le mystère des siècles (Préface)
L
a préoccupation majeure du monde, aujourd’hui, c’est la survie de l’homme ! La science et la technologie ont élaboré des armes de destruction massive, capables d’annihiler toute vie humaine ici-bas.
Tant de nations possèdent aujourd’hui l’armement nucléaire qu’un seul dément pourrait déclencher la Troisième Guerre mondiale, qui anéantirait toute vie humaine sur cette planète.
La vérité divine, si on l’avait crue et mise en pratique, aurait pu épargner à l’humanité cette menace et tous ses maux !
Songez-y.
Vous vivez dans un monde qui semble très avancé dans la science, la technologie, l’enseignement supérieur et dans la diffusion de la connaissance. Les gens pensent que c’est un monde ayant considérablement progressé. Nous envoyons des hommes faire des cabrioles sur la lune, et les ramenons sur terre en toute sécurité. Des vaisseaux spatiaux inhabités vont sur Mars et renvoient à la terre des photographies de la surface martienne. D’autres engins inhabités volent près de Jupiter et renvoient d’étonnantes images de cette planète, et des anneaux de Saturne. Les chirurgiens font des transplantations du cœur ou d’autres organes.
C’est un monde magique, presse-bouton et enchanteur où le travail est, en grande partie, réalisé par des machines. C’est le monde imaginaire du charme des trois « L » — loisir, luxure et licence.
Mais paradoxalement, c’est aussi un monde où règne l’ignorance ! Même les plus instruits ignorent comment venir à bout de leurs problèmes, et faire disparaître les maux auxquels le monde est en proie. Ils ignorent le chemin de la paix, et les vraies valeurs de la vie !
Près de 50 pour cent des habitants du globe sont analphabètes, souffrent d’une pauvreté abjecte, et vivent dans la saleté et la puanteur. Les spectres sinistres de la famine et des épidémies fauchent des millions de vies humaines.
C’est un monde dans la frustration, malheureux et troublé, contemplant l’avenir sans une lueur d’espoir. Il est tourmenté par le crime et la violence, l’immoralité, l’injustice (même dans les tribunaux), la malhonnêteté, la corruption à l’échelon gouvernemental et au niveau des entreprises, par les guerres incessantes qui nous mènent tout droit vers une Troisième et dernière Guerre mondiale.
Pourquoi ce paradoxe de « progrès » au milieu de la dégénérescence ?
La vérité divine aurait pu résoudre !
La vraie religion — la vérité divine en action, grâce à l’amour de Dieu que communique le Saint-Esprit — aurait ouvert la voie, et aurait conduit au bonheur, à l’abondance et au salut éternel.
Lorsque vous aurez compris ce qui ne va pas avec les religions de ce monde, vous aurez isolé la cause des maux dont souffre l’humanité !
Qu’est-ce que la religion ? On la définit comme l’adoration et le culte de Dieu ou du surnaturel. C’est la relation de l’homme avec son Créateur. Cette définition, certaines religions l’ont pervertie. Elles n’adorent pas le Dieu qui a créé les hommes, mais les dieux qu’elles se sont forgés. La religion concerne la conduite de chacun, les principes, le mode de vie et le concept de l’au-delà.
Les causes réelles de toute la confusion religieuse de ce monde — et de tous les maux de ce dernier — sont révélées par sept mystères fondamentaux qui font le procès de cette Babylone de confusion religieuse, et du chaos mondial en résultant !
Mais le moment est venu, pour Dieu d’intervenir. Une voix puissante retentit aujourd’hui, de par toute la terre, révélant aux hommes comment sortir de cette folie, et entrer dans le monde paisible et juste qui va bientôt étendre son emprise sur la planète !
Dans le livre d’Ésaïe se trouve une prophétie pour « notre » époque : « Une voix crie : Préparez au désert le chemin de l’Éternel … Élève avec force ta voix … Élève ta voix, ne crains point, dis Voici, le Seigneur, l’Éternel vient avec puissance, et de son bras il commande ; voici, le salaire est avec lui, et les rétributions le précèdent » (Ésaïe 40 : 3, 9-10).
Cette voix retentit maintenant !
Le prophète Malachie l’a confirmé : « Voici, j’enverrai mon messager ; il préparera le chemin devant moi. Et soudain entrera dans son temple le Seigneur que vous cherchez ; et le messager de l’alliance que vous désirez, voici, il vient, dit l’Éternel des armées » (Malachie 3 : 1).
L’Élie à venir
Ces deux prophéties ont une double application. Elles font, d’une part, allusion à Jean-Baptiste qui, il y a plus de mille neuf cents ans, prépara la voie pour le ministère humain de Jésus. MAIS, elles sont aussi une préfiguration car elles annoncent, d’autre part, quelqu’un qui allait préparer la Seconde venue du Christ en tant que Roi des rois et Seigneur des seigneurs, pour RÉGNER sur TOUTES LES NATIONS !
À l’instar de la prophétie d’Ésaïe, celle de Malachie s’applique — si vous poursuivez votre lecture après le verset 1 — à un messager humain préparant le chemin pour le Second avènement du Christ, maintenant imminent, qui va revenir dans sa gloire et sa puissance suprêmes, comme Gouverneur de toutes les nations !
Comprenez bien le principe de dualité dans ces passages. Ces prophéties annoncent une préfiguration, et son accomplissement.
Jean-Baptiste était une voix retentissante dans le désert physique de la région du Jourdain, préparant la première venue du Jésus physique, dans un temple matériel à Jérusalem, dans la tribu physique de Juda. Or, Jean n’était qu’un type, un précurseur, d’une autre voix qui allait « s’élever » (considérablement amplifiée par l’imprimerie, la radio et la télévision), retentissant au milieu du désert spirituel actuel de toute cette confusion religieuse, annonçant l’imminence du Second avènement du Christ, spirituellement glorifié, qui doit venir dans Son temple spirituel — l’Église, qui va ressusciter, devenir spirituelle et immortelle (Éphésiens 2 : 21-22).
Jésus est venu, il y a plus de mille neuf cents ans, annoncer, l’instauration future du Royaume de Dieu. Cette fois-ci, Il va venir Établir ce Royaume. Ce message d’avertissement du temps de la fin retentit maintenant dans le monde entier avec une force redoublée. Il se fait entendre parmi des rois, des empereurs, des présidents, des Premiers ministres — et leurs peuples respectifs, sur tous les continents !
Comment, en cette époque de confusion religieuse, peut-on accéder à la connaissance de ces sept mystères fondamentaux qui mettent au grand jour cet amalgame universel de faux enseignements ?
Comment se fait-il que les habitants de la Thaïlande soient généralement bouddhistes ; que ceux de l’Espagne, de la France et de l’Italie soient en majorité catholiques ; et ceux du monde arabe, essentiellement musulmans ? Principalement, bien entendu, parce qu’ils ont grandi avec l’enseignement de ces confessions, et les ont automatiquement adoptées. S’attendre à ce que l’un d’eux découvre la vérité (cachée à la majorité et, de plus, contraire aux enseignements qu’on lui a dispensés), équivaudrait presque à escompter l’impossible.
Pourquoi la plupart des gens croient-ils ce qu’ils croient ? Rares sont ceux qui se demandent comment ils en sont venus à accepter les croyances qui se sont implantées dans leur esprit.
La source de la VÉRITÉ
Vous avez probablement vu des photos de la statue Le Penseur [de Rodin]. Un homme assis, seul, penché en avant, les coudes sur les genoux, la main sous le menton. Il est supposé être plongé dans de profondes pensées, heure après heure, jour après jour.
Cette statue dépeint bien la manière dans laquelle quelques-unes des religions du monde se trouvent.
Mais Le Penseur n’a rien sur quoi réfléchir ! Aucun fondement pour sa pensée. Aucun fait sur lequel baser ses conjectures.
L’être humain n’est pas équipé pour produire de la vérité à partir d’une base inexistante.
Rares sont ceux qui pensent réellement !
La plupart des gens acceptent sans discuter ce qu’on leur a inculqué dès leur enfance. Une fois adultes, ils adoptent ce qu’ils ont le plus souvent lu ou entendu — ce qu’on leur a enseigné. Ils continuent à « suivre le mouvement » sans même, dans la plupart des cas, se poser de questions. La plupart des individus, sans même en avoir conscience, ont admis leurs croyances sans questions ni preuves. Cela ne les empêche pas de défendre vigoureusement, et avec beaucoup d’émotions, leurs convictions. « Suivre le courant » ou « Faire comme tout le monde » représente, chez l’homme une norme.
En outre, la plupart des gens refusent obstinément de croire à ce qu’ils n’ont pas envie de croire, et, comme on dit couramment : « Nul ne change réellement d’opinion s’il est convaincu contre son gré ».
Je n’étais pas différent des autres. Seul, je n’aurais jamais découvert ces vérités merveilleuses.
Le prophète Moïse n’aurait jamais découvert les vérités qu’il a écrites — les cinq premiers livres de la Bible. Cela nécessita un miracle de Dieu, celui du buisson ardent, pour ouvrir l’esprit de Moïse, et Se révéler à lui. Moïse ne cherchait pas Dieu. Ce fut Dieu qui l’appela et qui l’enrôla. Bien qu’ayant entendu Dieu lui parler, Moïse protesta. Il était bègue ! Il sentait qu’il n’était pas qualifié pour la tâche. Dieu lui dit que son frère Aaron serait son porte-parole, et le poussa à acquiescer. L’ordre divin était irrévocable. Moïse s’inclina.
Des siècles plus tard, l’apôtre Paul n’aurait jamais pu, de son propre gré, connaître et nous révéler les vérités de Dieu. En effet, il respirait « la menace et le meurtre contre les disciples du Seigneur » (Actes 9 : 1). Il fallut que le Christ vivant l’aveuglât, le ramenât à de meilleures dispositions, et l’instruisît dans la connaissance et dans la volonté divines. Le Christ lui révéla, personnellement, bon nombre de vérités que vous allez découvrir dans cet ouvrage.
Comment, dans ces conditions, en suis-je venu, moi, à comprendre la connaissance précieuse de la vérité ? Ce n’est pas de moi-même, ou parce que je la recherchais, ni à cause de certaines qualités que je posséderais plus que les autres. Jésus-Christ me frappa, d’une manière bien différente qu’Il le fit pour l’apôtre Paul, mais tout aussi douloureusement et efficacement.
De telles vérités fondamentales sont révélées et non conçues dans un esprit humain. Elles viennent de Dieu, pas des hommes ! De tous les cas cités dans la Bible, c’est de Dieu que vient l’initiative !
Jérémie protesta qu’il était trop jeune. Dieu lui dit : « Ne dis pas : Je suis un enfant. Car tu iras vers tous ceux auprès de qui je t’enverrai, et tu diras tout ce que je t’ordonnerai » (Jérémie 1 : 7). Ésaïe objecta qu’il avait des lèvres impures, mais Dieu le fit accepter la mission divine. Jonas s’enfuit sur un navire ; néanmoins, il fut contraint de proclamer l’avertissement divin. Pierre et André voulaient être pêcheurs, mais Jésus les appela et les incita à tout laisser tomber pour Le suivre.
De même, je voulais faire carrière dans la publicité, mais Dieu — par des circonstances indépendantes de ma volonté — m’a poussé vers la mission qu’Il voulait me voir remplir.
C’est Dieu qui prend l’initiative, et c’est la seule chose qui importe. Sa volonté s’accomplira immanquablement. Le monde est plein de religions qui sont nées de l’imagination, du raisonnement et des spéculations de certaines personnes. Ces religions n’ont aucun fondement solide. La vérité est une révélation divine !
Cette vérité biblique est-elle, pour autant, accessible à tous ? On suppose que les Églises enseignent ce qui est révélé dans la Bible.
Je vais donc, maintenant, vous faire un bref résumé de l’expérience au cours de laquelle Jésus-Christ m’a terrassé, pour ainsi dire, et m’a révélé des vérités stupéfiantes ! Des vérités bibliques que les Églises ne croient pas ou enseignent pas. ▪
La suite sur...