Le Premier ministre canadien Justin Trudeau salue après avoir prononcé son discours de victoire à Montréal, tôt le 21 septembre 2021. [GETTY IMAGES]
Y a-t-il eu de la fraude électorale au Canada ?
Dans le contexte de la crise politique actuelle, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a déclaré devant la Chambre des communes que toute opinion du Convoi de la liberté n’était pas pertinente parce que le peuple canadien avait donné aux libéraux le mandat de maintenir les exigences en matière de vaccins et les mesures de confinement lors de la dernière élection. Trudeau a également qualifié le Convoi de la liberté de « minorité marginale », ne représentant pas les points de vue de la plupart des Canadiens.
La dernière élection au Canada a eu lieu en septembre 2021. C’était une élection surprise déclenchée au plus fort de la vague delta. Il s’agissait de la première élection pandémique au Canada, qui a vu des mesures inédites comme le vote par correspondance, l’accent mis sur la diffusion de la désinformation électorale et des règles de COVID-19 qui limitaient la capacité des bureaux de vote.
Le Parti libéral a remporté 160 sièges ; les conservateurs, 119 ; le Bloc québécois, 32 ; le Nouveau Parti démocratique, 25 ; et le Parti vert, 2. Cela a permis aux libéraux de former un gouvernement minoritaire.
Trudeau a-t-il obtenu un mandat majoritaire du peuple canadien ? Trudeau a-t-il même remporté l’élection équitablement ? Il y a de plus en plus de preuves d’irrégularités électorales qui ont profité au Parti libéral du Canada—et Trudeau a une histoire de corruption depuis qu’il est devenu Premier ministre.
La première irrégularité est l’ingérence étrangère. Il ne fait aucun doute raisonnable que la Chine s’est immiscée dans l’élection du 20 septembre 2021 au profit de Trudeau. DisinfoWatch a fait un rapport approfondi sur les irrégularités et a déclaré : « Après avoir analysé les données de source ouverte disponibles, et consulté les principales parties prenantes, nous pensons que le moment et le contenu des récits indiquent la probabilité d’une opération d’influence coordonnée ciblant les électeurs sino-canadiens. » Le Parti conservateur a indiqué que 13 circonscriptions électorales ont été touchées par l’intervention chinoise.
Les 13 circonscriptions comprennent certaines dans lesquelles les conservateurs n’étaient pas performants, mais certains des résultats ont vu des députés conservateurs de longue date perdre leurs sièges par des marges surprenantes. Il existe également une corrélation entre les candidats ciblés et leurs opinions plus fortes critiquant la Chine.
Une partie de l’ingérence était évidente, comme dans le cas de l’ambassadeur de la Chine au Canada, Cong Peiwu, qui a averti les Canadiens de ne pas élire de partis qui « calomnient » la Chine. Le Global Times, journal sous la direction du parti communiste chinois, a publié une tribune promouvant des « fortes représailles » si les conservateurs gagnaient.
« Le gouvernement chinois a démontré à maintes reprises qu’il est prêt à faire avancer ses intérêts au Canada en manipulant directement le débat et les politiques canadiennes, ayant recours à la désinformation, aux menaces, à l’intimidation et aux opérations d’influence dirigées contre les groupes de la diaspora canadienne », a poursuivi DisinfoWatch. « Une telle ingérence menace de miner l’intégrité de la démocratie canadienne et d’éroder la confiance du public dans nos processus et institutions démocratiques. »
Une attaque spécifique a été dirigée contre le candidat conservateur Kenny Chiu de Steveston-Richmond Est à Vancouver. La principale méthode d’attaque se jouait à travers l’application WeChat, un réseau social chinois, utilisé par plus de 1 million de Sino-canadiens. Les médias contrôlés par l’État chinois ont publié de la désinformation sur Chiu et le Parti conservateur et l’ont propagée sur WeChat. « Un rapport récent publié par le DFRLab de l’Atlantic Counsel identifie une organisation nommée HuayiNet comme un ‘acteur principal derrière l’affaire électorale canadienne’ », a écrit DisinfoWatch. « Selon le rapport, HuayiNet offre des services de traduction et travaille en étroite collaboration avec les consulats et les groupes de Chine liés à la United Front Work Department, une organisation de propagande externe du gouvernement chinois qui est active au Canada. Un compte WeChat associé à HuayiNet est nommé torontolingshiguan (consulat de Toronto en chinois). […] Le compte torontolingshiguan a republié l’article de désinformation ciblant Kenny Chiu le 10 septembre, un jour après sa publication sur WeChat. »
Cette méthode a été utilisée à plusieurs reprises dans les 13 districts. Chiu était en tête dans la plupart des sondages de Steveston-Richmond Est, mais les résultats de l’élection ont vu un basculement spectaculaire à deux chiffres vers le candidat libéral. C’est la même histoire dans d’autres circonscriptions. « Le correspondant du South China Morning Post, Ian Young, a également remarqué un phénomène de districts fortement sino-canadiens se retournant radicalement contre les conservateurs », a écrit le National Post. « À Richmond, la ville la plus chinoise du Canada, la députée conservatrice de Richmond-centre, Alice Wong, a perdu l’élection, en opposition aux tendances nationales et malgré le fait qu’elle ait remporté la circonscription de plus de 20 points en 2019. » Les libéraux ont généré plus de votes dans les régions métropolitaines que quiconque ne s’y attendait.
Le Service canadien du renseignement de sécurité a averti des mois avant les élections qu’une ingérence étrangère était susceptible de se produire. Cette ingérence chinoise n’a probablement pas été décisive dans les résultats des élections, mais pourquoi le gouvernement ne fait-il pas une enquête sur les raisons pour lesquelles le gouvernement chinois aiderait Trudeau à gagner ?
Ce n’était pas la seule irrégularité lors de l’élection de 2021. L’autre caractéristique remarquable de la 44e élection générale canadienne a été l’augmentation massive du vote par correspondance : 1 274 447 bulletins de vote par correspondance ont été émis pour les personnes vivant au Canada, les résidents à l’étranger et les membres des Forces armées. Élections Canada a publié un rapport indiquant que 205 000 bulletins de vote par correspondance n’ont pas été comptés, même s’ils ont été demandés. Certains de ces bulletins de vote étaient en retard ou n’ont pas été retournés, et n’auraient pas dû être comptés.
L’irrégularité concerne les 123 000 bulletins de vote par correspondance qui n’étaient envoyés aux électeurs que moins d’une semaine avant le jour du scrutin. Cela laissait peu de chances que l’un de ces bulletins de vote puisse être retourné à temps. Pourquoi y a-t-il eu tant de retards dans l’envoi des bulletins de vote aux électeurs ? Cela s’avère être un nombre décisif de votes dans une élection très disputée. Selon les données officielles d’Élections Canada, 34 circonscriptions avaient une marge de victoire de 2 000 votes ou moins. La marge de victoire dans ces circonscriptions s’élève à 33 665 voix. Dans 21 de ces circonscriptions, les libéraux ont gagné.
Dans 65 districts, la marge de victoire était inférieure à celle des bulletins de vote retournés par correspondance. Dans huit districts, la marge de victoire est plus faible que les bulletins de vote par correspondance manquants parce qu’ils étaient en retard ou n’ont pas été retournés. Lorsque les 13 districts interférés par la Chine sont ajoutés, un total de 73 districts ont été ou auraient pu être affectés par des irrégularités de vote par correspondance. Dans 48 de ces circonscriptions, soit 65,7 pour cent, les libéraux l’ont emporté, les conservateurs arrivant loin derrière avec 14 districts, soit 19,2 pour cent. Dans les 48 circonscriptions, les libéraux l’ont emporté avec un seuil de moins de 2 000 voix ; la marge totale de victoire est de 149 033. En d’autres termes, dans les circonscriptions où il y a eu ingérence étrangère, ou des courses très serrées avec des bulletins de vote par correspondance, les résultats ont faussé en faveur des libéraux.
Une autre facette intéressante des données est que dans ces 73 districts, la majorité se trouve dans des districts urbains stratégiques. Trente-trois de ces districts se trouvent en Ontario, une majorité dans la région aux environs de Toronto, qui compte à elle seule 50 districts. Et Trudeau a réussi à les remporter presque tous et à obtenir le principal bloc de pouvoir dans le gouvernement minoritaire de 160 sièges.
Cela est en corrélation avec d’autres irrégularités qui ont été spécifiquement observées à Toronto, comme l’indique le rapport d’Élections Canada : « À Toronto, 15 circonscriptions comptaient 448 bureaux de vote de moins qu’à la 43e élection générale. Dans certaines de ces circonscriptions, le nombre de bureaux de vote a diminué de 75 pour cent et les lieux de vote disponibles n’étaient pas assez grands pour installer des isoloirs individuels dans tous les bureaux de vote requis. » Dans un district de Toronto, Mississauga–Streetsville, 1 589 bulletins de vote par correspondance se sont accumulés à l’extérieur d’une salle du courrier non contrôlée par les fonctionnaires électoraux et n’ont donc pas pu être comptés. Est-ce que cela s’est produit dans d’autres districts du pays ?
Le Western Standard a rapporté : « Dans d’autres cas, les propriétaires d’immeubles qui ont accepté de louer des locaux à Élections Canada pour les bureaux de vote ont retiré les contrats. ‘Cela a forcé les directeurs du scrutin à identifier de nouveaux endroits et à obtenir des baux dans un délai très court’, a écrit le personnel. En conséquence, le nombre de bureaux de vote à travers le Canada a été réduit de 7 pour cent et ‘a entraîné des goulots d’étranglement et des files d’attente », indique le rapport.
Cela pourrait aider à expliquer pourquoi il y a eu un taux de participation historiquement bas de 17 034 243 électeurs sur 27 366 297 électeurs inscrits. Malgré cela, le Parti libéral a été en mesure de remporter toutes les courses serrées dont il avait besoin malgré la perte du vote populaire. Les libéraux ont obtenu un total de 5 556 629 votes, tandis que les conservateurs ont terminé avec 5 747 410 votes, soit une différence de 190 781 votes. Pourquoi toutes ces irrégularités ont-elles favorisé Justin Trudeau ?
Ces données soulèvent plus de questions que les réponses fournies par Élections Canada. La seule façon de savoir s’il y a eu de la fraude électorale est d’avoir une vérification complète de tous les bulletins de vote par correspondance, des pratiques, et de l’ingérence étrangère.
Le gouvernement de Trudeau a une tendance récurrente de corruption depuis son entrée en fonction en 2015. Tout d’abord, il y a eu le scandale de l’Aga Khan, où Trudeau a passé des vacances sur l’île privée de l’Aga Khan et a utilisé son hélicoptère—après que la Fondation Aga Khan ait reçu des millions de dollars du gouvernement fédéral. En 2018, des allégations selon lesquelles Trudeau aurait peloté une journaliste ont fait du bruit. Puis, en 2019, plusieurs photos ont émergé montrant Trudeau avec le visage maquillé en noir à différents moments de sa vie. Il y a eu l’affaire SNC-Lavalin, dans laquelle Trudeau a tenté de modifier les lois sur les poursuites afin que les cadres inculpés de l’entreprise puissent accepter une négociation de plaidoyer et ne pas faire l’objet de poursuites. Il s’est ensuite immiscé dans l’enquête de la procureure générale Jody Wilson-Raybould. Trudeau a menti à plusieurs reprises et plusieurs fonctionnaires éminents ont été forcés de démissionner.
En 2020 le scandale UNIS Charité est survenu, dans lequel le Premier ministre a directement influencé la décision d’envoyer un contrat de près de 1 milliard de dollars à la Fondation UNIS dans lequel sa famille, puis le ministre des Finances Bill Morneau, avaient des intérêts financiers. « La fille de Morneau travaille pour UNIS. Son autre fille a pris la parole lors d’événements d’UNIS », a écrit le National Post. « Et il avait fait des voyages payés par UNIS en 2017—Morneau a depuis lors remboursé les 41 000 dollars. Quant à Trudeau, sa famille a été impliquée et payée par UNIS. UNIS a d’abord nié avoir payé la mère de Trudeau, Margaret, son épouse, Sophie Grégoire Trudeau ou son frère, Alexandre. Il s’est avéré que Margaret a reçu 250 000 dollars pour avoir pris la parole lors de 28 événements, et Alexandre a reçu 32 000 de dollars pour avoir pris la parole lors de huit événements. Il s’agissait de la troisième enquête éthique sur Trudeau en cinq ans. Le Premier ministre a prorogé le Parlement afin de fermer le comité d’enquête une fois que des documents accablants ont été rendus publics.
De nombreux députés ont dû démissionner pour avoir fait beaucoup moins, mais Trudeau reste au pouvoir et vient d’invoquer plus de pouvoirs d’urgence. Trudeau a été élu avec seulement 32,6 pour cent du vote populaire, ce qui est le taux le plus bas jamais enregistré. Seulement 14,6 pour cent de tous les Canadiens ont voté pour lui. Trudeau a-t-il vraiment un mandat de la population pour suspendre les libertés civiles ? Pourquoi un dirigeant élu légitimement prendrait-il le pouvoir dictatorial si le peuple canadien l’appuyait vraiment ?
Il faut répondre à toutes ces questions. Le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a beaucoup écrit sur la fraude lors des élections américaines de 2020. « Les bulletins de vote par correspondance ouvrent la porte à de terribles fraudes », a-t-il écrit dans le numéro de janvier 2021 de la Trompette. « De nombreuses preuves troublantes ont émergé d’irrégularités de vote et de fraudes—et elles sont toujours en faveur de Joe Biden ! » Nous observons la même tendance au Canada avec Justin Trudeau. De plus en plus de preuves de corruption sont exposées aux plus hauts niveaux du gouvernement.
Partout dans le monde, la gauche radicale est exposée. Dans « Barack Obama démasqué », M. Flurry a écrit : « Mais je crois que le vent tourne. Nous sommes sur le point de voir une grande partie de cette corruption traduite en justice. » La prophétie biblique révèle que ces crimes verront le jour. La corruption du gouvernement radical de Trudeau est exposée. En apprendrons-nous davantage sur la fraude électorale au Canada ?
Veuillez lire la brochure gratuite de M. Flurry intitulée L’Amérique sous attaque pour en savoir plus sur ces importantes prophéties bibliques de la fin des temps.