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Un silence médiatique cache la corruption de Pfizer
Les Américains doivent réévaluer la confiance qu’ils accordent à leurs entreprises médicales, à leurs réseaux médiatiques et même à leur gouvernement. Ces systèmes que nous avons construits ont terriblement dérapé, et des gens le paient de leur vie.
La dernière grande révélation sur comment fonctionnent les entreprises pharmaceutiques a été révélée le 25 janvier dans une vidéo publiée par le groupe d’enquête Project Veritas. Le groupe a filmé en caméra cachée un directeur scientifique de Pfizer admettant que le géant pharmaceutique pour lequel il travaille a tenu des réunions au sujet de la covid-19, ainsi que la question de « pourquoi ne pas la faire muter nous-mêmes afin de pouvoir […] développer de nouveaux vaccins à titre préventif, n’est-ce pas ? »
Les dirigeants de abc, cbs, cnn, msnbc, nbc, pbs et autres vous ont empêché d’apprendre quoi que ce soit à propos de cette vidéo, tandis que des émissions comme Good Morning America, Early Start, cbs This Morning, Making a Difference, 60 Minutes Overtime, cbs Sports Update, Anderson Cooper 360, This Week With George Stephanopoulos, Erin Burnett OutFront, cnn Tonight et Nightline vous sont « offertes par Pfizer ».
Ce type de recherche sur le gain de fonction est une menace majeure pour l’Amérique, mais le silence médiatique sur ce risque pourrait être un danger encore plus grand. Le père fondateur américain Thomas Jefferson a dit : « Si une nation s’attend à être ignorante et libre, dans un état de civilisation, elle s’attend à ce qui n’a jamais été et ne sera jamais. » Pourtant, chaque jour, de nouvelles preuves émergent que les géants pharmaceutiques, les grands médias, et le grand gouvernement travaillent ensemble pour « jeter la vérité à terre » avec le plus grand système de censure de l’histoire des États-Unis (Daniel 8 : 12). Vous devez comprendre comment cela fonctionne !
L’évolution dirigée
La vidéo que les médias commerciaux ne veulent pas que vous voyiez met en scène le Dr Jordon Trishton Walker, qui est répertorié comme directeur des initiatives scientifiques et opérationnelles, au sein du département mondial de recherche, de développement et de médecine de Pfizer, « qui est responsable de tous les composés » et « comprend toutes les unités de recherche de Pfizer », selon Pfizer.com. Il semble qu’il rende compte à un vice-président, qui rend compte au directeur scientifique, qui rend compte au directeur général et président, Albert Bourla lui-même. Le Project Veritas décrit Walker comme « directeur de la recherche et du développement—operations stratégiques et planification scientifique pour ARNm. »
Dans la vidéo, le journaliste infiltré demande : « Pfizer pense-t-il finalement à faire subir une mutation à la covid ? »
« Eh bien, ce n’est pas ce que nous disons au public, non », répond Walker, qui admet que Pfizer discute de cette idée lors de réunions. Il poursuit en disant : « L’une des choses que nous explorons est, par exemple, ‘Pourquoi ne pas simplement la muter nous-mêmes pour pouvoir développer de nouveaux vaccins de manière préventive ?’ » Il prétend que cela est différent de la recherche sur le « gain de fonction » et l’appelle « évolution dirigée ». Pourtant, il admet que Pfizer sait que les gens ne veulent pas que l’entreprise fasse muter les virus, qu’il soupçonne que de telles expériences menées dans le laboratoire du gouvernement chinois à Wuhan ont créé le virus sars-CoV-2, et qu’il existe une « porte tournante » pour les cadres pharmaceutiques et les fonctionnaires qui les réglementent.
Ces aveux sont choquants ! Pourquoi une entreprise pharmaceutique s’impliquerait-elle dans le type de recherche génétique qui a provoqué la pandémie de coronavirus ? Le Dr Walker est honnête dans sa réponse. En exposant la position de Pfizer à l’égard du coronavirus et de ses mutations, il a déclaré : « La covid va être une vache à lait pour nous pendant un certain temps. » Beaucoup de gens se doutaient que c’était là le motif de Pfizer, mais il est tout de même stupéfiant de l’entendre directement de la bouche de son directeur scientifique.
Ce directeur de recherche parle littéralement de créer de nouvelles variantes du virus afin de battre la concurrence et de vendre de nouveaux vaccins à base d’ARNm. Et il se vante de pouvoir s’en tirer parce que « dans l’industrie pharmaceutique, toutes les personnes qui vérifient nos médicaments—en fin de compte, la plupart d’entre elles viendront travailler pour des entreprises pharmaceutiques. » Encore une fois, quel aveu ! Le Dr Walker affirme même que cette relation incestueuse entre les grandes entreprises pharmaceutiques et le grand gouvernement est « plutôt bonne pour l’industrie, pour être honnête », mais qu’elle est « mauvaise pour tous les autres en Amérique ». Il faut vraiment regarder l’intégralité de l’interview pour croire que cette conversation a réellement eu lieu.
Les statistiques d’embauche par le gouvernement prouvent ce que dit Walker. L’organisation à but non lucratif Open Secrets [Secrets ouverts] a établi le profil de 958 personnes qui ont travaillé à la fois pour le gouvernement et l’industrie pharmaceutique. Cette « porte tournante » de corruption qui existe entre les géants pharmaceutiques et le grand gouvernement est connue depuis longtemps, mais elle n’a jamais reçu l’attention qu’elle mérite. L’aveu de Walker est une reconnaissance scandaleuse de ce fait de la part d’un initié du monde des affaires et devrait contribuer à attirer une attention tant nécessaire sur une corruption manifeste et une grave menace pour la santé publique. Mais les journalistes « chiens de garde » sont ostensiblement silencieux au sujet de Walker, Pfizer, l’évolution dirigée et la porte tournante.
Silence des médias
Le Dr Robert Malone, l’un des inventeurs de la technologie ARNm et un critique des vaccins à base d’ARNm, a répondu aux aveux de Walker de la manière suivante : « Ce monsieur semble n’avoir absolument aucune conscience morale de ce qu’il fait. Il manifeste l’orgueil, l’arrogance et l’immaturité : Si c’est ça la qualité des individus au sein de Pfizer qui prennent ces décisions énormes mettant en danger la santé publique mondiale avec un tel mépris pour le bilan humain, c’est profondément corrompu en termes de la faisabilité pour Pfizer de contourner le droit international ou national. »
Parmi les plus de 40 millions de personnes qui ont visionné la vidéo du Dr Walker sur le compte Twitter de Project Veritas, beaucoup ont eu une réaction similaire. Il s’agit d’une histoire qui pourrait faire exploser les cotes d’écoute. Pourtant, les médias l’ignorent ostensiblement.
Allez sur les plus grands médias américains, et vous verrez des reportages sur la nécessité d’affaiblir davantage la police (pbs), sur l’évolution de la guerre entre la Russie et l’Ukraine (nbc), sur les raisons pour lesquelles Donald Trump est un problème plus important pour les républicains que la fraude électorale (msnbc) et sur le froid qu’il fait dehors (cnn). Pourtant, si vous cherchez « Pfizer » sur leurs sites Web, vous ne verrez rien sur Jordon Trishton Walker ou Project Veritas, bien qu’il s’agisse d’une affaire affectant potentiellement des centaines de millions de personnes, voire plus. En fait, selon vos habitudes médiatiques—en particulier si vous vous fiez à Google et à YouTube pour vous informer—vous n’avez peut-être jamais entendu parler de cette histoire.
Tucker Carlson, l’animateur de Fox News, est l’un des rares commentateurs à avoir parlé de la vidéo, et la principale leçon qu’il tire de cette histoire est le silence médiatique. « Si vous voulez vraiment comprendre à quel point les géants pharmaceutiques sont puissants, considérez les nouvelles qui n’ont pas été diffusées aujourd’hui », a-t-il déclaré le 26 janvier. « L’organisation d’information pro-transparence Project Veritas vient de publier une vidéo, filmé en caméra cachée, d’un cadre de Pfizer se vantant devant la caméra de la façon dont sa société mène une sorte de science à la Frankenstein, manipulant des virus de covid pour le profit, mettant potentiellement en danger le monde entier, le faisant en secret, peut-être en violation de la loi fédérale, se vantant de cela. Donc, peu importe vos opinions politiques—peu importe pour qui vous avez voté—c’est une histoire énorme. Et on pourrait penser que tous les journalistes de ce pays seraient impatients d’enquêter sur cette affaire, d’appeler Pfizer, d’en parler au public. Mais non, ce n’est pas le cas. […] Aucun autre média [à part Twitter] n’a couvert l’histoire. »
Le fait que cnn et msnbc aient ignoré l’histoire ne devrait pas être surprenant. Comme nous l’avons rapporté dans une analyse de la Trompette il y a un an, Pfizer a dépensé 1,8 milliard de dollars en 2020 pour des publicités sur des programmes comme Good Morning America, Anderson Cooper 360, cbs Health Watch, abc News Nightline et cnn Tonight. On ne mord pas la main qui nous nourrit, donc aucun de ces réseaux ne veut exposer comment Pfizer obtient son argent, tant qu’ils obtiennent leur part. Nos grands médias vous sont littéralement « offerts par Pfizer ».
Cette censure signifie que la plupart des personnes qui ne visitent pas le site web de Project Veritas n’auraient jamais découvert cette histoire si Elon Musk n’avait pas acheté Twitter l’année dernière. Or, tout le monde sur Terre doit savoir le contenu de cet exposé de Project Veritas !
Encore plus de corruption
Les Américains avaient l’habitude de considérer leurs journalistes comme des personnes curieuses, dures et courageuses, des personnes motivées à enquêter audacieusement sur « les problèmes qui vous affectent », comme le disent tant de scripts promotionnels. Les journalistes se sont enorgueillis de poser des questions difficiles, en particulier à ceux qui ont la richesse ou le pouvoir—ou les deux—pour impacter des millions d’Américains. Pourtant, le scandale du Dr Jordon Trishton Walker montre que nos journalistes privilégient la richesse et le pouvoir à la vérité.
La personnalité de Walker a été davantage exposée le 26 janvier lorsque Project Veritas a publié la vidéo de son fondateur, James O’Keefe, confrontant Walker sur ce qu’il avait admis devant la caméra. Walker a eu l’air stupéfait, puis a essayé de nier qu’il était un scientifique, puis a dit qu’il mentait pour impressionner quelqu’un qu’il fréquentait, puis a essayé de saisir l’appareil avec l’enregistrement vidéo. Mais finalement, Walker n’a pas pu cacher le fait qu’il est directeur de la recherche et du développement chez Pfizer, et qu’il a effectivement dit à un journaliste infiltré que son entreprise discutait de la recherche sur le gain de fonction.
Le scandale s’aggrave. Le 2 février, Project Veritas a publié une troisième vidéo du Dr Walker expliquant comment le vaccin ARNm de Pfizer nuit à la santé reproductive des femmes. « Il y a quelque chose d’irrégulier dans les cycles menstruels », a-t-il admis devant la caméra. « Les gens devront donc enquêter sur ce point à l’avenir, car c’est un peu inquiétant. […] Le vaccin [covid] ne devrait pas interférer avec cela [les cycles menstruels]. »
C’est un autre aveu choquant. Plus de 5,5 milliards de personnes dans le monde ont reçu un vaccin contre la covid-19. C’est presque 3 personnes sur 4 sur Terre. Et maintenant, un directeur de la recherche et du développement de Pfizer admet que la société sait que ses vaccins affectent les cycles menstruels des femmes ? C’est une honte.
« J’espère que nous ne découvrirons pas que cet ARNm persiste dans le corps et que, parce qu’il doit affecter quelque chose d’hormonal, il ait un impact sur les cycles menstruels », poursuit Walker. « J’espère que nous ne découvrirons pas quelque chose de vraiment mauvais en cours de route. […] Si quelque chose devait arriver en aval et que c’était, comme, vraiment mauvais. »
Des informations que Pfizer a voulu garder cachées pendant 75 ans ont maintenant été compilées dans un livre électronique intitulé Find Out What Pfizer, FDA Tried to Conceal (Découvrez ce que Pfizer et la FDA ont essayé de dissimuler). Ce livre met en lumière une étude choquante financée par les Instituts américains de la santé, qui montre que 40,2 pour cent des femmes vaccinées ont connu des changements menstruels. Ce livre montre également que des femmes non vaccinées font état de douleurs atroces et de crampes menstruelles après avoir eu des rapports sexuels avec leurs maris vaccinés. Il est donc évident que l’ARNm persiste dans l’organisme et peut même être transmis à quelqu’un d’autre lors de rapports sexuels ou, de manière plus controversée, lors de transfusions sanguines.
Les rapports de Pfizer à l’Agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) indiquent également que cette compagnie a étudié 270 grossesses uniques, et précisent : « Aucun résultat n’a été fourni pour 238 grossesses. » Pour les autres : « avortement spontané (23), résultat en attente (5), naissance prématurée avec décès néonatal, avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), avortement spontané avec décès néonatal et résultat normal (1 chacun) ».
Les malformations congénitales sont donc un « effet secondaire » majeur du vaccin, mais Pfizer ne veut pas rendre publiquement compte de ces risques.
Les dirigeants de Pfizer savent tous ces faits choquants, mais ils dépensent des centaines de millions de dollars par an pour soudoyer des fonctionnaires et des responsables des médias afin qu’ils approuvent leurs vaccins et parlent de leurs effets merveilleux. Ceux qui suivent Pfizer et d’autres grandes entreprises pharmaceutiques ne sont pas surpris qu’elles créent délibérément des problèmes à résoudre, qu’elles mettent en danger des millions ou des milliards de personnes dans la quête de milliards de dollars supplémentaires, et qu’elles soient de connivence avec le gouvernement, voire qu’elles deviennent le gouvernement, pour maintenir et accroître leur pouvoir et leurs profits. Mais maintenant, ces aveux sont manifestes pour que tous le voient. Si seulement ils le faisaient !
Suivez l’argent
Il est rationnel de poser les questions évidentes et logiques aux responsables gouvernementaux de la santé (dont certains ont travaillé ou travailleront pour Pfizer), aux dirigeants de Pfizer et aux autres sociétés pharmaceutiques. Il s’agit de suivre la science, de suivre l’argent et de se soucier de la santé physique des gens. C’est exactement la raison d’être des journalistes, mais ils détournent notre attention. Et nous les laissons faire.
Nous sommes tellement à l’aise avec notre système qui consiste à provoquer nous-mêmes des maladies, puis à confier notre traitement à des chimistes, des fonctionnaires, des spécialistes du marketing, des journalistes et des cadres dans des bureaux hors de prix, que nous acceptons les confinements, les mandats, les injections, les faux rapports et l’absence de rapports de la part de chiens de garde littéralement payés par Pfizer. Et nous faisons cela en dépit des preuves accablantes de la corruption de Pfizer.
En 2022, Pfizer a engrangé un chiffre d’affaires record de 100 milliards de dollars américains, dont plus de la moitié provenait de ses produits covid. La société a gagné près de 37 milliards de dollars grâce à son vaccin covid-19 en 2021. Elle a donné environ 11 millions de dollars au gouvernement pour des faveurs politiques et environ 2 milliards de dollars aux médias pour la publicité. Le récit qui en résulte a été étonnamment cohérent : la covid-19 est comme une peste bubonique moderne ; vous avez besoin de suivre les nouvelles du soir pour garder votre esprit là-dessus ; seuls les nouveaux vaccins expérimentaux, accélérés, de certaines marques peuvent vous sauver de la contamination—ou au moins vous empêcher de la propager—ou au moins diminuer vos chances de développer certains des symptômes ; les personnes en bonne santé qui sont « mortes subitement » après avoir reçu le vaccin sont probablement mortes d’autre chose ; il est dangereux de remettre en question le vaccin (ou de se demander pourquoi le gouvernement a affaibli la définition même du mot « vaccin ») ; le gouvernement devrait vous interdire de voyager, de manger, de faire des courses, d’aller à l’école ou même dans les épiceries, à moins et jusqu’à ce que vous releviez votre manche et vous fassiez injecter le vaccin... et la dose de rappel.
Dans un pays fondé sur la liberté d’expression, questionner a été pratiquement interdit. Pourtant, dans une génération qui croit que tout est le résultat d’une évolution non dirigée plutôt que d’un Créateur, il est peut-être logique de confiner la vie des gens, de risquer leur vie et de mettre fin à leur vie au nom de la richesse et du pouvoir.
Les mandats gouvernementaux pour les injections de vaccins anti-covid de Pfizer, Moderna, Novavax et Johnson & Johnson sont les symptômes les plus clairs que notre société est en phase terminale de corruption, même dans notre approche de notre propre santé physique—et de celle de nos enfants. Voyez comme nous sommes non scientifiques, irrationnels, aveuglément confiants et autodestructeurs. Quelle foi de vie et de mort que nous avons dans un système si terriblement indigne de cette foi !
Alors vers où vous tourner ? Vers les scientifiques qui travaillent à infecter des singes ou qui postulent à des emplois ouverts à l’Agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicamenteux ? Vers les fonctionnaires qui accélèrent le développement de vaccins expérimentaux ou qui postulent pour des postes vacants chez Pfizer Inc. ? Vers les journalistes qui se contentent de lire les scripts qu’on leur donne dans l’espoir d’obtenir un jour un bureau bien situé au coin ? Il s’agit de bien plus qu’une simple vidéo choc ou que le fait que Pfizer soit corrompu !
L’État profond
Les gens ont tendance à fuir les discussions sur la foi, et pourtant ils mettent chaque jour leur foi dans un système misérable et mortel. Il existe une source qui prétend s’exprimer au nom du Créateur du corps et de l’esprit humains. Elle met le lecteur au défi d’affronter la réalité, de tenir compte de la création, d’avoir foi en quelque chose qui vaut la peine d’être crue.
Pouvez-vous mettre votre foi en cela ?
La Sainte Bible n’exige pas une foi aveugle. Elle présente ses preuves, y compris des descriptions détaillées d’événements mondiaux écrits des milliers d’années à l’avance. Amos 6 : 1-6 rapporte une description de personnes puissantes qui croient « éloigner le jour du malheur » et se sont gavées de styles de vie somptueux. Cette même attitude infecte l’Amérique d’aujourd’hui, surtout parmi les élites qui sont aveuglées par la cupidité et qui se nourrissent frénétiquement de pouvoir, de richesse et de prestige.
Ces élites oppriment les pauvres et les nécessiteux, mais elles « ne s’attristent pas sur la ruine de Joseph ! » Comme le Dr Jordon Trishton Walker, ils admettent que leur comportement est « plutôt bon pour l’industrie, pour être honnête », mais qu’il est « mauvais pour tous les autres en Amérique ». Un autre passage de la Bible, 2 Rois 14 : 26-28, révèle que l’Amérique subit un temps d’affliction amère à cause de ces élites. Un autre passage biblique encore, Daniel 8 : 12, révèle que ces élites ont un chef. Ce chef est un accomplissement des temps de la fin de l’ancien roi séleucide Antiochos iv Épiphanes, qui se tient à la tête d’une vaste armée de bureaucrates, de chefs militaires, d’agents de renseignement, de magnats des médias, d’entrepreneurs en technologie, de financiers de Wall Street et d’espions chinois qui l’aident à jeter la vérité par terre. Le président le plus anti-Bible de l’histoire américaine, Barack Obama, remplit le rôle de cet Antiochos politique, avec des organisations comme Pfizer qui occupent une place essentielle dans son armée. Sans elles, Obama n’aurait pas pu transformer fondamentalement l’Amérique.
« Le fait que les Américains aient jeté la Constitution par terre et encouragé le non-respect des lois dans leurs mariages, dans leur gouvernement et dans leur politique envers les autres nations a une cause bien précise », écrit mon père, Gerald Flurry, rédacteur en chef de la Trompette, dans son livre L’Amérique sous attaque. « La pire de ces causes remonte au fait que Satan et des millions de démons ont été précipités et confinés sur Terre (Apocalypse 12 : 9). Cela fait une différence étonnante et stupéfiante dans ce qui se passe autour de nous. »
La Trompette n’est pas redevable à l’argent de l’extérieur. Nous n’avons pas de comptes à rendre aux annonceurs ou à des intérêts particuliers. Nous sommes financés exclusivement par des personnes qui contribuent volontairement à une cause en laquelle elles croient. Cette indépendance nous permet de rechercher et de faire connaître la vérité, même impopulaire. Elle nous permet de livrer le même avertissement de Dieu qu’Amos a délivré à nos ancêtres : « ... Je ne lui pardonnerai plus » (Amos 7 : 8).
Cet avertissement s’adresse directement à l’Amérique d’aujourd’hui. Dieu expose la corruption de notre nation, non seulement pour nous éveiller aux erreurs et aux péchés que commettent les autres, mais aussi pour nous montrer où nous avons tort. Chacun d’entre nous a un choix à faire. C’est la dernière chance pour l’Amérique de se repentir. C’est votre dernière chance de vous repentir avant le jugement de Dieu !