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Un monde non préparé aux catastrophes
En tant qu'individus, nous avons tendance à vaquer à nos occupations quotidiennes sans nous soucier de ce que demain pourrait nous apporter. Il est certain qu'il y a des étapes importantes dans la vie que nous prévoyons, comme la carrière, le mariage, la famille, la stabilité financière et la retraite. Mais quand une catastrophe survient apparemment de nulle part, nous nous trouvons souvent mal préparés à l'imprévu.
Les États-nations et les gouvernements nationaux souffrent parfois du même manque de prévoyance et de préparation. La pandémie mondiale du coronavirus est un excellent exemple de la réticence de l'humanité à tenir compte des avertissements et à prendre des mesures avant qu'une crise ne se soit pleinement développée.
La première réaction au « virus de Wuhan » en Chine a été de supprimer les informations sur l'épidémie et de nier son existence. Ce n'est qu'après l'aggravation de la crise, qui a atteint des milliers d'infections, que des mesures préventives ont été mises en œuvre.
La même réticence à faire face à des conséquences désagréables peut être observée dans les pays du monde entier à mesure que le virus s'est propagé. La lenteur à reconnaître la gravité de l'épidémie et à prendre les mesures appropriées a entraîné une aggravation de la misère.
N'y a-t-il pas eu d'avertissement qu'une telle épidémie pourrait se produire ?
Après la Première Guerre mondiale, on estime que la « grippe espagnole » a fait plus de 50 millions de victimes dans le monde, selon le Centre de contrôle des maladies. Dans les années 1957-1958, la « grippe asiatique » a fait plus de 100 000 morts rien qu'en France, et peut-être plus d'un million dans le monde. Ensuite, il y a eu la « grippe de Hongkong » de 1969 à 1970, qui a tué 1 à 4 millions de personnes dans le monde.
Depuis lors, il y a eu la grippe porcine (2009-10), l'épidémie d’Ebola (2014-2016) et l'épidémie du virus Zika (2015 à ce jour). Chacune d’entre elles était accompagnée de ses propres statistiques sombres. Néanmoins, après toute cette histoire moderne, sans parler des épidémies des temps passés, le monde n'est toujours pas préparé à de telles crises.
Qu'en est-il des futures catastrophes inattendues qui dépasseront le coronavirus en intensité et en puissance destructrice ? Il y a la perspective de catastrophes climatiques, de tremblements de terre, d'attaques terroristes, d'effondrement financier et de guerre nucléaire.
Même si le monde n'est pas préparé aux catastrophes, les individus ne doivent pas être pris au dépourvu. La sagesse du roi Salomon conseille dans les Proverbes 27 : 12 : « L'homme prudent voit le mal et se cache ; les simples avancent et sont punis ».
Que pouvez-vous faire pour être préparé dans un monde qui n’est pas préparé aux catastrophes à venir ?
Un bon début serait de lire la brochure intitulée Les quatre cavaliers de l'Apocalypse, par le rédacteur en chef de la Trompette, M. Gerald Flurry.