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« Un agent du chaos »

LA TROMPETTE

« Un agent du chaos »

Le 16 janvier, le journaliste et auteur vétéran Lee Smith a rejoint Stephen Flurry, animateur de la Trumpet Daily, pour discuter de la victoire de Donald Trump dans l’Iowa, de l’agenda de Barack Obama et d’autres sujets. Voici quelques extraits clés :

Lee Smith : Le problème, ce sont les gens qui votent pour Donald Trump ou qui le soutiennent. [...] Le président qu’ils ont élu n’a pas pu gouverner parce qu’il a dû se battre contre cette histoire de « RussiaGate ». Ensuite, regardez toutes les autres choses qui se sont produites pendant l’administration Trump. Regardez la façon dont les entreprises et l’élite politique ont fait du tort non seulement à Donald Trump, mais aussi au public américain. Souvenons-nous de tout, des mandats de masques aux fameux mandats COVID de Joe Biden. Regardons tous les différents confinements. Voyons comment les gens ont été affectés. Regardons la censure. Regardons les mensonges. Regardons la militarisation du gouvernement fédéral, ciblant les accusés du 6 janvier, utilisant le FBI pour s’en prendre aux parents dans les associations de parents d'élèves, utilisant le FBI pour s’en prendre aux pasteurs, pour s’en prendre aux catholiques.

J'ai fait des reportages depuis le Moyen-Orient. J’ai vécu au Moyen-Orient pendant plusieurs années. C’est le langage du Moyen-Orient. C’est le langage des régimes du tiers-monde, ce que Barack Obama faisait. […] C’était obscène. C’était tout à fait anti-américain. [...] C’est ce qu’est Barack Obama. C’est un étranger. Il est étranger à l’Amérique.

Il y a une chose sur laquelle je me suis trompé. Je pensais que le but de déstabiliser Donald Trump était simplement de se débarrasser de Donald Trump. Ce n'était pas le cas. Le but de déstabiliser Donald Trump, comme nous le voyons maintenant avec les années Biden, le but de déstabiliser les États-Unis sous Donald Trump, c'est parce que Barack Obama est un agent du chaos. Regardez l'instabilité qu'il a apportée aux États-Unis. Barack Obama est un agent de déstabilisation.

Les gens utilisent beaucoup de différents […] mots et phrases pour expliquer à quoi ressemblait—ou ressemble—la faction Obama. Est-ce marxiste ? Communiste ? Je ne sais pas. C’est peut-être socialiste. Peut-être oligarchique. [En vérité,] c’est pathologique. Voilà ce que c’est. […] C’est une faction politique extraordinairement dangereuse. Croyez ce que vous ressentez : c’est pathologique. Démoniaque, si vous voulez. [...] Nous voyons les piliers de la république constitutionnelle mis à mal. Nous pouvons […] voir à quel point la Déclaration de droits a été abrogée, y compris la liberté d’expression et la liberté de réunion. C’est à cela que sert le 6 janvier. [...] Mais il est certain que c’est Barack Obama qui a vraiment mené l’assaut contre les piliers de la république constitutionnelle. [C]e à quoi nous assistons, c’est à un régime pathologique de type tiers-mondiste.

Nous avons largement dépassé le stade de l’intolérance médiatique. Il s’agit en fait d’une opération de renseignement. Voilà ce qu’est la presse. C’est ce qu’est MSNBC. C’est ce que sont le Washington Post et le New York Times. Nous joignons l’appareil de renseignement—les anciens et actuels responsables du renseignement—aux médias. C’est ainsi dans le tiers-monde. Et c’est ce que nous voyons se produire : un régime pathologique corrompu veut remplacer la république constitutionnelle.

L’accord nucléaire avec l’Iran n’a pas seulement été l’initiative centrale de la politique étrangère de Barack Obama, c’était aussi un instrument qu’il a utilisé pour transformer les États-Unis. Beaucoup de gens s’interrogent et regardent aujourd’hui le mouvement pro-Hamas : D’où cela vient-il ? [...] Il s’agit donc maintenant d’une cause populaire ? En effet. C’est le fruit d’un accord de Barack Obama avec un État terroriste qui incarne la haine des juifs. C’est le résultat escompté. Il s’agissait de légitimer ces différentes pathologies. C’était donc très important, non seulement en termes de politique étrangère, qui consistait à dégrader les alliés traditionnels, en particulier au Moyen-Orient, comme Israël et l’Arabie saoudite, et à élever l’Iran, encore une fois, un État terroriste. Il s’agissait également de changer la donne à l’intérieure du pays…

Qu’a fait l’accord nucléaire ? Il a donné du pouvoir non seulement à l’Iran, mais aussi à ses alliés. Et les gens regardent en ce moment même ce qui se passe en mer Rouge […] Imaginons ce qui se passera si l’Iran se dote d’une arme nucléaire. L’Iran aura la capacité de fixer les prix dans toutes sortes de marchés mondiaux, y compris celui de l’énergie. Et c’était le plan de Barack Obama. C’est pourquoi Joe Biden, bien sûr, veut toujours réintégrer l’accord nucléaire avec l’Iran dont Donald Trump s’est judicieusement retiré en mai 2018.