L’ancien président américain Barack Obama le 5 novembre 2022. [SAUL LOEB/AFP VIA GETTY IMAGES]
TwitterGate : Barack Obama contrôle la Silicon Valley
La publication en cours des « dossiers Twitter » révèle une collusion choquante entre l’une des plus grandes plateformes médiatiques du monde et le gouvernement fédéral. Et la publication elle-même révèle la profondeur de cette collusion. Après que le nouveau propriétaire de Twitter, Elon Musk, a annoncé qu’il publierait des fichiers internes montrant comment les dirigeants de Twitter censuraient de manière trompeuse les personnes avec lesquelles ils n’étaient pas d’accord, il est apparu que le conseiller général adjoint de Twitter a subversivement censuré cette publication ! Ce conseiller général adjoint n’était autre que Jim Baker, qui a apparemment empêché la publication d’informations sur le Bureau fédéral d'enquête.
Les premier et deuxième lots de documents de Twitter ont révélé une collusion choquante entre la plateforme et la campagne présidentielle de Joe Biden. Maintenant que Musk a licencié Baker, les troisième et quatrième lots de « dossiers Twitter » montrent l’ancien censeur principal de Twitter, Yoel Roth, plaisantant sur la collusion de l’entreprise avec des entités de renseignement gouvernementales.
Le 1er volet des dossiers Twitter a révélé la censure de Twitter concernant l’existence de l’ordinateur portable de Hunter Biden. Le 2e volet des dossiers Twitter a révélé la mise sur liste noire des conservateurs par Twitter. Le 3e volet des dossiers Twitter a révélé la collusion de Twitter avec le FBI. Le 4e volet des dossiers Twitter a révélé la collusion de Twitter avec Michelle Obama. Le 5e volet des dossiers Twitter, publié le 12 décembre, révèle le processus décisionnel qui a conduit au bannissement du président des États-Unis, Donald Trump, de la plateforme.
Il est incroyable que ces informations profondément cachées voient maintenant la lumière du jour. Y a-t-il une raison pour laquelle nous découvrons ce que les gauchistes voulaient si désespérément cacher ?
« Après [les manifestations du 6 janvier au Capitole], les fichiers internes trouvées sur la plateforme de communication Slack montrent que les cadres de Twitter s’amusent à intensifier leurs relations avec les agences fédérales », écrit le journaliste d’investigation Matt Taibbi dans le 3e volet des dossiers Twitter. « Voici le responsable du département de confiance et sécurité, Yoel Roth, déplorant le manque de descriptions « suffisamment génériques » dans le calendrier pour [dissimuler] ses partenaires de réunion « très intéressants ».
Plus précisément, les fichiers internes de Slack de l’ancien censeur principal de Twitter, Yoel Roth, montrent qu’il disait : « Je suis un grand partisan de la transparence en matière du calendrier. Mais j’ai atteint un certain point où mes réunions sont devenues […] très intéressantes… ». Lorsqu’un collègue a répondu avec ironie « Donc une réunion d’affaires très ennuyeuse qui n’est certainement pas à propos de Trump », Roth a répondu « Plus ou moins » et « Certainement pas une rencontre avec le FBI, je le jure. »
Un agent du FBI a témoigné devant les procureurs généraux républicains plus tôt en décembre que le FBI a tenu des réunions hebdomadaires avec des entreprises des Big Tech avant l’élection de 2020 pour discuter des meilleurs moyens de censurer la « désinformation ». Les dossiers Twitter montrent que ces réunions avec le FBI sont devenues « très intéressantes » après les manifestations au Capitole. Les employés de Twitter et les membres du FBI, du département de la Sécurité intérieure et du bureau du directeur du renseignement national censuraient de manière flagrante la liberté d’expression et travaillaient à bannir le président Donald Trump de Twitter.
Comme on le soupçonnait, les employés de Twitter ont basé ces décisions non pas sur des violations réelles de la politique de Twitter, mais plutôt sur leurs préjugés personnels et leur désir de plaire aux agents gouvernementaux qui leur donnent des ordres.
Pendant des années, Roth s’est ouvertement vanté sur Twitter du fait qu’il s’intéresse à la pornographie et la pédophilie. Le FBI ne l’a jamais censuré mais l’a plutôt utilisé pour maintenir le peuple américain dans l’ignorance des véritables origines du virus COVID-19, de l’ordinateur portable de Hunter Biden, du vol de l’élection de 2020 et de bien d’autres questions importantes.
Il est stupéfiant d’apprendre que c’est ce genre d’individus qui ont été derrière l’effacement du compte du président des États-Unis en exercice. C’est pourtant ce qui s’est passé. Le 4e volet des dossiers Twitter, publié par l’auteur américain Michael Shellenberger, révèle une capture d’écran montrant Yoel Roth demandant à un collègue anonyme de mettre sur liste noire les termes « StopTheSteal » [arrêter le vol] et « Kraken » après les manifestations du Capitole. Ces deux termes font référence à l’élection volée de 2020, Roth faisait donc des heures supplémentaires pour aider le FBI à censurer les informations sur la fraude électorale.
Shellenberger rappelle que l’ancienne première dame Michelle Obama a posté un tweet le 7 janvier 2021, demandant que le président Trump soit banni de Twitter. L’interdiction contre Trump a commencé le jour suivant, donc beaucoup de gens ont supposé que Twitter obéissait simplement à Michelle Obama. Mais nous savons maintenant que des agents du FBI fidèles à Barack, le mari de Michelle, avaient déjà incité Twitter à bannir Trump depuis plusieurs mois.
C’est comme si Barack Obama était à la tête d’un gouvernement fantôme, menant la barque au sein de puissantes entreprises technologiques américaines. Les dossiers Twitter prouvent que Twitter et d’autres entreprises technologiques ne sont pas des sociétés privées ayant un parti pris personnel contre les conservateurs. Ces entreprises travaillent comme des organes du gouvernement fédéral pour faire taire les conservateurs, étouffer les scandales et truquer les élections. Pourquoi ? En fin de compte, parce que c’est ce que Barack Obama veut qu’elles fassent.
« Les États-Unis disposent de services de renseignement et de technologies de collecte de données parmi les plus sophistiqués au monde », écrit mon père, le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, dans son livre crucial L’Amérique sous attaque. « La base de données de surveillance de la NSA est un outil extraordinairement puissant utilisé par l’Amérique et ses alliés. Aujourd’hui, la NSA obtient une grande partie de ses données de sociétés technologiques privées comme Facebook, Twitter, Google et Microsoft. L’appareil de renseignement a recruté ces entreprises comme partenaires essentiels. Barack Obama a utilisé ce partenariat pour armer les services de renseignement américains. Il a réussi à prendre un système créé pour surveiller et neutraliser les ennemis extérieurs de la nation et à le déployer contre ses ennemis politiques à l’intérieur du pays. »
Ce même livre compare Obama à Antiochos VI Epiphanes, un roi séleucide qui a obtenu le pouvoir en prétendant être quelqu’un qu’il n’était pas. Par des mensonges et des flatteries, il a usurpé le pouvoir au roi légitime et a ensuite essayé d’éteindre la foi juive. Il trahit le peuple de Jérusalem, le massacra et profana le temple de Dieu avec une idole de Jupiter Olympe à son effigie. Parmi les flatteurs, les prétendants, les trompeurs et l’élite, Antiochos était le maître des flatteurs, des prétendants, des trompeurs. Parmi ceux qui exerçaient leur volonté sur les masses, il exerçait sa volonté avant tout. Il a utilisé son pouvoir de tromperie pour s’élever comme une étoile, s’emparant du pouvoir et l’exerçant pour son propre bénéfice, sa propre idéologie, et souvent même selon ses propres caprices.
La Bible dit qu’un Antiochos du temps de la fin « [jettera] la vérité par terre » (Daniel 8 : 12), et Barack Obama utilise Twitter et d'autres entreprises de la Silicon Valley pour faire exactement cela. Les gauchistes radicaux ont enlevé le masque, et Dieu expose leur corruption totale. Les problèmes de destruction de la nation qui affligent l'Amérique ne sont pas le résultat d'un président sénile ou de quelques oligarques corrompus de la technologie qui utilisent leurs plateformes à leurs propres fins. Ce sont les réussites d'un président fantôme malveillant qui dirige le spectacle depuis les coulisses !