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Trudeau recourt à la ‘dictature de base’ pour faire échouer le Convoi de la liberté

DAVE CHAN/AFP VIA GETTY IMAGES

Trudeau recourt à la ‘dictature de base’ pour faire échouer le Convoi de la liberté

Un premier ministre qui a dit qu’il admirait la dictature chinoise l’applique aux Canadiens.

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a déclaré la guerre à son propre peuple. Le 14 février, il a invoqué la Loi sur les mesures d’urgences pour la première fois dans l'histoire du Canada afin de disperser le Convoi de la liberté stationné en signe de protestation dans la capitale du Canada. Le régime Trudeau a déclaré qu'il disposait désormais de pouvoirs habituellement réservés aux urgences nationales comme l'état de guerre, des pouvoirs tels que la dispersion et l'arrestation des manifestants et le gel des comptes bancaires de toute personne liée aux protestations.

Le New York Times a initialement rapporté que Trudeau suspendait les libertés civiles des citoyens canadiens. Il s'est rapidement rétracté après que les partisans de Trudeau se soient plaints, mais la suspension des libertés civiles est l'objectif même de la Loi sur les mesures d’urgences. Elle est le successeur de la Loi sur les mesures de guerre, que le premier ministre Pierre Trudeau a invoquée en 1970. Mais contrairement au père, qui a suspendu les libertés civiles pour arrêter des terroristes et sauver un vice-premier ministre provincial et un diplomate britannique enlevés, le fils a suspendu les libertés civiles pour mettre fin à une manifestation pacifique et même festive et pour forcer des milliers de citoyens respectueux des lois à se soumettre à la vaccination ou à perdre leur emploi.

La police canadienne a arrêté près de 200 personnes et emporté 79 véhicules du centre-ville d'Ottawa, la capitale du pays, où les camionneurs et leurs partisans les avaient garés en signe de protestation. Ils n'y sont pas allés de main morte. La police a tiré des gaz lacrymogènes et utilisé des matraques pour faire sortir les manifestants. Une vidéo publiée sur Twitter montre des officiers à cheval piétinant une vieille femme amérindienne avec leurs chevaux. Pendant ce temps, le gouvernement a gelé le compte bancaire d'une mère célibataire travaillant au salaire minimum parce qu'elle a donné 50 dollars à une manifestation contre les mandats de vaccination.

Certains conservateurs ont exprimé leur opposition à la répression dictatoriale de Trudeau. Trudeau a répliqué que « les membres du Parti conservateur peuvent se tenir aux côtés de ceux qui brandissent des croix gammées ; ils peuvent se tenir aux côtés de ceux qui brandissent le drapeau confédéré. Nous choisirons de nous tenir aux côtés des Canadiens qui méritent de pouvoir se rendre à leur travail, de pouvoir reprendre leur vie en main ». Il n'a apparemment pas réalisé l'ironie du fait que ses confinements dictatoriaux, même avant la Loi sur les mesures d'urgence, ont empêché des millions de Canadiens—y compris des camionneurs—de se rendre à leur travail et de retrouver leur vie. Il n'a pas non plus saisi l'ironie du fait que certains des conservateurs qu'il dénonçait comme racistes et nazis étaient les petits-enfants de survivants de l'Holocauste. On lui a fait remarquer ce fait, mais il a refusé de s'excuser.

Le gouvernement de Trudeau a adopté une loi dictatoriale selon laquelle les camionneurs doivent s'injecter une molécule expérimentale de vaccin à ARN messager pour continuer le camionnage États-Unis-Canada qui est vital pour l'économie canadienne. Pourtant, Trudeau a encore le culot d'accuser ceux qui critiquent cette loi d'être comme Adolf Hitler. C'est l'hypocrisie à son comble.

Justin Trudeau est en fait le dictateur du Canada maintenant. S'il décide que les camionneurs doivent se faire vacciner pour traverser la frontière canado-américaine, les camionneurs doivent se faire vacciner pour traverser la frontière canado-américaine. S'il ne veut pas que les camionneurs protestent contre cette décision, il utilisera les « pouvoirs d'urgence » pour suspendre les libertés civiles et les faire arrêter de manière parfois brutale pendant que leurs camions sont remorqués. Si une mère célibataire veut donner son salaire de quelques heures pour aider ces camionneurs, les agents fédéraux gèleront tout son compte bancaire.

Peut-être que les Canadiens auraient dû prêter plus d'attention en 2013 lorsque Justin Trudeau a déclaré à un groupe de collecteurs de fonds : « Il y a un niveau d'admiration que j'ai en fait pour la Chine parce que leur dictature de base leur permet en fait de faire tourner leur économie en un clin d'œil… »

Le chef suprême du Canada ne redresse pas l'économie qu'il a accélérée dans le fossé, mais il s'engage dans une dictature de base.

Cela n'est pas surprenant si l'on se rappelle que l'aîné Trudeau était un sympathisant communiste ayant des liens avec la Chine, Cuba et l'Union soviétique. Le jeune Trudeau n'a pas caché qu'il suivait ces traces.

Nous sommes maintenant dans les dernières étapes de l'infiltration communiste de l'Amérique et du Canada.

Pendant des décennies, le défunt Herbert W. Armstrong a enseigné que les nations anglophones descendaient de l'ancien Israël et que les prophéties de la fin des temps, comme celle d'Osée 7 : 8-9, concernaient en fait les Israélites modernes qui se mélangeaient avec des peuples étrangers et des idéologies étrangères comme le communisme.

« Ce que nous ne parvenons pas à saisir, dans la lutte avec la Russie, c'est ceci : Nous ne combattons pas une seule nation dans une guerre militaire, mais une gigantesque armée mondiale en civil, se faisant passer pour un parti politique, cherchant à conquérir le monde avec un tout nouveau type de guerre », a écrit M. Armstrong en 1956. « C'est un type de guerre que nous ne comprenons pas, ou avec lequel nous ne savons pas comment faire face. Elle utilise tous les moyens diaboliques pour nous affaiblir de l'intérieur, en sapant nos forces, en pervertissant nos mœurs, en sabotant notre système éducatif, en démolissant notre structure sociale, en détruisant notre vie spirituelle et religieuse, en affaiblissant notre puissance industrielle et économique, en démoralisant nos forces armées, et finalement, après une telle infiltration, en renversant notre gouvernement par la force et la violence ! »

Comme Barack Obama aux États-Unis, Justin Trudeau est arrivé au pouvoir en prétendant être plus modéré qu'il ne l'était en réalité. Mais la crise du coronavirus met à nu l'identité de ces hommes. Ce sont des communistes qui utilisent la COVID-19 pour affaiblir la « puissance industrielle et économique » de l'Amérique et du Canada, tout en se donnant du pouvoir au détriment de leur peuple. C'est une réalité qui donne à réfléchir, mais nous devons voir la cabale des monstres communistes qui dirigent l'Amérique et le Canada afin que nous puissions nous repentir des péchés qui ont permis aux choses d'aller si mal !

Atk Fr