Barack Obama in Virginia - August 2nd by Barack Obama is licensed under CC BY-NC-SA 2.0
Tous les chemins mènent à Barack Obama
Quel rôle joue Barack Obama dans la crise électorale américaine ? C'est sans doute l'aspect le moins couvert de l'effort extraordinaire visant à faire tomber Donald Trump et à démolir l'Amérique. Plus vous faites des recherches sur cette question, plus vous réalisez : tous les chemins mènent à Barack Obama. Nous examinerons ici un seul de ces chemins.
Dans son nouveau livre, A Promised Land, [Une terre promise] Obama fait l'éloge de David Plouffe, son ancien directeur de campagne. Obama a publiquement fait l’éloge de Plouffe comme étant le héros méconnu et l'architecte suprême de ses campagnes présidentielles. Plouffe était le cerveau stratégique derrière l'extraordinaire campagne militante 2008 de l’équipe Obama et son programme numérique avant-gardiste.
Lorsque Obama a pris ses fonctions en janvier 2009, Plouffe a pris un congé sabbatique. Mais il n’a jamais quitté le cercle d’Obama ; il est resté un conseiller principal externe de l'administration Obama. En 2011, Plouffe est retourné à la Maison Blanche et a effectué un séjour de deux ans en tant qu'assistant du président et conseiller principal. En lisant le livre d’Obama, il est évident que lui et Plouffe sont des esprits apparentés et sont très proches.
En janvier 2017, au même moment où le président Obama a quitté la Maison Blanche, Plouffe a été embauché par le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, pour diriger les politiques et la défense des intérêts au sein de l'Initiative Chan Zuckerberg (l'organisation philanthropique de Zuckerberg). Dans ce rôle, Plouffe était chargé de diriger les efforts de la CZI (Chan Zuckerberg Initiative en anglais) pour soutenir les réformes politiques à travers l'Amérique. Plouffe a pris sa retraite de son poste à temps plein chez CZI en octobre 2019, mais est demeuré avec l'organisation dans le rôle à temps partiel de « stratège » résident.
Ainsi, Barack Obama et David Plouffe sont proches, et David Plouffe et Mark Zuckerberg sont proches. De nombreuses preuves montrent également que Obama et Zuckerberg ont une relation solide. Il est donc raisonnable de conclure que tous les trois se connaissent bien. Ces hommes ont travaillé ensemble pendant des années. Plus important encore, ce sont des frères politiques et idéologiques.
Maintenant, passez aux mois de septembre et octobre derniers. C'est alors que l'Initiative Chan Zuckerberg a donné 350 millions de dollars au Center for Tech and Civil Life (CTCL). Fondée en 2012 et basée à Chicago, le CTCL est une organisation à but non lucratif qui travaille avec les citoyens, les groupes communautaires et les gouvernements locaux pour promouvoir une plus grande participation aux élections fédérales, étatiques et locales. Parmi ses activités, le CTCL aide les gouvernements locaux et les groupes communautaires à mettre en œuvre la législation électorale, à éduquer les électeurs, à équiper les lieux de vote aves des nouvelles technologies, à former les agents électoraux, à collecter et analyser les données électorales et à résoudre les problèmes de cybersécurité. Dans certains États, les travailleurs électoraux sont payés directement par des subventions du CTCL. Le CTCL prétend être non partisan, mais un peu de fouille montre qu'il penche fortement vers la gauche.
Avant le don gigantesque de Zuckerberg, le CTCL recevait en moyenne environ 1 million de dollars par an. Comment Zuckerberg a-t-il appris l'existence de cette organisation à but non lucratif relativement petite à Chicago ? Sûrement David Plouffe, ancien chef des politiques et de la défense des intérêts et « stratège » résident de l’organisation de Zuckerberg, a été impliqué dans la décision de donner 350 millions de dollars au CTCL. Après tout, c'était exactement le type de travail pour lequel il avait été choisi à faire.
Il est même plausible que Barack Obama lui-même ait mis le CTCL sur le radar de Zuckerberg. Le CTCL et certains de ses principaux collaborateurs ont de multiples relations avec l'ancien président, remontant même aussi loin jusqu'à sa campagne présidentielle de 2008. Tiana Epps-Johnson, fondatrice et directrice exécutive du CTCL, est une Fellow Obama au sein de la Fondation Obama à Chicago.
Voici ce que nous savons : lorsque le CTCL a reçu le premier don de Zuckerberg, il a immédiatement donné au moins 75 millions de dollars aux autorités locales dans les zones fortement démocrates des États clés !
Dans A Citizen’s Guide to Beating Donald Trump, [Le guide du citoyen pour battre Donald Trump] publié l’année dernière, Plouffe a écrit que « la lutte pour la présidence peut se résumer à des combats de rue, bloc par bloc, à Detroit, Milwaukee et Philadelphie ». Est-ce une coïncidence, comme l’écrivait Ken Blackwell pour le média politique Breitbart, que « certains des plus grands bénéficiaires [de l’argent du CTCL] étaient en fait les mêmes endroits que Plouffe avait identifiés comme les piliers de la stratégie démocrate en 2020 » ?
Une étude récente du projet Amistad a répertorié les 20 plus grands bénéficiaires publiquement identifiés des fonds du CTCL. Fait remarquable, les comtés et les villes qui ont reçu l’argent de Zuckerberg sont pratiquement les mêmes que les comtés et les villes où la fraude et la corruption se sont produites : Philadelphie, Detroit, Minneapolis et Milwaukee ; les comtés de Delaware et d'Allegheny en Pennsylvanie ; et les comtés de Fulton, Cobb et DeKalb en Géorgie—tous des comtés ou des villes majoritairement démocrates dans quatre États clés.
En septembre, peu de temps après que le CTCL a commencé à distribuer l'argent, des citoyens inquiets ont intenté des poursuites contre l'organisation dans le Michigan, le Wisconsin, le Minnesota et la Pennsylvanie, affirmant que la loi fédérale interdisait aux gouvernements locaux d'accepter des subventions électorales fédérales privées. Les plaignants dans ces poursuites étaient inquiets que l’argent donné par Mark Zuckerberg—qui a été conseillé par David Plouffe et peut-être même par Barack Obama—serait utilisé pour commettre des fraudes !
Et à juste titre. Le directeur du projet Amistad, Phillip Kline, a obtenu une ordonnance du tribunal du Middle District de Pennsylvanie lui permettant de voir les communications de Philadelphie avec le CTCL.
« Ces communications montrent que le CTCL a dicté la façon dont les élections seraient menées à Philadelphie, combien de bureaux de vote ils auraient, ils ont payé les fonctionnaires électoraux, ils ont payé les fonctionnaires électoraux satellites, ils ont payé les juges, ils ont fait venir ces boîtes de dépôt », a déclaré Kline.
L’action en justice au Michigan a affirmé que l’argent de Zuckerberg avait été utilisé pour imprimer et distribuer des bulletins de vote par correspondance et par courrier, et pour ajouter des boîtes de dépôt supplémentaires dans les zones démocrates. Il a déclaré que l'argent était destiné à augmenter le nombre de bulletins de vote « dans certaines circonscription à prédominance démocrate » et à « influencer de manière sélective le résultat des élections générales de 2020. »
Malheureusement, les quatre poursuites ont été rejetées. Les raisons varient, mais les juges de tous les États ont généralement rejeté l'idée que l'argent serait utilisé pour manipuler l'élection. Pourtant en fin de compte, c’est exactement ce qui s’est passé !
Il ne s’agit que d’un des chemins de la preuve qui suggère que Barack Obama se trouve à l'épicentre de cette crise électorale. Il y en a d'autres. Le fait que les médias n'enquêtent pas sérieusement sur des preuves comme celle-ci, ni ne dénoncent ce que font des personnalités comme Obama, Plouffe, Zuckerberg et toute la gauche radicale, est en soi un scandale énorme !
Dans l'article de couverture du mois dernier, « Pourquoi Donald Trump demeurera président de l'Amérique », le rédacteur en chef Gerald Flurry a écrit : « Je suis également certain que nous sommes sur le point de voir certaines des plus grandes fraudes exposées, peut-être de tous les temps ! » Dans les semaines et les mois à venir, attendez-vous à voir plus de preuves des empreintes digitales de Barack Obama sur ce coup d'État électoral.