Joe Biden salue Barack Obama après avoir signé un décret présidentiel, le 5 avril à Washington, D.C. [CHIP SOMODEVILLA/GETTY IMAGES]
Qui est aux commandes de l'Amérique ?
Le déclin cognitif de Joe Biden s'affiche au grand jour. Le 18 avril, la Maison Blanche a organisé son traditionnel jeu d’œufs de Pâques sur la pelouse sud. Joe Biden a dû être guidé à travers certains aspects de l’événement par sa femme et par certaines personnes de son entourage. Bien que certaines de ces directions seraient normales dans une telle situation, elles ont rappelé au monde la carrière pleine de gaffes de Biden au Sénat, sa campagne présidentielle qu’il faisait, caché dans un sous-sol, son penchant à éviter les conférences de presse et les interviews régulières, ses mensonges inutiles et déroutants sur son passé, son oubli des noms de personnages importants, ses appels uniquement à des journalistes pré-approuvés, ses expressions hébétées et le fait que ses assistants crient pour étouffer les questions des journalistes.
L'exemple peut-être le plus frappant de l'inaptitude de Biden à exercer ses fonctions s'est produit lorsqu’il a entamé une conversation avec un journaliste au sujet de la liberté au Pakistan et en Afghanistan. Soudain, une mascotte géante et duveteuse, un lapin de Pâques, lui a littéralement barré la route, agitant ses mains devant le visage du président et l’éloignant doucement mais fermement du journaliste. L'homme qui aurait remporté 81 millions de voix et qui est maintenant censé exercer plus de pouvoir politique et militaire que toute autre personne sur Terre était traité comme sénile par sa femme, le lapin (l'attachée de presse de la Maison Blanche Meghan Hays) et ses autres responsables.
Beaucoup de conservateurs sont irrités par Biden, et même les libéraux s'en détournent. Mais beaucoup d'entre eux, si ce n'est la plupart, ne comprennent pas que Biden n'est pas aux commandes. Un lapin géant et une humiliation de la fonction de président pourraient commencer à changer cela.
Les gens vont commencer à se demander : Si Biden ne détient pas le pouvoir de la présidence, qui le détient ?
Une récente vidéo d'une émission de télévision humoristique saoudienne qui se moquait de l'acuité mentale de Biden faisait également du bruit. L'acteur a confondu les noms et s’est endormi derrière le podium à plusieurs reprises. L'émission était diffusée avant l'incident du lapin géant, alors on se demande ce que pensent les Saoudiens et le reste du monde maintenant.
Les conservateurs ont pris plaisir à partager ces vidéos et insistent sur le fait qu'elles font partie d'un ensemble d’événements montrant que Biden n’est pas aux commandes. Mais on remarque l'absence de toute discussion sérieuse—ou de toute discussion que ce soit—sur qui contrôle Biden. Celui qui le contrôle est également celui qui contrôle cette nation et la précipite vers la falaise morale, politique, financière, démographique et militaire. Mais les gens ne parlent vraiment pas de cela. Pourquoi pas ?
Malgré l'implication du lapin, c’est tout sauf des nouvelles douces et légères. C’était un symbole de la faiblesse du leadership américain, qui a enhardi d'autres nations, comme la Russie, à agir de manière belliqueuse.
« Qui dirige les États-Unis en ce moment ? » demandait le Federalist. « Parce que ce n'est pas l'homme qui se fait tordre le cou par un gros lapin de Pâques. Vu l'état des rayons au supermarché, de la frontière sud, du prix de l'essence, des offres d'emploi, de la politique étrangère, des écoles publiques, de l'inflation et des soins de santé, il serait si agréable de savoir qui dirige réellement le plus grand pays de la Terre. […]
« Il ne s'agit pas seulement de souligner les erreurs perpétuelles de la machine à gaffes qui s’appelle Biden. Il s'agit d'une question sérieuse : Qui est aux commandes ?
« Nous savons que ce n'est pas Joe Biden, et bien que sa femme ait tenu les rênes dimanche, nous savons que le pouvoir de la première dame est extrêmement limité. Ce n'est probablement pas non plus la personne dans le costume de lapin. »
La Russie envahit l'Ukraine, la Chine colonise les îles Salomon, l'Allemagne se réarme et l'Iran cherche à se doter d'armes nucléaires. Ils savent que les États-Unis ne les arrêteront pas. En fait, l'administration Biden encourage l'Allemagne à se réarmer et aide l'Iran à devenir une puissance nucléaire. Melanie Phillips rapporte que l'administration Biden a proposé de retirer le Corps des gardiens de la révolution islamique de sa liste d'organisations terroristes étrangères s'il promettait de ne pas cibler les Américains qui ont aidé à tuer le commandant de la Force Quds, Qassem Suleimani. Pourtant, l'Iran a rejeté ces conditions car il sait que l'Amérique finira par lui offrir de meilleures conditions dans le cadre des négociations nucléaires qui sont en cours. Aux négociations visant son programme nucléaire maniaque, c’est l’Iran qui tient la position forte contre les États-Unis !
La vidéo de la célébration du jeu d’œufs de Pâques diffusé par la Maison Blanche rappelle la vidéo du 12e anniversaire de la Loi sur les soins abordables, qui montrait Joe Biden errant sans but dans la pièce, sans personne à qui parler, contemplant le plafond, tandis que les démocrates se pressaient autour de Barack Obama. Le Federalist et d'autres réseaux d'information peuvent facilement reconnaître que Biden ne dirige pas les États-Unis, mais la plupart de ces médias sont encore incapables de déterminer qui dirige l'Amérique. Ce n'est évidemment pas Jill Biden, Kamala Harris, Jen Psaki ou le lapin de Pâques. Le Federalist conclut même que l'Amérique est sans dirigeant. C'est une conclusion logique si l'on considère à quel point les choses vont mal dans la nation. Mais la réalité de la situation est bien pire qu'une superpuissance sans tête.
Quelqu'un est effectivement aux commandes, et c’est lui qui réussit à détruire intentionnellement le pouvoir des États-Unis, à l'étranger et dans le pays.
L'ancien patron de Joe Biden est également l'actuel patron de Joe Biden : Barack Obama.
Le lapin de Pâques a mené Biden à l’écart lorsqu'il a prononcé le mot « Afghanistan », car son retrait désastreux d'Afghanistan faisait partie de cet effort délibéré et planifié pour détruire l'Amérique et donner du pouvoir aux terroristes.
« Beaucoup de gens voient clairement que Joe Biden n'est pas vraiment à la tête du gouvernement », écrit mon père dans son article de 2021 « Ce n'est pas de l'incompétence. C'est de la trahison ! » « Il a rempli son administration de fonctionnaires de l'ère Obama, et c'est M. Obama lui-même qui dirige le spectacle ! Certains disent—à juste titre—que c'est effectivement le troisième mandat d'Obama. »
Meghan Hays n'est qu'un des nombreux anciens fonctionnaires de Barack Obama à la Maison Blanche et dans les environs. D'ailleurs, Joe Biden l'est aussi.
« Bien des gens voient que ce sont des décisions désastreuses », écrit mon père dans L'Amérique sous attaque. « Mais nous devons comprendre que ce n'est pas seulement le résultat d'incompétences de la part de cette administration, ou de naïveté sur le fonctionnement réel du monde. Nous voyons les résultats d'une attaque satanique calculée et agressive, visant à affaiblir et ultimement à détruire les nations d'Israël, en commençant par la nation la plus puissante au monde ! »
2 Rois 14 : 23-29 décrit un mouvement mené par Satan au temps de la fin pour « effacer le nom d'Israël de dessous les cieux », et Daniel 8 : 12 expose un Antiochus de la fin des temps qui « jeta la vérité par terre ». Avec Apocalypse 12 : 9, qui révèle que Dieu a précipité Satan sur Terre, ces versets montrent qu'il existe un effort délibéré et planifié pour détruire les États-Unis. Biden peut sembler perdu, sénile et incompétent, mais il n'est qu'une marionnette pour quelqu'un d'autre qui veut activement détruire les États-Unis d'Amérique. Attendez-vous donc à ce que les désastres en matière de politique intérieure et extérieure se poursuivent alors que le lapin de Pâques et les autres responsables de Biden le tiennent à l'écart de la presse pour qu'il n’y dise pas plus qu'il ne devrait !