
VATICAN POOL - CORBIS/CORBIS VIA GETTY IMAGES
Pourquoi le pape François s'immisce-t-il dans la politique américaine ?
Encore une fois, le pape François devient l'un des principaux opposants de Donald Trump.
Lors du premier mandat du président Trump, le pape François a déclaré, « cet homme [Donald Trump] n'est pas chrétien ». Au cours de la campagne électorale de 2016, il s'est rendu à la frontière entre les États-Unis et le Mexique pour exprimer ses désaccords sur la scène la plus dramatique possible.
Aujourd'hui, il reprend la guerre des mots. Le pape François a écrit une lettre aux évêques des États-Unis, rendue publique le 11 février, dans laquelle il déclare qu'aucune personne morale ne peut soutenir les politiques migratoires de Donald Trump : « La conscience bien formée ne peut manquer de porter un jugement critique et d'exprimer son désaccord avec toute mesure qui identifie tacitement ou explicitement un lien entre la situation irrégulière de certains migrants et la criminalité. »
Il a même lancé quelque chose qui ressemblait à un appel aux armes pour les catholiques américains : « J'exhorte tous les fidèles de l'Église catholique, et tous les hommes et femmes de bonne volonté, à ne pas céder aux récits discriminatoires qui provoque une souffrance inutile à nos frères et sœurs migrants et réfugiés. »
Les démocrates souhaitent encourager l'implication du pape. Juste avant de quitter la Maison-Blanche, Joe Biden a décerné au pape la Médaille présidentielle de la liberté « avec distinction ». Depuis 1990, les seules autres personnes à avoir reçu la médaille « avec distinction » sont Ronald Reagan, Colin Powell, le pape Jean-Paul II et Joe Biden lui-même. Biden avait prévu de rendre visite au pape en personne lors de son dernier voyage à l'étranger, mais il a dû annuler sa visite en raison des incendies de forêt en Californie.
L'attaque du pape contre le président Trump est exactement le genre de déclaration que l'administration Biden espérait. Toutefois, il est dangereux d'encourager ces attaques de la part du pape.
« Ingérence » politique
L'immigration est l'une des questions les plus importantes de la politique américaine et aussi l'une des plus controversées. En se rendant au Mexique en 2016, le pape François faisait effectivement campagne contre le président Trump. Le pape a célébré la toute première messe catholique à être organisée à cheval sur la frontière entre les deux pays. Environ 200 000 personnes ont regardé depuis le côté mexicain de la frontière, et environ 50 000 depuis le territoire américain.
S'il y avait encore un doute sur le fait que le pape voulait influencer l'élection américaine avec cet événement, il l'a dissipé lors de son voyage de retour. Pendant le vol, un journaliste a évoqué les propos du candidat Trump sur l'immigration. « Il a déclaré que s'il était élu, il construirait un mur de 2 500 kilomètres le long de la frontière. Il veut expulser 11 millions de clandestins, séparer les familles, et ainsi de suite », a déclaré le journaliste. Il s'est demandé « si un catholique américain peut voter pour quelqu'un comme ça » (c'est moi qui souligne).
Le pape a répondu : « Une personne qui pense seulement à bâtir des murs, où qu'ils soient, et qui ne pense pas à bâtir des ponts, n'est pas chrétienne. »
« Ce n'est pas dans l'Évangile », a poursuivi le pape. « Quant à ce que vous avez demandé, sur la question de savoir si je conseillerais de voter ou de ne pas voter, je ne vais pas m'impliquer en cela. Je dis seulement que cet homme n'est pas chrétien s'il a tenu de tels propos. »
Il est malhonnête de sa part de dire qu'il ne conseillerait pas sur la manière de voter. Il a manifesté très clairement ce qu'il pense de Trump et de ses politiques. Il essayait manifestement d'influencer la course à la présidence !
Ce pape est très politisé, et il le dit lui-même. Même en parlant de Trump, le pape s'est qualifié d'« animal politique ». En 2013, il a déclaré : « Un bon catholique s'immisce dans la politique. » Il considère cela comme un devoir religieux.
Les dernières remarques du pape montrent à quel point il suit de près la politique américaine. Le vice-président J.D. Vance est catholique et a un point de vue très différent de celui du pape sur l'immigration. Sur Fox News le mois dernier, M. Vance a déclaré : « C'est un concept très chrétien que d'aimer sa famille, puis d'aimer son voisin, puis d'aimer sa communauté, puis d'aimer ses concitoyens, et après cela, on peut se concentrer sur le reste du monde et lui donner la priorité. Une grande partie de l'extrême gauche a complètement inversé cela. »
Cela a déclenché un long échange sur le sujet entre M. Vance et le commentateur politique britannique Rory Stewart sur les enseignements de Thomas d'Aquin, théologien catholique du XIIIe siècle.
En écrivant sa lettre, le pape s'est immiscé dans ce débat. Il a clairement suivi les déclarations du vice-président sur X et Fox News. Il suit la politique américaine de plus près que la plupart des Américains !
Ce type d'intervention du pape ne devrait surprendre personne. Ce n'est pas inhabituel. En Argentine, avant de devenir pape, il a souvent soutenu ou combattu des causes politiques. Et l'« ingérence » politique, pour reprendre les mots du pape, n'est guère limitée à François. Le Vatican s'immisce souvent dans les affaires politiques européennes. Elle est fortement impliquée dans la politique italienne, pour ne citer qu'un exemple, et aide même certains législateurs à décider de leur vote.
La politique est un élément fondamental du rôle que l'Église catholique estime devoir jouer dans le monde.
Absence de laïcité
La séparation entre l'Église et l'État est un principe largement répandu en Amérique, mais l'Église catholique n'y croit pas.
En 1864, le pape Pie IX a officiellement énoncé la réponse de l'Église catholique au libéralisme démocratique dans sa « Syllabe des erreurs ». Il a déclaré les affirmations suivantes comme fausses et hérétiques :
• L'église doit être séparée de l'État, et l'État de l'Église.
• De nos jours, il n'est plus opportun que la religion catholique soit considérée comme la seule religion de l'État, à l'exclusion de toutes les autres formes de culte.
• Tout homme est libre d'adopter et de professer la religion qui, guidé par la lumière de la raison, lui semblera vraie.
• L'Église n'a pas le pouvoir d'utiliser la force, ni n'a-t-elle de pouvoir temporel, direct ou indirect.
• Les catholiques peuvent être favorables au système d'éducation des jeunes non connecté à la foi catholique ni au pouvoir de l'Église.
Le pape a qualifié ces déclarations d'hérésie ! Selon cet enseignement catholique officiel, l'Église devrait jouer un rôle en politique. En outre, le catholicisme devrait être la seule religion officielle de l'État, voire la seule religion autorisée. L'Église peut même utiliser la force pour y parvenir !
Or, ce n'est pas seulement ce qu'enseigne un document papal de 1864. C'est ainsi que l'Église catholique fonctionne depuis près de 2000 ans ! Elle a une longue histoire d'obliger les gens à lui obéir, y compris par la force !
Plus tard, le deuxième concile œcuménique du Vatican a déclaré que d'autres confessions devaient bénéficier de la liberté de religion. Mais les déclarations du pape Pie sont des déclarations officielles sur la morale et les doctrines du pape et sont donc, selon la doctrine catholique, « infaillibles ». Les déclarations du deuxième concile du Vatican sont également considérées par de nombreux catholiques comme infaillibles. Les chercheurs catholiques peuvent relativiser ces déclarations contradictoires, mais l'histoire de l'Église parle d'elle-même.
L'enseignement catholique officiel rejette la séparation de l'Église et de l'État. La seule raison pour laquelle le Vatican s'est largement tenu à l'écart de la politique américaine jusqu'à présent est simplement une question de tactique. Historiquement, de nombreux Britanniques et Américains se sont montrés méfiants à l'égard de l'Église catholique, qui s'est donc tenue à l'écart de la politique dans ces pays jusqu'à ce qu'elle puisse gagner leur confiance.
Ceux qui s'étonnent de la façon dont le pape François se mêle de la politique ignorent le sens de cette histoire. Ce n'est rien de moins qu'un retour du Vatican à son rôle plus traditionnel de puissance politique et de faiseur de rois.
La vraie question est de savoir ce que le pape veut accomplir avec cette ingérence. Cela sera-t-il bon pour l'Amérique ?
La réponse à cette dernière question peut faire l'objet de divergences d'opinion. Mais si vous regardez objectivement les déclarations et les actions du pape, vous pouvez clairement voir leur véritable intention.
Deux poids, deux mesures
« Une frontière est-elle désormais anti-chrétienne ? », a demandé Silvio Canto Jr., lui-même catholique, dans American Thinker. « Comment en est-on arrivé au point où défendre les frontières et promouvoir l'immigration légale est devenu inhumain ? » (19 février 2016).
Comme l'a souligné la campagne de Trump, le Vatican lui-même est entouré d'un mur massif et applique l'une des politiques d'immigration les plus restrictives au monde.
En Europe, le cardinal Reinhard Marx, président de la Conférence épiscopale allemande, a déclaré en février 2016 : « En tant qu'Église, nous disons qu'il faut réduire le nombre de réfugiés. » Mais en ce qui concerne l'Amérique, maintenir les migrants à l'écart est « anti-chrétien ».
Le pape a-t-il dit cela simplement parce qu'il aime les migrants ? Comparez ses déclarations négatives à propos de Donald Trump à la manière dont il a traité d'autres dirigeants mondiaux.
L'un des derniers actes de l'administration Biden a été de signer un accord avec Cuba, négocié par l'Église catholique. Depuis 2014, le pape milite contre les sanctions américaines imposées à Cuba.
François s'est rendu à Cuba en 2015, juste avant son voyage aux États-Unis. « Il a embrassé Raúl Castro, un homme qui a exécuté des prêtres, harcelé des chefs religieux et fermé des écoles chrétiennes il y a des années », écrivait M. Canto. « A-t-il qualifié les frères Castro de non-chrétiens ? »
Lorsque le pape s'est rendu à Cuba en 2015, il « s'est abstenu de toute critique, même voilée, du gouvernement communiste », comme l'a indiqué le Telegraph (20 septembre 2015). L'Union patriotique de Cuba, un groupe pro-démocratie, s'est lamentée : « Le pape n'a prononcé une seule phrase de solidarité avec les victimes de la répression et, lorsqu'il est passé de Cuba aux États-Unis, il a affirmé devant la presse qu'il ne savait pas que des dissidents pacifistes avaient été arrêtés » (23 septembre 2015).
Pour reprendre les termes mêmes du pape, ce n'est pas dans l'Évangile.
Les frères Castro ne sont pas les seuls dirigeants autoritaires que le pape s'est abstenu de critiquer. « Une des relations que François a patiemment cultivées est celle avec Poutine », écrivait Foreign Affairs (25 septembre 2015). Le magazine italien L'Espresso a écrit : « François a toujours fait tout ce qu'il pouvait pour ne pas contrarier le patriarcat de Moscou et les politiques impériales de Vladimir Poutine, même au prix de semer la plus forte déception parmi les évêques, le clergé et les fidèles de l'Église catholique de la région » (12 février 2016).
La Chine a enfermé 2 millions de ses citoyens dans des camps de concentration. Elle s'est emparée de Hong Kong et a privé les Hongkongais de leur liberté. Elle a publié un manuel d'éthique qui affirme que Jésus-Christ a dit « Moi aussi, je suis un pécheur. »
Le pape ne critique pas ces hommes, mais il est prompt à condamner les États-Unis. Qu'est-ce que cela dit de sa vision du monde ?
« Le fumier du diable »
Les Américains devraient être profondément préoccupés par le fait que cette institution tente de s'immiscer dans leur monde politique. Le Vatican n'a manifestement pas à cœur les intérêts de l'Amérique.
Le pape François a clairement indiqué qu'il voulait renverser le système mondial du capitalisme de marché libre. « Certaines personnes continuent de défendre des théories du ruissellement qui supposent que la croissance économique, encouragée par un marché libre, réussira inévitablement à apporter une plus grande justice et une plus grande inclusion dans le monde », a-t-il écrit dans La joie de l'Évangile (Evangelii Gaudium), son exhortation apostolique de novembre 2013. « [C]ette opinion […] exprime une confiance simple et naïve dans la bonté de ceux qui exercent le pouvoir économique. »
François a qualifié le capitalisme mondial de libre marché de « nouvelle tyrannie » et l'a condamné en tant que « système financier qui gouverne au lieu de servir ». Il l'a également qualifié de « fumier du diable ».
Quel pays est le chef de file du capitalisme mondial de libre marché ? Les États-Unis d'Amérique.
Si l'on doit prendre le pape François au mot, il ne pourrait absolument pas souhaiter que le dirigeant du système capitaliste prospère et réussisse, continuant d'infliger sa « tyrannie » au monde. S'il croit que le marché libre est une force de destruction, il se sentira non seulement justifié mais aussi obligé d'utiliser son pouvoir pour l'affaiblir.
La visite du pape en Amérique ne ressemblait en aucune manière à sa visite à Cuba. Il y a rencontré des prisonniers et des clandestins. À Cuba, le pape a refusé de rencontrer ou même de reconnaître ceux qui sont enfermées pour rien de plus que les mots qu'ils avaient prononcés. Il a refusé d'attirer l'attention du monde sur ces victimes de la tyrannie. Pourtant, en Amérique, il a tenté de dépeindre ceux qui sont en prison suite à de réelles infractions comme des victimes d'un système oppressif. « Il est douloureux de voir des systèmes pénitentiaires qui ne se préoccupent pas de soigner les blessures, d'apaiser la douleur, d'offrir de nouvelles possibilités », a-t-il déclaré.
Il s'agit d'un pape qui embrasse les dictateurs et réserve ses critiques les plus sévères à la démocratie la plus puissante du monde, qui a été le fer de lance de la promotion de la vraie liberté.
Tous les catholiques ne sont en aucun cas antiaméricains. En fait, nombre des critiques les plus virulents du pape, comme Canto et Vance, sont eux-mêmes catholiques. L'écrasante majorité des catholiques américains sont bien plus loyaux envers l'Amérique qu'envers le Vatican, ce qui explique pourquoi ce dernier n'a pas été en mesure d'influencer le système politique américain jusqu'à présent. La quasi-totalité des catholiques américains sont favorables à la séparation de l'Église et l'État. Beaucoup ignorent que la doctrine de leur Église condamne ce point de vue, et même s'ils le savaient, ils ne seraient toujours pas d'accord.
Néanmoins, ce pape a clairement indiqué qu'il était farouchement opposé à certains des idéaux fondateurs de l'Amérique.
L'Église catholique est toujours la même institution depuis des centaines d'années. L'Église a toujours travaillé avec des dirigeants autoritaires. Lors de la Seconde Guerre mondiale, elle a signé des accords avec Mussolini et les nazis. En courtisant Poutine, en étreignant Castro et en réprimandant l'Amérique, le pape emprunte des chemins familiers.
Le saviez-vous ? La Bible fait des déclarations fortes au sujet d'une Église puissante qui pense qu'elle doit s'immiscer dans la politique partout dans le monde.
Une femme selon la prophétie
Apocalypse 17 décrit un spectacle saisissant : une femme avec laquelle « les rois de la terre se sont livrés à l'impudicité » (verset 2).
Certains passages clés de la Bible s'appuient sur le symbolisme. La Bible est pleine de passages où Dieu utilise un objet physique pour dépeindre une vérité ou un concept spirituel. Par exemple, Jésus-Christ s'est appelé Lui-même le pain de vie ; le Saint-Esprit est symbolisé par l'eau ; les anges sont appelés des étoiles, et ainsi de suite.
Selon le symbolisme biblique, une femme représente une Église. On le voit dans des passages comme Éphésiens 5, qui décrit la relation entre le Christ et sa véritable Église comme étant celle d'un mari et d'une femme. Apocalypse 12 décrit cette même Église comme une femme qui a été obligée de fuir dans le désert pendant 1 260 jours, cette période désignant les 1 260 ans pendant lesquels l'Église fondée par le Christ était obligée de se cacher pour échapper à la persécution. Plus loin dans ce chapitre, on lit que cette Église est protégée de façon surnaturelle d'une attaque satanique au tout dernier moment du temps de la fin.
La femme d'Apocalypse 17 n'est pas la véritable Église de Dieu ; cette dernière est décrite comme une femme rayonnante vêtue de lin blanc (cf. Apocalypse 12 : 1 et 19 : 7-8). Cette femme est une « grande prostituée […] vêtue de pourpre et d'écarlate, parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution » et est « ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus » (Apocalypse 17 : 1, 4, 6). C'est l'image d'une fausse Église grande et puissante.
Cette Église exerce une influence politique considérable auprès des « rois de la terre ». Une telle description ne peut s'appliquer qu'à une seule Église dans l'histoire de l'humanité, une Église qui a exercé son pouvoir sur de nombreux grands dirigeants et qui a été profondément impliquée dans la politique nationale et les affaires internationales.
Si vous voulez savoir l'opinion de Dieu lorsqu'une organisation qui prétend le représenter se mêle à la politique de ce monde mauvais et satanique, réfléchissez bien à la façon dont ces relations sont caractérisées dans ce chapitre de l'Apocalypse !
La Bible démasque cette Église, révélant qu'elle commet des actes de fornication avec les rois de la Terre ! Je suis conscient qu'une telle affirmation nécessite de nombreuses preuves. Et il existe en effet de nombreuses preuves ! Nous serons heureux de vous envoyer un exemplaire gratuit de notre livre Le Saint Empire romain selon la prophétie, qui explique étape par étape comment les prophéties concernant cette organisation se sont réalisées au cours des 2 000 dernières années d'histoire, et comment encore plus d'entre elles se réalisent en ce moment même !
Et la plus grande horreur de tous les temps est imminente !
Une attaque contre l'Amérique
Lorsque cette vérité biblique est considérée en rapport avec les récentes activités et déclarations du pape François, il devient clair que cela devrait tous nous préoccuper profondément. Pourtant, la plupart des gens ne se rendent pas compte du danger.
Il y a 50 ou 60 ans, aucun pape n'aurait osé faire des déclarations pareilles. S'immiscer dans le système politique américain aurait provoqué une réaction brutale. Aujourd'hui, cela ne suscite guère plus qu'une discussion le conflit entre Donald Trump et le pape.
« L'opposition des milieux protestants en Amérique, en Europe et au Royaume-Uni au catholicisme romain est en train de s'effacer », écrivait Herbert W. Armstrong en 1961. « On parle beaucoup de coopération. C'est très significatif ! (Pure vérité, octobre 1961). Cette tendance s'est rapidement accélérée ces dernières années. En Amérique, l'opposition protestante au pape s'est atténuée de façon spectaculaire. L'Église catholique fait de grands progrès dans l'unification des différents groupes chrétiens en Europe.
D'autres prophéties bibliques révèlent que les États-Unis sont en grand danger ! Croyez-le ou non, Satan le diable lance une attaque sur plusieurs fronts contre ce qui a été jusqu'à récemment la nation la plus puissante de l'histoire. Il agit au sein de la population en encourageant le péché et la perversion. Il engendre de l'hostilité entre les factions de la population, attisant la haine et la violence qui déchirent la société. Il agit à l'intérieur des États-Unis par l'intermédiaire de dirigeants qui détruisent les valeurs américaines et font la promotion de l'anarchie et de la corruption. Dans le même temps, il attise la haine des ennemis de l'Amérique et leur donne les moyens de travailler agressivement contre les intérêts de la nation.
Par tous ces moyens, le diable s'efforce de paralyser cette nation autrefois si grande et de la mettre à genoux.
Et lorsque le moment sera venu, il suscitera une nouvelle superpuissance mondiale qui portera le coup de grâce !
Dans mon livre gratuit L'Amérique sous attaque, j'ai écrit : « La prophétie biblique montre qu'après avoir été précipité, Satan a riposté par une attaque sur trois fronts. Tout d'abord, il a attaqué l'Église de Dieu, l'Israël spirituel. Deuxièmement, il a attaqué trois nations de l'Israël prophétique du temps de la fin, notamment la nation principale, les États-Unis. Troisièmement, il agira par l'intermédiaire du Saint Empire romain, qui sera bientôt ressuscité, pour détruire militairement ces nations. C'est le plan directeur de Satan pour détruire l'Israël spirituel et physique. Or, ils ont encore une dernière chance de se repentir avant la Grande Tribulation ! (Amos 7 : 8). »
La prophétie biblique révèle la menace mortelle que l'Europe unifiée, inspirée par le Vatican, fera peser sur les États-Unis dans un avenir proche.
Les valeurs américaines sont pratiquement détruites. La phase finale est presque arrivée ! La prophétie biblique nous indique que l'Église catholique jouera un rôle significatif dans la création et la direction du Saint Empire romain en train de renaître en Europe.
Le pape fait une incursion extrêmement dangereuse dans la politique américaine. La prophétie biblique nous montre à quel point cette institution est dangereuse. Lorsqu'elle joue un tel jeu de pouvoir, nous devons prêter attention et reconnaître la gravité de l'époque que nous vivons !