Notre 11/9 financier était prophétisé!
Une Allemagne réunifiée dominera un Saint Empire Romain qui sera bientôt ressuscité! C’était la prophétie dominante qu’Herbert W. Armstrong prévoyait alors même que les flammes de la Deuxième Guerre Mondiale couvaient parmi les décombres des villes allemandes. La montée de ces «États-Unis d’Europe» menés par les allemands, comme il l’a décrit, précéderait immédiatement les événements catastrophiques dont Jésus-Christ a discuté dans Matthieu 24.
M. Armstrong a livré ses prévisions pour l’Europe pendant des décennies, systématiquement et en détail. Jusqu’à sa mort en janvier 1986, il n’a jamais arrêté d’envoyer ce message d’avertissement.
Pour dire cela succinctement: M. Armstrong a averti qu’une crise financière massive centrée en Amérique se répercuterait à travers le monde entier—et susciterait la montée de la septième et finale résurrection du Saint Empire Romain.
À la lumière des événements récents, cette prévision est vraiment impressionnante—sans parler d’un testament incontestable de la compréhension sans égale de M. Armstrong de la prophétie biblique.
LA PREUVE
En mars 1964, M. Armstrong a écrit une lettre discutant des conditions économiques catastrophiques qui tourmenteraient les États-Unis et la Grande-Bretagne dans le temps de la fin. «Si le dollar est dévalué, l’inflation s’ensuivra presque sûrement,» a-t-il écrit, «et l’effondrement économique éventuel pour les États-Unis» (lettre aux co-ouvriers, le 26 mars 1964; l’accentuation est la nôtre partout).
Se rapportant aux prophéties comme celles de Lévitique 26 et de Deutéronome 28, il continua: «Ceux de vous qui croient vraiment les prophéties de votre Bible savent qu’un tel effondrement économique est prophétisé pour arriver! … Nous avons montré comment Dieu a prophétisé qu’une guerre commerciale virtuelle arrivera contre les États-Unis et la Grande-Bretagne—et comment notre économie nationale s’affaiblira et puis s’effondrera!» Souvenez-vous, c’était en 1964.
Pendant les 20 années suivantes, les prédictions de M. Armstrong sont devenues encore plus spécifiques. En 1984, il a écrit qu’une crise bancaire massive en Amérique «pourrait subitement produire le détonateur déclenchant l’unité des nations européennes comme une nouvelle puissance mondiale, plus grande que l’Union Soviétique ou les États-Unis. Cela, à son tour, pourrait provoquer soudainement la Grande Tribulation. Et cela conduira rapidement au Second Avènement du Christ et à la fin de ce monde tel que nous le connaissons» (lettre aux co-ouvriers, le 22 juillet 1984).
En août de la même année, il a disserté sur ce qui précipiterait l’ignition de la catastrophe nucléaire décrite dans Matthieu 24. «Maintenant nous entendons parler dans les nouvelles d’un hiver nucléaire à venir bientôt,» a-t-il écrit. «Les explosions nucléaires produiront un nuage couvrant la Terre qui nous donnera une nuit nucléaire. Le soleil ne passera pas. Les récoltes ne pousseront pas. Des milliards de gens seront tués par les souffles nucléaires. Ceux qui resteront mourront de faim. … Ceci n’est pas un cri au loup! C’est prophétisé dans votre Bible! C’est réel! Et … la crise économique menace de la provoquer …» (lettre aux co-ouvriers, le 23 août 1984).
En automne 2008, cette crise économique a frappé.
LE 11/9 FINANCIER DE L’AMÉRIQUE
Les jours entourant le 11 septembre, 2008, sont maintenant tristement célèbres. La vitesse à laquelle tant des plus prestigieuses institutions financières de l’Amérique se sont effondrées a été gravée dans les esprits du peuple américain. En réalité, cette semaine désastreuse a représenté un point tournant drastique dans la puissance financière américaine.
Ce qui reste est un cratère énorme dans le cœur économique maintenant discrédité de la nation. L’économie de l’Amérique ne se rétablira jamais complètement de ce qui a essentiellement été une crise bancaire massive.
«La nation est en proie à la pire crise financière depuis la Grande Dépression,» a écrit le New York Times le 21 septembre 2008. «Avant que … le secrétaire du Trésor, le président de la Réserve Fédérale et les leaders de la Capitale aient proclamé leurs intentions de reprendre des créances douteuses, le pronostic pour le système financier américain glissait de menaçant vers potentiellement apocalyptique».
Cette calamité a déclenché une récession importante en Amérique qui a rapidement viré en une crise mondiale. Certains l’ont même qualifiée de dépression. Des millions d’emplois ont été perdus. Sur le reste de cette année et durant 2009, plus de 140 banques ont fait faillite aux États-Unis. Dans un effort de tourner les choses dans l’autre sens, le gouvernement américain s’est senti contraint à injecter des trillions de dollars dans des paquets de secours et des subventions, encombrant même davantage une économie déjà saturée de dettes.
Les événements de septembre 2008 ont sonné un coup mortel à la réputation de l’Amérique en tant que superpuissance économique stable. «Cela ressemble vraiment comme si les fondations du capitalisme américain ont volé en éclats,» observait le quotidien allemand Der Spiegel. Pour les États-Unis, septembre 2008 était plus un point tournant que le 11 septembre 2001! C’était une annonce stridente pour le monde que le système économique américain avait passé le point de non-retour.
Notez cette prévision exacte d’une édition de la Pure Vérité de 1983. Après un sommet économique du G-7, elle notait: «combien juste la confiance en l’Amérique est importante à la stabilité du monde Occidental entier». Une crise de confiance en l’Amérique est certaine d’avoir des ramifications mondiales dramatiques, dit-elle—une prévision qui s’est prouvée être terriblement vraie juste devant nos yeux. Puis cet article a fait cette remarque supplémentaire, plus spécifique: «Le manque de confiance dans le leadership américain doit finalement conduire à séparer les voies entre les États-Unis et l’Europe occidentale ...»
Le caractère inévitable de cette étourdissante déchirure transatlantique est clair à profusion dans la prophétie biblique. Enfin, la perspicacité que ceci serait précipité par les convulsions aux États-Unis et que cela détruirait la confiance mondiale est remarquable. Et la calamité économique de septembre 2008 a réalisé cette prédiction avec une exactitude mystérieuse. Là où cela a balancé la réputation de l’Amérique, pour l’Europe cela a précipité une série d’événements radicalement différents. L’Europe l’a pris comme un signe pour s’unir rapidement et marcher ensuite dans le vide créé par l’effondrement du système financier de l’Amérique.
LA MONTÉE DE L’EUROPE
Au cours des 14 mois des événements de septembre 2008, tous les 27 membres de l’Union Européenne avaient ratifié le Traité de Lisbonne. Avant décembre 2009, la constitution de l’UE avait pris effet, en forgeant efficacement l’UE en une puissance impériale.
Comme vous l’avez lu plus tôt, c’était exactement ce que M. Armstrong prévoyait qu’il arriverait!
Le Ministre allemand des Finances, Peer Steinbrück, a résumé le sentiment européen en octobre 2008 où il a déclaré que «L’origine et le centre de gravité du problème sont clairement aux États-Unis». La Chancelière allemande Angela Merkel et le Président français Nicolas Sarkozy étaient d’accord, à la fois en précisant qu’ils croyaient que la crise financière mondiale était la faute de l’Amérique. Le Pape Benoit XVI a aussi rallié sa voix derrière les Européens. Dans une encyclique de juillet 2009, il a rejoint le choeur demandant un nouvel ordre financier mondial indépendant des États-Unis.
L’effondrement du système financier de l’Amérique a laissé peu d’options au monde. Les nouveaux pouvoirs montant en Asie étaient trop nouveaux et non évalués. Les investisseurs n’étaient pas disposés à se fier à la Chine Communiste. Il est vite devenu clair qu’il y avait seulement une bonne alternative à l’Amérique: l’Europe!
Cela n’a pas pris beaucoup de temps avant que l’Europe n’exige un contrôle plus serré sur la finance mondiale donnant des actions tangibles. Au sommet économique du G-20 en novembre 2008, les économies les plus puissantes du monde ont discuté de la création de corps internationaux pour la régulation de la finance mondiale. L’Europe, qui domine le G-20, a vite émergé au premier rang du mouvement pour réformer le système financier du monde.
«L’Europe bouge rapidement pour réviser le système financier mondial dans le sillage de la crise économique, faisant passer de nouvelles mesures et en proposant d’autres qui pourraient imposer des restrictions significatives sur l’Amérique et d’autres sociétés basées loin au-delà de ses frontières,» a observé le Washington Post le 13 juin 2009.
«Les Européens sont maintenant sortis en tête, par exemple, en établissant de nouvelles normes strictes pour évaluer les intermédiaires et les risques administratifs aux sociétés vendant des titres de placement d’emprunt-logement soutenus,» a continué le Post. «L’Europe a aussi saisi l’initiative en développant de nouvelles règles pour contrôler les fonds de protection en accélérant cette semaine avec des plans pour créer deux nouveaux organismes de contrôle puissants en Europe, selon les analystes et les régulateurs».
La toile de règles et de régulations grandissantes de l’Europe aura à jamais un impact important sur l’Amérique, a noté le Post: «La campagne à travers l’Atlantique a des implications mondiales, en grande partie parce que même des sociétés basées aux États-Unis peuvent être contraintes de suivre les règles plus fermes de l’Europe.
Certains des penseurs les plus fins en Amérique ont vu ce qui arrivait et ont commencé à exprimer leur alarme. «Nous ne nous concentrons pas uniquement sur cela, mais nous sommes très concernés,» a dit Andrew Baker, le directeur général de l’Association d’Administration Alternative d’Investissement. «Vous avez une situation où d’autres pays peuvent se consacrer au chemin que prend l’Europe » (ibid.).
La vitesse à laquelle l’Europe a bougé était incroyable. Un «nouvel équilibre de pouvoir» est à l’œuvre en Europe, a annoncé l’organisation indépendante des nouvelles EurActiv. «La France et l’Allemagne défient ouvertement la règle de la Ville de Londres comme le principal moyeu financier de l’Europe et ont hâte de voir Paris ou Francfort comme les puissants centres financiers dans un nouveau système mondial, plus régulé» (31 juillet 2009).
Aujourd’hui, cette tendance qui a été déclenchée au cours de l’automne 2008 est en plein tourbillon: La présence, la puissance et la prospérité de l’Amérique languissent, pendant que l’Europe grandit pour remplir le vide!
COMMENT AURAIT-IL PU SAVOIR?
Retournez et relisez les prévisions faites par M. Armstrong sur l’unification de l’Europe, la montée d’une superpuissance européenne et de l’événement qui mettrait tout cela en mouvement. Souvenez-vous: M. Armstrong a fait ces déclarations quand l’empire Soviétique dominait complètement l’Europe de l’Est et l’Allemagne était toujours coupée en deux. L’Union Européenne n’existait même pas avant presqu’une décennie plus tard. Pourtant M. Armstrong a clairement prévu l’avenir de l’Europe, en expliquant même que les crises financières contribueraient à sa montée en tant que superpuissance.
Comment aurait-il pu savoir?
M. Armstrong comptait sur ce que l’Apôtre Pierre a appelé la «plus certaine parole prophétique» (2 Pierre 1:19). Il avait 100 pourcent foi dans la Bible comme la Parole de Dieu, qu’elle était l’esprit de Dieu en écrit. Pendant plus de 60 ans il a étudié, médité sur elle et l’a déclaré comme la Parole bien définie de Dieu. Comment a-t-il été si bien informé spécifiquement au sujet de l’Europe? Il a étudié les prophéties comme dans Daniel 2 et 7 et Apocalypse 13 et 17, qui prévoyaient ces événements.
Alors, heureusement, M. Armstrong a mis par écrit les vérités que Dieu avait révélées. Pendant des décennies, il les a enregistrés dans des articles et des brochures, il les a discutées devant des dizaines de millions sur son émission de télévision le Monde à Venir. Il a voulu partager la perspicacité que Dieu lui avait donnée.
Pour en apprendre plus au sujet de l’avenir de la septième et finale résurrection du Saint Empire Romain après la calamité économique l’a provoquée, continuez à lire! ▪