GETTY IMAGES
Mise en accusation imminente de Trump : obstruction et espionnage
Les procureurs se préparent à demander aux grands jurés de Washington de voter sur des accusations d’obstruction et d’espionnage à l’encontre du président des États-Unis Donald Trump dès le 8 juin.
Les accusations : Trump est accusé d’avoir violé la section 793 du chapitre 37 du code pénal américain, qui interdit de « recueillir, transmettre ou perdre des informations relatives à la défense ». L’accusation ne dit pas au public quels sont les documents ou les informations qu’il aurait partagés.
Accusations stratégiques : La section 793 ne contient aucune stipulation concernant les informations classifiées. Son usage a pour effet de rendre difficile pour Trump d’affirmer qu’il s’est servi de son autorité présidentielle en déclassifiant les documents, qu’il a ensuite retirés de la Maison Blanche et conservés à Mar-a-Lago après sa présidence.
L’inculper de cette loi pénale particulière signifie que, même s’il était autorisé à posséder les documents légaux, il pourrait être reconnu coupable d’avoir communiqué des informations « relatives à la défense nationale », ce que cette loi interdit quel que soit le statut de classification.
Falsification de témoin ? Selon plusieurs personnes au courant de l’affaire, l’équipe juridique de Trump a soumis au département de la Justice des allégations selon lesquelles un procureur principal chargé de l’affaire se serait livré à de la subornation de témoins. Elle a demandé que l’acte d’accusation prévu soit retardé pour donner le temps d’enquêter sur cette allégation. Le département de la Justice a refusé.
Chasse aux sorcières : Sur sa plateforme Truth Social, Trump a qualifié les accusations de « la plus grande chasse aux sorcières de tous les temps ! » Il a affirmé que le département de la Justice était partial en le poursuivant alors qu’il n’avait pas inculpé Joe Biden après avoir trouvé en sa possession des documents classifiés datant de l’époque où il était vice-président.
Dissimulation en faveur de Biden : Cette semaine, le représentant James Comer a publié une résolution visant à condamner le directeur du Bureau fédéral d’enquête, Christopher Wray, pour outrage au Congrès en raison de son refus de remettre un document relatif à l’implication présumée de Biden dans un système de corruption.
Jeudi dernier, Comer a annulé le vote contre Wray car le FBI a accepté de publier le document. C’est un grand pas en avant dans la révélation de la corruption du FBI et de la famille criminelle Biden. Ce qui convient à Biden, c’est qu’il n’y aura probablement pas beaucoup de couverture médiatique du document si Trump est mis en accusation.
La guerre contre Trump : La gauche fait tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher Trump d’exercer à nouveau ses fonctions. Cela fait partie de leur programme pour s’en prendre à Trump. Y parviendront-ils ?
2 Rois 14 : 26-28 prophétise d’un Jéroboam du temps de la fin que Dieu utilisera pour sauver temporairement Israël. Dans son article de couverture de janvier pour La trompette philadelphienne, le rédacteur en chef Gerald Flurry a expliqué :
Satan veut détruire l’Amérique. Et malheureusement, il fait un travail terriblement efficace. Mais Dieu ne va pas permettre cela. Il va sauver Israël, temporairement. Comment ? « Par la main de Jéroboam. » Anciennement, Il l’a fait à travers le roi Jéroboam II. Prophétiquement, c’est le rôle que M. Trump va jouer. Cela ne s’est pas encore produit dans la mesure où cela se produira. Trump doit revenir à la présidence pour remplir cette fonction.
C’est une affirmation audacieuse, mais vous pouvez la prouver par vous-même. Pour bien comprendre cette prophétie, demandez un exemplaire gratuit de L’Amérique sous attaque.