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Lettre d'amour à l'Amérique
Lorsque vous aimez l'Amérique et que vous la voyez se détruire, vous voulez l'en empêcher si vous le pouvez.
En 1984, Yuri Bezmenov, un agent du renseignement russe qui avait fait défection aux États-Unis, écrivit un livre, Love Letter to America (Lettre d’amour à l’Amérique). Il aimait vraiment l'Amérique, et il avait la perspective unique de quelqu'un qui savait comment les communistes travaillaient à la détruire.
Aujourd'hui, 36 ans plus tard, alors que l'Amérique brûle de division raciale et d'anarchie, ses avertissements sont douloureusement pertinents.
Cet homme, comme tant de millions d'étrangers, a choisi de faire de l'Amérique son pays. « Pour quelle autre raison des milliers de personnes ont-elles risqué leur vie, ont-elles traversé des problèmes inimaginables, ont-elles laissé leurs familles, leur patrie et leurs modes de vie traditionnels pour venir en Amérique ? Avez-vous déjà entendu parler ‘d’étrangers illégaux’ risquant leur vie en traversant à minuit la frontière de l’URSS socialiste ? Ou des ‘boat-people’ [réfugiés de la mer] qui nagent dans les océans et se noient par milliers juste pour atteindre les côtes de la Chine communiste ? Ou des transfuges comme moi, laissant derrière eux une richesse relative et risquant des balles dans le dos pour rejoindre le ‘paradis progressiste des travailleurs’ en Russie ? » écrivit Bezmenov. « Non, nous venons tous ici en Amérique, manifestement prêts à être ‘exploités par les capitalistes’ et profiter avec vous de ‘l’oppression’. Parce que nous croyons et savons que—l'Amérique est un meilleur endroit. »
C'est quelque chose auquel beaucoup d'Américains ne croient plus. Ils en sont vraiment venus à voir leur pays comme le plus oppressif et le plus raciste du monde. Ils veulent le voir souffrir et brûler.
Le livre de Bezmenov expose le plan communiste : convaincre les gens qui vivent dans le pays le plus libre, le plus juste et le plus riche du monde, intégré racialement, avec la plus grande opportunité pour les gens de toutes races, types et cultures—de croire le contraire. On appelle cette méthode « la subversion idéologique—le processus de changer la perception de la réalité dans l'esprit de millions de personnes ».
Cela vous semble-t-il familier ?
Cela ne correspond pas seulement aux derniers titres de cet après-midi sur les émeutes. Cela correspond à une ancienne prophétie dans Ésaïe 5 : 20-21. Dieu savait que nous appellerions le mal bien, et le bien mal—que nous changerions les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres. Regardez les nouvelles : évidemment, des gens puissants appellent les pillards et les pyromanes « justes », tandis qu’ils nomment les efforts pour arrêter la violence « injustes ».
« L'art de duper les masses pour qu'elles fassent des choses à leur propre détriment et de leur faire croire que c'est ‘la volonté du peuple’ est aussi ancien que l'humanité elle-même », écrivit Bezmenov. « L'essence de la subversion s’exprime mieux dans le célèbre slogan Marxiste (si vous remplacez ‘prolétaires’ par un mot plus approprié) : ‘Idiots utiles du monde—unissez-vous !’ Pour obtenir l'effet souhaité, le subvertisseur doit transformer des gens normaux en des idiots, et les diviser, avant de transformer le peuple en une masse homogénéisée d'idiots utiles et unis. » À en juger par les événements récents, nous sommes maintenant dans cette dernière étape : cette nation a connu une idiotie de masse sans précédent, la folie d’une foule homogénéisée.
Bezmenov énumère les tactiques, qui comprennent :
• Divisez le peuple en groupes hostiles en ne cessant de vous attaquer à des questions controversées sans importance.
• Détruisez la confiance des gens dans leurs dirigeants nationaux en les considérant avec mépris, ridicule et honte.
• Prêchez toujours la démocratie, mais prenez le pouvoir le plus rapidement et le plus impitoyablement possible.
• Encouragez les troubles civils et favorisez une attitude clémente et douce de la part du gouvernement envers de tels troubles.
« Le principe principal de la subversion idéologique est de retourner une force puissante contre elle-même », écrivit Bezmenov. « Tout comme dans les arts martiaux japonais : vous n'arrêtez pas le coup d'un ennemi plus lourd et plus puissant avec un coup tout aussi puissant. Vous pourriez simplement vous blesser à la main. Au lieu de cela, vous attrapez le poing frappant avec votre main et tirez l'ennemi dans la direction de son propre coup jusqu'à ce qu'il s'écrase contre un mur ou tout autre objet lourd sur son chemin. »
Il le compare à un bâtiment contenant des matières explosives. L'ennemi allume le feu dans la pièce d’à côté et consacre ensuite ses efforts à distraire les occupants du bâtiment, pour qu’ils se disputent et fassent n'importe quoi sauf remarquer les flammes qui approchent. « Les gens intelligents remarqueraient l'incendie et retireraient les objets et matériaux inflammables avant que la maison ne prenne feu. Des idiots utiles continueraient de se demander s'il est constitutionnel ou non de payer les pompiers, ou discuteraient de l'égalité entre mari et femme concernant les tâches ménagères (qui devrait retirer les combustibles), jusqu'à ce que l'explosion propulse leur cerveau affaibli dans tout le quartier. » Les Américains se disputent les uns les autres concernant des “non-problèmes” tout en ignorant les flammes qui engloutissent notre maison !
Bezmenov décrit l'efficacité de discréditer les forces de l'ordre et d'acheter des gens avec des programmes socialistes qui les rendent fidèles à l'État-providence mais pas à la nation. « Dans le domaine de la vie sociale, en vous encourageant à placer vos droits individuels au-dessus de vos obligations (et obligations privées, financières, morales, patriotiques, etc.), le subvertisseur atteint l'effet recherché : une société composée d'individus irresponsables, chacun ‘faisant ses propres choses’ et agissant selon la ‘loi de la jungle’. Une telle subversion de la société est le premier pas vers la tyrannie ».
Ce livre donne une lecture effrayante à la lumière des événements d'aujourd'hui. Il a même écrit : « Les interrelations raciales et ethniques sont l'un des domaines de démoralisation les plus vulnérables. » Je vous encourage à le lire (uniquement disponible en anglais). Cela montre le danger de rester dans l'ignorance de l'histoire, d'éliminer la religion et la morale, d'abandonner les idéaux qui ont fondé cette nation, de ne pas fidéliser notre peuple, de remettre l'éducation aux radicaux, et d'adopter la pensée socialiste.
Bien que peut-être initiées et encouragées par les cerveaux du KGB, ces actions dangereuses sont toutes des choses que les Américains ont fait à eux-mêmes.
« Pourquoi les gens—en particulier aux États-Unis et en Grande-Bretagne—sont-ils si aveugles ? Pourquoi sont-ils si naïf ? » écrivit Herbert W. Armstrong dans un article de La pure vérité de mars 1969. « Pourquoi notre peuple est-il incapable de reconnaître la ligne Communiste—le plan Communiste et le complot—dans les émeutes des collèges et des universités, dans la propagande accusant la ‘brutalité policière’, dans le ‘black power’, la ‘black panther’ et d'autres slogans, même dans la ‘désobéissance civile’ et les mouvements de protestation ‘non-violent’ qui conduisent à la violence ?… »
« La main qui guide la révolte étudiante est le parti communiste », a-t-il poursuivi. « De nombreux étudiants, voient leurs émotions agitées et enragées par la violence, sans s'en rendre compte eux-mêmes. Pourtant, en réalité, ces jeunes dirigeants du mouvement de la ‘nouvelle droite’ vont au-delà du Parti communiste. Leur plan est d'inciter les étudiants des collèges à se révolter en premier, puis les adolescents du secondaire. S'ils peuvent corrompre et/ou gagner les étudiants de demain, ils prendront le contrôle. »
Il n'y a pas beaucoup d'inquiétude sur le communisme en Amérique aujourd'hui. Mais il ne fait aucun doute qu’un nombre important ‘d’étudiants de demain’ ont été corrompus et conquis—et que les penseurs alignés avec les communistes ont acquis un niveau de contrôle à couper le souffle.
« O Israël, tu t’es détruit toi-même », se lamente Dieu dans Osée 13 : 9 (King James française). Dieu aime aussi l'Amérique—et Il pleure de voir ce que nous nous faisons !
« Mais en moi est ton secours. Je serai ton roi », continue-t-Il—quelle belle promesse—qui est ensuite suivie d'une question perçante : « Où est l’autre qui puisse te sauver dans toutes tes villes ? » (versets 9-10—King James française). Oui, comment quelqu'un d'autre que Dieu pourrait-il nous sauver ? Où existe-t-il un homme pour résoudre ces problèmes ? Pensez-vous vraiment que la solution soit écrite dans les notes de discours de campagne d'un politicien, ou dans un e-mail d'un PDG milliardaire au sujet de « avoir une conversation nationale », ou sur la chemise d'une célébrité, ou peinte à la bombe sur la vitrine brisée d’un magasin d'alcool ?
Pourtant, Dieu tend la main ! Il nous aiderait. Il résoudrait nos problèmes. Il nous unirait—Il serait notre roi—si seulement nous embrassions Sa loi et nous nous soumettions à Son gouvernement ! Dieu aime l'Amérique. Il veut empêcher notre destruction s'Il le peut. Mais Il ne le fera que si nous le Lui permettons.