Julia Goddard/La Trompette
Les motifs des fusillades de masse
Vous souvenez-vous de la première fois que vous avez entendu parler d’une fusillade de masse ? Un meurtrier dérangé s’est rendu dans un endroit rempli de gens, a commencé à appuyer sur la gâchette et a rapidement tué et blessé un certain nombre de personnes. Le simple fait d’entendre parler d’un tel événement démoniaque était un choc à couper le souffle. Aujourd’hui, nous y sommes habitués.
Les noms de ces lieux sont gravés dans nos mémoires : Columbine, Virginia Tech, Stoneman Douglas High, Sandy Hook, Uvalde. La liste ne cesse de s’allonger. Selon l’archive des tueries de masse, l’horrible fusillade d’Uvalde était la 252e fois cette année qu’un individu aux États-Unis blessait ou tuait quatre personnes ou plus en un seul évènement. Si la trajectoire actuelle se poursuit, nous nous dirigeons vers un total de 670 fusillades de ce genre cette année, soit près du double du taux des fusillades de masse enregistré il y a dix ans.
Qu’est-ce qui a mal tourné ? Les gauchistes mettent en cause la facilité avec laquelle les Américains peuvent acheter des armes à feu. Mais les Américains achètent des armes à feu avec facilité depuis des siècles. Le pourcentage de ménages possédant des armes à feu est en fait à son plus bas niveau depuis près de 40 ans, et de nombreuses restrictions sur les armes ont été adoptées au cours des dernières décennies. La possession d’armes n’explique pas pourquoi les fusillades de masse sont en augmentation. Le plan d’action de la gauche consiste à interdire la possession d’armes à feu privées, peu importe ce que disent les statistiques. De nombreux conservateurs en sont conscients.
Mais les conservateurs n’ont pas non plus la réponse aux fusillades de masse.
L’esprit d’un tueur
L’une des pires choses qu’un parent puisse découvrir est qu’un tireur dans une école a assassiné son enfant. Peut-être que la pire chose qu’un parent puisse découvrir est qu’il ou elle a produit un monstre qui a assassiné des enfants.
La seule façon de comprendre les fusillades de masse est de comprendre le tireur de masse. La seule façon de comprendre le tireur de masse est de comprendre ce qui a influencé son esprit, depuis le début. Cela signifie qu’il faut comprendre sa famille, ou plutôt l’absence de sa famille.
Les tireurs de masse sont presque exclusivement des hommes, issus de familles déstructurées, souvent orphelins de père, rebelles à toute forme d’autorité et sensibles aux influences de la violence. Les recherches de l’Institut d’études familiales montrent qu’un garçon élevé par une mère célibataire a deux fois plus de chances de devenir délinquant que les garçons qui ont de bonnes relations avec leur père.
Le tireur d’Uvalde, Salvador Ramos Jr, n’avait pas une bonne relation avec son père, était rebelle aux autorités, tenait beaucoup à son accès à Internet et adorait les jeux vidéo violents. Ses deux parents avaient des antécédents criminels, ils se sont séparés lorsqu’il était jeune, et Ramos vivait avec sa mère. Il a eu des disputes si intenses avec elle que la police a été appelée à intervenir. Il serait parti ou aurait été mis à la porte lorsque sa mère a terminé leur service Internet. Il a emménagé dans la maison de ses grands-parents. Son grand-père, qui a également des antécédents criminels, a déclaré que son petit-fils était silencieux et restait souvent dans sa chambre. Ramos s’est plaint de sa grand-mère et a envisagé d’aller vivre chez ses grands-parents paternels, mais il a décidé de ne pas le faire parce qu’ils n’avaient pas de connexion Wi-Fi.
Lorsque Ramos est né en 2004, rien ne le destinait à devenir un meurtrier de masse d’écoliers comme c’était le cas 18 ans et huit jours plus tard. Son avenir, comme celui de tout enfant, dépendrait de l’amour, de l’instruction et de la discipline que lui donnaient ses parents. Mais personne ne s’est soucié suffisamment de lui enseigner, de l’aider, de le corriger ou de l’empêcher d’absorber les influences sombres d’Internet qui l’intéressaient. Sa famille ne l’a pas empêché de manquer de respect aux autorités, de commettre des actes de vandalisme, de torturer des animaux, d’intimider les autres, de se bagarrer et d’acheter des fusils de type militaire. Un jour, il s’est disputé avec sa grand-mère au sujet d’une facture de téléphone, lui a tiré une balle dans le visage, a volé son véhicule, l’a accidenté, s’est précipité dans l’école primaire locale, s’est introduit dans une salle de classe, a commencé à jouer une musique inquiétante et a tiré 164 balles sur et dans des enfants innocents de troisième et quatrième année et leurs enseignants.
« Ma mère me dit qu’il m’aurait probablement tiré dessus aussi », a dit le père du tueur, « parce qu’il disait toujours que je ne l’aimais pas ».
« Alors que la nation cherche à donner un sens à ces fusillades insensées, nous devons également faire face à la vérité désagréable que les troubles familiaux sont trop souvent à l’origine des troubles que nous finissons par voir se répandre dans nos rues et nos écoles », a écrit W. Bradford Wilcox dans son article « Sons of Divorce, School Shooters » [Fils du divorce, tireurs dans les écoles]. « Les preuves scientifiques sociales du lien entre la violence et les foyers brisés ne pourraient être plus claires. »
Comme cela est vrai dans le cas de Ramos. Pourtant, ceci a été écrit en décembre 2013 concernant le cas d’Adam Lanza. M. Wilcox écrivait en réponse au massacre de Sandy Hook en 2012, lorsque Lanza, 20 ans, a assassiné sa mère, puis s’est rendu en voiture dans une école primaire et a assassiné six membres du personnel et 20 enfants, âgés de 6 et 7 ans.
Les tueurs sont fabriqués
Après Uvalde, l’animateur de Fox News Tucker Carlson a demandé à la juge Jeanine Pirro si quelqu’un avait fait une étude systématique de ce que les tireurs de masse ont en commun. La juge Pirro lui a répondu que la plupart des procureurs ne veulent pas répondre à de telles questions. Pourtant, de nombreuses études de ce type ont été réalisées, et les tireurs de masse sont presque toujours des garçons sans père, accros aux divertissements violents.
« Commencez avec un garçon », a écrit le commentateur Matt Walsh. « Retirez son père. Asseyez-le devant un écran toute la journée. Nourrissez-le de porno. Nourrissez-le d’un flux sans fin de contenu. Ne lui donnez aucune formation morale. Pas de conseils. Pas de compagnie. Donnez-lui de la drogue. Isolez-le. C’est comme ça que vous fabriquez un tireur d’école. »
Ce qui est vraiment effrayant, c’est que ce pays est rempli de garçons dont les pères sont absents, qui sont assis devant des écrans toute la journée, qui regardent de la pornographie, dont les attitudes et les idées sont absorbées et formées par les producteurs des médias, qui n’ont ni conseils autoritaires ni compagnie, qui prennent des drogues illégales et des médicaments sur ordonnance, qui sont isolés. Ce pays est rempli de parents qui n’ont pas motivé leurs enfants et qui ont laissé la porte grande ouverte pour que quelqu’un d’autre le fasse.
Les jeux vidéo, qui permettent aux joueurs de vivre des fantasmes d’agression, de viol et de meurtre, constituent une influence majeure, et même une motivation. Les tueurs de Columbine jouaient à des jeux vidéo tels que Doom et Quake. Le tueur de Sandy Hook jouait à Call of Duty [Appel du devoir], Dead or Alive [Mort ou vivant] et Grand Theft Auto. Le tueur d’Uvalde jouait à Call of Duty [Appel du devoir] et Fortnite.
De nombreux parents savent qu'un pourcentage énorme d'adolescents jouent à d'énormes quantités de jeux vidéo. Ils savent que la plupart des jeux les plus populaires sont basés sur la participation des joueurs à une violence réaliste. Ces parents les considèrent comme un divertissement inoffensif. Mais c’est un fait que les armées utilisent des jeux vidéo violents pour conditionner les soldats à voir et à participer à la violence. Selon l’Académie américaine de pédiatrie, le fait de voir de la violence, même dans un dessin animé, a le même effet sur le cerveau en développement d’un enfant que de voir de la violence réelle.
On pourrait écrire beaucoup de choses uniquement sur les jeux vidéo violents. Mais il suffit de dire que nous vivons dans une société où des millions d’hommes, adolescents et plus âgés, passent des heures par jour à jouer à des jeux comme Amnesia [Amnésie], Bulletstorm [Tempête de balles], Dead Space [Espace mort], The Evil Within [Le mal intérieur], Friday the 13th [Vendredi 13], Hatred [Haine], Hellblade [Lame infernale], Kindergarten Killer [Tueur à la maternelle], The Last of Us [Le dernier d’entre nous], Left for Dead [Laissé pour mort], Manhunt [Chasse à l’homme], Mortal Kombat [Combat mortel], Police Shootout [Fusillade policière], Postal, Rape Day [Jour de viol], Resident Evil [Mauvais résident], Sanitarium [Asile], Silent Hill [Colline silencieuse], Soma, Splatterhouse et bien d’autres encore.
La violence tordue dans les jeux vidéo massivement populaires fait partie de la violence tordue de nos divertissements. À votre avis, quel effet la violence corporelle hyperréaliste, séduisante, addictive et gratuite a-t-elle sur les adolescents et les enfants (et les adultes) qui y jouent encore et encore, en plus de la regarder sur la télévision, en ligne et au cinéma ?
À votre avis, quel est l’effet du sexe perverti sur l’esprit des garçons et des hommes ? De nombreuses études ont démontré un lien entre le fait de regarder de la pornographie et de commettre des violences sexuelles. Psychology Today a rapporté que les hommes qui agissent de manière agressive envers les femmes sont généralement de gros consommateurs de pornographie.
Notre société produit de plus en plus de jeux vidéo violents, de forums Internet tordus, de pornographie déshumanisante, de films sombres et de sensations violentes en tous genres. Elle produit également de plus en plus de jeunes hommes sexuellement pervertis et de meurtriers de masse.
Il y a toujours eu un certain nombre d’enfants sans père en Amérique. Mais les orphelins de père d’aujourd’hui sont bien plus nombreux et se livrent à des tentations destructrices d'esprit bien pires que jamais.
Lorsqu’un massacre se produise, les commentateurs politiques des deux camps se lancent dans leurs explications. Les libéraux radicaux comme l’ancien président des États-Unis Barack Obama affirment que le problème est l’arme à feu. Après la fusillade d’Uvalde, il a blâmé « le groupe de pression des armes et un parti politique qui n’ont montré aucune volonté d’agir d’une manière qui pourrait aider à prévenir ces tragédies ». Pourtant, de nombreux Américains se souviennent d’avoir grandi à une époque lorsque les garçons avaient des fusils de chasse dans le casier de leur camion stationné sur le parking de l’école. Les restrictions sur les armes à feu ont considérablement augmenté depuis lors. Ce ne sont pas les armes à feu qui ont changé la société ; ce sont les individus.
« Le fait est qu’il n’y a pas de grandes avancées dans la létalité des armes à feu par rapport à ce que les citoyens pouvaient posséder des décennies avant que nous ayons jamais eu des fusillades de masse régulières », a noté sur Twitter Mark Hemingway, un contributeur sénior à RealClearInvestigations. « Je suis prêt à entendre parler de la législation sur les armes à feu, mais c’est notre culture qui a changé pour permettre cela—pas les armes à feu » (24 mai).
Ce qui a changé, c’est que nous ne savons pas comment élever nos enfants. C’est pourquoi certains d’entre eux, dans des cas extrêmes de plus en plus fréquents, finissent par commettre des meurtres. Tom Klebold, Wayne Harris, Salvador Ramos Sr, Peter Lanza et les pères d’autres tireurs de masse n’ont peut-être pas élevé leurs enfants pour en faire des monstres. Mais quelqu’un l’a fait. Il existe un esprit de haine, de meurtre et de mal dans le monde, qui se trouve sur la console du jeu vidéo, en diffusion sur Wi-Fi, qui s’attaque à vos enfants. Si nous ne nous battons pas pour le bon esprit, nos enfants seront élevés par l’autre esprit.
Et cet esprit est encore pire aujourd’hui que jamais. Les familles se déchirent, les films sont de plus en plus violents, la pornographie est plus accessible que jamais, les maladies mentales augmentent et les Américains sont plus nombreux à prendre des médicaments psychotropes qu’à aucun autre moment de l’histoire. Tous ces facteurs contribuent à une transformation fondamentale de la société qui produit des tireurs de masse et d’autres criminels psychotiques !
Quelque chose attaque l’esprit de nos garçons en attaquant nos familles !
Selon le Violence Project [Projet sur la violence], les fusillades de masse sans discrimination sont environ six fois plus fréquentes aujourd’hui qu’elles ne l’étaient dans les années 1970. Ces données montrent que quelque chose de dramatique est arrivé à l’Amérique dans les années 1980. Mon père, le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, explique cela dans son livre America Under Attack [L’Amérique sous attaque ; disponible en anglais seulement].
« Le vent a tourné de façon importante en 1987 », écrit-il. « La loi a commencé à s’affaiblir considérablement. Et l’anarchie a commencé à devenir beaucoup, beaucoup plus forte. Une telle dérive vers l’anarchie a une cause. Cette prophétie dans Apocalypse 12 révèle cette cause. »
Le monde des esprits
Les gens ne veulent pas reconnaître la réalité claire et présente d’un monde spirituel—même après qu’un jeune de 18 ans aux yeux mort ait passé 80 minutes à jouer de la musique démoniaque et à tuer des enfants. Ils font des références passagères à des « problèmes familiaux », à des « pères absents », à des « jeux vidéo violents », à un « comportement inquiétant », à des « messages en ligne troublants », à des « explosions antisociales » et à des « problèmes d’autorité », puis ils passent le reste de leur temps à se demander si un psychiatre a bien délivré une ordonnance pour des médicaments psychotropes, à quel âge une personne devrait acheter une arme à feu, et comment fonctionnent les serrures des portes d’école.
Mais ils se demandent toujours : « Pourquoi ces choses arrivent-elles ? »
Elles se produisent parce que l’esprit de nos enfants est attaqué ! Elles se produisent parce que le monde des esprits est réel. Il existe des êtres maléfiques tout aussi réels que vous et moi, avec des personnalités et des objectifs qui sont démontrés par la violence qu’ils incitent les tireurs de masse à commettre !
Une personne ne peut pas « craquer » sans raison. Ces « questions secondaires » des problèmes familiaux, des échecs en matière de paternité et des divertissements méchants sont en fait les questions principales ! L’influence spirituelle est réelle, mais chaque personne fait son propre choix sur la manière d’agir en fonction de ces influences. Des choix erronés dans ces domaines principaux du développement mental, émotionnel et du caractère ouvrent grand la porte au mal, au point que le genre d’horreur devient une réalité dans une école primaire locale.
Ignorer cette vérité est radicalement irrationnel. Pourtant, c’est ce que la plupart d’entre nous font plutôt que d’admettre que le mal existe, qu’il vient de quelque part—et que notre prémisse évolutionniste athée à l’échelle de la société est fausse.
Dans America Under Attack (disponible en anglais seulement), mon père explique que la Bible a prophétisé d’une guerre dans le ciel, dans laquelle de grands êtres angéliques ont combattu Satan et ses démons jusqu’à ce que Dieu précipita Satan sur la Terre (Apocalypse 12 : 9-12). Cela s’est produit en 1986, lorsque le regretté Herbert W. Armstrong est mort. L’augmentation dramatique de l’anarchie qui s’est produite après sa mort est due au fait que Satan a été précipité, sachant qu’il a maintenant « peu de temps ».
C’est pourquoi les fusillades de masse ont augmenté au cours des 35 dernières années. Les démons s’attaquent aux enfants abandonnés par leur père, et aux personnes négligées et seules, aux esprits drogués et vides, et à ceux qui aiment les divertissements violents.
C’est la raison pour laquelle le pourcentage d’enfants sans père et accros aux divertissements violents a augmenté, alors que le pourcentage d’Américains qui possèdent des armes à feu a diminué depuis le milieu des années 1980. C’est pourquoi, à l’heure actuelle, l’idée que des enfants transportent des étuis à fusils dans le bus pour aller au cours de tir à l’école secondaire relève du fantasme.
« Il y a un lien de cause à effet », a écrit mon père dans « La vraie solution aux fusillades de masse et à la violence ». Il poursuivait : « Il y a une cause pour chaque problème. La cause de nos crimes violents et sanglants est qu’en tant que société, nous avons rejeté la loi de Dieu ! […] Cette loi apporterait la paix et l’abondance à notre société de toutes les façons. Plus nous la transgressons, plus nos crimes sanglants s’aggravent. » La fusillade de l’école primaire du Texas est la preuve de cette affirmation. La société américaine a abandonné la loi de Dieu, alors Satan et ses démons exploitent ce vide pour créer un monde où les jeunes corrompus commettent l’un crime horrible après l’autre. Le prophète Ézéchiel a dit que ces crimes sanglants deviendraient comme les maillons d’une chaîne, où un maillon mène directement au suivant et au suivant et au suivant (Ézéchiel 7 : 23).
« Les démons cherchent à influencer ceux qui ont l’esprit vide ! Un esprit humain qui n’est pas rempli de la vérité de Dieu est un terrain fertile pour ces êtres spirituels pervertis », écrivait mon père en octobre 2017 dans « Violence de Charlottesville—Le danger réel est invisible ». Nous devons comprendre cela maintenant et cesser de croire au mensonge de masse selon lequel le monde des esprits est une fantaisie et que la seule réalité est la matière physique et l’énergie. Il existe une dimension spirituelle—un bon esprit et un mauvais esprit—qui motive les gens à faire le bien ou le mal.
« Les démons sont la cause cachée de nombreux problèmes incurables de notre société », a poursuivi mon père. « Ils ont beaucoup plus de puissance que les humains. La seule façon que nous pouvons combattre est avec la puissance de Dieu. »
Mais si nous abandonnons Dieu, Dieu nous abandonne. C’est ce que Jésus-Christ voulait dire lorsqu’Il a décrit un démon revenant dans l'esprit d'un homme, entraînant avec lui sept autres démons (Matthieu 12 : 43-45).
Notre société s’effiloche parce que nous abandonnons la famille et les lois de la famille. Nous nous livrons à des maux, aussi bien subtils que flagrants. Le problème est à l’intérieur de nos familles et en nous. Ne laissez pas un autre massacre scolaire se produire sans faire face à ce fait déconcertant mais crucial.
Le problème est que les fusillades de masse remontent à la façon dont nous élevons nos enfants—et nous ne savons pas comment élever nos enfants. C’est la leçon à apprendre, et à apprendre maintenant.
Le bon esprit, l’obéissance à la loi de Dieu, est la seule façon d’élever correctement des enfants. Battez-vous pour cela et battez-vous pour vos fils, car quelqu'un d'autre se bat pour eux.