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Les conséquences invisibles du changement climatique

JOSH EDELSON/AFP/GETTY IMAGES

Les conséquences invisibles du changement climatique

Certains scientifiques affirment que les incendies de forêt, les inondations, les sécheresses et des dizaines d’autres catastrophes sont imputables aux émissions de carbone. Mais il y a une catastrophe beaucoup plus importante qu’ils ne voient pas.

Quelque part dans le monde, les catastrophes environnementales causent toujours des destructions et font des morts. En 2019, nous avons vu l’ouragan Dorian, le cyclone Idai, la « bombe » météorologique du Midwest américain, des tremblements de terre en Indonésie, des tornades aux États-Unis et d’autres catastrophes meurtrières, avec des incendies de forêt en Californie, des inondations en Italie et des sécheresses en Australie et en Afrique du Sud, au cours de l’année.

Bien que ces catastrophes soient radicalement différentes—voire antithétiques—et qu’elles frappent des endroits disparates à travers le monde, on pense qu’elles remontent toutes à une cause commune.

La saison 2019 des feux de forêt en Californie a compté plus de 6,000 incendies, brûlant environ 81,000 hectares, tuant trois personnes et endommageant ou détruisant plus de 700 bâtiments. Certaines des zones brûlées se remettaient encore des incendies de forêt en 2017 et 2018 qui ont détruit plus de 32,000 bâtiments et tué 150 personnes. Les compagnies d’électricité ont réduit l’électricité à 2,7 millions de Californiens pour empêcher leurs lignes et leur équipement d’allumer de nouveaux incendies compte tenu des conditions de sécheresse et de vent. Des milliers de personnes qui furent évacuées avaient du mal à trouver un refuge.

« Voici à quoi ressemble le changement climatique », a tweeté Alexandria Ocasio-Cortez, représentante démocrate au Congrès américain, à New York, montrant des images d’incendies. « Le GOP [Parti républicain] aime se moquer des avertissements scientifiques sur le changement climatique, les trouvant exagérés. Mais il suffit de regarder autour de vous : il est déjà en train de commencer. Nous avons 10 ans pour réduire de moitié les émissions de carbone. Si nous ne le faisons pas, des scènes comme celle-ci peuvent empirer » (28 octobre 2019).

Près de 18,000 km plus loin, les robinets d’eau de l’Afrique du Sud ne coulent plus. Les faibles précipitations et les mauvaises infrastructures ont laissé des milliers de personnes sans eau dans la province du Cap-Oriental. Cinq villages sont sans eau courante depuis juillet. Le bétail est mort, les cultures sont flétries et les écoles sont fermées. Un expert en hydrologie affirme que l’Afrique du Sud subit sa pire sécheresse depuis mille ans.

« L’Afrique australe ressent les effets du changement climatique », a rapporté Forbes. « Les Nations Unies signalent que des sécheresses prolongées dans ce pays et à travers le continent ont entraîné des pénuries alimentaires, qui auront un impact sur 45 millions de personnes... En Afrique australe, les températures augmentent deux fois plus que la moyenne mondiale » (7 novembre 2019). Peter Johnston, climatologue à l’Université du Cap, a écrit sur theConversation.com que les chercheurs prévoient de nouvelles augmentations de température causées par les émissions de carbone (12 novembre 2019).

À environ 14,000 km au nord, les habitants de Venise, en Italie, auraient volontiers donné de l’eau aux Sud-Africains s’ils le pouvaient. Là, les rues sont devenues des rivières déchaînées et des bâtiments centenaires étaient inondés alors que les eaux s’élevaient à leur plus haut niveau, depuis 1966. La hausse de niveau des eaux rend les inondations plus fréquentes, menaçant le paradis touristique. « C’est le résultat du changement climatique », a déclaré le maire Luigi Brugnaro sur Twitter (12 novembre 2019).

Au Sud-Est, à 26,200 km en Australie, les précipitations moyennes pour les neuf premiers mois de 2019 ont été à leur plus bas niveau depuis 1965, tandis que les températures moyennes ont été les plus élevées depuis le début des relevés de température en 1910. La grave pénurie d’eau est dévastatrice pour les terres agricoles du Queensland et de la Nouvelle-Galles du Sud, et provoque la pire sécheresse depuis plus de 400 ans, selon certaines sources. L’un des plus grands barrages du bassin Murray-Darling, la principale région agricole d’Australie, est à peine rempli à 4 pour cent. L’approvisionnement en eau est sur le point de cesser dans de nombreuses villes, et l’été arrive. Certains agriculteurs demandent de l’aide pour abandonner leurs fermes. L’Australie, autrefois premier producteur mondial de laine et quatrième plus grand exportateur de blé, a ses troupeaux de moutons à leur plus bas niveau depuis 100 ans, et a dû importer du blé cette année. Un grand nombre d’élevages des meilleures vaches reproductrices d’Australie est abattu en raison du manque d’eau et d’aliments pour les animaux. Combiné avec des vents violents, les conditions de sécheresse ont amené d’énormes feux de brousse le long de la côte Est, avec 10,300 km² (trois fois plus que la saison dernière) qui ont brûlé à travers la Nouvelle-Galles du Sud avant même le début de l’été. La fumée de ces incendies a atteint la Nouvelle-Zélande, à plus de 4,000 km de là.

« La température, les combustibles, la sécheresse, la vitesse du vent et l’humidité influent tous sur les risques d’incendie et sont aggravés par le réchauffement mondial », a rapporté le Guardian. « Le lien entre l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre et le risque accru de feux de forêt est complexe, mais, selon les principaux organismes scientifiques, il est clair. Le changement climatique ne crée pas de feux de brousse, mais il peut vraiment les aggraver » (10 novembre 2019).

Une cause commune

Beaucoup d’urgences, une seule cause. Même les menaces qui ne semblent pas du tout avoir de relation sont également reliées à cette même cause. Après qu’un chasseur a récemment mangé un lapin sauvage en Mongolie intérieure, la Chine a souffert d’une épidémie de peste bubonique. Les médias d’État ont déclaré que les populations de rongeurs s’y sont multipliées à cause des sécheresses, et que les sécheresses se sont intensifiées à cause—vous l’avez deviné—du changement climatique.

La liste des problèmes mondiaux qui sont attribués à cette cause unique s’allonge rapidement. Ils comprennent, mais sont loin d’être limités à : plus d’inondations, plus de sécheresses, plus de feux de forêt, plus de vagues de chaleur, des hausses des températures, des températures en baisse, des augmentations de tornades, des ouragans plus forts, l’élévation du niveau de la mer, la diminution de la glace en mer arctique, l’acidité accrue des océans, moins d’eau potable, une agriculture en péril, une désertification croissante, la multiplication des insectes porteurs de maladies. Ensuite, le changement climatique est blâmé pour ce qui en résulte, telles que la privation, la malnutrition, la famine, des inégalités économiques, des troubles civils, des déplacements de population, et ainsi de suite.

À mesure que la liste des conséquences du changement climatique s’allonge, de plus en plus de gens se rallient à la cause commune de la lutte contre le changement climatique. La manifestation la plus impressionnante a eu lieu le 20 septembre 2019, lorsque des millions de personnes dans environ 185 pays se sont réunis dans des marches pour protester contre le problème. Ce fut le point culminant spectaculaire d’une protestation croissante contre ce qui est de plus en plus considéré comme la plus grande menace à laquelle l’humanité est confrontée.

Pour amener les scientifiques, les éducateurs, les politiciens, les célébrités, les experts, les professionnels, les étudiants et même les enfants, des millions de personnes de presque tous les pays sur Terre, à être d’accord sur quelque chose, ce doit être simple. Et c’est extrêmement simple : toute une panoplie de catastrophes et de chaos s’inscrit parfaitement dans un seul panier appelé changement climatique. En outre, il s’agit d’un problème dont la cause est clairement identifiable : les émissions de carbone. Ainsi, pour résoudre tous ces problèmes, l’humanité n’a besoin que d’une chose : générer moins de carbone.

Tous ceux qui ne sont pas d’accord sont considérés comme ignorants, peut-être méchants, une menace pour l’humanité. Chaque fois qu’une autre catastrophe se produit, elle est présentée comme une preuve supplémentaire que les dirigeants mondiaux n’en font pas assez pour forcer la réduction des émissions de carbone.

Ainsi, les militants deviennent plus impatients, leurs avertissements plus extrêmes, leurs « solutions » plus radicales, et leurs voix plus stridentes. « Des gens souffrent ; des gens meurent ; des écosystèmes entiers s’effondrent », a déclaré une militante de 16 ans, Greta Thunberg aux Nations Unies dans les jours qui ont suivi ces manifestations de masse. « Nous sommes au début d’une extinction massive, et tout ce dont vous pouvez parler, c’est d’argent et de contes de fées d’une croissance économique éternelle. »

Cette idée est devenue étonnamment populaire : les changements climatiques apporteront une extinction en masse, et la seule prévention est de remodeler la civilisation moderne. Plus précisément, pour sauver le monde de l’anéantissement de l’environnement, l’Occident doit abandonner l’économie de marché libre. Un gros titre du Guardian Unlimited résume l’essentiel : « Mettre fin au changement climatique nécessite la fin du capitalisme. Avons-nous de l’estomac pour y mettre fin ?

Le 5 novembre 2019, la revue universitaire Bioscience a publié une déclaration signée par 11,000 scientifiques déclarant « clairement et sans équivoque que la planète Terre est confrontée à une urgence climatique » et qu’« il est nécessaire d’accroître considérablement les efforts visant à préserver notre biosphère pour éviter les souffrances indicibles dues à la crise climatique ». Parmi leurs prescriptions : mettre fin au forage de combustibles fossiles, réduire le niveau de vie des riches, réduire les économies nationales et retirer la viande des menus.

Le vrai problème, cependant, c’est le contrôle de la population. « La population mondiale doit être stabilisée—et, dans l’idéal, progressivement réduite », écrivent les scientifiques. Ils vantent « des politiques éprouvées et efficaces qui renforcent les droits de l’homme tout en abaissant les taux de fécondité », y compris la contraception et l’avortement pris en charge par le gouvernement.

Au-dessus du rugissement et du bruit d’un tel alarmisme, la vérité peut se noyer. Cela conduit à ce qui est vraiment une conséquence terrible du « changement climatique »—une conséquence qui a des effets de vie ou de mort.

La manipulation des données

Un rapport approuvé par 11,000 scientifiques semble inattaquable—une quasi-unanimité scientifique. Mais plusieurs sceptiques ont épluché la liste de ces « scientifiques » et ont trouvé un grand nombre avec des références douteuses : des étudiants, des « chercheurs », des professeurs ou des professeurs agréés dans des domaines qui n’ont rien à voir avec le climat, comme la gynécologie, l’ethnomusicologie et la sécurité alimentaire. Certains n’avaient pas du tout de références. L’un des signataires était Mickey Mouse, professeur au Mickey Mouse Institute pour les aveugles.

Ces sceptiques avaient de bonnes raisons de se méfier : ce genre de fraude est une pratique courante dans la science du changement climatique.

Par exemple, la Quatrième évaluation nationale du climat par le gouvernement des États-Unis, en novembre 2018, comprenait une série de graphiques montrant des lignes de tendance qui prouvent supposément les changements climatiques. Mais, comme le fait remarquer Tony Heller, un scientifique incontestable, la date de début pour chacune des tendances est différente : les graphiques montrent les vagues de chaleur augmentant depuis 1960, la glace de l’Arctique diminuant depuis 1979, les feux de forêt aux États-Unis augmentant depuis 1983 et le niveau de la mer s’élevant depuis 1920. Pourquoi ? Les paramètres de chaque graphique ont été délibérément choisis pour s’assurer que la ligne de tendance raconte la « bonne » histoire. T. Heller note : « Lorsque vous voulez induire les gens en erreur avec des statistiques, il est important de choisir la bonne date du début ». L’Évaluation nationale du climat a choisi des dates qui évitent les températures plus chaudes avant 1960, la fonte glaciaire avant 1979, et le nombre beaucoup plus élevé d’hectares brûlés par les feux de forêt avant 1983. Entre-temps, les statistiques montrent que le niveau de la mer a augmenté à un rythme constant et lent de 2,84 millimètres par année depuis au moins le milieu des années 1800, et qu’il a également augmenté pendant des milliers d’années avant cela.

Il y a certainement d’authentiques scientifiques qui ont une véritable expertise en climatologie, qui croient que l’activité humaine crée des conditions apocalyptiques. Mais, avant de commencer de démanteler la civilisation et de purger la planète de ses habitants, il est bon de se rappeler ceci : les antécédents de la science sur cette question sont épouvantables.

L’idée selon laquelle le seul espoir pour cette planète condamnée, c’est d’éliminer les humains, est au moins vieille de plusieurs décennies. Il y a cinquante ans, Paul Ehrlich, professeur à Stanford, suggérait que, pour éviter le refroidissement mondial, le gouvernement pouvait réduire la population en mettant des médicaments inducteurs de stérilité dans les approvisionnements de nourriture et d’eau. En 1971, John P. Holdren (qui devint plus tard le conseiller scientifique du président Barack Obama) écrivit un essai, « Overpopulation and the Potential for Ecocide » [La surpopulation et le potentiel d’écocide], mettant en garde contre l’ère glaciaire à venir. Des exemples de telles prédictions dérangées et ratées sont nombreux. (Lire le commentaire de Brad Macdonald d’août 2019, « L'Attaque des écologistes contre la famille », montrant comment le véritable motif qui est derrière la campagne appelant au dépeuplement n’a rien à voir avec des inquiétudes pour la Terre : theTrumpet.com/20889.)

Il est important de se rappeler de tels faits, parce qu’ils sont absolument ensevelis par le bruit. On nous dit que des adolescents comme Greta Thunberg « comprennent », alors qu’ils protestent et crient après le monde pour l’inaction supposée à l’égard du changement climatique. Et quel barbare oserait contester 11,000 scientifiques ? Les médias sont à bord de ce train, et de plus en plus de dirigeants s’accrochent, ou sont poussés dedans—et prennent des décisions ruineuses en conséquence. C’est devenu le consensus présumé. Mais cela ne le rend toujours pas vrai pour autant.

Chaque nouvelle catastrophe que nous subissons fait sortir des climatologues parlant comme si ces malédictions cesseraient, si seulement nous devenions tous végétariens, érigions des moulins à vent, et arrêtions de piloter des avions. Ce n’est pas seulement délirant, c’est extrêmement dangereux.

Beaucoup de gens voient la malhonnêteté et l’hypocrisie de l’alarmisme climatique. Mais même eux ne voient pas le véritable désastre qui y est contenu : le fait que cette erreur obscurcit la leçon réelle que nous devons tirer de ces malédictions !

La véritable leçon

L’accent qui est mis sur le changement climatique cache le véritable problème. Si les émissions de carbone de l’homme ne sont pas à l’origine des inondations à Venise et des sécheresses en Australie, alors de quoi s’agit-il ?

Certes, l’activité humaine cause bien, directement, certains problèmes liés à la nature. Utiliser des combustibles fossiles libère des polluants comme le dioxyde de soufre et l’oxyde d’azote dans l’environnement (bien que les États-Unis aient réduit, depuis 1970, les émissions de dioxyde de soufre de 91% et les émissions d’oxyde d’azote de 60%). Cela peut créer des « pluies acides » qui, quoique bien moindres que dans les années 1970, empoisonnent encore les ruisseaux, les lacs et les marais. La dégradation des sols est une autre menace pour l’environnement causée par l’homme : les scientifiques estiment que notre sol a perdu de 25 à 75 % de sa teneur en matières organiques depuis le début de l’agriculture humaine—et surtout à cause des monocultures qui pompent les nutriments. Il y a aussi la question des gens qui construisent des maisons dans les zones inondables, sur les côtes et dans d’autres zones à haut risque, où le fonctionnement normal de la nature devient calamiteux uniquement parce qu’il perturbe l’activité humaine.

Mais, il y a encore un autre facteur beaucoup plus pertinent à considérer quant à la cause des désastres. C’est le facteur spirituel.

Le Créateur de la Terre a le pouvoir sur la météo (voir Psaumes 148 ; Nahum 1 : 3 ; Job 38 : 28). Et Il l’utilise pour accomplir des objectifs très spécifiques.

Remarquez les promesses que Dieu fait dans Lévitique 26 : 3-4 : « Si vous suivez mes lois, si vous gardez mes commandements, et les mettez en pratique, je vous enverrai des pluies en leur saison, la terre donnera ses produits, et les arbres des champs donneront leurs fruits ». Comparez cela avec les versets 14, 19 et 20 : « Mais si vous ne m’écoutez point, et ne mettez pas en pratique tous ces commandements... Je rendrai votre ciel comme du fer, et votre terre comme de l’airain. Votre force s’épuisera inutilement, votre terre ne donnera pas ses produits, et les arbres de la terre ne donneront pas leurs fruits ».

Ces versets et d’autres passages apparentés précisent clairement que l’obéissance conduit à la pluie dans sa saison, amenant la terre à produire beaucoup. Dieu est capable de créer un temps favorable et d’autres conditions pour les personnes qui Lui sont fidèles. Mais parfois, il retient la pluie et crée d’autres défis liés à l’environnement pour corriger ceux qui désobéissent à Ses lois.

« Il charge d’humidité le gros nuage ; les nuages diffusent sa foudre. Ils tourniquent sous sa direction, pour accomplir ce qu’Il leur ordonne sur la face du monde habitable. Que ce soit pour une correction, ou pour son pays, ou par amour, il fait que cela arrive » (Job 37 : 11-13 ; traduction selon la Revised Standard Version).

Dieu baigne la Terre avec une pluie douce et vivifiante pour montrer Sa sollicitude et Sa miséricorde remplies d’amour. Mais comme les êtres humains le rejettent et font du mal à Sa création, et aux uns et aux autres, Il envoie des tempêtes, des tornades, des ouragans, des inondations, des sécheresses et d’autres catastrophes pour la correction. Il essaie d’aider les gens à reconnaître qu’ils poursuivent la voie maudite de la désobéissance, la voie de l’immoralité, de la tromperie, de la convoitise, de la violence, de la haine, de la luxure, de la cupidité, de l’idolâtrie, du blasphème, de la vanité et de l’égoïsme.

Ce grand Créateur promet : « Si mon peuple, sur qui est invoqué mon nom, s’humilie, prie et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, je l’exaucerai des cieux, et je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays » (2 Chroniques 7 : 14).

C’est la pure vérité de la Bible ! Ceux qui attribuent ces catastrophes aux prétendus « péchés » consistant à émettre du carbone, à manger de la viande ou à avoir des enfants—plutôt qu’aux péchés réels que Dieu définit dans Sa Parole—sont en train de contredire et de défier, directement, la vérité de Dieu !

Lorsque vous comprenez que les catastrophes « naturelles » représentent notre Créateur qui s’adresse à nous, pour essayer de nous corriger et de nous guider dans une relation avec Lui, la véritable tragédie du « changement climatique » devient claire. Plutôt que de voir Dieu et d’accepter Sa correction, ils sont poussés à la colère, incités à protester et à se révolter et à blâmer leurs dirigeants. Ils jettent leur soutien émotionnel derrière des causes de gauchistes malavisés, et sont dépassés par une indignation égoïste passionnée qui affaiblit et déchire la société.

Toute cette tendance est couverte des empreintes digitales du père des menteurs, qui hait les êtres humains et a été « un meurtrier dès le commencement » (Jean 8 : 44), « le prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion » (Éphésiens 2 : 2)—Satan le diable. Ce dragon maléfique séduit toute la Terre (Apocalypse 12 : 9), et peu de problèmes démontrent cette réalité déchirante aussi clairement que cette question du changement climatique.

De toute évidence, la plupart des gens rejettent et se moquent de ce point de vue, mais la Bible ne peut être plus claire. Avec ces versets à l’esprit, les actions absurdes et bizarres des individus et des nations commencent à avoir un sens. Et plus encore, vous commencez à voir comment les crises, comme les sécheresses en Afrique du Sud et en Australie, les incendies en Californie et les inondations en Europe, peuvent être réellement résolues.

Je vous exhorte à lire notre brochure gratuite Why ‘Natural’ Disasters? [Pourquoi des catastrophes « naturelles » ? (Non disponible en français)]—en particulier le chapitre 3 : « The Deadly Climate Change Deception » [L’imposture mortelle à propos du changement climatique]. Au milieu de tout le bruit et la cacophonie sur ce sujet, voici de la vérité—de la vérité absolue basée sur la Bible. Elle donne la vraie solution. Il ne s’agit pas de supprimer la fécondité ou de financer les avortements. Il s’agit de bien comprendre et d’obéir notre Dieu Créateur, qui aspire à nous bénir.

LA TROMPETTE EN BREF

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