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Le syndicat du crime présidentiel démasqué
« Nous, le Peuple. » « Une Union plus parfaite. » « Le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple. » C’est fini. Les États-Unis d’Amérique ne sont plus une république constitutionnelle.
Les États-Unis n'ont plus de gouvernement représentatif—ils ont une oligarchie corrompue..
Ces affirmations peuvent sembler extrêmes. Mais elles sont tout à fait vraies. Il est de plus en plus évident que la nation est dirigée par des politiciens corrompus, des bureaucrates non élus, des généraux woke, des maîtres de l’espionnage, des magnats des médias, des géants de la technologie, des financiers d’élite et des criminels. Sa plus haute fonction est occupée par un prétendant au trône qui est contrôlé par un président fantôme.
Les membres du Congrès enquêtent enfin sur les activités criminelles de Joe Biden. Ils ne toucheront toujours pas au crime du vol de la présidence, mais ils examinent enfin officiellement les giga-octets de preuves qui montrent qu’en plus du coup d’État en cours, les Biden ont commis de nombreux autres crimes graves.
La plupart des gros titres sur les « crimes de Biden » portent sur le fils de Joe, Hunter, qui a consommé de la cocaïne, conduit de manière imprudente, eu des relations sexuelles avec des prostituées, versé des paiements à des personnes qui contrôlent et asservissent des prostituées, et sur des dizaines d'autres infractions similaires. Le groupe de recherche conservateur Marco Polo a répertorié, à partir de son propre ordinateur portable, sa participation à 459 délits. Pourtant, Hunter Biden continue de se promener librement, symbole provocateur du pouvoir que les élites de la gauche radicale exercent actuellement pour récompenser et punir à leur guise (Un record de corruption, page 18).
Mais en plus des preuves de ces crimes les plus salaces, il existe une documentation abondante sur ce qui ressemble à des pots-de-vin provenant de sources étrangères. Il s’agit notamment de voyages inexpliqués en Chine sous la protection des services secrets et de millions de dollars acceptés de la part d’élites corrompues en Russie, en Chine, au Kazakhstan et en Ukraine, tout cela alors que son père était vice-président des États-Unis—et que Barack Obama était président.
Dans quelle mesure Barack Obama était-il au courant de l’entreprise politico-criminelle de plusieurs millions de dollars de Joe Biden, et avait-il du pouvoir sur celle-ci ? Dans quelle mesure a-t-il utilisé ce pouvoir ? Et dans quelle mesure l’utilise-t-il aujourd’hui ?
Les preuves de la corruption de Joe Biden sont publiques depuis des années et les élites de Washington, D.C., les connaissent certainement depuis plus longtemps encore. Pourtant, ce n’est qu’en janvier 2023 que la commission de contrôle et de reddition de comptes de la Chambre des représentants a ouvert une enquête sur l’enrichissement financier dont ont bénéficié les membres de sa famille depuis qu’il est devenu vice-président en 2009. Et ce n’est qu’en décembre 2023 que la Chambre des représentants, dirigée par les républicains, a adopté une résolution officielle d’enquête sur la destitution de Joe Biden.
On aurait pu penser que les législateurs seraient plus curieux. L’ancien président de la Chambre des représentants, Newt Gingrich, a énoncé l’évidence dans un podcast de septembre 2023 avec le journaliste John Solomon : « Tout cela se produit alors qu’Obama est président. Rien de tout cela n’aurait pu se produire sans qu’il en soit activement informé. C’est tout simplement impossible. »
Les dossiers bancaires révèlent qu’au moins 20 millions de dollars en paiements étrangers ont été versés à la famille Biden et à ses partenaires, dont certains ont fait l’objet de rapports d’activité suspecte de la part des banques au département du Trésor américain. Il est clair que la famille Biden a trouvé de nombreux moyens de vendre son influence politique. Mais un examen plus approfondi montre que ces pots-de-vin sont restés dans une certaine limite. Ils ont permis de faire avancer les politiques de l’administration Obama, en favorisant les investissements autodestructeurs dans les « énergies vertes » aux États-Unis et en diminuant activement la puissance américaine à l’étranger.
Des dynasties politiques corrompues comme les Biden et les Clinton s’enrichissent en vendant la puissance et les ressources américaines. Mais cette corruption ne se limite pas à l’argent.
Cela n’aurait pas pu se produire sans l’approbation d’Obama, et il n’approuve que ce qui fait avancer son agenda. Comme la Trompette le souligne depuis des années, Barack Obama est un destructeur qui démantèle les États-Unis de l’intérieur ! Hunter Biden est un pion dans ce plan, tout comme Joe Biden.
On dit que le diable est dans les détails, mais dans ce cas, il est aussi dans la vue d’ensemble.
Trafic d’influence
Au cours de l’été 2006, environ deux ans avant que Barack Obama ne choisisse Joe Biden comme candidat à la vice-présidence, Hunter et James Biden, le frère de Joe Biden, ont racheté le fonds spéculatif Paradigm Global Advisors. Le premier jour, James aurait dit à ses nouveaux employés : « Ne vous préoccupez pas des investisseurs. Nous avons des gens dans le monde entier qui veulent investir dans Joe Biden. »
À l’époque, Joe n’était simplement qu’un membre influent de la commission des Affaires étrangères du Sénat. Mais son prestige international s’est considérablement accru lorsque Obama lui a demandé d’entrer en campagne pour la vice-présidence. Le sénateur Obama, qui n’avait fait qu’un mandat, avait peu d’expérience en matière de politique étrangère, et les élites étrangères pensaient que sa politique pourrait être inspirée par un sénateur vice-président de trois décennies connaissant bien les dirigeants et les diplomates du monde entier.
Hunter a abandonné ses activités de lobbying pendant la campagne d’Obama en 2008. Mais après la victoire de ce dernier, il s’est associé à Christopher Heinz, beau-fils du sénateur John Kerry, pour créer Rosemont Seneca Partners, une société de conseil basée à Washington conçue pour aider les oligarques du monde entier à « investir dans Joe Biden ».
L’un des oligarques les plus puissants à avoir accepté l’offre de Hunter était Mykola Zlotchevsky, un homme d’affaires ukrainien spécialisé dans le pétrole et le gaz naturel et ancien ministre de l’Écologie et des Ressources naturelles du président de l’époque, Viktor Ianoukovytch. Peu avant qu’Obama ne permette à Vladimir Poutine d’annexer la péninsule de Crimée en 2014, des manifestations ont contraint le pro-russe Ianoukovytch à fuir le pays. Zlotchevsky avait besoin d’être protégé des oligarques rivaux, il a donc proposé à Hunter de siéger au conseil d’administration de sa société de gaz naturel corrompue : Burisma Holdings Ltd. Hunter n’avait aucune expérience dans le secteur de l’énergie, mais il était expérimenté en aidant les gens à « investir dans Joe Biden ». Pour ses services, Hunter recevait 83 000 dollars—par mois. En juillet dernier, nous avons appris qu’une source fiable a déclaré au FBI (Bureau fédéral d’enquête) que Zlotchevsky avait admis avoir versé un pot-de-vin de 5 millions de dollars à Hunter Biden et un pot-de-vin de 5 millions de dollars à Joe Biden. La source affirme avoir des enregistrements qui le prouvent.
Obama, le chef des maîtres-espions comme John Brennan et James Clapper, était certainement au courant de ce genre de situations. Les a-t-il utilisées à son avantage ? Nous savons qu’il a supprimé en 2009 un plan de défense antimissile pour l’Europe datant de l’époque Bush et qu’il a permis à Poutine d’annexer facilement la Crimée. Sa politique étrangère en Europe, comme au Moyen-Orient et ailleurs, a réduit la puissance et l’influence américaines. Les sources de revenus de Joe Biden ont-elles joué un rôle à cet égard ?
Obama a déclaré un jour que « la Russie était beaucoup plus puissante lorsque l’Ukraine ressemblait à un pays indépendant mais était une cleptocratie dont il pouvait tirer les ficelles ». Il a compris que plus l’Ukraine est faible, plus elle est facile à contrôler. Il en va de même pour l’Amérique.
Hunter a travaillé sur un certain nombre de projets, probablement illégaux, pour des oligarques ukrainiens corrompus. En avril 2014, il a participé à la négociation d’un accord énergétique entre Burisma et la China National Offshore Oil Corp. Le même mois, il a reçu un e-mail d’un vice-président de la société de recherche médicale Metabiota, suggérant que les deux entreprises pourraient ensemble « affirmer l’indépendance culturelle et économique de l’Ukraine par rapport à la Russie ». Des e-mails retrouvés sur l’ordinateur portable de Hunter Biden montrent que Metabiota travaillait sur un « projet scientifique » spécial impliquant des laboratoires biologiques ukrainiens. Les responsables russes affirment aujourd’hui que ce qui se passait dans ces laboratoires est l’une des raisons pour lesquelles ils ont envahi l’Ukraine.
Comme l’a écrit Mark Bradman (alias Sundance) du Conservative Treehouse : « L’équipe Biden veut de l’argent. L’équipe Obama veut le pouvoir. Les Biden utilisent le pouvoir pour obtenir de l’argent. L’équipe Obama utilise l’argent pour obtenir le pouvoir. » En Ukraine, les Biden ont gagné des millions en faisant la promotion de la vision anticoloniale d’Obama d’une Ukraine neutre, non alignée sur l’Occident.
Système de pots-de-vin
Après la destitution du Président Ianoukovytch en 2014, l’Ukraine était classée comme la nation la plus corrompue d’Europe après la Russie et comme la 51e nation la plus corrompue du monde. L’administration Obama a profité de l’occasion pour lancer des réformes anti-corruption en Ukraine. Sous ce prétexte, le vice-président Joe Biden s’est rendu en Ukraine une demi-douzaine de fois. Des enquêtes ont depuis montré que Joe Biden était en grande partie responsable du problème.
Le patron de Hunter à Burisma soudoyait régulièrement le bureau du procureur général de l’Ukraine pour éloigner les enquêteurs de l’entreprise. En 2014, Viktor Chokine a été nommé procureur général de l’Ukraine et s’est fait un devoir d’enquêter sur Burisma comme ses prédécesseurs ne l’avaient jamais fait. La Commission européenne a félicité Chokine pour ses efforts dans la lutte contre la corruption en Ukraine. Mais Joe Biden n’était pas du même avis.
Lors d’une visite désormais tristement célèbre en Ukraine en mars 2016, Joe Biden a dit au Président Petro Porochenko que l’administration Obama annulerait un milliard de dollars de garanties de prêts américains à l’Ukraine s’il ne renvoyait pas immédiatement Chokine.
Plus tard, lors d’un événement organisé par le Conseil des relations internationales, Biden s’est ouvertement vanté d’avoir dit à Porochenko : « Vous n’aurez pas le milliard. Je pars dans six heures. Si le procureur n’est pas renvoyé, vous n’aurez pas l’argent. » Il a raconté comment il avait menacé d’impliquer Obama, et ri de la rapidité avec laquelle les Ukrainiens avaient obéi à ses ordres.
Joe Biden a utilisé un milliard de dollars de l’argent des contribuables américains pour protéger la corruption de Burisma, son fils et lui-même. Obama a-t-il permis cela ? Comme l’a dit Biden, « appelez-le ». Et tout cela lors d’un voyage « anti-corruption ».
Les Biden nient ces allégations, tout comme Joe Biden a affirmé lors d’une de ses apparitions pendant la campagne présidentielle : « Je n’ai jamais parlé à mon fils de ses affaires à l’étranger. »
D’autres documents provenant de l’ordinateur portable de Hunter montrent que Burisma a ouvert un compte spécial auprès de Satabank, une institution financière maltaise qui a depuis été fermée pour cause de blanchiment d’argent. Ce compte a été utilisé pour acheminer de l’argent ukrainien à Hunter Biden, dont le directeur financier de Burisma, Vadim Pojarski, a déclaré qu’il avait été engagé pour « nous protéger, par l’intermédiaire de son père, de toutes sortes de problèmes ». Les républicains de la Chambre des représentants pensent que c’est ce compte qui a été utilisé pour verser les deux pots-de-vin de 5 millions de dollars.
Le licenciement de Chokine est désormais au cœur de l’enquête de mise en accusation visant à déterminer si Joe Biden a abusé des pouvoirs de la vice-présidence pour enrichir son fils et lui-même. Il pourrait bien s’agir du plus grand scandale de corruption monétaire de l’histoire de la politique américaine.
Blanchiment d’argent
Barack Obama a confié à Joe Biden la responsabilité des relations des États-Unis avec l’Ukraine en raison de l’influence qu’il exerçait sur les fonctionnaires corrompus d’Europe de l’Est. Mais le travail de Hunter avec Burisma et Metabiota n’était qu’une partie de ce système de blanchiment d’argent qui implique également des oligarques chinois, kazakhs, roumains, russes et d’autres oligarques étrangers.
La commission de supervision de la Chambre des représentants a obtenu des milliers de pages de documents financiers montrant comment les Biden ont créé plus de 20 sociétés écrans pour dissimuler les pots-de-vin qu’ils ont reçus. Ces sociétés ont traité plus de 20 millions de dollars de paiements provenant d’oligarques. Pour tenter de dissimuler la vérité, ces paiements ont été versés à au moins neuf membres différents de la famille Biden : Hunter, le fils de Joe Biden, son frère James, sa belle-sœur Sara, sa belle-fille Melissa, son ancienne belle-fille Hallie, son ancienne belle-fille Kathleen, l’un de ses petits-enfants et deux des enfants de James Biden.
Qu’ont reçu les oligarques en échange de leurs millions ?
Il ne s’agissait pas de conseils sur la manière de traiter le gaz naturel ou sur les meilleures façons de construire des ports en Chine. La seule chose que vend la famille criminelle Biden, ce sont les faveurs de l’administration Obama.
Eric Schwerin, partenaire commercial de longue date de Hunter, s’est rendu à la Maison Blanche et à la résidence des Biden pas moins de 36 fois pendant les huit années de mandat d’Obama, selon un rapport de Fox News Digital. Cela signifie que M. Schwerin a probablement rencontré le vice-président Biden tous les trois mois environ. Pourtant, Biden a affirmé en public plus d’une dizaine de fois qu’il n’avait jamais eu de telles communications corrompues.
Des correspondances électroniques examinées par Fox News Digital montrent que David Wade, l’un des principaux collaborateurs du secrétaire d’État de l’époque, John Kerry, a déclaré à certains de ses collègues du département d’État que Hunter et Kerry entretenaient une étroite relation d’amitié. Hunter et Schwerin sont restés en contact étroit avec Evan Ryan, l’épouse de l’actuel secrétaire d’État Antony Blinken. Hunter a également été nommé au conseil d’administration du Truman National Security Project avec Jake Sullivan, qui est aujourd’hui le conseiller de Biden en matière de sécurité nationale, depuis deux ans environ.
Plus d’une dizaine de membres des équipes Obama et Biden ont des liens avec Hunter. L’enquête de la commission de contrôle de la Chambre des représentants ne concerne donc pas uniquement le fils de Joe Biden. En fait, cette enquête ne concerne pas seulement la famille de Joe Biden ou Biden lui-même. Elle concerne—ou devrait concerner—l’ensemble du régime Obama et la manière dont il a utilisé des systèmes de pots-de-vin pour consolider son pouvoir sur les Américains à l’intérieur du pays et, simultanément, affaiblir l’Amérique à l’étranger.
Barack Obama est activement en train de détruire l’Amérique de l’intérieur. Le recours aux Biden corrompus, aujourd’hui comme hier, fait partie de son programme pour « transformer fondamentalement les États-Unis d’Amérique ».
Nation maudite
Les pots-de-vin des Biden constituent une grave menace pour la sécurité nationale du peuple américain. Les paiements de millions de dollars à l’un des Biden aboutissent à des décisions gouvernementales de haut niveau qui n’auraient jamais été prises autrement. La crainte de voir ces pots-de-vin révélés au grand jour contribue à influencer la politique américaine dans un sens contraire aux intérêts des États-Unis. Cela jette certainement le doute sur le fait que la défense inhabituellement agressive de l’Ukraine par Biden découle de sa conviction—ou de celle d’Obama—dans la liberté des Ukrainiens ou du dévouement aux intérêts américains dans le monde entier.
L’implication de la famille Biden avec des trafiquants de drogue, des prostituées et des oligarques étrangers sont des scandales qui détruisent la nation. Mais au-delà de tout cela, il y a toutes les preuves que, malgré cela, des espions de haut niveau et d’autres élites ont pu voler une élection et se préparent à en voler une autre. Les postes de dirigeants de l’Amérique ne sont plus déterminés par des élections libres et équitables. Ils sont déterminés—ainsi que les décisions et les politiques qui en découlent—par une sorte de mafia, à l’instar des classes dirigeantes corrompues de pays comme la Chine, le Kazakhstan, la Roumanie, la Russie et l’Ukraine.
Comme nos ancêtres bibliques, l’Amérique a été fatalement affaiblie—non par des attaques militaires, mais par le péché. Sous le règne du roi israélite Jéroboam II, Israël a élargi ses frontières et pris le contrôle des routes commerciales lucratives reliant l’Assyrie et l’Égypte. Pendant que Jéroboam guerroyait, une nouvelle classe d’élites s’enrichissait en faisant le commerce de l’huile d’olive, du vin et des chevaux de guerre ; ils utilisaient leurs richesses pour exploiter leur propre peuple (Amos 6 : 1-7). Dieu condamne ces élites : « ils reposent sur des lits d’ivoire, ils sont mollement étendus sur leurs couches. Ils mangent les agneaux du troupeau, les veaux mis à l’engrais. [...] Et ils ne s’attristent pas sur la ruine de Joseph ! » Ils croient « éloigner le jour du malheur », agissant comme si leur style de vie somptueux allait durer éternellement et ignorant les menaces qui pèsent sur la nation. Dieu promet donc qu’ils seront les premiers à être emmenés en captivité lorsque l’Amérique tombera inévitablement.
Aujourd’hui, cette même attitude gangrène l’Amérique—en particulier la classe politique qui vend la puissance industrielle et les richesses en ressources de l’Amérique pour le profit. Aveuglés par la cupidité, ils ignorent les menaces qui pèsent sur la nation. Le Président Trump s’est efforcé d’enrayer cette corruption et de défendre les intérêts de l’Amérique. Mais sa campagne pour redonner à l’Amérique sa grandeur sera de courte durée si les Américains ne se repentent pas des péchés qui nous ont amenés là où nous en sommes.
Comme l’a expliqué mon père, le rédacteur en chef de la Trompette Gerald Flurry, le Président Trump est un roi Jéroboam II du temps de la fin. Trump est utilisé par Dieu pour sauver temporairement la nation de la destruction (2 Rois 14 : 27)—en même temps que Dieu avertit, « Je ne lui pardonnerai plus » (Amos 7 : 8). C’est la dernière chance pour l’Amérique de se repentir. C’est pourquoi Dieu veille à ce que la corruption gouvernementale soit exposée au grand jour : Il essaie d’éveiller les gens au mal qui nous entoure—et à la fragilité pitoyable de notre société et de notre civilisation pécheresses—afin de nous pousser à la repentance.
Plus on examine les problèmes qui affligent l’Amérique aujourd’hui, plus le tableau devient laid et tortueux. Continuez à suivre l’enquête sur la destitution de Biden. Elle n’aboutira peut-être pas encore à sa destitution, mais elle dévoilera de nombreuses choses que Dieu veut voir dévoilées, et ouvrira la voie à de grands changements !