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Le siège à venir
La géographie est le facteur le plus stable sur lequel repose la puissance d’une nation.
Les deux tiers de la surface de la terre sont constitués par l’océan. Les deux tiers de son sol habité englobent la grande masse de terre de l’Eurasie et de l’Afrique. Le reste, que nous appelons hémisphère occidental, est, en comparaison, une île au milieu des océans.
Jetez un coup d’œil à la carte polaire (à droite). Vue en perspective, directement au-dessus du pôle nord, la géographie de la surface de la terre devient tout à fait évidente à l’œil. La grande «Île du monde»—comme le géographe britannique du début du 20ème siècle, Sir Halford Mackinder, décrivait l’Eurasie et le bloc continental conjoint de l’Afrique—domine le sud de la planète de l’Arctique à l’Océan Indien, l’est vers la Mer de Chine Méridionale et l’ouest vers l’Atlantique.
En considérant cette réalité, il est étonnant que, malgré le fait que la plupart des nations de la terre habitent sur ce morceau immobilier, singulièrement énorme, la plus grande partie du globe depuis le 19ème siècle a été dominée par des peuples anglophones en grande partie originaires de nations, constituées d’îles, situées en dehors de leur périmètre occidental. Pourtant, particulièrement dans les jours de la dominance de l’Empire britannique durant la majorité du 19ème et la première moitié du 20ème siècles, c’était les peuples de la périphérie de cette surface de terre géante, ceux des Îles britanniques et de leurs dominions—la nation collective de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, plus le Canada dans le segment du nord des Amériques—qui avaient généralement de l’emprise sur une grande partie de l’Eurasie et de l’Afrique.
Comment cela a-t-il pu arriver? Il y a une réalité stratégique très claire qui explique ce phénomène dont la majorité reste ignorante. Cette ignorance, quant à la raison de cette réalité stratégique qui était donnée aux peuples anglo-américains, leur fait courir un grand risque de perte totale!
Ray S. Cline a servi comme sous-directeur des renseignements pour la Central Intelligence Agency de 1962 à 1966, et a joué un rôle clé dans la crise des missiles de Cuba de 1962. Il est mort en 1996. Une thèse principale de ses études stratégiques était basée sur le concept du globe, au début du 20ème siècle, du géographe Sir Halford Mackinder.
H. Mackinder «redoutait le jour, où l’Eurasie et l’Afrique qui lui est reliée pourraient devenir une base de puissance navale unie, capable de surpasser et devancer les nations de l’île» (Ray S. Cline, La puissance des nations dans les années 1990). Cet étudiant en géographie, clairvoyant, avait la présence d’esprit, même durant l’apogée de la puissance navale britannique, de craindre le jour où la capacité de contrôler le trafic des voies de navigation maritime du monde serait perdue pour les peuples anglophones, et assignée aux mains de ceux de l’Île du Monde, la plus grande masse terrestre et démographique du monde.
À peine un siècle est passé depuis que H. Mackinder a écrit son essai sur ce sujet. La Grande-Bretagne a perdu son remarquable contrôle de la haute mer, en même temps que son empire, il y a quelques décennies. Dans des temps plus récents, les États-Unis ont donné le contrôle de leur porte méridionale cruciale du Panama et leur porte du nord du Détroit de Béring. Les pires craintes de H. Mackinder sont en train de se réaliser rapidement.
Le combat pour l’Île du Monde
Durant les deux siècles passés, quatre démagogues ont essayé de prendre le contrôle de l’énorme surface de l’Île du monde. Napoléon a essayé, et a été défait par l’hiver russe en 1812. Un siècle plus tard, après que l’empereur Guillaume a fait battre les tambours de guerre, le général allemand Erich Ludendorff a essayé une stratégie orientale, remportant une victoire spectaculaire sur les Russes à la Bataille de Tannenberg en 1914, avant son échec suivant sur le front occidental. Hitler a essayé en 1941, et a été repoussé par la contre-offensive soviétique. À la fin de la Deuxième Guerre mondiale, Staline, faisant avancer ses tanks sans obstacle sur Berlin, a commencé les tentatives de l’Union soviétique, visant à prendre le contrôle de l’Eurasie et de l’Afrique. Les incursions délibérées de l’urss ont continué dans les théâtres asiatiques et africains, en infiltrant ces régions avec des insurgés, et en encourageant les conflits. Quoique cela ait, en fin de compte, mené à la mainmise de l’anc communiste en Afrique du Sud en 1994, les efforts des communistes en Asie ont calé en Corée et au Viêt-Nam.
Malgré la tendance naturelle de l’Amérique à l’isolationnisme—un fait permis par une combinaison de son positionnement unique (séparée de l’Île du monde par deux grands océans) et de ses bénédictions faites de ressources naturelles abondantes—des générations précédentes de militaires ont certainement apprécié la réalité derrière la thèse de H. Mackinder. L’un d’eux était le contre-amiral Alfred Thayer Mahan, officier de la Marine des États-Unis, géostratège et éducateur renommé.
L’amiral Mahan est toujours considéré comme le théoricien le plus éminent du pouvoir militaire naval au monde. Contemporain, et ami de Théodore Roosevelt, il a écrit L’influence de la puissance navale sur l’Histoire, 1660-1783, largement lu comme le texte définitif sur l’emploi stratégique du pouvoir naval. La prémisse principale de A. T. Mahan était que cette domination de la mer, par l’exercice du pouvoir naval, était cruciale pour le contrôle du commerce maritime, et était ainsi un élément essentiel pour obtenir l’avantage dans la guerre. Son livre est devenu largement influent dans les cercles stratégiques en son temps, particulièrement dans ces nations qui, plus tard, se sont trouvées elles-mêmes engagées dans la Première Guerre mondiale.
Alors, qu’est-il arrivé pour que l’opinion des stratèges militaires actuels change sur ce principe fondamental consistant à maintenir la puissance d’une nation?
La cession d’une grande porte maritime
D’une perspective purement humaine, nous pouvons peut-être admettre que la Grande-Bretagne, brisée et épuisée par deux grandes guerres qui se sont suivies, luttant pour la défense de son vaste empire, ne pouvait avoir d’autre choix que de rendre à ses anciennes colonies le précieux territoire protégeant ses portes maritimes.
Néanmoins, quelle excuse les États-Unis ont-ils pour littéralement remettre leur droit souverain au Panama, acheté et payé par les impôts d’une génération précédente? Et pourquoi les États-Unis, il y a cinq ans, ont-ils docilement donné aux Russes les îles et les mers territoriales—incluant les actifs et le fond marin—du Détroit de Béring pour si peu en retour? Cette porte maritime englobe un territoire de premier choix pour des emplacements radars et de poursuite satellite, des systèmes de déploiement de missiles et des silos de missiles sous-marins qui menaceraient la côte nord-ouest et l’intérieur des États-Unis.
Le résultat de ces transferts devrait être évident pour n’importe quel enfant en primaire, ou pour n’importe quel joueur du populaire «jeu du Risque»: il pose simplement la question de la perte probable du passage aux vaisseaux de guerre américains par le Canal de Panama et par le Détroit de Béring si le nouveau propriétaire de cette porte maritime choisit de la fermer par une barricade navale! Cette cession des portes du nord-ouest et du sud de l’Amérique semblerait, en se basant sur toutes les autorités reconnues sur la stratégie navale, apparentée à un suicide national!
Cependant la géographie n’a jamais été la vraie force de l’Américain moyen. Pour tant d’Américains, les États-Unis ne sont-ils pas le centre de l’univers? N’ont-ils pas la toute meilleure forme de gouvernement? Leur dieu n’est-il pas le Dieu de l’univers? Ne sont-ils pas vraiment un peuple bon? N’ont-ils pas réponse à tous les problèmes du monde? L’utopie n’appartient-elle pas à eux? Leur marine n’est-elle pas si puissante qu’aucune nation ne tenterait d’y résister?
Eh bien, la réalité, c’est que cette mentalité américaine très peu humble—le fait de prendre les choses comme allant de soi—est un phénomène assez moderne. Mais ce qui n’a pas changé, c’est l’ignorance grossière que l’Américain moyen a de la géographie de la planète sur laquelle il vit. Il y a soixante ans, les Américains ont été choqués par la réalité qu’il y avait, effectivement, un large monde, là-bas au-delà des Amériques, et qu’il était en grande partie hostile à leur population pacifique!
Après que le Japon a bombardé Pearl Harbor, le Président Franklin D. Roosevelt a dit à celui qui écrivait ses discours: «Je vais demander aux Américains de sortir leurs cartes. Je vais parler d’endroits étrangers dont beaucoup d’entre eux n’ont jamais entendu parler—d’endroits qui sont maintenant le champ de bataille de la civilisation.» C’était en 1942. Les Américains, ou tout au moins beaucoup d’entre eux, ont consciencieusement sorti leurs cartes du monde de leurs bibliothèques familiales et ont découvert un monde entier, s’étendant au-delà des rivages de leur île à l’isolement particulier.
Avancez de 60 ans, jusqu’au 11 septembre.
Cette fois le coup est beaucoup plus proche de la maison. Non pas seulement sur l’état éloigné de Hawaii, comme en 1941, mais directement au cœur et au centre des entreprises et du siège central politique de l’Amérique—New York et Washington! Cet unique événement a fait dévier l’esprit des responsables politiques américains vers la déclaration de «guerre contre la terreur», avec son centre principal au Moyen-Orient.
Mais maintenant, avec tant d’idées, tant d’atouts et une énorme partie de fonds consacrés à cet effort, les États-Unis risquent d’échouer dans la stabilisation des régions très stratégiques où ils sont les plus vulnérables.
Perte de l’isolement
Le fait de sa séparation de l’Île du Monde, par les barrières naturelles des océans Atlantique et Pacifique, a travaillé en faveur de l’Amérique depuis sa fondation en tant que nation. Ces grands océans étaient des barrières naturelles à l’incursion par des adversaires étrangers, seulement deux fois percées par une attaque aérienne surprise, en 1941 et en 2001. Le continent américain n’a jamais subi d’attaque couronnée de succès sur ses rivages par un ennemi maritime.
Mais, précisément comme le Premier ministre japonais Hideki Tojo en était très conscient en 1941, une nation aussi maritime que les États-Unis, par contraste avec n’importe quel pays sans littoral, doit maintenir une marine fonctionnelle de dimension qui permette une défense adéquate de ses littoraux, particulièrement de ses ports.
La Grande-Bretagne, jusqu’à des temps récents, était historiquement capable de défendre sa nation insulaire et plus tard son vaste empire, par sa grande force navale, une force qui n’est plus. Ces dernières années, de temps en temps, la marine britannique, énormément réduite, n’a pas eu assez de carburant pour quitter le port, n’a pas eu assez d’obus à tirer dans des exercices maritimes, et a dû littéralement emprunter des navires aux pays étrangers pour faire face au plus minimal des besoins.
Au contraire, la puissance navale américaine est, d’une manière écrasante, la plus grande de toute de la terre. Pourtant, à quoi bon une marine s’il lui est refusé l’accès aux divers ports d’escale nécessaires à l’acquittement de sa fonction? À moins que cette marine ne contrôle ou n’influence considérablement les nations bordant les portes maritimes par lesquelles il faut qu’elle passe, il se pourrait bien qu’elle reste dans ses propres ports. C’est la vraie faiblesse dans la défense américaine que les stratèges semblent largement ignorer.
Sur le théâtre européen, l’Amérique s’est reposée sur ses lauriers, diminuant progressivement sa présence militaire après l’implosion de la grande Union soviétique du début des années 1990. En particulier, depuis la conclusion des guerres balkaniques, le centre d’intérêt américain s’est déplacé vers le croissant islamique qui forme un arc de l’Afrique du nord, en passant par le Moyen-Orient, jusqu’au Caucase. Cela a impliqué une concentration des biens militaires et de la stratégie en Afghanistan, en Irak et dans des pays étrangers, comme la Turquie, qui donne un accès direct à ce théâtre. Mais alors que les États-Unis se concentrent sur cette partie de la surface terrestre, et sur un ennemi fluctuant des plus difficiles à atteindre, ils semblent avoir perdu de vue le diable qui se tient à la porte de service.
Si, comme Sir Winston Churchill le pensait, la Méditerranée est effectivement le «point vulnérable» de l’Europe, alors l’Amérique Latine est celui des États-Unis.
Les États-Unis font actuellement face à deux défis évidents quant à leur sécurité en tant que nation: une attaque surprise des extrémistes islamiques, et une incursion ininterrompue d’étrangers illégaux par sa frontière sud, fortement poreuse. Tandis que les stratèges militaires de l’Amérique consacrent des énergies substantielles à la guerre contre la terreur, des autorités éparpillées, et nettement en sous-effectif, essayent de limiter la marée accablante d’illégaux traversant quotidiennement les frontières sud du Texas, du Nouveau Mexique, de l’Arizona et de la Californie. Cela devient, pour l’administration américaine, une «patate chaude» qui s’avère pratiquement, économiquement et politiquement impossible à manipuler efficacement.
De plus, tout à fait à part de ces deux casse-tête sur la sécurité, le défi le plus vital pour la sécurité américaine obtient peu de presse et quand il le fait, il a peu de crédit. C’est le potentiel stratégique massif que la Chine acquiert tranquillement et régulièrement.
Le gain de la Chine
Au cours de la décennie passée, la Chine a raflé une participation majoritaire dans les portes maritimes cruciales, autrefois presque totalement contrôlées par des intérêts anglo-américains, à l’époque de la suprématie mondiale britannique et américaine. Voir les cartes ci-dessous pour comparer ce qu’il en était quand la Grande-Bretagne et les États-Unis contrôlaient chaque porte maritime majeure, au zénith de leur puissance, et ce qu’il en est aujourd’hui.
La Chine, la nation la plus populeuse de l’Île du monde, affichant le taux de croissance le plus rapide de toutes les économies nationales dans le monde, s’étend au-delà de son littoral oriental singulier dans un grand effort stratégique pour renverser la situation dans l’hémisphère occidental dans lequel elle a joué un rôle secondaire, pendant des siècles. Cette grande stratégie verra finalement la Chine faire plus que posséder la majorité des portes maritimes cruciales du monde—ce qu’elle fait déjà. Alors que sa force navale progresse rapidement, du fait de l’énorme dépense présente qui lui est consacrée, la Chine, alliée avec deux autres grandes puissances navales, sera en fin de compte capable de rivaliser sur une échelle bien plus qu’égale avec la présence navale américaine dans les principales voies de navigation du monde. Un facteur qui limite ce potentiel, c’est l’actuelle ligne de partage politique entre la Chine et le Japon.
Déjà, en accord avec la prophétie biblique concernant notre époque, la Russie et la Chine ont fait des ouvertures amicales l’une vers l’autre, conduisant même à des exercices navals communs dans la Mer de Chine Méridionale. Les marines conjointes de la Chine et de la Russie représenteraient une force considérable contre toute nation avec laquelle l’une ou l’autre, voire les deux, auraient un désaccord.
Mais réfléchissez. Le Japon a, en taille, la deuxième marine du monde. Qu’en serait-il si la Chine, le Japon et la Russie étaient capables de régler leurs différends sur le territoire disputé, et de former une alliance défensive? La puissance navale du Japon, ajoutée à la force navale nucléaire combinée de la Chine et de la Russie, pourrait représenter une force formidable face à l’Occident.
En fait, si ces trois pays s’allient, même pour un court moment, avec une Europe unie - tous les quatre exploitant de plus en plus des contrôles d’intérêts dans diverses régions de l’Afrique - les pires craintes de Sir Halford Mackinder se réaliseraient!
Une telle alliance représenterait littéralement «une base unie de puissance navale», capable de fermer le commerce arrivant aux nations de l’île.
Le résultat? Le siège par blocus naval!
Cela semble fou? Vérifiez votre Bible.
Le siège à venir
«Toutes ces malédictions viendront sur toi, elles te poursuivront et seront ton partage jusqu’à ce que tu sois détruit, parce que tu n’auras pas obéi à la voix de l’Éternel, ton Dieu, parce que tu n’auras pas observé ses commandements et ses lois qu’il te prescrit … L’Éternel fera partir de loin, des extrémités de la terre, une nation qui fondra sur toi … Elle t’assiégera dans toutes tes portes, jusqu’à ce que tes murailles tombent, ces hautes et fortes murailles sur lesquelles tu auras placé ta confiance dans toute l’étendue de ton pays, elle t’assiégera dans toutes tes portes, dans tout le pays que l’Éternel, ton Dieu, te donne» (Deutéronome 28:45, 49-52).
Croyez-le ou non, Dieu a donné les vastes terres insulaires du monde à la Grande-Bretagne et à l’Amérique - non pour quelque bonté de leur part, mais dans le cadre d’accomplissement d’anciennes promesses faites à un patriarche biblique (cela est expliqué dans notre livre gratuit Les Anglo-Saxons selon la prophétie).
Aucune nation n’a donné à Dieu le crédit et l’honneur qui Lui sont dus pour ces bénédictions. Au lieu de cela, les Anglo-Américains se sont écartés de leur Dieu; leur moralité traîne dans la boue; leur avidité et leur égoïsme croissent fortement dans cet âge de consumérisme. Le «bon temps» économique actuel est une façade, masquant l’immensité incontrôlable de la dette nationale et personnelle. L’externalisation pourrait être l’expression à la mode, mais, en réalité, elle accuse une nation qui a cédé son autosuffisance, autrefois hautement prisée, en transférant offshore ses connaissances en matière de production, ses compétences et capacités aux nations de l’Île du Monde. En réalité, ils ont simplement transféré aux nations étrangères la capacité d’exploiter efficacement les avantages de leurs bénédictions nationales reçues de Dieu, renforçant ainsi ces nations, et s’affaiblissant eux-mêmes.
On ne raillera pas Dieu. Il aura Son jour—et bientôt! L’écriture est déjà sur la muraille pour ceux qui ont des yeux pour la voir. La prophétie d’Ézéchiel prévoit clairement que les troupes de l’Île du monde s’uniront en fin de compte dans une grande alliance (Ézéchiel 38:1-7). Les prophéties d’Apocalypse 13, 17 et 18 pointent toutes vers une superpuissance européenne gouvernant en réalité le monde pour un court moment, avec les marchands—les grandes sociétés internationales qui font circuler leurs marchandises par les routes maritimes du monde—complices, comme durant la Deuxième Guerre mondiale, par leur soutien au régime d’un tyran. Un tel événement nécessitera une alliance des puissances qui contrôlent les portes maritimes et les voies de navigation maritime du monde, à ce moment-là. Cela vient, croyez-le ou non, bien que sa durée soit destinée à être courte.
Le plan d’un siège pour punir les Anglo-Américains est dressé. Il reste, à l’attente du moment exact, que l’ économie et la politique chinoises, japonaises, russes et européennes se combinent pour monter un siège monétaire contre le dollar—et que cela s’achève par un blocus naval littéral des portes maritimes à présent possédées, en majorité, par la Chine, et par lesquelles la plus grande partie du commerce anglo-américain doit passer.
Il est prophétisé que les résultats de ce siège seront terrifiants! Lisez-le vous-même dans Deutéronome 28:53. En fait, lisez le chapitre entier, et prenez conscience que Dieu a fait connaître ce véritable scénario en préparation, il y a 3 500 ans par le prophète Moïse!
Mais tout finit-il là, avec les États-Unis, la Grande-Bretagne et ses dominions, les grandes nations de l’île occidentale, tous asservis par les troupes de l’Île du monde?
Dieu merci, ce n’est pas le cas!
Le choix
Le seul vrai Dieu est un Dieu de grande miséricorde et de grande compassion, mais Il ordonne l’obéissance. Pourquoi? Parce que la loi qu’Il a mise en mouvement garantit des bénédictions qui sont accordées à ceux qui s’y conforment volontairement. Le même Dieu a ordonné à la nation de l’ancien Israël, des racines duquel descendent les peuples anglo-américains d’aujourd’hui: «J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre: j’ai mis devant vous la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité, pour aimer L’Éternel, ton Dieu, pour obéir à sa voix, et pour t’attacher à lui: car de cela dépendent ta vie et la prolongation de tes jours, et c’est ainsi que tu pourras demeurer dans le pays que l’Éternel a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob»
(Deutéronome 30:19-20).
Nous avons simplement un choix! Choisissez de vous soumettre et d’obéir à votre Créateur, et obtenez la vie et «la prolongation des jours». Les conséquences du refus de cet appel à obéir à votre Créateur sont incroyablement douloureuses, étant donné la réalité de la vitesse à laquelle les prophéties de Deutéronome 28 courent vers leur accomplissement!
En surface, cela semble un choix simple et évident: Choisissez la vie et la prolongation des jours sous la protection de Dieu—ou choisissez la rébellion contre le Créateur, et soutenez le siège à venir, et ensuite, dans la douleur, reconnaissez que vous et les vôtres auriez pu éviter la plus grande souffrance encore jamais connue par l’homme
(Matthieu 24:21-22).
Notre prière, c’est simplement que vous fassiez le juste choix. Notre brochure gratuite, Daniel enfin descellé! peut vous aider à prendre votre décision—avant qu’il ne soit trop tard. ▪