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Le sacrifice moderne des enfants

JUSTIN SULLIVAN/GETTY IMAGES

Le sacrifice moderne des enfants

Les sociétés anciennes offraient leurs enfants à leurs dieux. L’Amérique est-elle meilleure ?

Les enfants américains sont attaqués. Les enseignants, les fonctionnaires, la police et même les parents ont tous pris part à une dangereuse agression à caractère sexuel contre les plus impressionnables et les plus vulnérables d’entre nous.

Cela commence dès le plus jeune âge. Les grands magasins, de Target à Kohl’s, commercialisent des produits de « fierté » pour les bébés. Target vend des T-shirts représentant des adultes nus et des produits pro-homosexuels conçus par un sataniste. Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des vêtements conçus pour faire en sorte que les personnes ressemblent davantage au sexe opposé —y compris des corsets pour les seins et d’autres articles qui peuvent avoir des effets secondaires permanents—en vente dans les rayons pour enfants.

Des émissions populaires pour enfants comme Sesame Street, Blue et ses amis et Peppa font de la propagande homosexuelle. Disney se vante de son « agenda gay pas du tout secret ». À Disneyland, un homme en robe aide les petites filles à choisir des tenues de princesse.

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Pour célébrer le mois des fiertés en juin, Joe Biden a invité des milliers d’activistes homosexuels à la Maison Blanche. Des hommes et des femmes transgenres se sont déshabillés pour poser seins nus devant des enfants, tandis que le drapeau arc-en-ciel remplaçait le drapeau américain au centre du portique.

Ces militants ont déjà revendiqué le droit à la liberté d’expression pour organiser des défilés de la fierté nationale. Aujourd’hui, ils revendiquent le droit d’inviter des enfants à regarder des adultes généralement nus se livrer à des actes sexuels les uns avec les autres. Certains défilés comprennent une aire de jeu où les enfants peuvent jouer avec des jouets sexuels. Même les enfants en bas âge sont invités à participer à des événements intitulés « L’heure du conte de la drag queen », parrainés par les écoles publiques avec l’argent du contribuable. Lors de ces manifestations, les enfants sont invités à glisser des billets de banque dans les sous-vêtements d’hommes déguisés en femmes ; ils sont encouragés à danser comme des strip-teaseuses sous les applaudissements des adultes.

Les bibliothèques scolaires proposent aux enfants des livres explicites sur l’homosexualité. Un collège du Michigan a emmené des enfants faire de la ‘pole dance’ (danse de poteau) lors d’une sortie scolaire. Un lycée du New Jersey a secrètement autorisé certains de ses élèves à présenter un spectacle de travestis à un groupe restreint de membres du personnel. Les devoirs de maison nécessitent que les élèves lisent ou écrivent à propos de la masturbation, ou qu’ils décrivent dans quelle mesure ils sont à l’aise avec les actes sexuels homosexuels.

Les parents inquiets ou en colère face à ces attaques contre leurs enfants sont réduits au silence et subissent des attaques. Le Sénat de l’État de Californie examine un projet de loi qui ferait en sorte que le code de la famille de l’État considère toute personne qui refuse d’affirmer le sexe préféré d’un enfant comme coupable de maltraitance d’enfant et susceptible de se voir retirer ses enfants. Les écoles, les groupes de jeunes, les églises et toute autre organisation s’occupant d’enfants seraient accusés de maltraitance. L’année dernière, dans l’Indiana, un tribunal a retiré un enfant de son foyer parce que ses parents refusaient d’accepter que leur enfant ait changé de sexe. L’État de Washington a adopté en mai une loi autorisant l’État à prendre un enfant si ses parents refusent de consentir à des « soins d’affirmation du genre ». En clair, si les parents refusent que leur fils ou leur fille soit castré(e) chimiquement et rendu(e) définitivement stérile, ou qu’on lui coupe des parties du corps, l’État saisira l’enfant et le fera quand même.

Cette tendance est aussi manifestement et monstrueusement diabolique que tout ce que l’on peut imaginer. Comment la société moderne en est-elle arrivée au point où une telle méchanceté est devenue courante, acceptable—voire une source de fierté ?

Les enfants ne vont pas bien

Les promoteurs de ces politiques insistent sur le fait qu’ils agissent dans l’intérêt des enfants. Mais il est largement prouvé que cette pression homosexuelle et transgenre nuit aux enfants, voire les tue.

Dans de nombreux cas, les organisateurs de ces événements sont littéralement des criminels sexuels. Un conseiller scolaire de Tucson, en Arizona, qui avait organisé un événement « drag queen », a été arrêté pour avoir eu une relation sexuelle avec une élève. Une « drag queen » autorisée à faire la lecture aux enfants à la bibliothèque publique de Houston, au Texas, est un délinquant sexuel fiché. Les artistes présents à certains de ces événements ont été arrêtés pour possession de matériel pédopornographique. Pourtant, ces vérités évidentes sont souvent passées sous silence.

Certaines de ces histoires sont d’une horreur inimaginable. William et Zack Zulock sont un couple homosexuel « marié » qui, aux yeux de l’État, partage le même nom de famille. Ils ont adopté deux garçons, âgés de 9 et 11 ans, et en ont littéralement fait des enfants vedettes du mouvement lesbien-gay-bisexuel-transsexuel. Les deux hommes ont posé pour des campagnes de lutte contre la haine ; le magazine Out a souvent utilisé des photos de la « famille » sur son site web. Ils présentaient une façade brillante et heureuse. En réalité, ces deux hommes adultes violaient « leurs » garçons ! Pire encore, ils permettaient à d’autres pédophiles du voisinage de les violer à leur tour. Sur leurs appareils, à côté de photos Instagram les présentant comme des parents sains et aimants, se trouvaient des vidéos qu’ils avaient enregistrées d’eux-mêmes en train d’agresser sexuellement ces malheureux enfants.

Ce qui rend cette histoire encore plus honteuse, c’est que l’un de ces hommes avait déjà été accusé de viol d’enfant—avant que lui et son partenaire ne soient autorisés à adopter ! Les deux hommes ont été surpris par la facilité de la procédure d’adoption ; même eux ont supposé qu’une accusation criminelle rendrait l’adoption impossible—comme cela aurait dû être le cas. Mais c’est le genre de tragédie qui se produit lorsque les autorités sont si désireuses de paraître favorables aux homosexuels.

L’Angleterre a connu une tragédie similaire avec la petite Star Hobson. Des membres du public ont signalé que Star était maltraitée par sa mère et sa partenaire lesbienne. L’arrière-grand-père de Star a déclaré que les autorités les avaient considérées comme des « fauteurs de troubles qui avaient porté plainte parce que nous n’aimions pas les gitans ou les relations entre personnes du même sexe. » Ces fonctionnaires ont-ils fermé les yeux pour ne pas paraître homophobes ? Quelle qu’en soit la raison, c’est parce qu’ils ne sont pas intervenus que la vie de Star a été interrompue à l’âge de 16 mois.

Il s’agit des exemples les plus extrêmes et les plus horribles. Ils prouvent clairement que lorsqu’il s’agit de choisir entre protéger un enfant ou accepter le mouvement homosexuel, les autorités britanniques et américaines accepteront les adultes et le mouvement woke—même si des enfants meurent.

Mentir à nos enfants

Jazz Jennings, l’un des enfants les plus en vue du mouvement, a été l’un des premiers enfants transgenres à se retrouver sous les feux de la rampe. I Am Jazz a été l’un des premiers livres d’un genre désormais très répandu : les livres sur le transgenrisme destinés aux enfants d’âge préscolaire. Jazz a été invité à des talk-shows, est devenu ambassadeur d’une marque et a sa propre émission de télé-réalité. À l’adolescence, sous les yeux du monde entier, il s’est fait couper les organes sexuels lors d’une opération bâclée. Il a aujourd’hui 22 ans et est malheureux. Son émission est toujours d’actualité. Il a raté son premier semestre à l’université parce qu’il était déprimé. Il souffre constamment de ses opérations. Il sait qu’il ne pourra jamais avoir une relation amoureuse normale. Il s’est effondré à l’antenne, sanglotant : « Je veux juste me sentir moi-même. Tout ce que je veux, c’est être heureux et me sentir moi-même, et je ne me sens jamais moi-même ! »

Ce n’est pas la faute de Jazz. Ce traumatisme est devenu inévitable à partir du moment où, lorsqu’il était un petit garçon, des adultes qui auraient dû être plus avisés lui ont dit qu’être une fille rendrait sa vie bien meilleure. Ses parents, ses médecins, les politiciens et les médias l’ont abreuvé de mensonges et l’ont couvert d’attentions—puis, une fois le mal fait, les présentateurs sont passés à l’histoire suivante.

Une étude réalisée en 1991 s’est intéressée aux parents de garçons souffrant de « troubles de l’identité sexuelle » et se prenant pour des filles. Plus de la moitié d’entre eux avaient des mères diagnostiquées comme souffrant de dépression ou de troubles bipolaires—contre 6 pour cent dans le groupe témoin. Cela suggère clairement que des mères souffrant de troubles mentaux détruisent la vie de leurs enfants sous les applaudissements de la société. Il s’agit d’une étude limitée et inadéquate, qui n’a porté que sur une trentaine de personnes. Mais remarquablement, c’est le mieux que nous ayons, car l’industrie médicale n’a aucun intérêt à pousser plus loin les recherches.

Il s’agit vraiment d’une question d’une importance capitale, pour nos enfants et notre avenir. Le fait que les autorités s’efforcent de préserver la fiction sur les avantages des « soins d’affirmation du genre » est criminel. Et les jeunes en souffrent à un niveau horrifiant.

Jamais nos jeunes n’ont été aussi déprimés. Un tiers des filles américaines en école secondaire ont sérieusement envisagé de se suicider. Un quart d’entre elles ont planifié un suicide. Cinquante-sept pour cent ont déclaré se sentir constamment tristes ou désespérées.

Le mouvement homosexuel n’est pas le seul coupable. Mais si les misères et les taux de suicide élevés sont dus à l’intolérance, alors pourquoi la société la plus ouverte et la plus tolérante de l’histoire connaît-elle des niveaux records de malheur et de suicide ?

Les statistiques de suicide augmentent fortement pour les personnes sacrifiées à ce mouvement. La moitié des filles qui font la transition pour « devenir » des garçons tentent de se suicider. La modification du corps des adolescents ne résout pas leurs problèmes de santé mentale, elle les intensifie.

Le mouvement transgenre exerce un chantage affectif sur les parents : Mieux vaut une fille vivante qu’un fils mort, dit un slogan. Vous devez laisser votre enfant se faire couper des parties de son corps, ou vous serez responsable de sa mort. En mai, un centre allemand spécialisé dans les « soins d’affirmation du genre » a constaté que les jeunes transgenres ayant subi une intervention chirurgicale étaient plus déprimés et plus seuls que ceux qui n’en avaient pas subi. Une étude publiée dans le Journal of Sexual Medicine (Journal de la médecine sexuelle) a montré que les enfants qui avaient reçu ces « soins » avaient besoin de plus de médicaments antidépresseurs qu’auparavant.

Il ne devrait pas être nécessaire de mener de longues études pendant des années pour savoir que le fait de couper des parties du corps à des enfants ne les rend pas heureux. Une étude financée par le contribuable pour un montant de 500 000 dollars américains a consisté à administrer des stéroïdes sexuels de sexe opposé à 24 jeunes âgés de 12 à 20 ans, afin de les aider à effectuer une « transition ». Deux d’entre eux se sont suicidés.

Les maux du mouvement transgenre sont devenus si évidents que certains pays changent de cap. La Suède et le Royaume-Uni ont renoncé à la castration chimique des enfants. Les « bloqueurs de puberté » ne sont plus prescrits. La clinique britannique Tavistock, le centre du Service national de santé pour les enfants transgenres, a été fermée.

Tragiquement, dans tant d’autres domaines de la société, le mouvement se poursuit.

Le danger du ‘mariage’ homosexuel

La maltraitance massive des enfants par le mouvement transgenre a suscité à juste titre l’indignation dans certains cercles. Mais même là, le lien entre l’homosexualité et la maltraitance des enfants est ignoré.

Selon un sondage Gallup réalisé en juin, 71 pour cent des Américains approuvent aujourd’hui le « mariage » homosexuel. Ce que beaucoup oublient, c’est que ce mode de vie met les enfants en danger.

En 2012, l’étude sur les nouvelles structures familiales a interrogé 15 000 Américains âgés de 18 à 39 ans. Parmi les enfants qui ont grandi au sein d’une famille naturelle intacte, 2 pour cent ont déclaré avoir subi des attouchements sexuels de la part d’un parent ou d’une personne s’occupant d’eux ; 8 pour cent ont déclaré avoir été forcés d’avoir des relations sexuelles contre leur gré à un moment donné ; 5 pour cent sont devenus suicidaires. Ces statistiques sont tragiques, mais elles sont bien plus élevées chez les homosexuels. Pour ceux dont la mère est lesbienne, 23 pour cent ont déclaré avoir subi des attouchements sexuels de la part d’un parent ou d’une personne s’occupant d’eux, et 12 pour cent ont dit être devenus suicidaires. Pour ceux dont le père est homosexuel, 31 pour cent ont déclaré avoir été forcés à avoir des relations sexuelles contre leur gré, et 24 pour cent sont devenus suicidaires.

De nombreuses personnes se sont efforcées de discréditer cette étude. Encore une fois, la taille de l’échantillon est faible : peu de personnes ont été élevées par un parent homosexuel et étaient adultes en 2012. Mais les critiques ne parviennent pas à réfuter les conclusions de l’étude. Elles émanent manifestement d’universitaires désireux d’étouffer des conclusions qui leur déplaisent.

Et cette étude est loin d’être la seule à révéler la désagréable vérité. Plusieurs études ont montré que les hommes homosexuels représentent environ 3 pour cent de la population, mais qu’ils commettent 30 à 40 pour cent de tous les crimes sexuels contre des enfants.

Même les universitaires qui tentent d’affirmer que l’homosexualité n’a aucun lien avec les viols et les abus sexuels commis sur des enfants admettent le contraire. Un chercheur a écrit : « Seuls 21 pour cent des agresseurs de petits garçons que nous avons étudiés étaient exclusivement homosexuels. » Les hommes « exclusivement homosexuels » ne représentent qu’une infime partie de la société, et il est donc remarquable qu’ils constituent un agresseur d’enfants sur cinq.

De nombreux médias grand public répètent le mensonge selon lequel il n’existe aucune preuve d’une corrélation entre l’homosexualité et les abus sexuels commis sur des enfants. Ils ne peuvent le « prouver » qu’en redéfinissant l’homosexualité. Bien entendu, si l’on définit les homosexuels comme des « personnes attirées par des personnes du même sexe mais qui ne sont pas pédophiles », on constate que très peu d’homosexuels sont pédophiles.

En réalité, la pédophilie est au cœur du mouvement homosexuel depuis des années.

LGBTP ?

La Gay Activist Alliance de New York était une organisation homosexuelle clé au début du mouvement visant à promouvoir la tolérance, l’acceptation et la popularité de l’homosexualité. Elle a été qualifiée d’« organisation militante américaine de libération gay la plus influente du début des années 1970 », et son siège est devenu un monument de la ville de New York.

Au début des années 1970, David Thorstad, président de la Gay Activist Alliance, est devenu membre fondateur d’une organisation au nom choquant : la North American Man/Boy Love Association (nambla ; Association nord-américaine pour l’amour entre les hommes et les jeunes garçons). Ce groupe pédophile a ensuite été admis au sein de plusieurs organisations homosexuelles, bisexuelles et transgenres. Thorstad a déclaré ouvertement : « Les amoureux des garçons ont été impliqués dans le mouvement gay dès le début, et leur présence était tolérée. » Aussi récemment qu’en 2002, l’Association internationale lesbienne et gay s’est vu refuser la reconnaissance des Nations unies en tant qu’organisation non gouvernementale parce qu’elle « n’a pas prouvé qu’elle avait purgé les groupes pédophiles » tels que nambla.

Au Royaume-Uni, la Campaign for Homosexual Equality (Campagne pour l’égalité des homosexuels) a entretenu une relation similaire avec la Pedophile Information Exchange (groupe britannique visant à la reconnaissance des droits des pédophiles). La campagne a adopté des motions en faveur des pédophiles à deux reprises au moins. En Allemagne, le Parti vert a poussé à la légalisation de la pédophilie dans les années 80 et 90.

À la même époque, Allen Ginsberg a utilisé la poésie pour soutenir le mouvement homosexuel. Il a remporté le National Book Award for Poetry (Palmarès national de livres pour la poésie) en 1974 et la médaille d’or du National Arts Club en 1979. Il était membre de la nambla et écrivait régulièrement pour elle.

Gayle Rubin est professeure à l’université du Michigan. Son livre Thinking Sex (Penser sexe) est considéré comme un texte fondateur du mouvement homosexuel-bisexuel-transgenre. Elle y écrit que les relations sexuelles entre adultes et enfants devraient être légalisées et normalisées et que les pédophiles ont été victimes d’une « chasse aux sorcières » injuste. « Comme les communistes et les homosexuels dans les années 1950 », écrit-elle, ils « sont tellement stigmatisés qu’il est difficile de trouver des défenseurs de leurs libertés civiles, sans parler de leur orientation érotique. Par conséquent, la police s’est jetée sur eux. La police locale, le FBI et les inspecteurs postaux se sont associés pour construire un énorme dispositif dont le seul but est d’éradiquer la communauté des hommes qui aiment les jeunes mineurs. »

C’est ce que pensent de nombreuses personnes au sein du mouvement homosexuel. Les livres de fiction écrits pour les homosexuels en sont la preuve : nombre d’entre eux sont remplis de pédophilie. Le Weekly Standard a écrit : « La fiction gay est riche en récits idylliques de ‘relations intergénérationnelles,’ comme on appelle respectueusement ces relations de nos jours. » Plusieurs de ces romans se retrouvent dans des anthologies telles que The Gay Canon : Great Books Every Gay Man Should Read (Le canon gay : livres remarquables que tout homosexuel devrait lire).

Le Journal of Homosexuality (Journal de l’homosexualité) était l’une des publications les plus courantes du mouvement homosexuel. En 1990, le journal a publié une série d’essais intitulée « Male Intergenerational Intimacy : Historical, Sociopsychological and Legal Perspectives » (Intimité intergénérationnelle entre mâles : perspectives historiques, socio psychologiques et légales). Dirigée par un pédophile, la publication fait l’éloge des relations sexuelles entre adultes et enfants comme un droit naturel. En 1999, la revue a déclaré : « Les relations homme-garçon et femme-fille sont sans aucun doute des relations entre personnes du même sexe et elles constituent bel et bien un aspect de la vie des gays et des lesbiennes. »

Les horribles tentatives d’inculquer la perversion aux enfants ne datent pas d’aujourd’hui : il s’agit d’un élément fondamental du mouvement lgbt, et ce depuis le début. Elle a simplement été cachée pendant des décennies pendant que l’on travaillait à ce que la société adopte le mouvement. La prochaine lettre ajoutée pourrait être « P ».

Au fur et à mesure que le mouvement lesbienne-gay-bisexuel, puis transgenre, s’est généralisé, ses dirigeants se sont montrés plus prudents dans leurs propos, craignant de perdre le soutien des électeurs ordinaires. Aujourd’hui, le soutien est si fort que le mouvement promeut fièrement, effrontément, ces thèmes. Ils savent que s’ils doivent choisir entre soutenir le mouvement homosexuel et paraître tolérants ou protéger les enfants, ceux qui sont au sommet de la société sacrifieront les enfants.

Sacrifier les enfants

La société, les politiciens, les éducateurs, les églises et bien d’autres ont suivi ce mouvement, malgré le mal inimaginable qu’il fait à toute une génération. En tant que société, nous en sommes venus à considérer cela comme moralement acceptable.

Mais qu’en pense Dieu ? Nous n’avons pas à débattre de cette question ; la Bible nous le dit directement.

« Tu n’affligeras point la veuve, ni l’orphelin », ordonne Dieu dans Exode 22 : 22-24. « Si tu les affliges, et qu’ils viennent à moi, j’entendrai leurs cris ; ma colère s’enflammera, et je vous détruirai par l’épée ; vos femmes deviendront veuves, et vos enfants orphelins. »

Pourrait-il y avoir une condamnation plus forte ? Dieu promet de venger ceux qui sont sans défense ! Lorsqu’un bambin est torturé à mort ou qu’un petit enfant subit un lavage de cerveau avec une saleté perverse, Dieu se met en colère. Et Il répondra effectivement.

Le mouvement homosexuel prêche l’amour et la tolérance. Les chrétiens ont gobé cette propagande, adopté cet amour sirupeux et contrefait, et rejeté les enseignements clairs de la Bible. Dieu qualifie d’abomination l’homosexualité, le transgenrisme et tous les éléments du « mouvement lgbt ». Quand on en voit les fruits immondes, on comprend pourquoi : à cause des dégâts épouvantables qu’ils causent à ceux qui y participent, à leurs victimes et à la société tout entière.

Dans les prophéties du temps de la fin, Dieu compare une telle conduite aux sacrifices d’enfants. Il condamne ceux « s’échauffant [avec convoitise, selon d’autres traductions] près des térébinthes, sous tout arbre vert, égorgeant les enfants dans les vallées, sous des fentes de rochers » (Ésaïe 57 : 5).

Dans Ézéchiel, Dieu dit : « Tu as égorgé mes fils, et tu les as donnés, en les faisant passer par le feu en leur honneur » (Ézéchiel 16 : 21). Ce chapitre s’adresse à « Jérusalem »—mais Ézéchiel a écrit trop tard pour donner un avertissement quelconque à l’ancienne Jérusalem. Il s’agit avant tout d’un avertissement pour la Jérusalem spirituelle—l’Église de Dieu—mais aussi pour les descendants modernes d’Israël en Grande-Bretagne et en Amérique (lire notre livre gratuit Les Anglo-Saxons selon la prophétie).

Nos peuples ont une histoire avec Dieu. La common law britannique et la Constitution américaine ont leurs racines dans la Bible. Nous devrions être les mieux placés pour le savoir. Au lieu de cela, nous entraînons le monde dans des perversions effroyables et sataniques.

Anciennement, Israël et Juda faisaient la même chose. La Bible parle de Moloc, un ancien dieu cananéen, peu connu de l’histoire, que les gens adoraient avec des sacrifices d’enfants. Jérémie 32 : 35 dit qu’Israël et Juda ont commencé à « faire passer par le feu leurs fils et leurs filles à Moloc : ce que je ne leur ai point commandé ; et il ne m’est point monté au cœur qu’ils fissent cette chose abominable... » (version Darby).

Clitarque d’Alexandrie, écrivant vers 300 avant Jésus-Christ, décrit un sacrifice à Moloc qu’il a vu dans la colonie phénicienne de Carthage : « Au milieu d’eux se dresse une statue de bronze de Kronos, les mains étendues au-dessus d’un brasier de bronze dont les flammes engloutissent l’enfant. Lorsque les flammes tombent sur le corps, les membres se contractent et la bouche ouverte semble presque rire jusqu’à ce que le corps contracté glisse tranquillement dans le brasier. C’est ainsi que le ‘rictus’ est connu sous le nom de ‘rire sardonique’, puisqu’ils meurent en riant. »

C’est épouvantable, horrible et difficile à lire. Pourtant, ce que nous faisons aujourd’hui est pire.

Tout d’abord, il faut considérer à quel point le mal est plus répandu aujourd’hui. Combien d’adolescents désorientés ont été poussés au suicide par cette idéologie satanique. De la Maison Blanche à l’école, les adultes poussent à la perversion—et les enfants qui la suivent ont une chance sur deux d’essayer de se suicider.

La Bible révèle que le mariage et la famille ont été créés par Dieu. Il veut que les enfants grandissent avec une vision pratique de leur avenir éternel dans la Famille Dieu. Le mariage et la famille peuvent être l’une des plus grandes sources de joie et d’espoir pour les enfants comme pour les adultes (article, page 1).

Le mouvement homosexuel s’attaque directement au plan de Dieu pour Ses enfants. Il les prive d’espoir, empoisonne leur esprit et tente de les couper définitivement de leur Père céleste.

L’objectif de ce mouvement n’est pas seulement de détruire la vie physique. Il s’agit d’une tentative d’effacer le plan de Dieu pour ces enfants.

Diodore de Sicile, écrivant vers 50 avant Jésus-Christ, a également décrit les sacrifices d’enfants à Carthage. Il parle d’une crise au cours de laquelle la ville a « choisi 200 des enfants les plus nobles et les a sacrifiés publiquement ». Que pensaient les parents en voyant leurs bébés se tordre dans les flammes, créant cette horrible grimace pour leur dieu assoiffé de sang ? De la tristesse, certainement. Mais ils se considéraient aussi comme des êtres éclairés et désintéressés, sacrifiant ce qu’ils avaient de plus précieux pour le bien de tous. Sommes-nous meilleurs aujourd’hui, alors que nous livrons nos enfants à une idéologie qui détruit les esprits et les vies, tout en nous félicitant et en célébrant notre « fierté » ?

Dieu dit qu’Il punira « dans ma colère, dans ma fureur, et dans ma grande irritation » (Jérémie 32 : 37). Lorsque nous voyons la façon dont la société s’accommode de cette méchanceté perverse et destructrice et la célèbre, nous pouvons certainement comprendre pourquoi.

Comment nous en sommes arrivés là

Comment en sommes-nous arrivés à un point où la société a embrassé une cause aussi diabolique ? Il est essentiel de le comprendre, faute de quoi nous pourrions nous-mêmes accepter une telle cause avec insouciance.

Tout commence par un petit compromis avec le péché—la violation de la loi de Dieu (1 Jean 3 : 4). Le péché nous coupe de Dieu (Ésaïe 59 : 1-2). Comme l’indique notre brochure Redéfinir la famille, le péché « déforme la pensée, se gravant profondément dans l’esprit (Jérémie 17 : 1) et brûlant la conscience (1 Timothée 4 : 2 ; Éphésiens 4 : 19). Les péchés sexuels en particulier pervertissent les pensées et les sentiments sains. Ils portent atteinte au respect et à l’honneur du sexe opposé et à l’appréciation de la famille telle que Dieu l’a créée. »

Les péchés sexuels se nourrissent d’eux-mêmes. Un peu de pornographie suscite le désir de quelque chose de plus pervers. La pornographie extrême entraîne le spectateur encore plus loin dans la bassesse. Comme l’a écrit l’auteur Andrea Long Chu, lauréate du prix Pulitzer, « Le porno efféminé m’a rendu trans. »

Romains 1 explique exactement comment la société a atteint ce point de dépravation.

Le verset 18 nous avertit : « La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive. » Il y a des choses que l’humanité peut et doit savoir sur Dieu. Mais elles ont été supprimées. L’homme peut savoir que Dieu est son Créateur, mais nous avons rejeté cette vérité (versets 19-20). « Puisqu’ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs pensées et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres » (verset 21).

Au lieu de cela, nous avons adopté une éducation purement matérialiste basée sur l’évolution. Nous avons complètement rejeté ce que Dieu dit sur le mariage et la famille. Nous avons adopté des lois concernant la moralité sexuelle qui encouragent à faire ce que l’on veut—de plus en plus, même si cela signifie s’attaquer à des enfants !

Les versets suivants décrivent cette dégringolade. L’homme est conquis par ses convoitises. Le résultat : « ...leurs femmes ont changé l’usage naturel de la femme en celui qui est contre nature ; et de même les hommes, abandonnant l’usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. Comme ils ne sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes » (versets 26-28).

La perversion qui nous entoure est le résultat naturel du rejet de la loi de Dieu, de la négation de la morale biblique et de la normalisation de la fornication, de l’adultère, des familles sens dessus-dessous, du divorce et de la monoparentalité.

Qu’en est-il de ceux qui ne participent pas à ce mal, mais ne s’y opposent pas non plus ?

Dans Lévitique 20, Dieu prononce la peine de mort à l’encontre de quiconque sacrifierait un enfant à Moloc. Mais Il ne s’arrête pas là : « Si le peuple du pays détourne ses regards de cet homme, qui livre de ses enfants à Moloc, et s’il ne le fait pas mourir, je tournerai, moi, ma face contre cet homme et contre sa famille, et je le retrancherai du milieu de son peuple, avec tous ceux qui se prostituent comme lui en se prostituant à Moloc » (Lévitique 20 : 4-5). Si les gens ne se lèvent pas pour arrêter le mal, Dieu a dit qu’Il le ferait—et qu’Il punirait aussi ceux qui ne font rien.

Et si vous pensez que l’Ancien Testament est nul et non avenu, Paul écrit la même chose dans Romains 1 : 32. Dieu avertit que Son jugement vient sur ceux qui « connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses [...] approuvent ceux qui les font. »

La Bible adresse de puissants avertissements au mouvement homosexuel. Elle donne également un avertissement puissant à ceux qui n’en font pas partie, mais qui ne font rien pour le combattre.

Il est clair que ceux qui sacrifient des enfants méritent d’être punis. Mais qu’en est-il de ceux qui restent sur la touche sans rien faire ? Ils ont eux aussi besoin qu’on leur remette les idées en place.

Si nous laissons faire, nous nous compromettons avec le péché. Nous nous mettons sur la même pente glissante. Nous nous retrouvons rapidement à tolérer des choses qui nous ont autrefois indignés.

Comment l’Amérique a-t-elle atteint le niveau de perversité qu’elle connaît aujourd’hui ? Oui, quelques pervers ont fait passer des pratiques manifestement maléfiques dans le courant dominant. Mais au-delà de cela, la plupart des gens n’ont rien fait. Dieu dit qu’Il est furieux contre ces deux groupes.

Est-ce que l’un d’entre nous est aussi fortement choqué par ce péché que l’est Dieu ?

Vous devez choisir votre camp

Comment devons-nous alors réagir ? Les mêmes écritures qui révèlent la réaction de Dieu nous donnent la réponse.

Dieu ordonne en Ésaïe 58 : 1 : « Crie à plein gosier, ne te retiens pas, élève ta voix comme une trompette, et annonce à mon peuple ses iniquités, et à la maison de Jacob ses péchés ! » Dieu dit à un autre prophète : « Fils de l’homme, fais connaître à Jérusalem ses abominations ! » (Ézéchiel 16 : 2).

C’est la seule façon de ne pas être souillé par le péché de la société : en soutenant l’œuvre de Dieu qui met en garde contre ce péché.

Il n’est pas question de se tenir à l’écart ou d’être neutre dans ce combat. Si vous ne vous battez pas pour nos enfants, vous vous battez contre eux et contre Dieu.

Il n’y a qu’une seule réponse d’amour au mouvement homosexuel : mettre en garde contre les conséquences de ce qu’ils font à eux-mêmes et à nos enfants.

La plupart des gens ne tiendront pas compte de l’avertissement. Mais Dieu, dans Son amour, ne permettra pas à la société de continuer à creuser de nouvelles profondeurs de perversion. Il interviendra avec autant de force et de douleur qu’il le faudra pour redresser ce monde. Ceux qui tiendront compte de l’avertissement à l’avance s’épargneront d’indicibles souffrances. Ainsi, Dieu a une œuvre qui proclame un message d’avertissement et un message d’espoir. Un message qui montre au monde ses péchés et lui donne la merveilleuse vision qui se cache derrière le mariage et la famille—une vision avec une promesse éternelle.

Dieu veut que toute l’humanité ait la possibilité de rejoindre Sa famille. Il fera tout ce qu’Il peut pour redresser même ceux qui sont actuellement piégés dans ce mouvement diabolique—Il ne veut pas que quiconque périsse (2 Pierre 3 : 9). Il est plein d’amour. Mais l’amour ne signifie pas tolérer le sacrifice d’enfants. Cela signifie sauver les enfants, corriger le péché, redresser les esprits et éduquer le monde à un nouveau mode de vie—un mode de vie qui apporte la joie, la paix et le bonheur pour toujours.

LA TROMPETTE EN BREF

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