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Le mystère du royaume de Dieu (septième partie)
La suite provenant de Le mystère du royaume de Dieu (sixième partie)
Une éducation universelle
Êtes-vous en mesure d’imaginer quel pas gigantesque ce serait si toutes les nations et si tous les peuples de la Terre parlaient, écrivaient et lisaient la même langue ?
À l’heure actuelle, dans certaines régions du globe, il n’existe aucune langue écrite. Des millions d’individus sont illettrés, ne sachant même pas lire ou écrire leurs noms.
Dès que le Christ, à Son retour, aura assujetti cette planète, Il instaurera une ère où tous sauront lire et écrire, une ère d’éducation totale ; Il donnera au monde une langue unique, nouvelle et pure.
On pourrait écrire tout un livre sur ce sujet. Le processus littéraire, dans le monde entier, a été altéré. De nos jours, toutes les langues sont corrompues. Elles comportent un grand nombre de termes païens ou superstitieux, de fausses appellations, d’exceptions, d’idiomes bizarres.
Dieu déclare : « Alors je donnerai aux peuples des lèvres pures, afin qu’ils invoquent tous le nom de l’Éternel, pour le servir d’un commun accord » (Sophonie 3 : 9).
Imaginez cette nouvelle ère de bonne littérature, de belle musique, dans laquelle seront éliminés les efforts réitérés, les malentendus causés par les difficultés linguistiques, et les interminables heures passées à traduire. Lorsque le monde entier sera éduqué, et lorsque tous parleront la même langue, quelle belle époque ce sera !
Que dire de la structure économique ?
Dieu indique que Jérusalem deviendra la capitale financière du monde, tout autant que la capitale spirituelle.
Au sujet de cette nouvelle cité, Il déclare : « Tu tressailliras alors et tu te réjouiras, et ton cœur bondira et se dilatera, quand les richesses de la mer [les réserves mondiales en or et en argent, qui se trouvent sous les mers] se tourneront vers toi, quand les trésors des nations viendront à toi » (Ésaïe 60 : 5).
Comme nous l’avons déjà mentionné plus haut, le Tout-Puissant déclare qu’Il élèvera des régions actuellement situées sous les océans, rendant ainsi disponibles un grand nombre de terres supplémentaires. Les savants reconnaissent que la plupart des matières premières du globe se trouvent dans la couche située immédiatement sous les océans.
Dieu dit que toutes ces richesses seront disponibles lors du règne de Jésus-Christ, ici-bas.
Il dit que les richesses du monde seront rassemblées à Jérusalem, et que les vastes programmes de reconstruction, de réhabilitation, et d’exploration du nouvel âge qui commencera, seront financés par ces richesses.
« Car ainsi parle l’Éternel des armées : Encore un peu de temps, et j’ébranlerai les cieux et la Terre, la mer et le sec ; J’ébranlerai toutes les nations ; les trésors de toutes les nations viendront, et Je remplirai de gloire cette maison, dit l’Éternel des armées. L’argent est à moi, et l’or est à moi, dit l’Éternel des armées » (Aggée 2 : 6-8). Le public pourra, néanmoins, contempler le grand trésor de Dieu. Plus question de pépites d’or emprisonnées dans une strate souterraine, profonde, inaccessible, et sans aucune autre valeur que sa signification symbolique. Plus aucune crainte de vol ou de cambriolage. En revanche, il y aura des décorations formidables pour la construction essentielle, le Temple où résidera le Christ.
La valeur de l’or sera fixée, et restera la même.
Nul ne spéculera ou ne pariera au détriment de son prochain.
Jamais plus on ne verra quelqu’un s’enrichir aux dépens des autres, en tirant profit des efforts et des talents créatifs d’autrui. Finis les bourses, les banques internationales, les centres financiers, les compagnies d’assurance, les sociétés hypothécaires, les agences de prêts, les paiements à terme.
Sous le gouvernement divin, les gens n’achèteront que ce dont ils ont besoin, et lorsqu’ils en auront les moyens. Plus question de payer des intérêts. Plus d’impôts.
Le système de la dîme
En revanche, chacun versera ses dîmes.
De nos jours, les gouvernements réclament quarante, cinquante voire quatre-vingt-dix pour cent d’impôts sur les successions et sur le revenu ; ils effectuent également d’autres prélèvements (taxes d’habitations, et autres).
Dieu, quant à Lui, ne réclame que dix pour cent de notre revenu. Et c’est grâce à ce dixième que fonctionnera la direction gouvernementale, éducative et spirituelle, de toute la Terre.
« Un homme trompe-t-il Dieu ? Car vous me trompez, et vous dites : En quoi t’avons-nous trompé ? [Et Dieu répond :] Dans les dîmes et les offrandes. Vous êtes frappés par la malédiction, et vous me trompez, la nation tout entière ! Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison ; mettez-moi de la sorte à l’épreuve, dit l’Éternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance » (Malachie 3 : 8-10). Cette prophétie s’applique à notre époque.
Quelle bénédiction ! Il n’y aura plus les fardeaux financiers qui pèsent sur la plupart des gens, aujourd’hui.
Dieu dit que les bénédictions financières seront à l’ordre du jour.
Éliminez les vols, les cambriolages, les accidents, les dommages causés par les intempéries ; éliminez la rouille [des métaux], la pourriture ou le délabrement du matériel, des magasins, des usines : les marchandises seraient vendues moins cher—et quel profit en tirerait-on !
Les conditions météorologiques
Éliminez—pour le bien des agriculteurs—les problèmes météorologiques, les dommages causés par les insectes, la rouille [des plantes] et les moisissures ; éliminez les pertes dues au contrôle des prix par le gouvernement, et l’inondation des marchés : quels soucis en moins !
Dieu accomplira ces choses.
Notre Dieu est un Père céleste multimilliardaire. « L’or est à moi », dit-Il (Aggée 2 : 8).
Dieu veut que chacun de Ses enfants prospère véritablement. « Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé... » (3 Jean 2). Le Christ a dit : « Je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance » (Jean 10 : 10).
Dieu veut une vie débordante et abondante pour chacun.
Considérez ceux qui ont « réussi ». Sont-ils vraiment heureux ? Paul Getty, un des hommes les plus riches du monde, est réputé pour avoir déclaré : « Je donnerais tous mes millions pour avoir un mariage heureux ! »
Dans le royaume de Dieu, il faudra obéir à Ses commandements. Ils seront la référence pour réguler le commerce, les affaires, les finances et toute la structure économique du monde.
Tout reposera sur la base du « donner ». Le Christ a dit : « Donnez, et il vous sera donné : on versera dans votre sein une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde ; car on vous mesurera avec la mesure dont vous vous serez servis » (Luc 6 : 38).
La voie du « donner » sera suivie lors du règne de Dieu sur cette Terre—non pas la voie de l’avarice, de la complicité, de la lutte, de la tromperie, de la clandestinité, de la sournoiserie, de la calomnie, de la dissimulation, de l’escroquerie et de la chicane, qui a cours dans le monde des affaires, aujourd’hui.
Quand Dieu convertira l’humanité rebelle par la manifestation de Sa grande puissance ; quand Il exécutera cette parole, à savoir : « Je suis vivant, dit le Seigneur, tout genou fléchira devant Moi, et toute langue donnera gloire à Dieu » (Romains 14 : 11) ; quand Il humiliera l’esprit humain qui est vaniteux et orgueilleux, alors l’homme sera disposé à donner.
Et jusqu’à ce que Dieu brise l’esprit hautain de l’homme (Ésaïe 2 : 10-12, 17), les peuples de la Terre ne seront pas prêts à accepter cette voie—merveilleuse, aimante, généreuse, honnête—de donner, qui sera appliquée à toute l’économie.
Il faudrait un épais volume pour commencer à décrire les conditions merveilleuses qui pourraient avoir cours sur cette Terre, et qui auront cours en fin de compte, quand le cœur humain se sera humilié et converti—participant ainsi à la nature de Dieu (2 Pierre 1 : 4).
Plus personne ne fera de construction, sans en avoir les moyens et sans en avoir le besoin, pour la donner à bail ou la louer à des gens qui l’aideront à la financer. Il n’y aura plus d’intérêt. Dieu dit que c’est un péché de prêter de l’argent avec « usure » ou avec intérêt.
Tous les cinquante ans, toutes les dettes, publiques ou privées, seront annulées, complètement.
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