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Le message caché du rapport Horowitz
L'élection présidentielle américaine de 2020 est dans quelques semaines seulement, et l’ancien vice-président Joe Biden a de puissants alliés qui le soutiennent dans sa tentative de vaincre le président Donald Trump.
En mars, M. Biden a perdu le caucus (comité électoral) du Nevada au profit d’un socialiste autoproclamé, et il semblait avoir échoué. Mais son ancien patron, Barack Obama, est intervenu. Le 1er mars, il a téléphoné au candidat à la présidence Pete Buttigieg et l’a convaincu de se retirer de la course et d’appuyer Joe Biden pour la présidence. Les principaux responsables de l’administration Obama ont immédiatement commencé à soutenir M. Biden, dont l’ancienne conseillère à la sécurité nationale Susan Rice, l’ancien directeur de la CIA (Agence centrale de renseignement) John Brennan et l’ancien directeur du FBI (Bureau fédéral d’enquête) James Comey. Ce qui s’est passé ensuite a été l’un des revirements les plus spectaculaires de l’histoire politique américaine. Une fois que Biden eut été oint comme le successeur préféré d’Obama, les démocrates ont commencé à voter pour lui en masse. Lors de la primaire du « Super Mardi » le 3 mars, il a pris une avance de 84 délégués sur le sénateur Bernie Sanders, s’assurant pratiquement qu’il deviendrait le candidat démocrate.
Biden a depuis reçu le soutien unanime de l’État de sécurité nationale d’Obama : L’ancien vice-procureur général Sally Yates, l’ancien directeur du renseignement national James Clapper et plus de 150 anciens espions, chefs de station CIA, des diplomates et d’autres fonctionnaires. Une lettre signée par beaucoup de ces responsables condamnant le président Trump et approuvant Joe Biden est affichée sur le site Web thesteadystate.org. L’expression « État stable » est un terme politiquement correct pour ce que la plupart des Américains pensent quand ils disent « État profond ».
Les responsables de l’ère Obama veulent reprendre le contrôle. L’administration Obama a passé huit ans à transformer fondamentalement le gouvernement et la culture américaine. Et depuis qu’un républicain a pris la Maison Blanche, les démocrates ont démontré qu’il n’y a pas de limite à ce qu’ils sont prêts à faire pour saper la dernière élection—et la prochaine. Et cela inclut le comportement criminel, voire traître.
Les preuves de cette vérité se sont accrues tout au long de la présidence Trump. Nous devons comprendre à quel point c’est dangereux.
En décembre, l’inspecteur général Michael Horowitz a publié un rapport de 476 pages détaillant 17 « inexactitudes et omissions » graves dans les demandes de la Cour de surveillance du renseignement étranger du FBI pour espionner Carter Page, un conseiller en politique étrangère de la campagne Trump. En réalité, il s’agissait de 17 crimes de trahison commis par l’administration Obama pour tenter de piéger Donald Trump et de prendre le contrôle du gouvernement !
Ce scandale est bien plus meurtrier que la plupart des gens ne le pensent. Il y a une dimension spirituelle à ce qui se passe, et vous ne pouvez pas comprendre ces événements à moins que vous ne le reconnaissiez. Si Hillary Clinton avait été élue, les tendances destructrices qui se sont déroulées pendant la présidence Obama se seraient poursuivies sans contrôle. Beaucoup de gens pensent que cela aurait signifié la fin de notre république constitutionnelle !
Aujourd’hui, l’État profond d’Obama tente une fois de plus de prendre le contrôle du gouvernement. Cela expose la gravité de l’époque.
La Bible révèle le message caché du rapport Horowitz, mais vous devez étudier ce sujet dans la prière pour comprendre !
Propagande politique
La plupart des démocrates affirment que l’enquête sur les liens présumés de Donald Trump avec la Russie a commencé avec l’enquête Crossfire Hurricane (l’Ouragan de feux croisés) à la fin de Juillet 2016. En fait, elle a commencé en avril de cette année-là, lorsque la campagne présidentielle d’Hillary Clinton a embauché l’entreprise de recherche basée à Washington Fusion GPS pour obtenir de la saleté sur Donald Trump.
Le cofondateur de Fusion GPS , Glenn Simpson, a engagé l’ancien agent de renseignement du MI6 Christopher Steele pour créer une série de mémos plus tard connus sous le nom de « dossier Steele ». Ce dossier accusait M. Trump d’avoir eu des escapades avec des prostituées russes et d’autres crimes graves. Aucun détail de cela n’a été vérifié. Steele a partagé son dossier avec l’ancien chef du MI6 Richard Dearlove, et Dearlove aurait conseillé Steele de contacter le FBI. Steele a remis son premier rapport au FBI le 5 juillet 2016. Ce rapport a officiellement donné le coup d’envoi de l’enquête Crossfire Hurricane (l’Ouragan de feux croisés) le 31 juillet 2016, mais le véritable scandale existait déjà depuis plusieurs mois à cette époque.
Glenn Simpson a plus tard déclaré au Sénat américain qu’il voulait que Steele se penche sur les relations d’affaires de M. Trump et a été alarmé quand Steele a découvert par inadvertance une « conspiration politique » entre la campagne Trump et la Russie. Simpson a dit qu’il a signalé les conclusions de Steele au FBI par sens du devoir. Pourtant, le rapport Horowitz a révélé que Simpson avait menti à plusieurs reprises.
Horowitz note que Steele avait été embauché pour trouver des preuves de la collusion Trump-Russie dès le début. Christopher Steele lui-même a avoué à l’inspecteur général Horowitz que Simpson lui avait demandé en mai 2016 « s’il y avait des liens entre le gouvernement russe et Trump et sa campagne ». Le moment de cette demande est intéressant. Cela signifie que Simpson parlait de collusion entre Trump et la Russie avant que le FBI ne soit impliqué et avant que Steele ait produit des rapports sur la collusion avec la Russie.
En d’autres termes : Clinton et Simpson n’étaient pas là pour déterrer de la saleté—ils étaient là pour créer de la saleté !
Ils ont créé tout un dossier de fausses preuves à partir de rien ! Le rapport Horowitz le rend parfaitement clair.
Pensez à la merveilleuse liberté que nous avons eue en Amérique—puis considérez les conséquences d’un groupe de personnes qui travaillent pour renverser un président élu des États-Unis d’Amérique et ses 63 millions électeurs avec un dossier de propagande ! C’était leur plan !
Et les détails ne font qu’empirer. Le principal contact de Steele au ministère de la Justice était Bruce Ohr, un sous-procureur général adjoint dont sa femme travaillait pour Fusion GPS en tant qu’entrepreneur indépendant. Les responsables de Fusion GPS ont demandé à Steele de commencer à divulguer la saleté qu’il a recueillie au sujet de M. Trump et de sa campagne au New York Times, au Washington Post, au New Yorker, à CNN et à Yahoo News. Pendant ce temps, le chef du siège du gouvernement britannique des communications s’est envolé pour les États-Unis pour discuter du dossier de Steele avec M. Brennan, le directeur de la CIA.
L’agent britannique aurait dû aller à un autre département. Mais il est allé directement à Brennan. Pourquoi ? Parce que Brennan était le tsar des espions du président Obama, qui a mené le scandale de trahison pour renverser le gouvernement américain !
Le FBI voulait mettre en application un mandat FISA pour espionner Carter Page, le conseiller de la campagne de Trump, et ils avaient besoin de sources collaboratrices indiquant que Page était coupable de quelque chose. Lorsque les responsables du FBI ont demandé leur mandat en octobre 2016, ils ont présenté un article de Yahoo News par Michael Isikoff comme une corroboration indépendante des informations contenues dans le dossier Steele—même s’ils savaient qu’Isikoff recevait ses informations de Christopher Steele en premier lieu. Pensez-y : Une source policière a fourni des informations aux médias, puis les organismes d’application de la loi ont utilisé les reportages des médias comme preuve de ses affirmations ! Les médias ont écrit des articles sur ces allégations, que les forces de l’ordre ont utilisés comme davantage de preuve pour renouveler le mandat. En d’autres termes, les forces de l’ordre et les médias ont formé une chambre d’écho.
Crimes de trahison
Après que les fonctionnaires du FBI eurent obtenu leur mandat frauduleux pour espionner Carter Page, ils pouvaient appliquer une règle de « deux-sauts » pour espionner toute personne liée à Carter Page. Cela incluait M. Trump lui-même. Tout le processus visait Donald Trump.
Les textes des messages récupérés échangés par l’agent du FBI Peter Strzok et l’avocate du FBI Lisa Page révèlent que Strzok voulait une « police d’assurance » au cas où Donald Trump serait élu, et que le président Obama dirigerait toute l’opération. « Potus veut savoir tout ce que nous faisons », a écrit Lisa Page à Strzok à une occasion.
Mais la chambre de résonnance médiatique que le FBI d’Obama a créée n’était que le début du scandale. Le rapport Horowitz révèle sept inexactitudes et omissions flagrantes dans la demande initiale du FBI d’espionner Carter Page, et 10 inexactitudes et omissions supplémentaires dans leurs demandes de renouvellement. Certaines de ces « inexactitudes et omissions » sont terriblement choquantes ! Fait significatif, le FBI n’a pas informé les juges de la cour de surveillance que Carter Page avait été un « contact opérationnel » pour la CIA pendant des années, et avait déjà débriefé la CIA au sujet de ses contacts avec les agents du renseignement russe. Cela signifie que le FBI a fini par espionner Page pour le travail qu’il faisait pour le gouvernement américain. Et puisque Brennan, le directeur de la CIA, a discuté du dossier Steele avec le chef du siège des communications du gouvernement britannique avant que le FBI ne demande son mandat, il est impossible que les fonctionnaires du FBI qui ont demandé un mandat à Page ne soient pas au courant de son travail pour la CIA.
Le rapport Horowitz révèle également que le FBI a exagéré l’importance des rapports passés de Christopher Steele et a omis que Steele avait dit au FBI que l’officier du Kremlin dont il a obtenu ses informations était un « vantard » et un « égoïste » qui « peut s’engager dans un certain embellissement ». En d’autres termes, le FBI savait que Steele obtenait ses informations d’un menteur connu en Russie, mais a néanmoins utilisé le dossier comme « preuve ».
Ces « inexactitudes et omissions » ne sont pas une comédie d’erreurs. Ils font partie d’un complot visant à espionner injustement et illégalement un citoyen américain et à accuser Donald Trump pour un crime qu’il n’a pas commis.
Les démocrates ont pu utiliser des rumeurs et des mensonges pour lancer une enquête de 22 mois auprès d’un avocat spécial et une enquête de mise en accusation de quatre mois contre M. Trump. Vous n’avez pas besoin d’en savoir beaucoup sur le gouvernement pour savoir que tenter de destituer un président légalement élu en utilisant de la propagande non vérifiée est une trahison du plus haut niveau ! Des responsables corrompus de l’application de la loi, dirigés par Barack Obama et avec l’aide de Hillary Clinton, ont conspiré pour renverser le gouvernement des États-Unis ! Si ce n’est pas une trahison, alors rien n’est une trahison !
Le journaliste d’enquête Andrew McCarthy couvre cette histoire dans son livre Ball of Collusion : The Plot to Rig an Election and Destroy a Presidency (Boule de collusion : Le complot pour truquer une élection et détruire une Présidence). La véritable collusion lors de l’élection de 2016 n’était pas entre Donald Trump et la Russie. C’était entre la campagne Clinton et l’État profond de Barack Obama.
État policier
Le rapport Horowitz révèle comment Barack Obama et son entourage ont presque détruit les États-Unis en transformant l’Amérique d’une république constitutionnelle à une dictature autoritaire dirigée par de puissants bureaucrates non élus, des fonctionnaires, des chefs militaires et des agents du renseignement. Les principaux responsables de l’administration Obama ont menti, dissimulé des preuves et manipulé des documents afin d’espionner un citoyen américain et de détruire la présidence de Donald Trump. Et tout le scandale a été dirigé par le sommet !
Dans Ball of Collusion (Boule de collusion), McCarthy raconte comment le FBI n’était pas vraiment en contrôle de la campagne pour piéger Donald Trump. Le 5 août 2016, l’agent du FBI Strzok et sa maîtresse Lisa Page « ont eu une conversation tendue au sujet d’une réunion imminente impliquant des ‘gens de l’agence’—apparemment la CIA », a-t-il écrit. Lors de cette réunion, un fonctionnaire— dont le nom a été supprimé dans les notes de service du gouvernement—a déclaré aux fonctionnaires du FBI, « La Maison Blanche dirige cela. »
Selon McCarthy, ce fonctionnaire était le directeur de la CIA John Brennan.
Cela signifie que le président Obama utilisait la CIA pour orchestrer l’intrigue contre Donald Trump !
Brennan était l’un des agents les plus radicaux de l’administration Obama. Alors qu’il était encore étudiant à l’Université Fordham en 1976, Brennan a voté pour le candidat du Parti communiste USA à la présidence Gus Hall. Chose choquante, il a été recruté dans la CIA seulement quatre ans plus tard ! Pourquoi le président Obama voulait-il qu’un communiste dirige la CIA à sa place ? Peu de temps après que Brennan ait pris le poste, son département a commencé à espionner le Comité de renseignement du Sénat. Quand il a été arrêté, il a menti catégoriquement et a absolument nié cela. Mais il a finalement été forcé de l’admettre. McCarthy n’écrit pas beaucoup sur le passé communiste de Brennan, mais Barack Obama a été guidé par le communiste Frank Marshall Davis. Peut-être que leur vision du monde marxiste commune est la raison pour laquelle Obama et Brennan ont si bien travaillé ensemble.
Lors d’un témoignage devant la commission du renseignement de la Chambre des représentants, Brennan a déclaré qu’à la fin de juillet 2016, un groupe de responsables de la CIA, du FBI et de l’Agence nationale de sécurité a commencé à enquêter sur les allégations d’ingérence russe. Et dans une interview ultérieure, il a admis qu’il a personnellement donné des pistes au FBI impliquant des « contacts et interactions entre les responsables russes et les personnes américaines impliquées dans la campagne Trump ». Le FBI a utilisé ces informations pour ouvrir l’enquête Crossfire Hurricane (l’Ouragan de feux croisés) sur la campagne Trump et a commencé à discuter de la façon d’obtenir un mandat FISA afin qu’ils puissent utiliser toute la puissance de la communauté du renseignement pour espionner toute personne qu’ils voulaient.
Ces admissions devraient troubler quiconque qui ne veut pas vivre dans un état de surveillance CIA.
Dans les années 1970, le sénateur Frank Church a mené une enquête sur les activités de la CIA et du FBI et a averti que ces agences développaient des capacités alarmantes. Lors de l’émission Meet the Press (Rencontrez la presse) de la NBC en 1975, il a déclaré : « Si ce gouvernement devenait un jour une tyrannie, si un dictateur prenait jamais les rênes de ce pays, la capacité technologique que la communauté du renseignement a donné au gouvernement pourrait lui permettre d’imposer la tyrannie totale, et il n’y aurait aucun moyen de riposter parce que l’effort le plus prudent pour se combiner en résistance au gouvernement, peu importe comment cela aurait été fait en privé, est à la portée du gouvernement pour savoir... »
Peu de temps après l’élection d’Obama pour un second mandat, le public a appris que la NSA possède un entrepôt de données dans l’État de Utah, un « épicentre d’un milliard de dollars » où il peut stocker d’énormes quantités d’informations. Microsoft, Yahoo !, Google, Facebook, YouTube, AOL, Skype, PalTalk et Apple ont été surpris en train de remettre au gouvernement toutes sortes d’informations sur les citoyens américains—enregistrements téléphoniques, courriels et autres communications numériques—et ils ont prétendu qu’ils étaient obligés de faire cela.
On a demandé à William Binney, un vétéran de 32 ans de la NSA devenu dénonciateur, où les données de surveillance se dirigeaient. Il a dit : « C’est vraiment une situation clé en main, qui peut être changé rapidement et devenir un État totalitaire assez rapidement. Les capacités pour ce faire sont en train d’être mises en place.
Cette déclaration effrayante arrive au cœur du problème !
Barack Obama et son administration ont tenté d’utiliser le pouvoir de la CIA, de la NSA et du FBI pour créer un dossier de propagande contre un rival politique, et d’utiliser le dossier pour espionner un citoyen américain et accuser Donald Trump d’un crime qu’il n’a pas commis. Et cela a failli réussir ! C’est ainsi que nous sommes arrivés à proximité d’une tyrannie marxiste en Amérique.
Dimension spirituelle
Le peuple américain est encore en train d’apprendre dans quelle mesure Barack Obama dirigeait personnellement ce complot de trahison contre Donald Trump. Et la seule raison pour laquelle nous en savons autant, c’est parce que le député Devin Nunes a fait pression sur le FBI pour qu’il fournisse aux comités du Congrès 384 pages de messages textes entre Strzok et Lisa Page. Le FBI a remis ces messages au Congrès le 16 janvier 2018. Ces messages textes ont révélé que les 17 crimes de trahison décrits dans le rapport Horowitz n’étaient pas seulement le résultat d’un stagiaire trop zélé au FBI. Au lieu de cela, ils ont révélé que « potus veut savoir tout ce que nous faisons », et, « La Maison Blanche dirige cela ».
Quelque chose de dangereusement mortel s’est emparé du pays—bien plus que ce que les gens réalisent. Il y a une dimension spirituelle à ce qui se passe, et vous ne pouvez pas comprendre ces événements à moins que vous ne le reconnaissiez.
Le 6 décembre 2019, au milieu de la tentative du Parti démocrate de destituer le président Trump, le commentateur politique Rush Limbaugh a noté : « Les démocrates errent sans but et sont propulsés par une chose... nous observons la haine pure et crue. Ils détestent l’homme et ils détestent les gens qui l’ont élu. » Dans des émissions de radio de suivi, Limbaugh a admis qu’il était incapable d’expliquer pourquoi les démocrates détestent le président Trump avec un tel vitriol. Ils ne se contentent pas d’exprimer leur désaccord. Ils ont la plus profonde haine pour lui.
Rush Limbaugh peut reconnaître cette haine, mais il ne comprend pas pourquoi elle existe. Mais la Bible révèle pourquoi cette haine prend racine dans le Parti démocrate, et comment elle affectera l’Amérique.
Notre peuple ne comprend pas sa Bible comme il le faisait autrefois, mais Apocalypse 12 :12 révèle que Satan est notre adversaire mortel. Il est derrière la haine vitriolique qui déchire l’Amérique aujourd’hui. Il est plein de colère, et il a pris le contrôle de la gauche radicale. Ces gens veulent détruire le système. Ils sont trompés (verset 9).
La Bible montre également qu’un ennemi a presque détruit la nation d’Israël dans les temps anciens, mais alors Dieu a élevé un roi humain imparfait pour sauver temporairement la nation. « Car l`Éternel vit l’affliction d’Israël à son comble et l’extrémité à laquelle se trouvaient réduits esclaves et hommes libres, sans qu’il y eût personne pour venir au secours d`Israël. Or l`Éternel n’avait point résolu d’effacer le nom d’Israël de dessous les cieux, et il les délivra par Jéroboam, fils de Joas. » (2 Rois 14 : 26-27).
Le livre des Rois est l’un des anciens prophètes—de la prophétie pour cette fin des temps principalement.
Un homme a essayé d’effacer le nom même d’Israël, mais Dieu l’a arrêté, et il l’a fait par un chef injuste, Jéroboam II. Il est important de comprendre le principe prophétique de la dualité. L’histoire se répète aujourd’hui. Quel est le nom prophétique d’Israël ? Tout d’abord, c’est Israël spirituel, ou la vraie Église de Dieu en ce temps de la fin. Deuxièmement, il s’agit d’Israël physique, ou les nations physiques d’Israël : l’Amérique, la Grande-Bretagne et la nation juive au Moyen-Orient. (Feu Herbert W. Armstrong l’a expliqué dans son livre Les Anglo-Saxons selon la prophétie. Demander une copie gratuite.)
L’État profond de Barack Obama aurait effacé la république constitutionnelle de l’Amérique et l’aurait remplacée par une dictature violente s’il n’avait pas été arrêté par un Roi Jéroboam ii de la fin des temps. La Trompette ne pouvait pas délivrer le message d’avertissement de Dieu dans un État de surveillance de la CIA, de sorte que Dieu a dû élever le président Trump pour arrêter temporairement ce que le diable faisait par l’administration Obama.
C’est ce dont parlent vraiment 2 Rois 14 : 26-27 !
La raison pour laquelle la gauche radicale déteste M. Trump, c’est que Dieu l’utilise pour exposer comment l’administration Obama a presque détruit notre république constitutionnelle. Et l’administration Trump a vraiment commencé à dénoncer cette corruption le 16 janvier 2018, lorsque le FBI a déclassifié les messages textes de Peter Strzok.
Satan a une telle emprise sur la gauche radicale que ce qu’ils détestent vraiment le plus est Dieu Lui-même.
Le président Trump est un leader humain très imparfait qui n’est pas particulièrement religieux. Pourtant, Dieu l’utilise comme un type du roi Jéroboam ii du temps de la fin. Tant que Dieu continuera à donner au président Trump les moyens de résister aux forces sataniques qui attaquent l’Amérique, nous pourrons continuer à délivrer Son message d’avertissement. Mais une fois que Dieu cessera d’appuyer M. Trump, l’écriture est sur le mur.
Lorsque Dieu a cessé de donner le pouvoir à l’ancien roi Jéroboam, la nation d’Israël a été assiégée et conquise par l’Empire assyrien. L’Amérique moderne est prophétise de subir le même sort (Ésaïe 10 : 5-6)—à moins qu’elle ne se repente (Ézéchiel 33 : 11).
Pourtant, Dieu protégera les individus qui sont attentif, et qui répondent, à Son avertissement.
D’une manière ou d’une autre, tous les gens vont devoir reconnaître que l’obéissance à la loi de Dieu apporte la vie et la paix, tandis que la désobéissance entraîne la mort et la destruction. Combien il serait plus facile d’apprendre ces leçons de l’histoire récente de la façon dont l’Amérique est venue si proche à la destruction pendant la présidence de Barack Obama, plutôt que d’attendre qu’un ennemi étranger l’envahisse ! Dieu nous donne toutes les chances de nous repentir, mais ceux qui ne le font pas maintenant devront se repentir après une grande tribulation. Le prophète Ésaïe dit que l’Assyrie sera la verge de la correction de Dieu « contre une nation impie », ou hypocrite, mais après cette correction, un « reste reviendra, le reste de Jacob, au Dieu puissant » (Ésaïe 10 : 5-6, 21).