Le gouvernement canadien accueille chaleureusement des jihadistes de l’État islamique
Environ 190 Canadiens ont quitté leur pays afin de se battre pour l’État islamique et d’autres groupes terroristes islamiques. Ils pourraient recevoir un accueil chaleureux s’ils ont la nostalgie du pays. Selon des documents obtenus par Global News, en mai, l’administration du Premier ministre, Justin Trudeau, croit que ces terroristes ont le « droit au retour », au Canada.
Un dossier préparé pour le ministre canadien de la Sécurité publique, Ralph Goodale, révèle que non seulement l’administration Trudeau croit que ces terroristes ont un « droit au retour », mais de plus le gouvernement croit qu’il doit faciliter leur réassimilation dans la société canadienne. Le dossier affirme que, bien que ceux qui retournent ont violé les lois en participant au terrorisme international, ils « peuvent avoir perdu leurs illusions en ce qui concerne la cause » et ne plus poser de menace pour la société. Le document maintient, également, que parce qu’il peut y avoir un manque de preuves pour accuser les transfuges, le gouvernement doit « atténuer la menace par des efforts entrepris en dehors du système de la justice ».
Intervient, alors, le « High Risk Returnee Interdepartemental Task Force » [Détachement spécial interdépartemental pour les retours à haut risque], de style orwellien.
Ce monstrueux département bureaucratique multiple s’est associé avec la Gendarmerie royale du Canada dans une campagne agressive pour « soutenir » les terroristes et « ouvrir le dialogue » avec eux et leurs familles. Environ 60 terroristes sont déjà retournés au Canada, en plus des 190 se battant encore à l’étranger, dans des lieux comme la Syrie et l’Irak.
Trudeau a été critiqué pour sa position sur la question quand il a, récemment, comparé le retour des membres de l’État islamique au règlement intervenu pour les familles italiennes, à Montréal, après la Deuxième Guerre mondiale. Il a été récemment révélé que son gouvernement a également modifié des documents venant des services de renseignements qui avertissaient de la menace d’armes chimiques posée par les membres de l’État islamique de retour.
L’administration Trudeau croit qu’il est important de consacrer du temps, de l’argent et un capital politique pour choyer des jihadistes à « haut risque » qui ont déclaré la guerre aux valeurs occidentales (y compris le libéralisme), pour les comparer aux familles italiennes de l’après-guerre, pour censurer des documents du service des renseignements, pour attirer une controverse inévitable et soumettre ses concitoyens canadiens à tout ce que les extrémistes islamiques pourraient choisir de leur faire—au lieu de se contenter de permettre à la procédure normale d’arrestation, de jugement et de punition de terroristes internationaux meurtriers d’avoir lieu. Il semble que ce soit le cas pour Trudeau—cela lui permettant de gagner en crédibilité en tant que progressiste que presque rien n’arrêtera.
Comment décririez-vous le Canada du 21ème siècle ? Comment décririez-vous un gouvernement si disposé à tolérer et à recevoir très chaleureusement les pires, les plus dangereux et les plus violents de ses résidents ? Et comment décririez-vous une population qui a élu, et tolère ou apprécie, un tel gouvernement ?
Craintif. Le gouvernement actuel du Canada et ses ressortissants sont craintifs : incertains de leurs but et cause, peu disposés à se dresser contre le mal, incapables de promouvoir quoi que ce soit, sauf une extrême « tolérance ».
« Craintif » : c’est ainsi que la Bible décrit la condition morale du Canada moderne et des autres nations qui descendent de l’ancien Israël. Lévitique 26 prophétise sur les conséquences auxquelles les descendants d’Israël feront face pour n’avoir pas cru, obéi et défendu ce qui est moral et droit : la loi de Dieu. Dieu avertit, spécifiquement, que si les gens se livrent à une immoralité flagrante, la terreur régnera sur eux. Dieu promet, également, de briser l’orgueil de leur force. La nation canadienne—ayant perdu sa foi, son obéissance, ses but et sa puissance—se retrouve, maintenant, à chercher à cajoler ses ennemis pour qu’ils l’aiment. Cette méthode échouera, et le nombre des morts augmentera, jusqu’à ce que les gens de cette nation s’enfuient même quand personne ne les poursuit (verset 17).
Mais Lévitique 26 ne finit pas avec ces malédictions prophétisées, qui s’accomplissent maintenant au Canada et ailleurs. Dieu promet, également, que lorsque les descendants modernes d’Israël accepteront leur punition et se tourneront vers Lui dans un esprit d’humilité, de croyance et d’obéissance, Il répondra avec d’abondantes bénédictions. Pour en savoir davantage sur l’avenir du Canada, dans l’immédiat ainsi qu’à long terme, lisez notre livre gratuit Les Anglo-Saxons selon la prophétie , de Herbert W. Armstrong. ▪