La Turquie commence à trahir l’Iran

La Turquie, ancien allié fidèle de l’islam radical, s’est montrée moins enthousiaste que prévu à l’égard du Hamas. Ce groupe terroriste est mécontent de la réponse d’Ankara à son attaque du 7 octobre contre Israël. Une source palestinienne à Ankara a déclaré à Al-Monitor :

Ses déclarations sont considérées comme insuffisantes. Ils n’ont même pas convoqué l’ambassadeur d’Israël au ministère des Affaires étrangères.

Une divergence de vues ? Le président turc Recep Tayyip Erdoğan a exprimé un agacement similaire à l’égard du Hamas. Après que Saleh al-Arouri, l’adjoint du chef du Hamas Ismail Haniyeh, a déclaré à Al Jazeera que le Hamas avait suffisamment de soldats israéliens pour forcer Israël à libérer tous ses prisonniers palestiniens, Erdoğan a demandé à Haniyeh (qui vit au Qatar et en Turquie) de quitter le pays avec son entourage. Erdoğan semble ne pas vouloir donner l’impression qu’il soutient le Hamas.

Une source proche du gouvernement turc a déclaré qu’Ankara était actif dans les négociations avec l’Iran et le Hezbollah. La source a déclaré que l’objectif de la Turquie était d’empêcher l’apparition d’un nouveau front dans le conflit israélien et qu’Erdoğan était en train de refroidir ses liens avec le Hamas.

Turquie, une trahison à venir : L’article de la Trompette « Une alliance entre les nations arabes et l’Europe » prouve l’identité biblique de la Turquie moderne, et montre comment certains passages bibliques d’Abdias et des Psaumes prédisent ce genre de comportement. La Turquie a une histoire de trahison de ses alliés, et nous verrons bientôt une autre trahison—contre la Russie et l’Iran, pour se tourner vers l’Europe.

Pour l’instant, la Turquie donne peut-être la priorité aux liens avec Israël, mais la prophétie biblique dit qu’elle trahira bientôt Israël aussi.