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La touche Mazar

LA TROMPETTE

La touche Mazar

Lorsque l’archéologue de Jérusalem, la Dre Eilat Mazar, est morte le 25 mai 2021 à l’âge de 64 ans, le monde a perdu une personne vraiment extraordinaire. Eilat était l’une de mes meilleures amies et sa passion contagieuse pour l’archéologie de Jérusalem était profondément inspirante. Grâce à ses travaux en archéologie, la Dre Mazar était une formidable source d’éducation et d’espoir.

Nous ne serions pas en mesure de produire ce numéro spécial de Let the Stones Speak en français, centré sur l’Israël du 10e siècle avant l’ère commune et les rois David et Salomon, sans nous souvenir de la vie et de l’héritage incroyables de la Dre Mazar, notre amie et partenaire, une scientifique dont les travaux, comme je l’ai écrit en 2013, je crois, finiront par provoquer un tremblement de terre dans le monde de l’archéologie. Il y a des archéologues très talentueux dans le monde, en particulier à Jérusalem. Mais je crois que la Dre Mazar restera dans les mémoires comme l’une des plus grandes archéologues de tous les temps.

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Lorsque vous pensez à certains des rois, sacrificateurs et prophètes les plus célèbres de la Bible, David, Salomon, Ézéchias, Ésaïe, Jérémie et Néhémie vous viennent immédiatement à l’esprit. Ces hommes ont été impliqués dans de grands événements et réalisations relatés dans la Bible. Grâce à ses travaux en archéologie, la Dre Mazar a mis au jour des preuves de l’existence de tous ces individus et de certaines des histoires les plus célèbres de la Bible—et elle a partagé ces découvertes sensationnelles avec vous et moi.

Qu’est-ce qui a fait de la Dre Eilat Mazar une réussite aussi spectaculaire ?

Une scientifique biblique

La Dre Mazar était une scientifique brillante qui accorda une grande importance à la méthode scientifique. Je l’entendis dire à plusieurs reprises que « nous devons laisser parler les pierres ». C’était l’une de ses devises.

Notre établissement d’enseignement supérieur, le Herbert W. Armstrong College, s’est associé à la Dre Mazar sur l’ensemble de ses fouilles à partir de 2006. Nos étudiants sont jeunes et énergiques, et ils creuseraient tout au long de l’année s’ils le pouvaient. Lorsque nous ne faisions pas de fouilles, les étudiants demandaient souvent à Eilat quand nous serions de retour sur le terrain. Elle était très patiente. Elle expliquait que le travail qu’elle effectuait au bureau et au laboratoire—étudier et cataloguer les découvertes et les documenter dans des rapports scientifiques—était tout aussi important que les fouilles, sinon plus important.

Dans un article paru en 2007 dans la Biblical Archaeology Review (Revue d’archéologie biblique), le regretté Hershel Shanks a souligné les compétences de la Dre Mazar. « Personne ne mettrait en doute ses compétences professionnelles en tant qu’archéologue », a-t-il écrit.

La Dre Mazar était ce que l’on pourrait appeler une scientifique biblique. Contrairement à la grande majorité des scientifiques d’aujourd’hui, elle ne s’est jamais opposée au fait d’intégrer la Bible dans sa science et à croire en l’histoire biblique. En fait, elle était impatiente de le faire. Je pense que c’est la raison pour laquelle elle fut une archéologue si remarquable.

De nombreux scientifiques et universitaires considèrent aujourd’hui que la religion et la science sont en concurrence. Beaucoup considèrent que la Bible et la science s’excluent mutuellement : on ne peut pas croire en l’une sans ne pas croire en l’autre. La plupart des scientifiques considèrent que l’histoire de la Bible est incompatible avec leur profession.

Ce n’est tout simplement pas vrai, et ce n’est certainement pas ce que la Bible enseigne.

Souvent, la Bible et la science se complètent admirablement. L’archéologie de la Dre Mazar en est la preuve éclatante.

En réalité, ce fut la fidélité de la Dre Mazar à la science qui l’a amené à utiliser la Bible ! Voici comment la Dre Mazar nous l’a expliqué il y a de nombreuses années. Lorsqu’un archéologue fait des fouilles dans la Grèce antique, dit-elle, il consulte les auteurs et les textes grecs célèbres, comme Hérodote ou l’Histoire de la guerre du Péloponnèse, de Thucydide. S’il s’agissait de fouilles dans la Rome antique, il étudierait les textes romains anciens. C’est exactement la même chose pour Jérusalem et Israël. Pour faire des fouilles en Terre sainte et à Jérusalem en particulier, il faut étudier et consulter l’histoire de la Bible.

Qui peut contester ce raisonnement ? Il est si simple et si rationnel. Pourtant, il est surprenant de constater qu’il était aussi quelque peu révolutionnaire dans le monde de l’archéologie et de la science modernes.

De nombreux érudits et universitaires considèrent qu’il est embarrassant d’utiliser la Bible comme un document historique digne de confiance. Certains étudient même spécifiquement l’archéologie dans le but de réfuter le récit biblique. Mais pour la Dre Mazar, la Bible était un outil crucial lorsqu’elle faisait des fouilles en Israël et essayait de comprendre l’archéologie de Jérusalem.

Pour savoir quelle approche est la plus précise, tout ce que nous avons à faire est de regarder les fruits, dont certains ont été examinés dans ce numéro.

Dre Mazar apprit de son grand-père, le professeur Benjamin Mazar, le rôle important que la Bible doit jouer dans l’archéologie. Né et élevé en Pologne, Benjamin Maisler (comme on l’appelait autrefois) obtint son doctorat à Berlin avant de s’installer en Israël vers 1927. Le professeur Mazar devint rapidement l’un des chercheurs et universitaires les plus influents de la jeune nation. Il connut et travailla en étroite collaboration avec les pères fondateurs d’Israël : des personnalités telles que David Ben Gourion, qui a été le premier Premier ministre d’Israël, et Zalman Shazar, troisième président d’Israël.

Le professeur Mazar avait une Bible avec lui partout où il allait. Lorsqu’il discutait de l’histoire d’Israël ou d’un nouveau développement potentiel, il consultait la Bible. Lorsqu’il voyageait à travers Israël, visitant une fouille ou commençant la sienne, il ouvrait sa Bible et étudiait l’histoire biblique du site.

Pour le professeur Mazar et sa petite-fille, la Bible fut un compagnon de leur science plutôt qu’un concurrent. Aujourd’hui, de nombreux chercheurs rejettent la Bible comme étant non pertinente et sans importance. Mais pour Eilat et son grand-père, l’histoire biblique était tout aussi importante que la bêche et le journal de terrain.

Les fruits de cette méthode, comme nous l’avons vu, sont incontestables—et inspirants. Lorsque l’archéologie est éclairée par la Bible, elle devient l’une des occupations les plus gratifiantes et les plus importantes qui soient.

Une chère amie

J’ai rencontré la Dre Mazar pour la première fois en 2006. Mais notre histoire commune remonte à 1967. Ce fut l’année où je m’inscrivis à l’Ambassador College et l’année où la guerre des Six Jours éclata en Israël. Je crois que Dieu intervint et donna à Israël une victoire miraculeuse qui permit aux Juifs de contrôler Jérusalem-Est. L’année suivante, Israël commença ce que l’on a appelé les « grandes fouilles », des fouilles archéologiques massives dans la partie sud du mont du Temple. Ces fouilles furent dirigées par le professeur Benjamin Mazar.

La fouille du mont du Temple attira l’attention de l’Ambassador College et de son fondateur, Herbert W. Armstrong. M. Armstrong rencontra le professeur Mazar, le ministre du Tourisme Moshe Kol et d’autres dirigeants à la Knesset à la fin de l’année 1968. Il forma un partenariat avec le professeur Mazar et l’Université hébraïque de Jérusalem pour fournir la moitié du financement des fouilles et des centaines d’étudiants enthousiastes de l’Ambassador College jusqu’à la fin des fouilles en 1978. Je me souviens que les étudiants de l’Ambassador College étaient très enthousiastes à l’idée de se rendre en Israël pour ce projet. Le professeur Mazar et M. Armstrong développèrent une profonde amitié qui dura jusqu’à la mort de M. Armstrong en 1986.

Alors que j’étais à l’université à Pasadena et que j’apprenais à fouiller la Bible sous la direction d’Herbert Armstrong, Eilat, ma future amie, passait son temps sur les « grandes fouilles », son grand-père lui apprenant à mener des fouilles archéologiques. Dès son plus jeune âge, Eilat était fascinée par l’archéologie. Elle connut également bien M. Armstrong et les étudiants de l’Ambassador College qui l’impressionnèrent profondément.

Notre lien avec Eilat s’approfondit en 2006 à la suite de sa découverte du palais du roi David dans la Cité de David. Entre 2006 et sa dernière fouille en 2018, nous avons fourni à la Dre Mazar plus de 50 ouvriers et superviseurs au cours de sept fouilles. Pendant plus de 15 ans, nos employés et nos étudiants ont aidé la Dre Mazar dans une myriade d’activités : fouilles, catalogage et photographie d’objets, recherche, compilation et révision de rapports, production d’œuvres d’art, publication et diffusion de son travail, ainsi que de celui de son grand-père.

J’ai visité Eilat à Jérusalem à de nombreuses reprises et j’ai de bons souvenirs de nos réunions sous le portique du YMCA de Jérusalem. L’un de mes meilleurs souvenirs est la réunion au cours de laquelle la Dre Mazar a rapproché sa chaise et a sorti un mouchoir de sa poche. En se penchant, Eilat a déplié le mouchoir, révélant un minuscule sceau d’argile. Parlant à voix basse, mais avec beaucoup d’émotion et de passion, elle a lu l’inscription du sceau : « Appartenant à Ézéchias, [fils d’] Achaz, roi de Juda. » J’étais si fier et si heureux : mon amie avait découvert la seule empreinte de sceau appartenant à un roi de Judée jamais trouvée lors de fouilles scientifiques contrôlées !

C’est ce que la Dre Eilat Mazar a fait à maintes et maintes reprises : elle a utilisé la Bible et des pratiques archéologiques impeccables afin de faire revivre certains des plus grands personnages et événements historiques de la Bible !

Aujourd’hui, grâce à la Dre Mazar qui a poursuivi l’héritage de son grand-père, les personnes qui visitent la Cité de David peuvent marcher à l’intérieur des mêmes murs que le roi David. Grâce à la Dre Mazar, nous pouvons toucher les murs du palais du roi Salomon et examiner la signature du roi Ézéchias !

En 2007, nos collaborateurs ont pu aider la Dre Mazar à fouiller une tour où ils ont trouvé des poteries et des objets de la période perse. La Dre Mazar a identifié la tour comme ayant été construite à l’époque décrite dans le livre biblique de Néhémie. L’année suivante, elle est retournée dans la Cité de David avec une poignée de nos collaborateurs, où elle a fini par découvrir le sceau de Guedalia. Cette empreinte de sceau en argile appartenait à l’origine à l’un des princes qui persécutèrent le prophète Jérémie (Jérémie 38). Plus tard, nous avons eu l’honneur de présenter ce sceau, ainsi que celui de Jucal, un associé de Guedalia, lors d’une exposition à l’Auditorium Armstrong sur notre campus qui a été visitée par des milliers de personnes.

Entre 2009 et 2018, la Dre Mazar a mené quatre saisons de fouilles sur l’Ophel, localisant un complexe royal construit par le roi Salomon, un chapiteau proto-éolique, la première figurine de Bès trouvée à Jérusalem, de nombreux scarabées et empreintes de sceaux, des pièces de monnaie frappées au cours de la dernière année de la Grande Révolte, une grotte avec des puits et des tunnels, ainsi que les bulle-enveloppes du roi Ézéchias et d’Ésaïe le prophète.

Pendant des années, les archéologues ont utilisé l’absence de preuves matérielles de l’époque de David et de Néhémie pour justifier leur manque de foi dans la Bible. Mais comme vous l’avez lu dans ce numéro, la Dre Mazar et une poignée d’autres archéologues bibliques ont découvert un grand nombre de preuves directement liées à la période du Premier Temple. Ces découvertes devraient à elles seules mettre un terme à ces doutes, si seulement les critiques et les érudits acceptaient la vérité.

Exalter le travail de la Dre Mazar

Lors de nos dernières conversations, la Dre Mazar nous fit part de ses préoccupations concernant l’état de l’archéologie biblique en Israël. Elle s’inquiétait du fait que trop peu de personnes étaient prêtes à intégrer sérieusement la Bible dans leurs travaux scientifiques et à souligner le lien crucial entre l’archéologie de Jérusalem et la Bible.

« Il faut vraiment avoir de la vision pour faire des fouilles à Jérusalem. Vous devez avoir une vue d’ensemble de la façon dont les choses s’inscrivent dans le tableau biblique », nous a-t-elle dit. Eilat s’inquiétait du fait que certains archéologues et dirigeants israéliens manquaient de vision parce qu’ils ne voulaient pas utiliser la Bible.

Toutefois, elle déclara également que « de nombreux citoyens ordinaires l’ont encore fermement à l’esprit ».

Cette remarque d’Eilat a resté dans mon esprit. Elle m’a rappelé une déclaration faite par le prophète Ésaïe il y a près de 2700 ans. Ésaïe 40 : 9 dit : « Monte sur une haute montagne, Sion, pour publier la bonne nouvelle ; élève avec force ta voix, Jérusalem, pour publier la bonne nouvelle ; élève ta voix, ne crains point, dis aux villes de Juda : Voici votre Dieu ! »

Je ne sais pas si la Dre Mazar connaissait ce verset ; si c’était le cas, elle ne me l’a jamais mentionné. Mais je crois qu’Ésaïe 40 : 9 résume la vie et le travail de la Dre Mazar. D’une certaine manière, ce verset renferme même les meilleurs aspects de sa personnalité.

La Dre Mazar passa la plus grande partie de sa carrière à travailler dans la Cité de David, sur l’Ophel et dans le bureau de son grand-père à l’Université hébraïque—tous trois situés sur une « haute montagne ». De ces « hautes montagnes », la Dre Mazar fit des découvertes spectaculaires, puis rédigea des articles et des rapports scientifiques—lesquels figurèrent régulièrement dans les médias internationaux—annonçant de « bonnes nouvelles à Jérusalem » et aux « villes de Juda ».

Pendant 40 ans, la Dre Mazar élevait sa voix avec force ! Elle n’avait pas peur de parler de la Bible ou d’admettre avec joie lorsque la Bible recoupait son travail archéologique. La Dre Mazar avait de nombreux détracteurs et devait faire face à une forte opposition, en particulier de la part d’autres archéologues (principalement les minimalistes bibliques). Mais elle n’a jamais laissé l’antagonisme la contraindre au silence. Lorsqu’il s’agissait de ses travaux en archéologie et de la Bible, elle élevait courageusement la voix.

Et quel est le message essentiel lié aux découvertes du palais du roi David, du complexe royal du roi Salomon, des sceaux du roi Ézéchias et d’Ésaïe le prophète, des sceaux de Guedalia et de Jucal, et du mur de Néhémie ? Quel message est lié à toutes les pièces du puzzle archéologique que nous avons rassemblé dans ce numéro ? Le message adressé à Juda par ces découvertes sensationnelles est le suivant : « Voici votre Dieu ! »

Qu’elle le savait ou non, la Dre Eilat Mazar était en train de déclarer : « Voici votre Dieu ! » au peuple d’Israël. Plus je pense à la Dre Mazar et à son archéologie, à son courage, à son éthique de travail et à son amour pour Jérusalem, plus cela m’inspire.

Lorsqu’Eilat est morte en mai 2021, certains se sont demandé si cela ne risquait de ralentir notre travail à Jérusalem. Au contraire, je suis plus motivé que jamais à suivre l’exemple de la Dre Mazar. La disparition de la plus grande archéologue biblique au monde a créé un vide considérable. Il n’a jamais été aussi important que quelqu’un enseigne la relation symbiotique entre l’archéologie et la Bible, de montrer à quel point la Bible est cruciale pour comprendre le passé d’Israël.

Mon objectif est d’exalter le rôle de Dre Eilat Mazar à Jérusalem, et je souhaite passionnément contribuer à la poursuite de son travail.

Avec le soutien et les conseils de Dre Mazar au cours des 15 dernières années, l’Institut Armstrong d’archéologie biblique et le Herbert W. Armstrong College ont entrepris des projets merveilleux et importants à Jérusalem. Nous avons participé à huit fouilles distinctes sur l’Ophel et dans la Cité de David. Nous avons organisé trois expositions archéologiques de grande qualité en Amérique. Nous avons travaillé avec Eilat au bureau, en traitant les découvertes et en documentant les fouilles. Et grâce à ce magazine (et à notre site Web), nous mettons en lumière le rôle crucial que joue la Bible dans l’archéologie.

Selon moi, bien que Dre Mazar ne soit plus parmi nous, un nouveau chapitre s’ouvre à nous. Personnellement, je suis plus motivé que jamais à maintenir et développer l’héritage de mon amie Eilat Mazar. Aujourd’hui encore, nous travaillons avec l’université hébraïque et la famille de la Dre Mazar afin d’aider à achever certains des projets d’Eilat. Nous sommes reconnaissants à l’université hébraïque, à la Cité de David et à l’Autorité des antiquités d’Israël pour leur soutien au fil des ans, et nous nous réjouissons à l’idée de collaborer avec ces grandes institutions à l’avenir. Nous sommes également en train d’explorer de nouveaux projets passionnants et importants.

Chaque fois que je pense à notre travail en Israël, et même dans le monde entier, la déclaration de la Dre Mazar résonne dans mon esprit : « De nombreux citoyens ordinaires l’ont encore [la Bible] fermement à l’esprit. » Ce sont ces personnes que nous voulons atteindre ! Nous nous efforçons d’exploiter tous les outils possibles pour y parvenir. Les « citoyens ordinaires » sont un public formidable !

L’archéologie qui se déroule à Jérusalem (et dans tout Israël) peut et doit être porteuse d’une vision ! Nous voulons imiter la Dre Mazar dans cette voie, et il y a certainement des archéologues qui pensent la même chose. Si vous êtes l’un d’entre eux, nous serions ravis d’avoir de vos nouvelles. La Dre Mazar faisait tout ce qu’elle pouvait pour faire preuve de vision dans son travail. Nous espérons pouvoir continuer à transmettre cette vision aux habitants d’Israël et à simplement « laisser parler les pierres ».

Grâce à son travail dans la Cité de David et sur l’Ophel, le nom d’Eilat Mazar sera à jamais attaché aux plus grandes personnalités de Jérusalem, y compris son plus grand roi. Je pense qu’avec son grand-père, Eilat Mazar a mené les travaux archéologiques les plus importants jamais entrepris à Jérusalem. Nous chérirons à jamais les 15 années que nous avons passées à travailler avec la Dre Mazar, et sa profonde passion pour l’archéologie de Jérusalem nous manquera cruellement.

Dans les années à venir, nous nous efforcerons de préserver l’héritage archéologique de la Dre Mazar et de maintenir cet héritage en vie, en travaillant avec la même passion, la même urgence et le même amour.

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