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La solution à la crise de la santé publique

Lucas Sankey/unsplash.com

La solution à la crise de la santé publique

Les élections de novembre ne l’apporteront pas.

Pour que l’expérience américaine fonctionne, George Washington a dit qu’elle avait besoin d’une fondation établie sur la religion et la moralité. Il a averti que sans ces soutiens indispensables, elle était destinée à échouer.

D’autres fondateurs ont exprimé des sentiments semblables. Le successeur de G. Washington, le président John Adams, a dit que pour que les principes de liberté soient solides, ils devraient reposer sur la religion et la moralité seulement. Même Thomas Jefferson, défié sur plan religieux, croyait que les libertés de l’Amérique étaient fermement fondées sur la réalité qu’elles venaient de Dieu.

C’est le président James Madison qui a le mieux résumé les choses: «Nous avons misé tout l’avenir de la civilisation américaine, non sur le pouvoir du gouvernement [mais] sur notre capacité, à tous, à nous gouverner, individuellement, selon les Dix Commandements de Dieu».

Nous gouverner individuellement selon les Dix Commandements!

À écouter les experts conservateurs, on croirait que l’Amérique a misé son avenir sur la capacité de tous les électeurs à, individuellement, punir les démocrates, ce mois de novembre en question, pour que les républicains puissent vite annuler le projet de loi du président Obama pour la santé publique.

Le Parti républicain en ressent maintenant l’occasion! Sa base est stimulée! Le temps de l’engagement, l’argent et votre vote doivent faire chavirer la réforme de la santé publique, conseille vivement le parti.

«Il n’y a aucun inconvénient pour les républicains», a franchement remarqué leur président du Comité national, en réponse à la nouvelle législation.

«Nous allons essayer de l’annuler», a promis le sénateur John McCain. «Nous allons avoir une campagne très animée entre maintenant et novembre. Et il y aura un lourd prix à payer pour cela».

Le sénateur Jim DeMint, un républicain de Caroline du Sud, a dit à Newsmax qu’il pense que toute l’élection aura pour thème l’annulation des soins universels de santé. Newsmax croit que les républicains se mobilisent déjà «au-delà de l’arène législative pour se mettre en position pour les prochaines élections» (24 mars).

C’est justement ce qu’a ordonné le docteur! Un paquet de mille milliards de dollars pour la santé publique, suivi par des milliards de plus pour financer une lutte pour le pouvoir politique à Washington.

Au milieu de tous les problèmes étouffant la vie de la superpuissance américaine autrefois puissante, il y a cela maintenant!

Que doit penser Dieu du nouveau débat politique de l’Amérique? Cela ne fait rien de ne pas se gouverner individuellement selon les Dix Commandements. La survie de l’Amérique en tant que nation dépend maintenant de qui paiera pour la prochaine irm d’autrui.

Ce débat, ironiquement, vient à un moment où la plupart des Américains se font rembourser la couverture qu’ils avaient autrefois, si petite soit-elle, pour l’ensemble de leur santé spirituelle. Notre crise la plus sérieuse, a écrit Selwyn Duke dans American Thinker, c’est le manque de santé publique—«à savoir morale». Étant donné notre décadence spirituelle, S. Duke a correctement noté: «La médecine socialisée était inévitable» (24 mars).

La santé publique universelle n’est pas le problème. C’est la maladie spirituelle qui nous tue. C’est la vérité brutale que la plupart des gens n’admettront pas—savoir que la cause de nos problèmes insolubles, toujours en augmentation, ce n’est pas un parti politique, un bloc religieux ou un groupe ethnique. Ce n’est même pas la santé publique universelle—ou son manque.

C’est la désobéissance universelle aux lois spirituelles de Dieu. Et le mal largement répandu, comme nous l’avons expliqué tant de fois auparavant, provoque la maladie nationale qui aboutit finalement à la mort.

Lisez l’évaluation brutale de Dieu au sujet de notre santé spirituelle générale dans Ésaïe 1:5-6. Il compare notre société à un corps malade avec des blessures superficielles ouvertes et des plaies putréfiées! Le corps entier est malade, dit Ésaïe.

Le prophète Jérémie a identifié la cause première de cette maladie en phase terminale comme étant le cœur—ou l’esprit—humain. «Le cœur est tortueux par-dessus tout et [‘désespérément’, selon la King James] méchant: qui peut le connaître?» (Jérémie 17:9). Comme nous l’expliquons dans notre brochure sur la prophétie de Jérémie, désespérément méchant signifie en fait «incurablement malade» ou «malade à mort». C’est pourquoi Jésus a dit que nous avons besoin «d’un docteur»—parce que l’esprit humain doit être guéri de ses blessures mortelles: l’amour de soi et la vanité, les obsessions concupiscentes, le gain cupide, la concurrence et le conflit.

Pourquoi devrions-nous jamais mettre notre confiance dans l’esprit incurablement malade de l’homme? Si 6 000 ans de règne humain, sous l’influence de Satan, n’ont rien démontré, c’est que l’homme est complètement incapable de diriger ses propres pas sans la conduite de Dieu (Jérémie 10:23-24).

C’est pourquoi les pères fondateurs ont cru que le succès de l’Amérique, en tant que nation, dépendait entièrement de la moralité, marquée par la crainte de Dieu, de son peuple. Ils savaient qu’à moins que la religion et la moralité ne restreignent le mal, les «libertés» démocratiques causeraient la maladie et mèneraient à la mort.

Aujourd’hui, la nation que ces hommes ont fondée, sous l’autorité de Dieu, est prostrée sur son lit de mort spirituelle, cherchant sa respiration. Et le pire, c’est qu’elle ne sait même pas qu’elle est en phase terminale—et qu’elle a désespérément besoin de l’intervention d’un Guérisseur divin.

Ce présent monde méchant—en ce moment même—cherche sa respiration avant de connaître une mort certaine. Comme Herbert W. Armstrong l’a écrit en mars 1982: «Vous vivez aujourd’hui dans un temps différent—complètement différent—de n’importe quel autre! Vous êtes destinés, comme aucune autre génération passée—à vivre dans deux mondes! Oui, ce monde meurt—c’est le sens réel du chaos mondial aujourd’hui—mais il y aura une résurrection» (La Bonne nouvelle).

Avec la parole de Dieu comme guide, vous pouvez arriver à comprendre ce monde chaotique. Vous pouvez changer de cap maintenant et vous tourner vers Dieu dans le repentir et l’amour—choisir la voie de la vie abondante réelle. Et vous pouvez vous sentir encouragés dans le fait qu’un monde meilleur arrive.

La prophétie biblique nous informe que nous sommes très près de la résurrection du monde de Dieu, sorti de la surface brûlée de l’actuel monde méchant. Très bientôt maintenant, s’élevant des cendres de ces ruines, remplies de la mort, il y aura un Roi messianique, éternellement vivant, qui, avec l’aide et le soutien de Ses saints, établira un règne utopique de 1 000 ans sur la Terre! 

LA TROMPETTE EN BREF

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