Mustafa al-Kadhimi by The Media Office of the Prime Minister of Iraq] under CC BY 2.5
La question de la souveraineté irakienne
La semaine dernière, le président français Emmanuel Macron est devenu le premier dirigeant occidental à se rendre à Bagdad depuis la formation d'un nouveau gouvernement irakien en mai. Le but de sa visite était de s'engager à soutenir un Irak souverain.
Après avoir rencontré le président irakien Barham Salih, M. Macron a déclaré que « la guerre contre l'État islamique n'est pas terminée ... nous continuerons à agir à vos côtés dans le cadre de la coalition d'État anti-islamique. » M. Macron a poursuivi en disant que le deuxième défi auquel la nation est confrontée consiste en « les multiples interférences étrangères qui ont lieu depuis plusieurs années ».
Ces « interférences étrangères » sont des références aux États-Unis et à l'Iran. Après l'invasion menée par les États-Unis qui a renversé Saddam Hussein en 2003, l'Irak a été plongé dans un conflit interne qui a abouti à la prise de contrôle de grandes parties du pays par l'État islamique il y a six ans. Depuis lors, les dirigeants irakiens sont engagés dans un difficile « exercice d'équilibre » au milieu d'une rivalité américano-iranienne croissante.
Le président Salih a déclaré à son homologue français que les dirigeants irakiens attendaient avec impatience un avenir dans lequel Bagdad jouerait « un rôle essentiel et central dans la région ». Le Premier ministre irakien Mustafa al-Kadhimi a exprimé l'espoir que la France et l'Europe dans son ensemble contribuent à « rétablir la stabilité » dans cette région tumultueuse.
« Nous ne voulons pas être une zone d'affrontements », a déclaré le Premier ministre al-Kadhimi, « mais une zone de stabilité et de modération. » Il a ajouté que la France et l'Irak signeraient des accords énergétiques et approfondiraient leur coopération militaire.
La tentative irakienne d'inviter la France et, par extension, l'implication européenne, servira-t-elle à stabiliser la région à un moment où les troupes américaines se retirent davantage d'Irak ?
Voici ce que le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a écrit à propos de ces développements dans sa brochure Le roi du sud : « Une telle prise de pouvoir [de l’Irak] par l'Iran choquerait le monde - spécialement l'Europe. Cela pourrait être un fort élan pour que l'Europe s'unisse rapidement. (…) Cet événement est prophétisé dans votre propre Bible ! »
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