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La migration de masse mène à des guerres raciales
Le 29 juillet, le stress et le poids écrasant de la crise des migrants en Grande-Bretagne se sont finalement fait sentir, provoquant des ondes de choc dans tout le pays.
Ce jour-là, le fils d'immigrés rwandais a brutalement assassiné trois jeunes filles à Southport. La rumeur s'est répandue — en partie vraie, en partie fausse. Les politiciens et la police se sont empressés de façonner le récit. Et la patience de nombreux citoyens britanniques a pris fin.
Au début du mois d'août, des manifestants anti-immigration et des contre-manifestants pro-immigration se sont affrontés à Aldershot, Barnsley, Belfast, Brighton, Cardiff, Chatham, Leeds, Nottingham, Rotherham, Southampton et Weymouth. Certains jours, le nombre total de contre-manifestants dans les rues de différentes villes atteignit environ 25 000 personnes. À Blackpool, Bristol, Lancaster, Plymouth, Stoke-on-Trent et Wath upon Dearne, des manifestants et des contre-manifestants s'affrontèrent, brisant des fenêtres et lançant des pierres, des briques, du verre et des feux d'artifice. Des masses d'hommes vêtus de noir ont été vues dans plusieurs villes : un groupe a été enregistré en train de courir dans les rues de Bolton en scandant « Allahu Akbar ». La scène fut similaire à Middlesbrough où un grand nombre de jeunes hommes étrangers remplirent les rues, dont certains se regroupèrent pour attaquer des individus blancs isolés. À d'autres endroits, certains des hommes vêtus de noir ont été vus portant des machettes et d'autres armes. À Birmingham, des centaines d'hommes masqués, dont certains étaient armés, ont intimidé des piétons et des clients de restaurants et ont frappé des véhicules d'automobilistes. Un journaliste déclara : « Il n'y avait pas d'endroit sûr pour nous sur des kilomètres ». Un jeune homme faisant partie d'un groupe d'étrangers résuma la situation en ces termes : « Nous affirmons notre domination. »
En réponse à cette crise, les autorités britanniques sévirent, non pas à l'encontre des migrants hors-la-loi, mais de manière disproportionnée contre tout ce qui fut perçu comme raciste, même en ligne. Le Premier ministre Keir Starmer avertit les manifestants britanniques : « Je vous garantis que vous regretterez d'avoir participé à ce désordre, que ce soit directement ou par l'intermédiaire de ceux qui ont fomenté cette action en ligne. » Une femme de 55 ans a été arrêtée pour « fausse communication » et « publication de matériel écrit pour attiser la haine raciale ». Deux hommes dans la vingtaine sont en prison pour avoir appelé à attaquer des hôtels pour migrants et à procéder à des déportations massives. Un autre homme a été arrêté pour avoir affirmé en ligne que le meurtrier était un demandeur d'asile récemment arrivé.
Des incidents comme ceux-ci se produisent dans plusieurs pays : des immigrants commettent des crimes violents, les autorités couvrent des détails pour minimiser le lien avec le statut de migration ou la race, les citoyens deviennent frustrés et en colère, et les autorités les attaquent eux plutôt que les criminels. Et pendant ce temps, ce qui est le plus important, la vague d’immigration sans restriction continue de s’intensifier. Les résultats inévitables augmentent les tensions raciales et le désordre social.
Ces problèmes qui détruisent les nations sont le résultat direct d'un engouement de la gauche pour l'immigration de masse et l'ouverture des frontières.
L'année dernière, environ 2,5 millions de personnes ont migré illégalement vers les États-Unis. Environ 400 000 ont migré vers la Grande-Bretagne, 300 000 vers le Canada et 200 000 vers l'Australie, ce qui représente près de 3,4 millions d'immigrants illégaux au total — plus que la population de l'Uruguay. Depuis que Joe Biden a prêté serment, l'immigration illégale aux États-Unis a augmenté de 540 pour cent. Au cours de la même période, il a augmenté de 390 pourcent en Grande-Bretagne et de 660 pourcent au Canada. (Les chiffres sont plus modestes en Australie, qui a une longue histoire d'acceptation des réfugiés par des moyens légaux.)
Les effets dangereux de ces politiques malavisées sont de plus en plus clairs. Aux États-Unis, le problème est si évident que Kamala Harris, candidate démocrate à l'élection présidentielle, a brusquement abandonné ses critiques à l'égard des politiques frontalières strictes et se présente à nouveau comme une « dure à cuire » en matière d'immigration (article, page 14). Mais il s'agit d'une opération de relations publiques visant à gagner des voix : La gauche est profondément attachée à encourager la migration du tiers monde vers le premier monde, même si elle est illégale—et dans certains cas, même si elle est violente.
Pourquoi ? Pourquoi cette pression en faveur de politiques aussi manifestement autodestructrices ?
Les lecteurs de longue date de la Trompette savent que le rédacteur en chef Gerald Flurry a mis l'accent sur l'influence destructrice de l'ancien Président américain Barack Obama. Son livre L'Amérique sous attaque explique non seulement ce que cet homme a fait, mais pourquoi — la cause spirituelle invisible derrière ses actions. Cette compréhension est cruciale pour reconnaître la véritable nature de cette crise de l'immigration. Parce qu'Obama est probablement le plus important porte-parole et légitimateur du radicalisme en matière de sexe, de finance, de morale, d'État de droit et d'immigration qui a transformé les gouvernements du monde anglophone. Comprendre son programme en matière d'immigration et la manière dont il s'inscrit dans ses ambitions plus larges permet de mieux comprendre ce qui se passe réellement.
Dans notre dernier numéro de la Trompette , M. Flurry a fait une déclaration audacieuse sur la raison pour laquelle Obama a poussé au flux de migrants, en particulier aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Australie et au Canada : parce qu'il veut « amener des soldats qui peuvent semer la division, la violence, la confusion, le terrorisme, la guerre raciale et la guerre civile en Amérique, ainsi que dans ces autres nations !(theTrumpet.com/29905).
Cette allégation peut sembler audacieuse. Mais étudiez les années où Obama a été président et celles où il a quitté la fonction la plus puissante du monde. Aujourd'hui encore, il exerce une influence mondiale plus importante que n'importe quelle autre personne. Il n'a eu de cesse d'encourager l'immigration dans ces pays, alors qu'elle causait et continue de causer des dommages considérables et évidents. La violence raciale et le terrorisme dans ces pays ne sont pas un effet involontaire de cet effort. C'est intentionnel.
Bien entendu, cette attaque est bien plus importante que celle d'un seul individu. La Bible révèle qu'il y a une force spirituelle derrière cela — et une solution spirituelle.
Le tsar des migrations
Sachant que l'immigration illégale a causé des dommages clairs aux nations anglophones—et sachant qu'Obama a lutté pour maintenir et augmenter l'immigration illégale — certains événements au cours des dernières années, et son influence sur eux, prennent une nouvelle signification.
En 2015, les conflits en Syrie, en Afghanistan, en Irak et dans d'autres pays ont provoqué une crise des réfugiés sans précédent qui a touché des millions de personnes. Lors d'un discours devant l'Assemblée générale de l'ONU, Barack Obama a exhorté le monde à réinstaller des centaines de milliers d'entre eux dans leurs propres terres. « Ce n'est pas seulement au sujet de ce que je peux faire en tant que président, » a-t-il déclaré. « Chacun d'entre nous — des citoyens aux ong [organisations non gouvernementales] — peut aider les réfugiés à trouver un havre de paix. »
Un mouvement mondial de réinstallation s'est mis en place. Plusieurs entreprises telles que Kickstarter, Instacart, Airbnb, Starbucks et Twitter ont répondu à l'appel d'Obama et ont mis en place des moyens permettant aux gens de faire des dons à des ONGou d'aider directement les réfugiés. Sous le hashtag #AidRefugees, des entreprises se sont associées au Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés et ont fourni des milliards en aide humanitaire.
Cette initiative n'était toutefois pas destinée à aider les réfugiés à trouver un asile temporaire. L'objectif est de leur offrir un nouveau foyer permanent.
En juin 2016, la Maison Blanche a créé le Partenariat pour les réfugiés afin d'obtenir des ressources auprès d'entreprises privées pour ses programmes de migration. Depuis lors, le partenariat, désormais connu sous le nom de Tent Partnership for Refugees, a convaincu des centaines d'entreprises de s'engager à embaucher près d'un quart de million de réfugiés dans une douzaine de pays.
En plus de financer directement les mouvements de réfugiés et de recruter des entreprises pour les aider, Obama s'est également adressé directement aux dirigeants du monde entier. En septembre 2016, il a accueilli le Sommet des dirigeants sur la crise mondiale des réfugiés, appelant à un engagement mondial pour accueillir davantage de réfugiés. « Tout comme le fait de ne pas avoir agi dans le passé — par exemple en refusant d'accueillir les Juifs fuyant l'Allemagne nazie — est une tache sur notre conscience collective, a-t-il déclaré, je pense que l'histoire nous jugera sévèrement si nous ne nous montrons pas à la hauteur de ce moment. »
Dans ce discours, Obama a loué le travail de l'Organisation internationale pour les migrations (iom). Aujourd'hui, huit ans plus tard, c'est une administratrice d'Obama qui dirige cette organisation : Amy Pope. Lorsqu'elle a pris ses fonctions, elle a qualifié la migration « d'outil pour libérer le potentiel humain afin de faire avancer le développement économique. » C'est une déclaration remarquable au vu des profonds problèmes que la migration de masse cause dans de nombreux pays aujourd'hui. Mais elle représente bien la propagande qui promeut ce qui est devenu une véritable machine bien huilée de déplacement des réfugiés à l'échelle mondiale.
Après avoir rencontré le pape François en privé pour discuter de cette question, Amy Pope a déclaré : « C'est une voix incroyable, et en ce moment où la rhétorique autour de la migration est si négative, avoir quelqu'un comme [lui] qui s'exprime avec tant de passion et d'éloquence sur le sujet est incroyablement important, non seulement pour notre organisation, mais aussi pour des millions de personnes dans le monde entier ».
L'Église catholique ne se contente pas d'apporter son aide par des paroles aimables. Comme le rapporte Vatican News, « de nombreuses organisations humanitaires catholiques apportent leur aide en fournissant une aide d'urgence et des services d'installation à long terme pour les migrants et les réfugiés ». Les 19 000 personnes travaillant dans 171 pays sous la direction d'Amy Pope sont aidées par des organisations catholiques dirigées par le pape François et des dizaines d'autres organisations afin de rendre ce projet d'envergure réalisable. Ils fournissent de la nourriture pendant le voyage, de l'argent liquide, des visas, des moyens de transport et aident à trouver des emplois pour des millions de personnes dans le monde entier.
Mais ce ne sont pas tous les pays qui veulent accueillir des réfugiés. C'est pourquoi, lors du sommet de 2016, M. Obama a introduit le Mécanisme conjoint de soutien aux pays pour la réinstallation d'urgence, un projet conjoint de l'OIM et de l'Agence des Nations unies pour les réfugiés qui fournit une aide financière et technique aux pays qui mettent en place ou développent des programmes de réinstallation de réfugiés.
L'objectif spécifique de cette initiative était d'encourager les pays d'Amérique du Sud et d'ailleurs à accepter des demandeurs d'asile du Moyen-Orient, d'Afrique et d'Asie, a rapporté voa News à l'époque. L'année suivante, le Chili a commencé à accueillir ses premiers réfugiés syriens, soutenus par l'ONU. Dans les années qui ont suivi, de plus en plus de migrants du Moyen-Orient sont venus en Amérique latine, et nombre d'entre eux sont entrés illégalement aux États-Unis sous l'administration Biden.
Pour comprendre cette opération d'envergure, il faut mieux comprendre la vision d'Obama.
Inspiré par Mandela
Lors du service commémoratif de Nelson Mandela en 2013, Obama a prononcé un éloge funèbre dans lequel il a déclaré que Mandela « a réveillé quelque chose en moi. » « Cela m’a ouvert les yeux sur mes responsabilités envers les autres et envers moi-même, et cela m’a lancé dans un voyage improbable qui me trouve ici aujourd’hui. »
De retour en Afrique du Sud en 2018, Obama a déclaré que la « lumière de Mandela brillait si intensément, même depuis cette étroite cellule de l'île de Robben, qu'à la fin des années 70, il pouvait inspirer un jeune étudiant universitaire de l'autre côté du monde à réexaminer ses propres priorités, il pouvait me faire réfléchir au petit rôle que je pourrais jouer pour infléchir l'arc du monde vers la justice. »
Qui était Mandela lorsqu'il inspirait Obama ? En 1964, 30 ans avant
de devenir président de l'Afrique du Sud en 1994, Mandela a été accusé
de sabotage et de complot révolutionnaire. Il était à la tête d'une
organisation terroriste responsable de milliers de morts, dont la
plupart est le résultat de crimes entre Noirs. (Lisez « La vérité sur
Nelson Mandela » sur theTrumpet
.com/11238.) Bien que la domination britannique ait pris fin,
Mandela croyait qu'il devait lutter contre le « racisme
institutionnalisé ». « Nous devions soit accepter l'infériorité, soit
lutter contre elle par la violence », a-t-il déclaré. « Nous avons
choisi cette dernière option. »
Obama a cherché à reproduire ce qui s'est passé en Afrique du Sud à l'échelle mondiale. Il voyait le monde divisé entre les camps des oppresseurs et des opprimés. Il en a retracé la cause en remontant à l'époque coloniale et s'est convaincu que le changement global pourrait nécessiter une violence globale.
Mandela est né en 1918. Cent ans plus tard, Obama a déclaré : « Il n'y avait aucune raison de croire qu'un jeune garçon noir, à cette époque et à cet endroit, pouvait modifier l'histoire de quelque manière que ce soit. Après tout, il y avait moins de dix ans que l'Afrique du Sud n'était plus sous le contrôle total des Britanniques. Déjà, des lois étaient codifiées pour mettre en œuvre la ségrégation raciale et l'assujettissement, le réseau de lois qui allait être connu sous le nom d'apartheid. … Les puissances européennes dominantes, qui avaient mis fin à une horrible guerre mondiale quelques mois seulement après la naissance de Madiba, considéraient ce continent et ses habitants avant tout comme un butin dans une compétition pour les territoires, les ressources naturelles abondantes et la main-d'œuvre bon marché. Et l'infériorité de la race noire, l'indifférence à l'égard de la culture, des intérêts et des aspirations des Noirs étaient des évidences ».
Mais Obama est allé beaucoup plus loin que la simple sélection des défauts du passé. Il a déclaré qu'en dépit des nouvelles lois, constitutions et belles paroles, « [l]es anciennes structures de privilèges, de pouvoir, d'injustice et d'exploitation n'ont jamais complètement disparu ». Ces propos ont suscité des applaudissements nourris de la part de son auditoire sud-africain.
Maintenant, Obama cherche à déloger complètement ces « structures de privilège ». Il semble qu'une partie de sa stratégie consiste à réinstaller les « opprimés » là où ils peuvent renverser violemment les « oppresseurs », tout comme Mandela cherchait à le faire. Ce discours a éclairé la pensée d'Obama sur les politiques mondiales, en particulier sur les migrations.
« Il est évident que la discrimination raciale existe toujours aux États-Unis et en Afrique du Sud », a-t-il déclaré sous les acclamations et les applaudissements. Il a ensuite accusé « les désavantages accumulés pendant des années d'oppression institutionnalisée » d'être à l'origine des « disparités de revenus, de richesse, d'éducation, de santé, de sécurité personnelle et d'accès au crédit ».
Le discours d'Obama a ignoré le fait que l'esclavage était un péché de société bien avant l'existence de l'Empire britannique, et que ce dernier a interdit cette pratique maléfique et a versé du sang et de l'argent pour l'éradiquer. Il a ignoré le fait que l'Amérique et la Grande-Bretagne ont élargi les libertés et les opportunités pour des millions de personnes à travers le monde. Au lieu de cela, il a affirmé que l'essor de l'Amérique et de la Grande-Bretagne s'est fait aux dépens du reste du monde et est la source des injustices dans le monde. C'est un mensonge absolu.
« Chaque génération a l'opportunité de recréer le monde, » a-t-il déclaré. Il a cité Mandela : « Les jeunes sont capables, lorsqu'ils sont éveillés, de renverser les tours de l'oppression et de brandir les bannières de la liberté », puis a ajouté : « Maintenant est un bon moment pour s'éveiller. C'est le bon moment d'être gonflé à bloc ».
En utilisant la fonction la plus puissante du monde, Obama a incité les gens à détruire la civilisation et à « refaire le monde ». Ce monde, à l'ère moderne, a été défini par les valeurs américaines et britanniques.
À la Grande-Bretagne : Accueillez l'immigration !
Quel est le programme d'Obama pour la Grande-Bretagne, en particulier en ce qui concerne l'immigration ?
En 2011, il est devenu le premier président américain à s'adresser au Parlement britannique à Westminster Hall. « Contrairement à la plupart des pays du monde, nous ne définissons pas la citoyenneté en fonction de la race ou de l'ethnicité », a-t-il déclaré. « Oui, notre diversité peut conduire à des tensions. Tout au long de notre histoire, l'immigration et l'assimilation ont fait l'objet de débats passionnés dans nos deux pays. Mais même si ces débats peuvent être difficiles, nous reconnaissons fondamentalement que notre héritage hétéroclite est une force énorme …. [Qu'il est possible pour les fils et les filles des anciennes colonies de siéger ici en tant que membres de ce grand Parlement, et pour le petit-fils d'un Kényan qui a servi comme cuisinier dans l'armée britannique de se tenir devant vous en tant que président des États-Unis ».
Selon le Times, le grand-père d'Obama, Hussein Onyango Obama, a servi dans l'armée britannique en Birmanie pendant la Seconde Guerre mondiale, est rentré au Kenya comme cuisinier militaire, a développé un profond ressentiment à l'égard des Britanniques et a commencé à coopérer avec l'Association centrale des Kikuyus, qui aurait prêté serment de tuer les colons blancs — d'où la révolte sanglante des Mau Mau. Barack Obama Sr, fils d'Onyango et père du président, partageait les mêmes ressentiments. Les mémoires de Barack Obama, Dreams From My Father, montrent que les rêves de révolte se perpétuent dans le petit-fils.
Le discours d'Obama devant le Parlement a consisté à exhorter les Britanniques à accepter l'immigration. Il fut un temps où la Grande-Bretagne exportait sa culture dans l'espoir d'apporter un monde meilleur. M. Obama a renversé cette notion en affirmant qu'une meilleure Grande-Bretagne émergerait si elle absorbait les cultures non blanches. Les faits observés en Grande-Bretagne témoignent bruyamment du contraire.
La Heritage Foundation a observé, « Barack Obama incarne l'élite libérale mondialiste anti-Brexit qui se moque ouvertement de la défense des frontières, des États-nations et de la lutte contre le supranationalisme. » Obama soutient des frontières ouvertes car elles transforment définitivement la société britannique. Il promeut le « supranationalisme » parce que cela permet à des autorités non élues de dicter ce que pourraient décider autrement des pays indépendants.
En avril 2016, juste quelques semaines avant le référendum sur le Brexit en Grande-Bretagne, Obama a visité Downing Street. Lors de son voyage, un journaliste l'a confronté au sujet de son ingérence dans les affaires britanniques, déclarant : « L'Amérique n'accepterait pas les niveaux d'immigration du Mexique que nous devons accepter de l'UE. » Obama a répondu en menaçant que si la Grande-Bretagne quittait l'UE, elle passerait « à l'arrière de la file d'attente » pour les accords commerciaux.
Les rôles se sont en effet inversés : Le petit-fils d'un cuisinier kenyan de l'armée britannique menaçait l'ancienne puissance coloniale de ruine économique si elle ne se soumettait pas à un gouvernement supranational.
Le fait de s'emparer de l'immigration en Grande-Bretagne a été particulièrement efficace —et destructeur. Le problème existait déjà avant l'arrivée d'Obama. En 2004, dix nouveaux États membres, pour la plupart des pays pauvres, ont rejoint l'Union européenne. La plupart des États membres ont fermé leurs frontières à ces nouveaux États membres afin de protéger leurs propres travailleurs. La Grande-Bretagne est l'une des trois seules nations à avoir largement ouvert ses frontières. Andrew Neather, un rédacteur de discours pour Tony Blair et d'autres dirigeants du Parti travailliste, a déclaré que son parti avait une « politique délibérée … d'ouvrir le Royaume-Uni à la migration de masse » et voulait « frotter le nez de la droite dans la diversité. »
Mais le Parti travailliste a été éliminé. La Grande-Bretagne a quitté l'Union européenne. La migration a été un facteur important dans les deux cas. Pourtant, la migration ne s'est pas seulement poursuivie, elle s'est amplifiée. En 2023, la migration nette était presque de 700 000 (le nombre proportionnel aux États-Unis serait de 3,4 millions). Un élève de primaire sur cinq n'a pas l'anglais comme première langue. Dans 2 000 écoles, la majorité ne parle pas anglais comme langue maternelle ; et dans 200 écoles, 90 pour cent ne le font pas. Londres est essentiellement une ville étrangère. Seul un tiers de ses citoyens s'identifie comme « Blanc » : Anglais, Gallois, Écossais, Irlandais du Nord ou Britannique ». Seul un quart des enfants nés dans la ville sont des Britanniques blancs.
Les dirigeants britanniques actuels entretiennent des liens étroits avec Obama et semblent taillés dans la même étoffe. En 2021, M. Obama a commencé à discuter avec Sir Keir Starmer et David Lammy, secrétaire d'État aux Affaires étrangères, de la manière de vaincre les conservateurs. Lammy, aujourd'hui ministre britannique des Affaires étrangères sous la direction de Starmer, connaît Obama depuis 20 ans et partage nombre de ses opinions. En septembre 2023, Starmer a déclaré au podcast Power Play de Politico qu'Obama était le président des États-Unis avec qui il parlait « le plus souvent » et a dit qu'il « m'aide à réfléchir à la manière dont nous pourrions aborder certaines des décisions que nous devrions prendre si nous remportons cette élection. »
En mars dernier, Obama a rendu visite à Starmer. Le 4 juillet, le Parti travailliste de Starmer a remporté une supermajorité au Parlement. Le Business Insider a partiellement crédité M. Obama pour la victoire de Starmer.
Quelques semaines plus tard, le problème de l'immigration en Grande-Bretagne a explosé dans la violence. Les Britanniques ont exprimé une profonde frustration face à la détérioration du système judiciaire à deux vitesses du pays : Le gouvernement Starmer a arrêté des citoyens préoccupés qui partageaient du contenu « haineux » en ligne — tandis que des musulmans errent dans les rues avec des machettes.
Au Canada : Plus de diversité !
Le Premier ministre Starmer est également ami avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau, un autre proche confident d'Obama. Ensemble, ils construisent un réseau de politiciens radicaux qui gouvernent ces nations anglophones.
Le gouvernement canadien déclare que « des tensions raciales existent au Canada depuis sa colonisation » et que « divers groupes minoritaires raciaux, religieux et sexuels au Canada subissent de plus en plus des crimes haineux. » La solution du gouvernement est simple : plus de diversité.
Les politiques multiculturalistes du Canada ont commencé dans les années 1970 avec le Premier ministre Pierre Trudeau. Elles se sont considérablement développées en 2015 sous la direction de son fils Justin Trudeau, qui a déclaré que le Canada était le « premier État postnational » et qu'« il n'y a pas d'identité principale, pas de courant dominant au Canada ». Il s'agissait d'un rejet clair des liens avec la couronne britannique, des valeurs religieuses traditionnelles, de l'histoire et de la culture nationales—et il a été encouragé par Obama.
Pour faire élire Justin Trudeau, son principal conseiller a travaillé avec l'équipe de campagne de Barack Obama afin d'établir un « modèle Obama » pour les élections. Depuis lors, ce modèle a contribué à porter les gauchistes au pouvoir partout dans le monde.
Pour faire élire Justin Trudeau, son principal conseiller a travaillé avec l'équipe de campagne de Barack Obama afin d'établir un « modèle Obama » pour les élections. Depuis lors, ce schéma a contribué à mettre les gauchistes au pouvoir dans le monde entier. Barack Obama a publiquement soutenu M. Trudeau, l'a rencontré à plusieurs reprises lorsqu'il était au pouvoir et a maintenu son soutien même après avoir quitté la Maison Blanche. M. Flurry a écrit dans notre numéro de septembre : « Avec l'aide de la Chine — et surtout avec l'aide de la puissance de Satan — Obama a contribué à faire de Trudeau le dictateur du Canada. »
L'une des façons les plus notables dont Trudeau perpétue l'héritage d'Obama est sa politique d'immigration. En 2016, Barack Obama a prononcé un discours devant le Parlement canadien, dans lequel il n'a cessé d'exhorter les Canadiens à embrasser la diversité, qu'il s'agisse de se « réconcilier » avec les Premières nations du Canada, d'accueillir des migrants du monde entier ou des lesbiennes, des gays, des bisexuels et des transsexuels. Regardez ce discours ou lisez-en la transcription, et vous comprendrez mieux la montée en flèche des chiffres de l'immigration dans ce pays. Mais plus le Canada embrasse la diversité, plus il s'expose à des heurts, comme ce fut le cas récemment entre les LGBT et les immigrés musulmans.
Encore et encore, Obama a plaidé auprès du Parlement : « Lorsque des réfugiés échappent à des barils d'explosifs et à la torture, et que des migrants traversent des déserts et des mers en quête d'une vie meilleure, nous ne pouvons tout simplement pas détourner le regard. Nous ne pouvons certainement pas qualifier de terroristes potentiels des personnes vulnérables qui fuient des terroristes ». Il a terminé son discours en déclarant : « Quelle chance, quel privilège nous avons d'avoir l'opportunité de reconstruire ce monde ». La vérité, c'est que pour reconstruire, il faut démolir.
Au cours des années qui ont suivi, le Canada a admis un très grand nombre de réfugiés et d'autres migrants. Pour la seule année 2022, la population du Canada a augmenté de plus d'un million de personnes. En l'espace de trois mois, de juillet à septembre de l'année dernière, elle a augmenté de 430 000. Quatre-vingt-seize pour cent de cette croissance est due à l'immigration.
À l'Australie : Ouvrez vos frontières !
Le programme de rétro-colonisation d'Obama a également été actif en Australie.
En s'adressant au Parlement australien en 2011, Obama a déclaré : « Je tiens à rendre hommage aux habitants originels de cette terre, et l'une des cultures continues les plus anciennes du monde, les Premiers Australiens. » Il a ensuite ajouté : « C'est l'esprit de progrès en Amérique qui me permet de me tenir devant vous aujourd'hui, en tant que président des États-Unis. Et c'est cet esprit que je retrouverai plus tard dans la journée, lorsque je deviendrai le premier président américain à se rendre dans le Territoire du Nord, où je rencontrerai les propriétaires traditionnels de la terre ».
M. Obama a mis en avant le passé colonial de l'Australie, puis a imploré les parlementaires d'expier leur passé en ouvrant leurs frontières. « [N]ous sommes des citoyens qui vivent selon un credo commun : peu importe qui vous êtes, peu importe à quoi vous ressemblez, tout le monde mérite une chance équitable ; tout le monde mérite une opportunité équitable. Bien sûr, le progrès dans notre société ne s'est pas toujours fait sans tensions, ni sans luttes pour surmonter un passé douloureux ». Il a salué « l'esprit de progrès » en déclarant : « C'est la raison pour laquelle les peuples sont descendus dans les rues — de Delhi à Séoul, de Manille à Jakarta — pour se débarrasser du colonialisme et de la dictature et construire quelques-unes des plus grandes démocraties du monde ».
Après avoir quitté ses fonctions, Obama s'est rendu à Sydney en 2018 pour rencontrer à nouveau le Premier ministre australien Malcolm Turnbull. L'année dernière, il a de nouveau rendu visite au Premier ministre Anthony Albanese—et juste après cette réunion, environ 400 000 immigrants ont afflué dans le pays. L'Australie n'a que 25 millions d'habitants ; un afflux proportionnel aux États-Unis serait de 5,4 millions de migrants. Et les chiffres ne cessent d'augmenter.
De telles « coïncidences » entourant l'ancien président sont si communes que American Thinker a écrit : « Bien qu'Obama travaille dur pour donner l'impression qu'il n'est pas directement impliqué dans les affaires auxquelles il participe, quiconque a suivi les manigances du socialiste furtif sait qu'il n'y a pas de coïncidences concernant l'ancien président. »
L'Organisation internationale pour les migrations, largement rendue possible par Obama, offre une aide spéciale aux migrants vers l'Australie. Le site Web de l'organisation indique que l'OIM « a mis en place un programme unique pour les migrants qui se réinstallent en Australie, qui offre un large éventail d'assistance. Il comprend des tarifs aériens spéciaux avec des conditions améliorées et des prêts sans intérêt disponibles pour couvrir les coûts de billets pour les titulaires de visa humanitaire spécial mondial. »
Une attaque contre l'Empire
M. Flurry a comparé Barack Obama à Antiochos iv Épiphane, un roi séleucide qui a obtenu le pouvoir en Palestine en 176 avant J.-C. par tromperie et flatterie. Cet homme a cherché à détruire tout ce que représentait Juda. De nombreux commentateurs de la Bible reconnaissent que Daniel 8 tourne autour de cet Antiochus, mais ils ne comprennent pas la dualité de la prophétie et le fait qu'elle concerne principalement la fin des temps.
La Bible révèle qu'aux « derniers jours », un type d'Antiochos se lèvera et cherchera à effacer « le nom d'Israël » (2 Rois 14 : 26-27). « Israël » dans la prophétie biblique se réfère aux nations modernes de Grande-Bretagne et d'Amérique. (Demandez un exemplaire gratuit de Les Anglo-Saxons selon la prophétie, par Herbert W. Armstrong.)
La Genèse 49 prophétise que Joseph serait « Le rejeton d'un arbre fertile près d'une source ; les branches s'élèvent au-dessus de la muraille. » Ceci est une image de la Grande-Bretagne et de l'Amérique en tant que peuples colonisateurs. Comme M. Armstrong l'a expliqué, « À partir de 1800, ces deux petites nations ont commencé à germer et à croître pour atteindre une richesse et une puissance nationales telles qu'aucun peuple n'en a jamais possédées. Bientôt l'Empire de la Grande-Bretagne s'est étendu à travers le monde, jusqu'à ce que le soleil ne se couche jamais sur ses possessions. Le Canada, l'Australie et l'Afrique du Sud ont reçu le statut de dominion — ils sont devenus des nations libres et indépendantes, se gouvernant elles-mêmes indépendamment de l'Angleterre — une multitude ou un commonwealth de nations unies, non par un gouvernement légal, mais uniquement par le trône de David. »
Tout comme l'Amérique et la Grande-Bretagne descendent de l'ancien Israël, le trône britannique a été, jusqu'à récemment, la continuation du trône royal de David.
La Bible montre que c'est par le dessein de Dieu que l'Empire britannique est monté en puissance.
La Grande-Bretagne d'aujourd'hui a cependant refusé d'être la nation exemplaire que Dieu voulait qu'elle soit. Ainsi, Osée 7 : 9 prophétise : « Des étrangers consument sa force. » Au lieu de chercher Dieu et d'exporter Sa culture, la Grande-Bretagne s'est mélangée aux cultures de ce monde, un monde profondément influencé et trompé par le diable (2 Corinthiens 4 : 4).
La Bible expose également la cause spirituelle invisible de cette haine envers « le nom d'Israël ». La source ultime est Satan le diable, qui a séduit le monde entier (Apocalypse 12 : 9). Il est l'auteur de la haine spéciale dont le monde épreuve pour l'Empire britannique.
Bien que Dieu ne permette pas à Satan d'effacer Israël, Il utilisera les souffrances à venir pour les amener à la repentance. Si la Bible révèle spécifiquement qu'une guerre civile est imminente, elle révèle également que c'est Dieu qui gère la situation en fin de compte.
Soldats migrants
À la suite des émeutes en Grande-Bretagne, Elon Musk a averti qu'une guerre civile serait « inévitable ». Le gouvernement britannique et les médias l'ont vivement critiqué pour cette déclaration. Mais les tensions provoquées par l'afflux d'étrangers dans ces pays ne cessent de croître, et certains politiciens les encouragent activement.
Le plus grand danger lié à l'afflux massif de migrants n'a rien à voir avec la couleur de leur peau ou leur nationalité, mais avec leurs idéologies dangereuses. L'islam radical en est un exemple. Le texte islamique du Coran oppose les musulmans à leurs voisins juifs et chrétiens. Au lieu de promouvoir la paix, ce texte a été utilisé par des prédicateurs radicaux pour attiser la haine. Si les motivations des terroristes peuvent varier, beaucoup d'entre eux considèrent qu'ils participent à une campagne militaire avec un objectif religieux. N'importe qui peut voir que le fait de laisser entrer des gens qui haïssent la culture et la religion occidentales conduira au mieux à des tensions, au pire à des affrontements violents.
Un nombre disproportionné de migrants qui débarquent dans les pays anglophones sont des hommes célibataires en âge de servir dans l'armée, prêts à se battre. À l'insu de Musk et d'autres, Barack Obama prévoit d'utiliser ces hommes pour provoquer l'« inévitable ».
Dans cet article de la Trompettedu mois dernier, M. Flurry a écrit : « Des millions de personnes franchissent les frontières de l'Australie, du Canada, de la Grande-Bretagne et des États-Unis. Et beaucoup d'entre eux sont de jeunes hommes, en bonne santé, en âge de servir dans l'armée originaires du monde entier, y compris de nations ennemies de l'Amérique, comme la Chine ! Ces étrangers attaquent l'Amérique en se livrant au trafic de drogue, d'enfants et d'esclaves sexuels, en commettant des viols et des meurtres. De nombreux conservateurs croient que le plan consiste à transformer tous ces illégaux en électeurs démocrates. Mais Obama a un autre plan : faire venir des soldats qui peuvent semer la division, la violence, la confusion, le terrorisme, la guerre raciale et la guerre civile en Amérique, ainsi que dans ces autres nations ! C'est le plan connu des communistes, et beaucoup de ceux qui l'aident sont communistes. »
Obama a une histoire d'activisme, et il a aussi des liens avec les manifestations de Black Lives Matter, de Free Palestine et d'autres qui ont tourné à la violence et ont fondamentalement changé notre société. Par l'intermédiaire de la Fondation Obama, il inspire des « manifestations pour l'égalité et la justice » dans le monde entier.
L'issue a été prophétisée.
S'adressant aux descendants modernes d'Israël, Ézéchiel 5 : 12 révèle : « Un tiers de tes habitants mourra de la peste et sera consumé par la famine au milieu de toi… ». Cela fait partie de la « grande tribulation » que Jésus-Christ a prophétisée dans Matthieu 24 : 21.
Dans son livre gratuit Ézéchiel — prophète du temps de la fin, M. Flurry explique : « Le mot peste signifie simplement la destruction ou la mort. […] L'une des définitions du mot-racine est « tendre des pièges, comploter contre, détruire ». Cette peste pourrait donc être un fléau de violence ou d'incendies, pas nécessairement une maladie physique ! »
Les tendances actuelles jettent les bases de l'accomplissement de cette horrible prophétie. Des villes à travers les États-Unis, l'Australie, la Grande-Bretagne, le Canada et l'Afrique du Sud sont sur le point de s'embraser.
De nombreux mouvements de protestation modernes sont attisés sur les réseaux sociaux, renforcés par des algorithmes qui en font la promotion. Comme expliqué dans L'Amérique sous attaque, Obama a utilisé les réseaux sociaux pour attiser le printemps arabe. Il conseille également la Maison-Blanche et les dirigeants d'entreprise et mondiaux sur l'intelligence artificielle — un outil couplé avec les réseaux sociaux qui peut être utilisé pour radicaliser et mobiliser davantage les gens en ligne. Le déclenchement d'une agitation généralisée est plus ou moins entre ses mains.
La Bible révèle que des forces extérieures chercheront à terminer ce qu'Obama a commencé. M. Flurry explique : « Alors que l'économie se dégrade, assiégée par des puissances étrangères, les émeutiers se mettront en colère de plus en plus — parce que la colère de Dieu est sur nous ! » Tragiquement, ces haines sont prophétisées pour exploser dans la guerre civile la plus meurtrière de l'histoire.
Observant la division interne et les conflits au sein des peuples de langue anglaise, les puissances étrangères sont sur le point d'exploiter l'anarchie. Elles enflammeront et exacerberont les émeutes et les incendies.
Nous ne devons pas oublier que ces événements se produiront parce que la colère de Dieu est sur nous ! Sa punition est précisément mesurée pour amener notre monde à la repentance !
C'est Dieu qui a donné les bénédictions dont nos nations ont joui, afin de tenir Ses promesses à Abraham et à sa descendance. C'est grâce à la miséricorde de Dieu que le monde a pu jouir d'une paix relative apportée par les peuples américain et britannique. Et ce sera à nouveau Dieu qui apportera la paix éternelle. Lui seul peut le faire !
Dieu a un avenir merveilleux pour ceux qui sont prêts à écouter Son message. Il veut apporter des bénédictions bien plus grandes au monde que ce que l'Empire britannique a jamais connu. Il résoudra les injustices du monde et unira les nations et les races sous un gouvernement mondial, établi par Jésus-Christ.
Nous n'avons pas besoin de plus d'êtres humains essayant de résoudre les injustices du monde. Ce dont nous avons besoin, c'est l'intervention divine de Dieu. Heureusement, le règne éternel de Dieu est assuré ! (Ésaïe 9:6-7).