Une fumée sombre s’élève après une frappe aérienne dans la ville de Lviv, dans l’ouest de l’Ukraine, le 26 mars 2022. [GETTY IMAGES]
La guerre de la Russie contre l’Ukraine—un an plus tard
Il y a un an, le 24 février 2022, le monde a changé. Dans le froid glacial de ce matin-là, l’artillerie et les frappes aériennes russes ont commencé à pilonner les villes ukrainiennes. Et les chars et les troupes russes—des dizaines de milliers de soldats—ont commencé à franchir les frontières de l’Ukraine.
Le plan de Vladimir Poutine était de conquérir rapidement l’Ukraine comme il avait pris la Crimée neuf ans plus tôt. Il s’attendait à une faible résistance ukrainienne, à une reddition rapide du Président Volodymyr Zelensky et à une victoire rapide de la Russie. Mais nous voici un an plus tard : Zelensky est toujours à Kiev, les Ukrainiens se battent toujours avec détermination et ils se battent avec de plus en plus de soutien de l’OTAN et d’autres pays.
Ce soutien est apparu clairement lors de la visite à Kiev, la semaine dernière, du Président américain Joe Biden. Sa visite a été suivie d’un important discours du secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, qui a déclaré : « Poutine ne doit pas gagner. Cela montrerait que l’agression fonctionne, et [que] la force est récompensée. Ce serait dangereux […] pour le monde entier. »
Ces dernières semaines, le gouvernement américain a également accusé directement la Russie de « crimes contre l’humanité »—une expression que Washington ne brandit pas avec désinvolture. Elle est réservée aux attaques systématiques contre les populations civiles, utilisant le meurtre, la torture et le viol, etc. Les camps de torture qui ont été découverts dans tout l’espace ukrainien libéré montrent que cette étiquette est certainement justifiée. Le stratège géopolitique Peter Zeihan a déclaré : « Les crimes contre l’humanité sont le genre de choses dont vous n’accusez un gouvernement que si vous ne le laissez jamais, jamais, jamais, jamais revenir dans la famille des nations. Donc, du point de vue américain […] il n’y aura pas de solution diplomatique à ce problème, à quelque niveau que ce soit. »
Pendant ce temps, la Chine continue de soutenir la Russie de nombreuses manières, et des rapports suggèrent qu’elle pourrait bientôt envoyer une aide mortelle pour aider la machine de guerre russe à continuer de massacrer.
Les lignes de bataille ont peu bougé ces derniers mois, même si les deux camps perdent des milliers d’hommes pour conserver leurs positions. Les Russes, en particulier, subissent un taux de pertes extrêmement élevé, avec 200 000 à 270 000 soldats tués, blessés ou disparus depuis février 2022. À titre de comparaison, lorsque l’Union soviétique a tenté de conquérir l’Afghanistan de 1979 à 1989, elle a perdu un total de 15 000 soldats. Les pertes de la Russie pour la guerre en Ukraine sont donc dans la stratosphère. Mais la Russie a une vaste population, et les dirigeants ne sont pas impressionnés par les pertes. Il est donc clair, en ce premier anniversaire, que cette guerre pourrait encore durer longtemps.
Quelle que soit la façon dont la guerre se déroule à court terme, et aussi nauséabond que ce soit à contempler, nous devons nous attendre à ce que la Russie gagne finalement la guerre. Et cela en raison de ce que le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a dit au sujet du rôle de Poutine dans la prophétie biblique. Plusieurs passages de la Bible décrivent une alliance militaire asiatique multinationale de la fin des temps. Cette vaste alliance est discutée dans les livres de Daniel, de Joël et de l’Apocalypse, ainsi que dans des passages particulièrement détaillés d’Ézéchiel 38 et 39. Le verset 2 d’Ézéchiel 38 dit que cette alliance asiatique sera dirigée par un « prince de Rosch, Méschec et Tubal ». M. Flurry soutient depuis la fin 2013 que ces trois noms font référence à la Russie et à deux de ses villes clés, et que ce passage décrit Vladimir Poutine.
Dans sa brochure Le « prince de Russie » prophétisé, il écrit au sujet de Poutine :
Ses antécédents, sa nationalité et son idéologie montrent qu’il accomplit une esse de la prophétie. La chronologie de son règne montre, également, que personne d’autre ne pourrait accomplir la prophétie d’Ézéchiel 38 et 39 […] Nous devons observer Vladimir Poutine de près. Je crois qu’il est presque certain qu’il soit le « prince de Rosh » au sujet duquel Dieu a inspiré Ézéchiel d’écrire, il y a 2500 ans !
Ainsi, que ce soit grâce à l’aide meurtrière de la Chine ou un autre ensemble de facteurs, nous devons nous attendre à ce que Poutine survive à la guerre et prenne la tête d’une puissante alliance asiatique. La brochure de M. Flurry montre que cela signifie que des années profondément sombres sont à venir pour l’Ukraine, la Russie et le monde entier. Mais il souligne également que cette obscurité sera de courte durée et laissera place à un avenir plein d’espoir. Il écrit :
Vladimir Poutine est un signe, littéralement un signe […] C’est un des messages les plus inspirants dans la Bible. Ce que nous voyons en Russie mène, en fin de compte, à la transition de l’homme dirigeant l’homme à Dieu dirigeant l’homme ! […] Une grande transition est sur le point d’arriver.
Pour comprendre les détails de ces prophéties bibliques et ce que M. Flurry appelle « le message le plus inspirant de la Bible », commandez votre exemplaire gratuit de Le « prince de Russie » prophétisé.