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La foi d’Abraham en la nouvelle Jérusalem
Dieu a promis un fils à Abraham, puis a fait attendre Abraham et Sarah 25 ans avant de recevoir ce fils. Abraham avait 100 ans à cette époque, 100 ans. Et si vous pensez à cela, eh bien, c'était son fils unique, et il l'a chéri comme, peut-être, peu de pères pouvaient le faire à cause de tous les événements qui entouraient cela. Plus tard, Dieu a dit à Abraham : Bon, d'accord, prends ton fils maintenant, et sacrifies-le. Je veux que tu le sacrifies, que tu sacrifies sa vie pour Moi et pour cette Œuvre que nous faisons. Et bien sûr, Abraham est allé de l'avant et a fait cela, et Dieu l'a arrêté juste avant qu'il ne sacrifie Isaac, mais dans son esprit—c'est-à-dire dans l'esprit d'Abraham—il était tout aussi bien qu’il soit mort, il était bien que son fils soit mort. Car il savait que Dieu avait déjà promis de continuer la lignée d'Abraham à travers Isaac, et il savait donc que Dieu devrait très rapidement ressusciter Isaac pour accomplir cette promesse.
Il croyait aux promesses de Dieu, et celui-ci a exigé la foi ultime de tout être humain ayant vécu. Je veux dire, c'est la foi par excellence. Abraham est appelé le père des fidèles. Le père des fidèles à cause de cet acte et de ce qu'il a fait avec son fils.
Et je pense qu'il n'y a vraiment aucun parallèle à ce genre d'épreuve, et à un homme qui avance par la foi et fait confiance à Dieu comme l'a fait Abraham. Sauf Jésus-Christ, bien sûr. Mais personne d'autre, aucun être humain n'a jamais, il me semble, été confronté à quelque chose comme ça. Et il était prêt à sacrifier ce fils spécial, et si vous réfléchissez à cela, vous pouvez vous rendre compte que Dieu l'utilisait en fait comme un type de Dieu le Père, Lui-même, qui a offert son Fils, Jésus-Christ, pour être battu de façon barbare et crucifié et défiguré comme aucun autre homme ne l’a jamais été. Donc, le Père a dû offrir Son Fils, et Il a voulu illustrer la foi dont nous avons besoin à cause de ce grand sacrifice que le Père a fait pour nous tous, et bien sûr Jésus-Christ, Lui-même.
Mais il y avait autre chose en quoi Abraham croyait. C'était une promesse que Dieu fait à nous tous. Et si vous y pensez, Abraham n'a jamais, jamais eu un autre test comme celui-ci. Il a passé ce test, et il n'y a personne d'autre dans la Bible que je connaisse qui n'a jamais été testé comme ça. Et peut-être que c'est la raison, puisque Abraham a passé ce test, qu'il est appelé le père des fidèles et l'ami de Dieu, à cause de ce genre de foi.
Remarquez Genèse 22, versets 1 et 2. « Après ces choses, Dieu mit Abraham à l'épreuve », ou, tester est une meilleure traduction, il a testé Abraham, « et lui dit : Abraham ! Et il répondit : Me voici ! » (2) « Dieu dit : Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t'en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l'une des montagnes que je te dirai. » Maintenant, c'est une épreuve choquante. Vous savez que toutes sortes d'émotions intenses doivent traverser votre esprit, et vous pourriez souffrir d'une véritable anxiété. Mais Abraham a quand même fait confiance à Dieu, il a cru Dieu, et toutes les promesses qu'Il avait faites, et il est allé de l'avant avec ce sacrifice.
Tout s'est passé dans le pays de Morija, qui comprend en fait la région de Jérusalem, où Jésus-Christ, Lui-même, a été sacrifié pour toute l'humanité. « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné Son fils unique » pour ce monde, ce monde mauvais, pour payer nos péchés afin que nous puissions entrer dans la Famille de Dieu si nous avons la foi d'Abraham, ou du moins si nous imitons cette foi autant que possible. Il y a un parallèle étonnant entre le test d'Abraham et le test du Père et de Jésus-Christ.
Versets 9 et 10, il est dit, « Lorsqu'ils furent arrivés au lieu que Dieu lui avait dit, Abraham y éleva un autel, et rangea le bois. Il lia son fils Isaac, et le mit sur l'autel, par-dessus le bois. (10) Puis Abraham étendit la main, et prit le couteau, pour égorger son fils. » Il était donc prêt à sacrifier son fils, et c'est tout un type du Père qui les laissa crucifier Jésus-Christ. Voyez-vous autre chose comme cela dans la Bible, un test comme celui-ci ? Dieu le mettait à l'épreuve, mais la récompense qu'il a donnée à Abraham est quelque chose de difficile à imaginer. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle était incroyable !
Alors, si vous pensez au Père et à Son amour pour Jésus-Christ, vous comprenez cela très, très profondément. Abraham était le père de la nation physique d'Israël. Il était le père de cette nation, mais il est aussi le père de l'Israël spirituel ou de la nation spirituelle, la propre Église de Dieu.
Maintenant, c'est à cause de ce qu'il a fait, et Dieu veut que nous regardions cet exemple et que nous apprenions à construire une foi réelle et vivante. Dieu a fait une promesse à nous tous, et nous allons voir qu'Abraham a accompli sa foi en cette promesse, et c'est quelque chose à contempler.
Remarquez ce qui est dit dans Genèse 22 et les versets 11 et 12. Il est dit, « Alors l'ange de l'Éternel l'appela des cieux, et dit : Abraham ! Abraham ! Et il répondit : Me voici ! (12) L'ange dit : N'avance pas ta main sur l'enfant, et ne lui fais rien ; car je sais maintenant que tu crains Dieu, et que tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique. » Il savait ce qui était dans la tête d'Abraham. Il savait qu'Abraham allait sacrifier son fils, et cela suffisait à Dieu le Père. C'était suffisant. Mais où trouve-t-on un tel parallèle dans la Bible ? Où pouvez-vous trouver quelque chose comme cela, et comme la foi de cet homme ? Je ne vois rien qui soit plus impressionnant que cela.
Maintenant, si vous voulez voir comment faire vivre la foi, Abraham nous le montre vraiment. Dieu avait fait d'autres promesses, mais il savait qu'il allait utiliser Isaac. Il l'avait promis. Donc, même s'il le sacrifiait, il savait que Dieu devrait ressusciter ce fils. Il croyait Dieu ! C'est rare dans ce monde aujourd'hui, de voir quelqu'un qui a une foi aussi proche de ce genre de foi. Vous ne le voyez tout simplement pas.
Et Dieu a poursuivi en disant, Eh bien, maintenant, c'est un ami de Dieu. Je veux dire, il était l'ami ultime de Dieu, un vrai ami de Dieu ! Il a cru Dieu dans ce test ultime. Il L’a cru ! Et il va recevoir l'une des plus hautes positions dans tout le royaume.
Maintenant, regardons Genèse 22, versets 16 à 18. « Et dit : Je le jure par moi-même, parole de l'Éternel ! Parce que tu as fait cela, et que tu n'as pas refusé ton fils, ton unique, (17) je te bénirai et je multiplierai ta postérité, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer ; et ta postérité possédera la porte de ses ennemis. » Il parle de bénédictions futures sur des nations, sur deux nations en particulier, et elles sont devenues les nations du droit d'aînesse—l'Amérique et la Grande-Bretagne. Il poursuit en disant : « [E]t ta postérité possédera la porte de tes ennemis [jusqu’ici, ce sont des promesses physiques, matérielles, nationales, relatives à la race]. Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité [c’est-à-dire le Christ; il s’agit d’une promesse spirituelle, celle de la grâce] parce que tu as obéi à ma voix » (Genèse 22:16-18).
Maintenant, regardez, nous avons un livre, Les Anglo-Saxons selon la prophétie, où nous avons prouvé pendant plus de 50 ans au sujet de ces nations du droit d'aînesse et nous vous avons montré que toutes ces bénédictions ont été données à l'Amérique et à la Grande-Bretagne—les nations du droit d'aînesse—et l’Israël prophétique dans le temps de la fin. Maintenant, pensez à cela. Pensez à toutes les richesses et le pouvoir que l'Amérique et la Grande-Bretagne ont reçu, et il est très clair ici qu'Il parle du grand empire britannique (vous pouvez lire cela dans Genèse 35) et aussi le plus grand empire jamais créé, et des États-Unis, la plus grande nation de toute l’histoire sur cette Terre. Et toutes ces bénédictions sont venues à cause de l'obéissance d'Abraham, et c'est lié au fait qu'il était sur le point de sacrifier son fils unique, et pour nous rappeler que Dieu le Père a en fait sacrifié son Fils pour nos péchés, et tout cela est lié à cette richesse donnée à la Grande-Bretagne et à l'Amérique. Nous devons réfléchir à cela. Nous, je pense que nous considérons cette richesse aux États-Unis et en Grande-Bretagne que nous avons eu dans le passé, l'attribuant à l'ingéniosité humaine, mais laissez-moi vous dire, ce n'est pas du tout le cas. Dieu le dit très clairement et le lie à la crucifixion même, à Jésus-Christ, et à la terrifiante épreuve d'Abraham, et dit : Maintenant, regardez, je vais vous bénir avec toutes ces choses, vous donner les bénédictions du droit d'aînesse. Ce qui signifie que vous n'avez rien fait pour le gagner ou le mériter ; tout est dû à Abraham, et les gens reçoivent ces bénédictions en raison de l'endroit où ils sont nés, où leur naissance a eu lieu.
Quelle belle, belle écriture, plusieurs versets ici. Quelles merveilleuses merveilles Dieu nous montre ! Et cela est si profondément ancré dans la puissance et l'amour de Dieu pour Israël.
Et à quel point avons-nous apprécié cela aujourd'hui ? Combien avons-nous apprécié cela ? C'est quelque chose que chaque Américain et chaque Britannique devrait comprendre et réaliser combien nous avons été bénis et comment toutes ces bénédictions sont liées à certains des plus grands événements de toute la Bible, et pourtant combien de personnes le comprennent ? Et je vous dis, notre livre vous le prouve sans aucun doute.
Notez Hébreux 11 et le verset 1. « Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas. » C'est ça la foi. Nous ne voyons pas l'évidence ; la foi est l'évidence. (2) « Pour l'avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable. »
Voici donc l'un de ces anciens dont Paul parle dans Hébreux. Verset 8, « C'est par la foi qu'Abraham, lors de sa vocation, obéit et partit pour un lieu qu'il devait recevoir en héritage, et qu'il partit sans savoir où il allait. (9) « C'est par la foi qu'il vint s'établir dans la terre promise comme dans une terre étrangère », eh bien, que diriez-vous de ça ? L'endroit où il était, eh bien, c'était un pays étranger, il se dirigeait vers un autre pays, de loin plus important que n'importe quoi sur cette Terre, « habitant sous des tentes, ainsi qu'Isaac et Jacob, les cohéritiers de la même promesse ». Où allait-il ? Que cherchait-il ? Verset 10, « Car il attendait la cité », il cherchait une ville, « qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l'architecte et le constructeur ». Je veux dire, il y a de vraies fondements ici dans ce pays, et particulièrement, dans cette ville, qui parle de la ville de la nouvelle Jérusalem ! La ville que Dieu le Père va amener sur cette Terre !
Notez le verset 13, « C'est dans la foi qu'ils sont tous morts, sans avoir obtenu les choses promises ; mais ils les ont vues et saluées de loin, reconnaissant qu'ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre. (14) Ceux qui parlent ainsi montrent qu'ils cherchent une patrie. (15) S'ils avaient eu en vue celle d'où ils étaient sortis, ils auraient eu le temps d'y retourner. » Mais ils n’ont pas fait ça. (16) « Mais maintenant ils en désirent une meilleure, c'est-à-dire une céleste. C'est pourquoi Dieu n'a pas honte d'être appelé leur Dieu, car il leur a préparé une cité. » La Nouvelle Jérusalem ! Abraham a-t-il cru à la Nouvelle Jérusalem ? Oui, il y croyait !
Le verset 17, « C'est par la foi qu'Abraham offrit Isaac, lorsqu'il fut mis à l'épreuve, et qu'il offrit son fils unique, lui qui avait reçu les promesses, (18) et à qui il avait été dit : En Isaac sera nommée pour toi une postérité. (19) Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter les morts ». Vous voyez, il savait que Dieu devait le ressusciter des morts parce qu'Il avait déjà promis ces grandes bénédictions qui viendraient à travers son fils, Isaac. Abraham était un type de Dieu le Père, vous voyez, et il pouvait voir que tout était lié à ce Père.
Apocalypse 21, versets 1 et 2, « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. (2) Et je vis descendre du ciel, d'auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s'est parée pour son époux. » C'est la ville qu'Abraham a vue ! Il l'a vue ! Il a tout vu à travers le prisme de la Nouvelle Jérusalem ! Il regardait tout à travers cette lumière de Dieu !
Maintenant le verset 3, « Et j'entendis du trône une forte voix qui disait : Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. » Vous voyez, c'est après le Millénaire et le Jugement du Grand Trône Blanc quand le Père descend sur cette Terre et apporte la Nouvelle Jérusalem ; cette grande ville aux rues d'or. Cela couvrira le Moyen-Orient et beaucoup plus. Une seule grande ville vient sur cette Terre !
Et Abraham, Abraham s'est concentré sur cette ville ! Et ce n'est pas une chose facile à faire, mais Dieu dit que nous devons tous faire cela, avoir cette concentration et cette vision dans notre esprit. Vous voyez, le Père a juste hâte de descendre sur cette Terre pour être avec sa famille. Dieu le Père, qui va amener beaucoup de fils à la gloire, il est dit dans Hébreux. De nombreux fils vont venir dans Sa Famille.
Verset 4, « Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. » C'est une Œuvre merveilleuse et une merveille, oui, en effet, ça l'est !
Et puis les versets 22 et 23, « Je ne vis point de temple dans la ville ; car le Seigneur Dieu tout puissant est son temple, ainsi que l'agneau. (23) La ville », la ville sur laquelle Abraham s'est concentré toute sa vie ; c'est pourquoi il a pu sacrifier son fils comme il l'a fait. Quelle foi absolument stupéfiante cet homme avait pour faire ce qu'il a fait, « la ville », il est dit, « n'a besoin ni du soleil ni de la lune pour l'éclairer ; car la gloire de Dieu l'éclaire, et l'agneau est son flambeau. » Eh bien, que diriez-vous de cette ville ? Quelle ville !
Romains 4 et verset 11. Il est question au verset 11 de la manière dont Abraham a cru, puis au verset 16, la dernière partie du texte dit, « la foi d'Abraham, notre père à tous, selon qu'il est écrit : (17) Je t'ai établi père d'un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru », il a cru Dieu à tous égards, et il est devenu le père des fidèles. Si vous voulez savoir comment bâtir la foi, regardez Abraham, regardez ce merveilleux exemple, probablement inégalé dans toute la Bible, en ce qui concerne un test.
Le verset 20, « Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu, (21) et ayant la pleine conviction que ce qu'il promet il peut aussi l'accomplir. » Tout ce que Dieu a promis, il savait qu'il l'exécuterait ! Et qu'il était capable de l'accomplir et qu'il l'accomplirait ! C'est assez impressionnant ! Plutôt impressionnant, en effet.
Jérémie 17, vous pouvez lire les versets 24 et 25, où il est dit, « cette ville sera habitée à toujours ». Cela va être ici pour toujours et toujours et toujours !
« …Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice ; et il fut appelé ami de Dieu » (Jacques 2 et versets 22 et 23).
Et vous pouvez voir, eh bien, dans Galates 3, verset 6, il est dit, « Comme Abraham crut à Dieu », encore et encore et encore il le dit. Il ne croyait pas seulement en l'existence de Dieu. Il croyait Dieu ! Il croyait chaque mot que Dieu disait ! Il y croyait ! Et regardez toutes les récompenses qui sont ici même devant nous aujourd'hui. Elles disparaissent rapidement maintenant parce que, eh bien, quelque chose doit être corrigé dans notre foi. C'est-à-dire que si vous regardez ces prophéties, vous comprendrez sûrement cela. Je ne vois pas comment nous pourrions négliger cela.
Mais, (7) « reconnaissez donc que ce sont ceux qui ont la foi qui sont fils d'Abraham ». Ils sont ses fils.
Le verset 9, « de sorte que ceux qui croient sont bénis avec Abraham le croyant ».
Voyons maintenant ce que l'Église de la fin des temps avait à apprendre, cette dernière ère de l'Église de Dieu, le reste de Philadelphie au sein de cette ère laodicéenne. C'est une ère tiède du propre peuple de Dieu. Quatre-vingt-quinze pour cent d'entre eux se sont détournés, sauf un petit cinq pour cent qui ne l'a pas fait, et voici pourquoi ils ne l'ont pas fait. Notez le verset 7 (Apocalypse 3), « Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie… (8) Je connais tes œuvres », verset 8, Je sais tout sur vos œuvres, « Voici, parce que tu as peu de puissance, et que tu as gardé ma parole, et que tu n'as pas renié mon nom, j'ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer. »
Le verset 10, « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation », ou de la Grande Tribulation qui va arriver si nous ne nous réveillons pas. Mais Dieu dit que ce petit reste qui a la foi d'Abraham sera protégé, c'est ce qu'il dit, « qui va venir sur le monde entier », le monde entier va être éprouvé avant que Jésus-Christ vienne et arrête tout, ou nous détruirions tous les êtres humains sur cette Terre. C'est dans Matthieu 24, versets 21 et 22. Et, « qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre ».
Mais notez ce que ce peuple a fait. Verset 11, « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. (12) Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus ; j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d'auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau. » Vous voyez ? Ils ont la foi même d'Abraham, et ils croient en la promesse de Dieu concernant une Nouvelle Jérusalem ! Ils y ont cru et ont bâti la foi d'Abraham, ce petit reste, et maintenant ils délivrent ce message au monde, et la plupart de tout le peuple de Dieu s'est détourné de Lui et se détourne de Lui. C'est une triste situation.
Le verset 19 continue en parlant de Dieu qui est simplement là, invitant Son peuple à entrer et essayant de les faire vaincre.