La Deutsche Bank s'inquiète de l'inflation américaine et prévoit une récession

Ces derniers mois, nous avons assisté à une inflation record aux États-Unis, mais les citoyens américains ne sont pas les seuls à s'inquiéter : l'Allemagne s’en inquiète aussi. Dans un rapport du 26 avril, un économiste de la Deutsche Bank a averti ses clients d'une « récession majeure ». Le rapport intitulé « Pourquoi la récession à venir sera plus grave que prévu » se lit comme suit : « Nous considérons […] comme très probable que la Fed devra freiner encore plus fermement, et qu'une récession profonde sera nécessaire pour juguler l'inflation ».

La Deutsche Bank est devenue la première grande banque à envisager une telle récession. « Bien sûr, personne ne sait précisément comment cela va se passer », a commenté The Business Standard. « Bien que la Deutsche Bank soit pessimiste—elle est la plus baissière parmi les grandes banques de Wall Street—d'autres soutiennent que cette morosité est exagérée. »

Le gouvernement américain semble bien moins préoccupé par l'inflation croissante que la Deutsche Bank—et cela inquiète l'Europe.

L'économie de base enseigne que même la monnaie de réserve du monde se dévalue si l'argent en circulation dépasse la demande. La guerre en Ukraine, les nouveaux confinements en Chine et les politiques environnementales paralysantes ont tous contribué à une pénurie de biens. Mais la Réserve fédérale continue à injecter de l'argent dans le système, à distribuer des chèques et à encourager les achats. « Le fléau de l'inflation est revenu et il va rester », a prédit la Deutsche Bank.

Sur notre site Web, nous soulignons souvent la citation suivante de 1984 du défunt éducateur Herbert W. Armstrong, qui a averti qu'une crise bancaire massive en Amérique « pourrait subitement entraîner le déclenchement des nations européennes à s’unir, formant une nouvelle puissance mondiale, plus grande que l'Union soviétique ou les États-Unis ».

Une récession n'est pas un effondrement financier, mais les politiques et les crises actuelles pourraient s'aggraver soudainement.

Dans le numéro de décembre 1991 de la Trompette, le rédacteur en chef Gerald Flurry a demandé : « Si une véritable crise se développe, les Allemands feront-ils appel à un nouveau führer ? Votre Bible dit que cela va se produire ! Cette crise sera probablement déclenchée par un effondrement économique aux États-Unis. » En 2015, il a écrit un article intitulé « La crise financière mondiale donnera 10 rois à l'Europe  ».

L'avertissement est basé sur Apocalypse 17 : 12-13. Ces versets se lisent : « Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête. Ils ont un même dessein, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête. »

Le contexte montre que ce chapitre concerne nos jours, et comme l’explique notre brochure Qui est, ou qu'est-ce que, la bête prophétique ?, les versets cités ci-dessus décrivent les événements qui vont se dérouler en Europe. L'échec économique des États-Unis amènera les nations européennes à se regrouper pour créer probablement leur propre système financier, avec un chef suprême à sa tête. Pour sortir de la crise, les Européens accepteront un régime plus dictatorial—et, comme l'explique M. Armstrong et comme le montre Apocalypse 13, une semaine de travail de six jours. Ce qui commence par la promesse de sauver l'économie est prophétisé comme devant conduire au pire régime dictatorial du monde. Mais il est prophétisé que cela commencera par une crise financière—dont nous commençons à voir les prémices.

Pour une explication complète, lisez l'article de M. Flurry intitulé « La crise financière mondiale donnera 10 rois à l'Europe  » et demandez une copie gratuite de Qui est, ou qu'est-ce que, la bête prophétique ? par Herbert W. Armstrong.

Ce court article a d’abord été publié en tant qu’une Trompette en bref. Si vous souhaitez recevoir des mises à jour quotidiennes sur les actualités dans votre boîte de réception, inscrivez-vous ici.