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La crise du coronavirus a-t-elle été provoquée ?

ISTOCK.COM/CACTUSOUP, MELISSA BARREIRO/LA TROMPETTE

La crise du coronavirus a-t-elle été provoquée ?

L'Amérique sous attaque (Appendice C)

Lire le chaptire précédent : Le diable précipité

La COVID-19 a bouleversé notre monde. Il a permis une oppression gouvernementale sans précédent dans le monde entier.

D’où vient ce virus ? Nous ne savons pas encore tout ce qu’il y a à savoir, mais ses origines obscures s’éclaircissent. Le tableau qui se dessine rend de plus en plus plausible un scénario absolument incroyable : les dirigeants américains ont contribué à la conception de la COVID-19 comme arme biologique pour « transformer fondamentalement » l’Amérique.

Le laboratoire de Wuhan

L’Institut de virologie de Wuhan, seule installation de biosécurité de niveau 4, en Chine, était à l’origine un projet conjoint entre l’Académie des sciences chinoise et le Laboratoire Jean Mérieux en France. Il a fallu 11 ans et 44 millions de dollars pour le construire, et il a été achevé le 31 janvier 2015. Pourtant, les scandales ont commencé bien avant son achèvement.

Dans un câble du département d’État américain ayant fuité, en 2009, la secrétaire d’État Hillary Clinton a averti 40 alliés américains que les recherches menées dans ce laboratoire pourraient mener au bioterrorisme. Pourtant, les Français ont continué à collaborer avec la Chine communiste, jusqu’à ce que les communistes les expulsent du laboratoire, en 2017. D’autres câbles du département d’État montrent que le laboratoire de Wuhan a commencé à mener des recherches classifiées pour l’armée chinoise, à peu près à la même époque.

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Selon la journaliste d’investigation Sharri Markson, le département d’État a obtenu, en 2015, un livre rédigé par 18 scientifiques et bureaucrates de la santé publique chinoise qui décrivait les coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère comme faisant partie d’une « nouvelle ère d’armes génétiques ». Ce volume était intitulé The Unnatural Origins of SARS and New Species of Man-made Viruses as Genetic Weapons [Les origines non naturelles du SRAS et des nouvelles espèces de virus comme armes génétiques]. Il indique que les coronavirus peuvent être « manipulés artificiellement pour devenir un virus de maladie humaine émergente, puis utilisés comme arme et libérés d’une manière jamais vue auparavant ».1

Ce livre révèle en outre que les scientifiques chinois se préparent à une guerre mondiale menée non pas avec des armes atomiques mais avec des armes biologiques et génétiques. Faisant référence à la façon dont les deux bombes atomiques larguées sur le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale l’ont forcé à se rendre, les auteurs affirment que les armes biologiques seront « l’arme essentielle de la victoire » dans une Troisième Guerre mondiale.

David Asher, ancien fonctionnaire du département d’État, a déclaré au Daily Caller que des responsables français de premier plan avaient averti le département d’État qu’ils avaient de sérieuses inquiétudes quant au type de recherches menées à l’Institut de virologie de Wuhan, à peu près au moment où ce livre a été publié, en 2015. Le président Barack Obama avait donc accès à suffisamment de renseignements pour connaître les dangers d’une collaboration avec les Chinois dans le domaine de la recherche génétique—et pourtant, il était motivé pour collaborer malgré tout.

Écologiste radical

Le tsar de la science de Barack Obama, le Dr John P. Holdren, est l’une de ses nominations les plus radicales. Cet homme a beaucoup écrit sur les changements environnementaux mondiaux. En 1973, J.P. Holdren a encouragé une baisse de la fécondité bien en dessous du seuil de remplacement aux États-Unis, car « 210 millions aujourd’hui, c’est trop et 280 millions en 2040, ce sera probablement beaucoup trop ». Il a appelé à un régime mondial pour faire respecter les limites de la population. Il a préconisé des mesures de contrôle de la population telles que les avortements obligatoires pour réduire les pressions sur l’environnement. Et Obama l’a choisi comme directeur de l’Office of Science and Technology [Bureau de la Science et de la Technologie].

Quel genre de recherche Holdren faisait-il pour Obama ?

Le 5 juillet 2016, le magazine Nature a publié une interview du Dr Holdren, dans laquelle il déclare : « Je me rends en Chine cette semaine pour un dialogue stratégique et économique et pour un dialogue entre les États-Unis et la Chine sur la politique d’innovation… Nous avons beaucoup de coopération avec la Chine sur les questions biomédicales. Nous leur parlons tout le temps de la recherche sur les gains de fonction et des questions liées à la modification génétique ».

Holdren collaborait avec les Chinois pour rendre les virus plus mortels !

Cette collaboration est d’autant plus inquiétante qu’elle est intervenue après que Barack Obama a suspendu le financement de la recherche sur les gains de fonction en Amérique le 17 octobre 2014, par crainte que de telles expériences ne provoquent une pandémie. Pourtant, il a autorisé une exception à cette interdiction de financement si « la recherche est nécessaire de toute urgence pour protéger la santé publique ou la sécurité nationale ». L’armée américaine a profité de cette exception et a continué à financer des recherches à l’Institut de virologie de Wuhan, qui détenait une collection de coronavirus. Obama, Holdren et leurs collaborateurs faisaient plus confiance à la Chine communiste qu’aux chercheurs américains !

Financement des communistes

Le député Guy Reschenthaler a découvert 1,1 million de dollars de fonds publics de l’ère Obama versés à l’Institut de virologie de Wuhan pour des recherches sur les gains de fonction. L’objectif était de créer un virus artificiel en insérant une protéine dopée d’un coronavirus de chauve-souris sauvage dans un squelette SARS-CoV adapté à la souris. L’Agence américaine pour le développement international a accordé ce financement, qui s’ajoute aux quelque 600 000 dollars envoyés à Wuhan par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, dirigé par le Dr Anthony Fauci.

Il est clair que le Dr Fauci était au courant des recherches génétiques dangereuses menées à Wuhan. Il l’appelle recherche sur les gains de fonction, mais ce n’est qu’un titre technique pour la recherche sur les armes biologiques. Il rendait les coronavirus des souris et des chauves-souris plus mortels pour les êtres humains, et il a déguisé cela en recherche sur les vaccins.

Certains scientifiques se sont inquiétés de ce financement. Le National Science Advisory Board for Biosecurity [Comité consultatif en biosécurité pour la science nationale] du gouvernement américain a étudié la question de savoir si la recherche devait se poursuivre pour améliorer les « pathogènes pandémiques potentiels ». En 2016, il a indiqué que si ces recherches pouvaient être bénéfiques pour la santé publique, elles comportaient également des risques importants. Le conseil a recommandé un examen plus approfondi. Le président Obama a ignoré cette recommandation.

En novembre 2016, l’establishment du gouvernement fédéral a été secoué par l’élection inattendue de Donald Trump à la présidence. Cette victoire est survenue en dépit du fait que Barack Obama, ses collaborateurs de « l’État profond » et les médias de propagande ont travaillé—même illégalement—à saboter la campagne de Trump et, après l’élection, à affaiblir l’équipe de transition de Trump.

Onze jours avant l’entrée en fonction de Trump, Obama a autorisé de nouveau le type de recherche à gain de fonction qu’il avait interdit, en 2014, et a repris le financement de la création d’armes biologiques à coronavirus SARS. L’autorisation stipulait que les chercheurs qui suivaient les directives fédérales « satisferont aux exigences de la levée du moratoire actuel sur certaines recherches en sciences de la vie qui pourraient améliorer la virulence et/ou la transmissibilité d’un agent pathogène pour produire un agent pathogène pandémique potentiel ».

Comme c’est inquiétant à lire, sachant ce qu’une pandémie pathogène, et les réactions des gouvernements à celle-ci produiraient avant l’élection présidentielle de 2020.

Le journaliste d’investigation Mark Bradman a noté que « [E]ssentiellement, cette réautorisation n’a fait que relancer le financement aux États-Unis, car le financement de la militarisation du SARS-CoV-2 ne s’est jamais vraiment arrêté en 2014 » (Conservative Treehouse, 5 juin 2021).

Collaboration dangereuse

Le lendemain, le Dr Fauci a fait un discours à l’université de Georgetown sur la préparation à la pandémie. Dans ce discours, il a essentiellement prédit la pandémie de la COVID- 19. « Quoi qu’il en soit, l’histoire nous a dit, catégoriquement que [les épidémies] se produiront, car [faire face] aux maladies infectieuses est un défi perpétuel », a-t-il déclaré. « La chose dont nous sommes extraordinairement certains, c’est que nous allons voir cela dans les prochaines années. »

Le Dr Fauci finançait la recherche sur le gain de fonction en Chine tout en avertissant le peuple américain de se préparer à une pandémie. Il n’a jamais mentionné qu’il était impliqué dans la manipulation dangereuse de coronavirus de chauve-souris pour produire un agent pathogène potentiellement pandémique, mais il semblait savoir que le monde se dirigeait vers une grave crise des maladies infectieuses. Le fait qu’il ait tenu ces propos un jour après que Barack Obama ait réautorisé la recherche sur les armes biologiques rend la chose encore plus suspecte.

Markson a dit à Steve Bannon, sur son podcast War Room, que la majorité de la communauté scientifique pensait que l’expérimentation par gain de fonction avec des virus mortels était trop dangereuse ; donc pour continuer à avancer, le Dr Fauci a dû argumenter contre le consensus scientifique. Elle a ensuite raconté que le Dr Fauci a utilisé la réautorisation du président Obama pour relancer cette recherche, en 2017, après l’entrée en fonction de Donald Trump. Ainsi, la majorité de la communauté scientifique était contre la recherche sur le gain de fonction, mais le Dr Fauci a fait en sorte que cette recherche se poursuive pendant l’Administration Trump.

Tout porte à croire que la COVID-19 provient d’un laboratoire dont la communauté scientifique ne voulait rien savoir, jusqu’à ce que Barack Obama, John Holdren et Anthony Fauci imposent leur volonté à tous les autres ! Qu’est-ce qui a fait que cela en valait la peine ? Quel était leur programme ?

Le motif de Barack Obama

Pourquoi Barack Obama a-t-il réautorisé le financement de la recherche sur les armes biologiques, juste après que le National Science Advisory Board for Biosecurity a conseillé un examen plus approfondi et juste avant l’entrée en fonction de Donald Trump ? Un indice important peut apparaître dans le fait que la recommandation de réautorisation provenait de Holdren, le zélateur du contrôle de la population qui travaille avec les Chinois communistes sur la « recherche sur le gain de fonction » et « la modification génétique ».

Obama a-t-il essayé de créer une pandémie pour arrêter Donald Trump ? C’est une question explosive, mais je ne suis pas le seul à la poser.

L’article de Bradman, du 5 juin 2021, est intitulé « Chronométrage intéressant—l’Administration Obama a levé le blocage sur la “recherche sur le gain de fonction” juste onze jours avant que le président Trump ne prenne ses fonctions, le 9 janvier 2017 ». « Cette découverte rend les soupçons d’un virus pandémique intentionnellement libéré, dans le but politique, d’“arrêter Trump”, exponentiellement plus plausibles », écrit-il. « Avec les gens qui commencent à reconnaître que les responsables du gouvernement américain et la communauté du renseignement ont été moins qu’honnêtes, et dans certains cas carrément menteurs, quant à l’origine du virus SARS-CoV-2 ; et quand nous superposons les motifs politiques en arrière-plan de la déviation narrative de masse des médias et d’autres institutions ; et quand nous considérons les longueurs connues que les gens à l’intérieur du gouvernement américain étaient prêts à faire, dans le cadre de leur efforts pour éliminer le président Trump ; découvrir que l’administration du président Obama a techniquement autorisé le redémarrage de la recherche sur le « gain de fonction » (militarisation biologique du virus du SARS) quelques jours seulement avant l’entrée en fonction du président Trump est plus qu’alarmante… Peut-être pas un pistolet fumant d’intention, mais certainement des empreintes de pas sanglantes qui sortent par la porte—à la taille d’Obama ».

John Holdren a démissionné de son poste de directeur du Bureau de la Science et de la Technologie le jour où le président Trump a pris ses fonctions. Il a ensuite accepté un poste de professeur émérite invité à l’université Tsinghua de Pékin. Il a probablement pu continuer à collaborer avec des scientifiques chinois pendant les années Trump, sans être gêné par les lois américaines sur la biotechnologie.

Un nouveau virus

Tout au long de l’administration Trump, des scientifiques du gouvernement comme Anthony Fauci ont continué à collaborer avec des scientifiques communistes chinois pour mettre au point de potentiels agents pathogènes pandémiques. Et nous avons des preuves solides que, à un moment donné, ils ont réussi : un nouveau virus est devenu fonctionnel.

Dans un éditorial du Wall Street Journal intitulé « The Science Suggests a Wuhan Lab Leak » [La science suggère une fuite hors du laboratoire de Wuhan] (6 juin 2021), les docteurs Steven Quay et Richard Muller ont décrit la manière dont ces recherches ont probablement été menées. Bien que le public se concentre sur des preuves circonstancielles, ils ont écrit que « la raison la plus convaincante de favoriser l’hypothèse de la fuite du laboratoire est fermement fondée sur la science. Considérons en particulier l’empreinte génétique du CoV-2, le nouveau coronavirus responsable de la maladie de la COVID-19. Dans le cadre de la recherche sur le gain de fonction, un microbiologiste peut augmenter considérablement la létalité d’un coronavirus en épissant une séquence spéciale dans son génome à un endroit privilégié. Cette opération ne laisse aucune trace de manipulation. Mais elle modifie la protéine de pointe du virus, ce qui lui permet d’injecter plus facilement du matériel génétique dans la cellule victime. Depuis 1992, il y a eu au moins 11 expériences distinctes consistant à ajouter une séquence spéciale au même endroit. Le résultat final a toujours été des virus suralimentés… Au minimum, ce fait—que le coronavirus, avec toutes ses possibilités aléatoires, a pris la combinaison rare et non naturelle utilisée par les chercheurs humains—implique que la principale théorie pour l’origine du coronavirus doit être une évasion de laboratoire ».

Un rapport de renseignement compilé par le Personnel de la minorité de la Commission des Affaires Étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis a conclu que « la prépondérance des preuves suggère que le SARS-CoV-2 a été accidentellement libéré d’un laboratoire de l’Institut de virologie de Wuhan quelque temps avant le 12 septembre 2019 ». Pourtant, l’Administration Obama était bien au courant des pratiques de sécurité inadéquates du laboratoire de Wuhan. Il y avait de sérieux signaux d’alarme partout dans cette installation à enjeux élevés ! Mais personne n’a réagi aux avertissements.

Puis, en novembre 2019, une maladie mystérieuse a frappé un résident de 55 ans dans la province du Hubei, dans ou près de sa capitale, Wuhan. Il s’agissait du premier cas confirmé de la COVID-19.

Un grand camouflage

Lorsque les infections virales se sont répandues à Wuhan, de nombreuses personnes ont immédiatement posé des questions sur l’Institut de Wuhan. L’une d’entre elles était le président Trump. Les politiciens et journalistes de gauche ont rapidement qualifié ces questions de non scientifiques, de conspiratrices et même de racistes.

Pourtant, il est désormais bien établi qu’au début de l’épidémie de coronavirus, le Parti communiste chinois a délibérément supprimé les rapports sur l’épidémie et même détruit les preuves de celle-ci. Au lieu d’essayer de contenir l’épidémie, la Commission nationale chinoise de la santé a ordonné aux institutions de ne rien publier sur la « maladie inconnue ». Le temps qu’elles publient quoi que ce soit, la maladie s’était déjà répandue dans le monde entier.

Les courriels de l’époque montrent que le Dr Fauci était parfaitement conscient que la maladie pouvait être d’origine humaine, et que certains scientifiques avec lesquels il travaillait le savaient. Lui et ses associés se sont également envoyé des courriels sur les nouvelles concernant la théorie de la fuite en laboratoire. Mais publiquement, Fauci a insisté sur le fait que « la science » montrait que la COVID-19 s’était presque certainement propagée aux humains à partir de chauves-souris sauvages.

Les responsables de l’information et des médias sociaux et leurs journalistes ont attaqué, et même censuré et banni, les personnes qui évoquaient la théorie de la fuite en laboratoire. Une déclaration publiée dans le Lancet et signée par 27 scientifiques de la santé publique en février 2020 résume l’essentiel du discours dominant : « Nous signons cette déclaration en solidarité avec tous les scientifiques et professionnels de la santé en Chine qui continuent à sauver des vies et à protéger la santé mondiale face au défi que représente l’épidémie de la COVID-19. Nous sommes tous dans le même bateau, avec nos homologues chinois en première ligne, contre cette nouvelle menace virale… Nous nous unissons pour condamner fermement les théories de la conspiration suggérant que la COVID-19 n’a pas une origine naturelle. »

Pourquoi la divergence entre leurs communications privées et le message adressé au public ? Pourquoi la censure des points de vue qui s’alignaient en fait sur les observations privées du Dr Fauci et d’autres scientifiques ?

Il est apparu plus tard dans le témoignage du National Institute of Health (NIH) devant le Congrès que les responsables sanitaires américains avaient « éliminé de la vue du public » les séquences génomiques de la COVID-19 à la demande des responsables du Parti communiste chinois.

Les communistes ont dissimulé les véritables origines du virus et ont transformé ce qui aurait dû être une épidémie locale en une pandémie mondiale. Nous devons prendre au sérieux la théorie selon laquelle tout cela était délibéré. Nous ne pouvons pas simplement la mettre de côté. C’est du parti communiste chinois que nous parlons. Il essaie de prendre le contrôle du monde. Et l’Administration Obama lui donne beaucoup d’aide.

Censurer la dissidence

Le Dr Francis Collins est un autre homme qui a aidé Barack Obama et le parti communiste chinois à dissimuler les origines de la COVID-19. Après que Collins a mené un effort international pour cartographier le génome humain, Obama l’a nommé directeur du NIH. En tant que directeur, Collins supervisait Fauci et 6 000 autres chercheurs scientifiques. Et comme beaucoup d’autres personnes nommées par Obama, il n’avait aucun scrupule à travailler avec des scientifiques du parti communiste chinois.

Le Dr Collins fait partie du conseil consultatif d’une conférence parrainée par BGI Genomics, une entreprise de génomique liée à l’armée chinoise. Il a également rencontré le professeur Cao Xuetao pour discuter des domaines de collaboration entre le NIH et l’Académie chinoise des sciences médicales. Ces liens avec les communistes rendent probable que le Dr Collins ait été l’un des principaux instigateurs de la campagne visant à étouffer la théorie de la fuite en laboratoire.

Au début de la pandémie, des scientifiques comme le Dr Michael Farzan, le Dr Robert Garry et le Dr Andrew Rambaut ont observé que le coronavirus avait un « site de clivage de la furine » qui suggérait une ingénierie de gain de fonction. Ils ont présenté leurs conclusions lors d’une conférence téléphonique d’experts du 1er février 2020 et ont envoyé les notes aux docteurs Collins et Fauci. Collins a rejeté l’idée d’une fuite en laboratoire comme étant « scandaleuse », tandis que Fauci a déclaré que le coronavirus de la COVID-19 « ne pouvait pas avoir été artificiellement ou délibérément manipulée ». Pourtant, les deux hommes n’avaient pas suffisamment confiance en leurs preuves pour permettre un débat scientifique sur le bien-fondé de l’hypothèse de la fuite en laboratoire. Au lieu de cela, ils ont travaillé ensemble pour faire taire les voix dissidentes.

Des courriels publiés plus tard grâce à une demande de la loi sur la liberté de l’information déposée par l’American Institute for Economic Research ont révélé que Collins a essayé de repousser un reportage de Bret Baier de Fox News sur la théorie de la fuite en laboratoire. Le 16 avril 2020, Collins a demandé à Fauci : « Je me demande s’il y a quelque chose que le NIH peut faire pour aider à mettre fin à cette conspiration très destructrice, avec ce qui semble être un élan croissant… Demander l’opinion de l’Académie nationale ? » Fauci a répondu : « Je ne ferais rien à ce sujet pour le moment. C’est un objet brillant qui disparaîtra avec le temps. » Mais il s’est tout de même employé à discréditer ceux qui ont révélé la fuite du laboratoire. En fait, le Dr Peter Daszak, un chercheur américain ayant des liens étroits avec le laboratoire de Wuhan, a remercié Fauci dans un courriel daté du 18 avril 2020 pour avoir « publiquement pris position et déclaré que les preuves scientifiques soutiennent une origine naturelle pour la COVID-19 à partir d’un débordement de la chauve-souris vers l’homme, et non d’une fuite du laboratoire de l’Institut de virologie de Wuhan ».

D’autres courriels montrent que Collins et Fauci ont également travaillé à la suppression de la Déclaration de Great Barrington, une déclaration de Martin Kulldorff de Harvard, de Sunetra Gupta d’Oxford et de Jayanta Bhattacharya de Stanford contre les mesures de confinement général en cas de pandémie. Ces trois personnes sont favorables à une politique qui ne décimerait pas l’économie américaine et qui se concentrerait uniquement sur les populations à haut risque, comme les personnes âgées ou les personnes souffrant de problèmes de santé. Des milliers de scientifiques ont signé cette déclaration, mais Collins a condamné ses auteurs comme étant « trois épidémiologistes marginaux ». Fauci a proclamé de manière moralisatrice que ceux qui le critiquent « critiquent en réalité la science, car je représente la science. C’est dangereux ».

Les efforts déployés par Collins et Fauci pour convaincre les gens que la COVID-19 était d’origine naturelle et que des mesures de confinement générales étaient nécessaires, et pour faire taire les voix dissidentes, même celles de scientifiques éminents, montrent qu’ils étaient plus intéressés par la dissimulation de leur rôle dans le financement de la recherche sur les gains de fonction en Chine communiste que par l’aide à leur nation !

Chronométrage suspect

Des dizaines de responsables gouvernementaux savaient ce qui se passait réellement à Wuhan, mais aucun d’entre eux n’a divulgué d’informations au public. Certains ont peut-être eu trop peur de dire quoi que ce soit, sachant à quel point Obama est puissant et vindicatif. Mais de nombreux fonctionnaires de l’ère Obama étaient eux-mêmes communistes, des gens qui voulaient utiliser la peur d’un virus pour justifier des mesures de confinements draconiennes et anticonstitutionnelles.

Ces mesures ont considérablement accru le pouvoir de l’État au détriment des libertés individuelles. Ce n’était pas un sous-produit malheureux et inévitable. C’était le but recherché ! Les mesures ont fourni aux autorités qui n’apprécient pas les limites de la Constitution en matière d’ingérence gouvernementale, une arme pour passer outre ces limites et imposer leur volonté au public. Elles leur ont donné le pouvoir d’ignorer la loi et de gouverner selon leurs propres caprices. Et tout cela a été encouragé par des médias de gauche qui les ont soutenus et par de grandes entreprises technologiques qui ont supprimé toute opinion contraire. Il ne s’agissait pas de science !

Des recherches menées par l’Université Johns Hopkins en février 2022 ont montré que les confinements en cas de pandémie n’ont permis d’éviter que 0,2 pour cent des décès dus à la COVID-19 ! Mais sauver des vies n’a jamais été l’objectif de la gauche radicale. Le but était d’utiliser la pandémie pour effrayer les gens afin qu’ils abandonnent les libertés que Dieu leur a données.

Plus important encore, des actions gouvernementales drastiques rendues possibles uniquement par les craintes liées au coronavirus ont révolutionné les élections en Amérique. La poussée en faveur du vote par correspondance et d’autres assouplissements ou violations illégales de normes électorales de longue date qui protègent contre la fraude n’ont pu se produire que grâce à des craintes de virus fortement commercialisées. La COVID-19 a permis au parti démocrate de présenter un candidat à la présidence qui ne pouvait pas supporter les rigueurs d’une campagne nationale et qui faisait campagne par le biais d’appels Zoom depuis son sous-sol. La COVID-19 a permis à Joe Biden d’organiser un nombre limité de « rassemblements » auxquels assistaient des personnes triées sur le volet, assises sur un nombre restreint de chaises très espacées les unes des autres. La COVID-19 a garanti une campagne historiquement bizarre et une élection sans précédent qui a installé le choix de Barack Obama à la Maison-Blanche.

Le chronométrage de tous ces événements est profondément suspect. Le soutien d’Obama à l’Institut de virologie de Wuhan du Parti communiste chinois et à ses recherches sur les armes biologiques est soit le résultat d’une incompétence épouvantable, soit d’une trahison diabolique. La Bible indique la trahison !

Barack Obama est arrivé au pouvoir en prétendant être un social-démocrate modéré, mais son objectif est de transformer fondamentalement l’Amérique en quelque chose de pire qu’une dictature communiste.

Le regretté Herbert W. Armstrong a averti l’Amérique, il y a des décennies, que « le parti communiste n’est pas un simple parti politique, au sens où les Américains pensent à ce terme. C’est une dictature totalitaire impitoyable. Il est dirigé, avec un pouvoir absolu, par quelques hommes au sommet—qui sont tous complètement soumis à un homme qui est le Dictateur absolu. Cette dictature d’un seul homme est censée être nécessaire, car il peut y avoir différentes interprétations de la philosophie marxiste. Par conséquent, pour éviter la division, ils doivent avoir un interprète suprême » (La pure vérité—en anglais, février 1962). Obama, qui a eu pour mentor le communiste Frank Marshall Davis, veut être l’interprète suprême du communisme américain. À cette fin, le coronavirus est devenu son arme la plus dangereuse pour convaincre les gens d’abandonner les libertés constitutionnelles et d’embrasser un gouvernement autoritaire.

La pandémie, sa couverture, la réaction radicale du gouvernement face à elle et l’élection qui en a été altérée, remontent à un homme dont le programme déclaré est de « transformer fondamentalement les États-Unis d’Amérique » et d’effacer les bénédictions et les traditions de ce pays !

La suite sur...


  1. Ces scientifiques chinois pensaient que le virus SARS-COV-1 était une arme biologique fabriquée aux États-Unis ; il est donc possible que certains d’entre eux aient participé à la fabrication du virus SARS-COV-2 par vengeance.↩︎