Julia Goddard/LA TROMPETTE
La crise du Coronavirus a-t-elle été planifiée ?
Les origines obscures de la COVID-19 deviennent plus claires. Pourtant, la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, préfère se concentrer sur la prétendue « insurrection » du 6 janvier plutôt que d'enquêter sur les origines sinistres d'un virus qui a permis une oppression gouvernementale sans précédent dans le monde entier.
Depuis deux ans, la présidente Pelosi fait obstruction aux efforts de la Chambre des représentants pour enquêter sur le rôle du gouvernement dans le financement des recherches dangereuses de l'Institut de virologie de Wuhan sur les coronavirus. Pelosi critiquait ouvertement la Chine jusqu'à ce que son mari y fasse des affaires lucratives, mais ses efforts actuels en faveur de la Chine ne sont probablement pas motivés par de simples préoccupations financières.
Nous ne savons pas encore tout ce qu'il y a à savoir sur la COVID-19, mais le tableau qui se dessine rend de plus en plus plausible un scénario absolument incroyable : des dirigeants américains auraient contribué à la conception de la COVID-19 comme une arme biologique afin de « transformer fondamentalement » l'Amérique.
Le laboratoire de Wuhan
L'Institut de virologie de Wuhan était à l'origine un projet conjoint entre l'Académie chinoise des sciences et le laboratoire Jean Mérieux BSL4 en France. Il a fallu 11 ans et 44 millions de dollars pour le construire, et il a été achevé le 31 janvier 2015. Les scandales ont toutefois commencé bien avant son achèvement.
Dans un câble du département d'État américain datant de 2009 qui a fait l'objet d'une fuite, la secrétaire d'État Hillary Clinton a averti 40 alliés américains que les recherches menées au laboratoire de Wuhan pouvaient conduire au bioterrorisme. Pourtant, les Français n'ont pas écouté. Ils ont continué à collaborer avec l'Institut de virologie de Wuhan jusqu'à ce qu'ils soient expulsés du laboratoire en 2017. D'autres câbles du département d'État montrent que le laboratoire de Wuhan a commencé à faire des recherches classifiées pour l'armée chinoise à peu près à cette époque.
Selon la journaliste enquêteur Sharri Markson, le département d'État a obtenu en 2015 un livre rédigé par 18 scientifiques et bureaucrates de la santé publique chinoise qui décrivait les coronavirus au syndrome respiratoire aigu sévère comme les annonces d'une « nouvelle ère d'armes génétiques ». Ce volume était intitulé Les origines non naturelles du SRAS et les nouvelles espèces de virus artificiels utilisés comme armes génétiques. Il indiquait que les coronavirus peuvent être « manipulés artificiellement pour devenir un virus de maladie humaine émergente, puis utilisés comme arme et libérés d'une manière jamais vue auparavant ». Ces scientifiques chinois pensaient que le virus SARS-CoV-1 était une arme biologique créée aux États-Unis. Il est donc possible que certains d'entre eux aient participé à la création du virus SARS-CoV-2 par vengeance.
Ce livre révèle en outre que les scientifiques chinois se préparent à une guerre mondiale menée non pas avec des armes atomiques mais avec des armes biologiques et génétiques. Faisant référence à la façon dont les deux bombes atomiques larguées sur le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale l'ont forcé à se rendre, les auteurs affirment que les armes biologiques seront « l'arme essentielle de la victoire » dans une troisième guerre mondiale.
David Asher, ancien fonctionnaire du département d'État, a déclaré au Daily Caller que des responsables français de premier plan avaient averti le département d'État qu'ils avaient de sérieuses inquiétudes quant au type de recherches menées à l'Institut de virologie de Wuhan à l'époque où ce livre a été publié. Le président Barack Obama avait donc accès à suffisamment de renseignements pour connaître les dangers d'une collaboration avec les Chinois dans le domaine de la recherche génétique—mais il a tout de même collaboré.
Écologiste radical
Le tsar de la science de Barack Obama, le Dr John P. Holdren, est l'une de ses nominations les plus radicales. Cet homme a beaucoup écrit sur les changements environnementaux mondiaux. Il a préconisé des mesures de contrôle de la population telles que les avortements obligatoires afin de réduire les pressions sur l'environnement. En 1973, Holdren encouragea une baisse de la fertilité bien en dessous du seuil de remplacement aux États-Unis, car « 210 millions aujourd'hui, c'est trop et 280 millions en 2040, ce sera probablement beaucoup trop ». Il a appelé à un régime mondial pour respecter les limites de la population. Et Obama le choisit comme directeur du Bureau des sciences et de la technologie.
Quel genre de recherche Holdren faisait-il pour Obama ?
Le 5 juillet 2016, le magazine Nature publia une interview du Dr Holdren, dans laquelle il déclara : « Je me rends en Chine cette semaine pour un dialogue stratégique et économique et pour un dialogue entre les États-Unis et la Chine quant à la politique d'innovation. [...] Nous avons beaucoup de coopération avec la Chine sur les questions biomédicales. Nous leur parlons tout le temps de la recherche sur les gains de fonction et des questions d'édition de gènes. »
Holdren collaborait avec les Chinois afin de rendre les virus plus mortels !
Cette collaboration est d'autant plus inquiétante qu'elle est intervenue après qu'Obama coupa le financement de la recherche sur les gains de fonction en Amérique. Son administration mit en pause ce financement le 17 octobre 2014, en raison des craintes que de telles expériences puissent provoquer une pandémie. Il autorisa pourtant une exception à cette interdiction de financement si « la recherche est nécessaire de toute urgence pour protéger la santé publique ou la sécurité nationale ». L'armée américaine profita de cette exception et continua à financer des recherches à l'Institut de virologie de Wuhan, qui détenait une collection de coronavirus. Apparemment, Obama, Holdren et leurs collaborateurs faisaient plus confiance à la Chine communiste qu'aux chercheurs américains !
Financement des communistes
Guy Reschenthaler, membre du Congrès, a découvert 1,1 million de dollars de fonds publics de l'ère Obama versés à l'Institut de virologie de Wuhan pour une recherche par gain de fonction visant à créer un virus artificiel en insérant une protéine dopée d'un coronavirus de chauve-souris sauvage dans un squelette SARS-CoV adapté à la souris. L'Agence américaine pour le développement international accorda ce financement, qui s’ajouta donc aux quelque 600 000 dollars envoyés à Wuhan par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, dirigé par le Dr Anthony Fauci.
Il est clair que le Dr Fauci était au courant des dangereuses recherches génétiques menées à Wuhan. Il l'appelle recherche sur le gain de fonction, mais ce n'est qu'un titre technique pour la recherche sur les armes biologiques. Il rendait les coronavirus des souris et des chauves-souris plus mortels pour les êtres humains sous couvert de recherche sur les vaccins.
En réponse aux scientifiques qui s'inquiétaient de ce financement, le Conseil consultatif scientifique national pour la biosécurité du gouvernement américain étudia la question de savoir si la recherche devait se poursuivre pour améliorer les « pathogènes pandémiques potentiels ». En 2016, il indiqua que si ces recherches pouvaient être bénéfiques pour la santé publique, elles comportaient également des risques importants. Le conseil recommanda un examen plus approfondi. Le président Obama ignora cette recommandation.
En novembre 2016, l'ordre établi du gouvernement fédéral fut secoué par l'élection inattendue de Donald Trump à la présidence. Cette victoire survint en dépit du fait qu'Obama, ses collaborateurs de « l’État profond » et les médias de propagande travaillaient—même illégalement—à saboter la campagne de Trump et, après l'élection, l'équipe de transition de Trump.
Onze jours avant l'entrée en fonction de Trump, Obama autorisa à nouveau le type de recherche à gain de fonction qu'il avait interdit en 2014 et reprit le financement de la création d'armes biologiques à coronavirus du SARS. L'autorisation stipulait que les chercheurs qui suivaient les directives fédérales « satisferont aux exigences de la levée du moratoire actuel sur certaines recherches en sciences de la vie qui pourraient améliorer la virulence et/ou la transmissibilité d'un agent pathogène pour produire un agent pathogène pandémique potentiel ».
Le journaliste enquêteur Mark Bradman a fait remarquer que « essentiellement, cette ré-autorisation n'a fait que relancer le financement aux États-Unis, car le financement de la militarisation du SARS-CoV-2 n'a jamais vraiment cessé en 2014 » (Conservative Treehouse, 5 juin 2021).
Collaboration dangereuse
Le lendemain, le Dr Fauci fit un discours à l'université de Georgetown sur la préparation à une pandémie. Dans ce discours, il prédisait essentiellement la pandémie de la COVID-19. « Quoi qu'il en soit, l'histoire nous a dit définitivement que [les épidémies] se produiront, car [faire face] aux maladies infectieuses est un défi perpétuel », déclara-t-il. « La chose dont nous sommes extraordinairement confiants, c'est que nous allons voir cela dans les prochaines années. »
Le Dr Fauci finançait la recherche sur les gains de fonction en Chine tout en avertissant le peuple américain de se préparer à une pandémie. Il ne mentionna à aucun moment qu'il était impliqué dans la manipulation dangereuse des coronavirus de chauve-souris, mais il semblait savoir que le monde se dirigeait vers une crise grave. Le fait qu'il ait tenu ces propos un jour après qu'Obama ait ré-autorisé la recherche sur les armes biologiques rend la chose encore plus suspecte.
Markson a déclaré à Steve Bannon sur son podcast War Room [Salle de guerre] que la plupart de la communauté scientifique pensait que l'expérimentation par gain de fonction avec des virus mortels était trop dangereuse ; donc pour continuer à avancer, le Dr Fauci dut argumenter contre le consensus scientifique. Elle a ensuite révélé comment le Dr Fauci utilisa la ré-autorisation du président Obama pour relancer cette recherche en 2017 après l'entrée en fonction de Donald Trump. Ainsi, la majorité de la communauté scientifique était contre la recherche sur le gain de fonction, mais le Dr Fauci fit en sorte que cette recherche se poursuive pendant l'administration Trump.
Tout porte à croire que la COVID-19 provient d'un laboratoire dont la communauté scientifique ne voulait rien savoir, jusqu'à ce que Barack Obama, John Holdren et Anthony Fauci imposent leur volonté à tous les autres ! Quel était leur intention cachée ?
Le motif d'Obama
Pourquoi Barack Obama réautorisa-t-il le financement de la recherche sur les armes biologiques juste après que le Conseil consultatif scientifique national pour la biosécurité ait conseillé un examen plus approfondi et juste avant l'entrée en fonction de Donald Trump ? Un indice important peut apparaître dans le fait que la recommandation de ré-autorisation provenait de Holdren, le zélateur du contrôle de la population travaillant avec les Chinois communistes sur la « recherche sur les gains de fonction » et la « modification des gènes ».
Obama essayait-il de créer une pandémie afin d’arrêter Donald Trump ? C'est une question explosive, mais je ne suis pas le seul à la poser.
Mark Bradman a écrit un article le 5 juin 2021 intitulé « Timing intéressant—l'administration Obama leva le blocage sur la ‘recherche sur le gain de fonction’ juste onze jours avant que le président Trump ne prenne ses fonctions, le 9 janvier 2017. » « Cette découverte rend les soupçons d'un virus pandémique intentionnellement libéré, avec une intention politique, pour ‘arrêter Trump,’ exponentiellement plus plausibles », a-t-il écrit. « Avec les gens qui commencent à reconnaître que les responsables du gouvernement américain et la communauté du renseignement ont été moins qu'honnêtes, et dans certains cas carrément menteurs, entourant l'origine du virus SARS-CoV-2 ; et quand nous superposons les motifs politiques en arrière-plan de la déviation narrative de masse des médias et d'autres institutions ; et quand nous considérons jusqu’où les gens à l'intérieur du gouvernement américain étaient prêts à aller dans leurs efforts pour éliminer le président Trump ; découvrir que l'administration du président Obama a techniquement autorisé le redémarrage de la recherche sur le ‘gain de fonction’ (militarisation biologique du virus SARS) quelques jours seulement avant que le président Trump ne prenne ses fonctions [...] est bien plus qu'alarmant. [...] Peut-être pas un pistolet fumant d'intention, mais certainement des empreintes de pas sanglantes qui sortent par la porte—à la mesure d'Obama. »
John Holdren démissionna de son poste de directeur du Bureau de la science et de la technologie le jour où le président Trump prit ses fonctions, et il accepta ensuite un poste de professeur émérite invité à l'université Tsinghua de Pékin. Il a probablement pu continuer à collaborer avec des scientifiques chinois pendant les années Trump, sans être gêné par les lois américaines sur la biotechnologie.
Un nouveau virus
Tout au long de l'administration Trump, des scientifiques du gouvernement comme Anthony Fauci continuèrent à collaborer avec des scientifiques communistes chinois afin de mettre au point de potentiels agents pathogènes pandémiques. Et nous avons des preuves solides que, à un moment donné, ils ont réussi : un nouveau virus est devenu fonctionnel.
Les docteurs Steven Quay et Richard Mueller ont décrit la manière dont ces recherches ont probablement été menées dans un éditorial du Wall Street Journal intitulé « La science suggère une fuite du laboratoire de Wuhan » (6 juin 2021). Bien que le public se concentre sur des preuves circonstancielles, ils ont écrit que « la raison la plus convaincante de favoriser l'hypothèse de la fuite du laboratoire est fermement fondée sur la science. En particulier, considérez l'empreinte génétique du CoV-2, le nouveau coronavirus responsable de la maladie COVID-19. Dans le cadre de la recherche sur le gain de fonction, un microbiologiste peut augmenter considérablement la létalité d'un coronavirus en épissant une séquence spéciale dans son génome à un endroit privilégié. Cette opération ne laisse aucune trace de manipulation. Mais elle modifie la protéine de pointe du virus, ce qui lui permet d'injecter plus facilement du matériel génétique dans la cellule victime. Depuis 1992, au moins 11 expériences distinctes ont été menées afin d’ajouter une séquence spéciale au même endroit. Le résultat final a toujours été des virus suralimentés. [...] Au minimum, ce fait—que le coronavirus, avec toutes ses possibilités aléatoires, a pris la combinaison rare et non naturelle utilisée par les chercheurs humains—implique que la principale théorie pour l'origine du coronavirus doit être une évasion de laboratoire. »
Un rapport de renseignement compilé par le personnel minoritaire de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants a conclu que « la prépondérance des preuves suggère que le SARS-CoV-2 a été accidentellement libéré d'un laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan quelque temps avant le 12 septembre 2019 ». L'administration Obama était pourtant bien au courant des pratiques de sécurité inadéquates du laboratoire de Wuhan. Il y avait de sérieux signaux d'alarme partout dans cette installation à enjeux élevés ! Mais personne n’a réagit aux avertissements.
Puis, en novembre 2019, une maladie mystérieuse frappa un résident de 55 ans dans la province du Hubei, dans ou près de sa capitale, Wuhan. Il s'agissait du premier cas confirmé de la COVID-19.
Un grand camouflage
Lorsque les infections virales se répandirent à Wuhan, de nombreuses personnes posèrent immédiatement des questions sur l'Institut de Wuhan. L'une d'entre elles était le président Trump. Les politiciens et journalistes de gauche qualifièrent rapidement ces questions de non scientifiques, de conspiratrices et de racistes.
Pourtant, il est désormais bien établi qu'au début de l'épidémie de coronavirus, le Parti communiste chinois supprima délibérément les rapports sur l'épidémie et détruisit même les preuves de celle-ci. La pandémie aurait pu être évitée si les autorités chinoises avaient verrouillé la ville de Wuhan dès que l'armée chinoise fut alertée des problèmes concernant le laboratoire de Wuhan. Au lieu de cela, la Commission nationale chinoise de la santé ordonna aux institutions de ne rien publier sur la « maladie inconnue » avant qu'elle ne se soit déjà répandue dans le monde entier.
Les courriels de l'époque montrent que le Dr Fauci était parfaitement conscient que la maladie pouvait être d'origine humaine, et que certains scientifiques avec lesquels il travaillait le savaient. Lui et ses associés s’envoyaient également des courriels quant aux nouvelles concernant la théorie de la fuite du laboratoire. Mais publiquement, Fauci insistait sur le fait que « la science » montrait que la COVID-19 s'était presque certainement propagé naturellement aux humains à partir de chauves-souris sauvages.
Les responsables de l'information et des réseaux sociaux et leurs journalistes attaquèrent et bannirent les personnes qui évoquaient la théorie de la fuite du laboratoire. Une déclaration publiée dans le Lancet et signée par 27 scientifiques de la santé publique en février 2020 résume l'essentiel du discours dominant : « Nous signons cette déclaration en solidarité avec tous les scientifiques et professionnels de la santé en Chine qui continuent à sauver des vies et à protéger la santé mondiale face au défi que représente l'épidémie de la COVID-19. Nous sommes tous dans le même bateau, avec nos homologues chinois en première ligne, contre cette nouvelle menace virale. [...] Nous nous unissons pour condamner fermement les théories du complot suggérant que la COVID-19 n'a pas une origine naturelle. »
Pourquoi une telle divergence entre leurs communications privées et le message adressé au public ? Pourquoi la censure des points de vue qui s'alignaient en fait sur les observations privées du Dr Fauci et d'autres scientifiques ?
Les communistes dissimulèrent les véritables origines du virus et transformèrent ce qui aurait dû être une épidémie locale en une pandémie mondiale. Nous devons prendre au sérieux la théorie selon laquelle tout cela était délibéré. Nous ne pouvons pas simplement la mettre de côté. C'est du parti communiste chinois que nous parlons. Il essaie de prendre le contrôle du monde. Et l'administration Obama lui donne beaucoup d'aide.
Censurer la dissidence
Le Dr Francis Collins est un autre homme qui aida Barack Obama et le Parti communiste chinois à dissimuler les origines de la COVID-19. Après que le Dr Collins ait mené un effort international pour cartographier le génome humain, Obama le nomma directeur des Instituts nationaux de la santé (INS). En tant que directeur, le Dr Collins supervisait le Dr Fauci et 6 000 autres chercheurs scientifiques. Pourtant, comme de nombreux autres candidats nommés par Obama, il n'eut aucun scrupule à travailler avec des scientifiques du Parti communiste chinois.
Aux INS, le Dr Collins licencia au moins 50 chercheurs pour ne pas avoir divulgué leurs liens avec le parti communiste chinois. Tout en sachant que la Chine l'espionnait, le Dr Collins siégea au comité consultatif d'une conférence parrainée par BGI Genomics, une entreprise de génomique liée à l'armée chinoise. Il rencontra également le professeur Xuetao Cao afin de discuter des domaines de collaboration entre les INS et l'Académie chinoise des sciences médicales. Ces liens avec les communistes font qu'il est probable que le Dr Collins ait été l'un des principaux instigateurs de la campagne visant à étouffer la théorie de la fuite du laboratoire.
Au début de la pandémie, des scientifiques comme le Dr Mike Farzan, le Dr Bob Garry et le Dr Andrew Rambaut observèrent que la COVID-19 avait un « site de clivage de la furine » qui suggérait une ingénierie de gain de fonction. Ils présentèrent leurs conclusions lors d'une conférence téléphonique d'experts en février 2020 et envoyèrent les notes au Dr Collins et au Dr Fauci. Collins qualifia l'idée d'une fuite en laboratoire de « scandaleuse », tandis que Fauci déclara que la COVID-19 « ne pouvait pas avoir été artificiellement ou délibérément manipulé ». Pourtant, les deux hommes n'avaient pas suffisamment confiance en leurs preuves pour permettre un débat scientifique sur le bien-fondé de l'hypothèse de la fuite en laboratoire. Au lieu de cela, ils travaillèrent ensemble pour faire taire les voix dissidentes.
Des courriels publiés dans le cadre d'une demande déposée par l'Institut américain de recherche économique en vertu de la loi sur la liberté d'information ont révélé que Collins avait tenté de repousser un reportage de Bret Baier, de Fox News, sur la théorie de la fuite en laboratoire. Le 16 avril 2020, Collins demanda à Fauci : « Je me demande s'il y a quelque chose que les INS peuvent faire pour aider à mettre fin à cette conspiration très destructrice, avec ce qui semble être un élan croissant. [...] Demander à l'Académie nationale de peser dans la balance ? » M. Fauci répondit : « Je ne ferais rien à ce sujet pour le moment. C'est un objet brillant qui disparaîtra avec le temps. » Mais il s’employa tout de même à discréditer ceux qui révélaient la fuite du laboratoire. En fait, le Dr Peter Daszak, un chercheur américain ayant des liens étroits avec le laboratoire de Wuhan, remercia Fauci dans un courriel daté du 18 avril 2020 pour avoir « publiquement pris position et déclaré que les preuves scientifiques soutiennent une origine naturelle pour la COVID-19 à partir d'un débordement de la chauve-souris vers l'homme, et non d'une fuite du laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan ».
D'autres courriels montrent que Collins et Fauci travaillèrent également à la suppression de la Grande Déclaration Barrington, une déclaration de Martin Kulldorff de Harvard, de Sunetra Gupta d'Oxford et de Jay Bhattacharya de Stanford contre les confinements généralisés en cas de pandémie. Ces trois hommes se prononcèrent en faveur d'une politique qui ne décimerait pas l'économie américaine en se concentrant uniquement sur les populations à haut risque, comme les personnes âgées ou les personnes souffrant de problèmes de santé. Des milliers de scientifiques signèrent la déclaration, mais Collins condamna ses auteurs comme étant « trois épidémiologistes marginaux ». Fauci proclama de manière moralisatrice que ceux qui le critiquent « critiquent en réalité la science, car je représente la science. C'est dangereux. »
Les efforts déployés par Collins et Fauci pour convaincre les gens que la COVID-19 était d'origine naturelle et que des mesures de confinement générales étaient nécessaires, et leurs efforts pour faire taire les voix dissidentes, même celles de scientifiques éminents, montrent qu'ils étaient plus intéressés par la dissimulation de leur rôle dans le financement de la recherche sur les gains de fonction en Chine communiste que par l'aide à leur nation !
Trahison
Des dizaines de responsables gouvernementaux savaient ce qu’il se passait réellement à Wuhan, mais aucun d'entre eux ne divulgua d'informations au public. Certains ont peut-être eu trop peur de dire quoi que ce soit, sachant à quel point Obama est puissant et vindicatif. Mais de nombreux fonctionnaires de l'ère Obama étaient eux-mêmes communistes, des gens qui voulaient utiliser le coronavirus pour justifier des mesures de confinement draconiennes et anticonstitutionnelles.
Ces mesures ont considérablement accru le pouvoir de l'État au détriment des libertés individuelles. Elles ont fourni aux autorités qui n'apprécient pas les limites de la Constitution en matière d'ingérence gouvernementale, une arme pour repousser ces limites et imposer leur volonté au public. Ils leur ont donné le pouvoir d'ignorer la loi et de gouverner selon leurs propres caprices. Et tout cela a été encouragé par des médias de gauche qui les ont soutenus et par de grandes entreprises technologiques qui ont supprimé toute opinion contraire.
Une nouvelle étude de l'Université Johns Hopkins révèle que les mesures de confinement en cas de pandémie n'ont permis d'éviter que 0,2 pour cent des décès dus à la COVID-19 ! Mais sauver des vies n'a jamais été l'objectif de la gauche radicale. Le but était d'utiliser la pandémie pour effrayer les gens afin qu'ils abandonnent les libertés que Dieu leur a données.
Il faut se méfier, surtout lorsque la gauche radicale coopère avec le parti communiste chinois sur un sujet aussi sinistre que la recherche sur les armes biologiques.
Ce qui est très important, c’est que les inquiétudes liées au coronavirus ont révolutionné les élections en Amérique. La COVID-19 permit au parti démocrate de présenter un candidat à la présidence qui ne pouvait pas supporter les rigueurs d'une campagne nationale et qui faisait campagne par le biais d'appels téléphoniques via Zoom depuis son sous-sol. La COVID-19 permit à Joe Biden d'organiser un nombre limité de « rassemblements » auxquels ne participèrent que des personnes triées sur le volet et assises sur des chaises situées dans des cercles socialement éloignés. La COVID-19 a garanti une campagne historiquement bizarre et une élection sans précédent qui installa le choix de Barack Obama à la Maison Blanche.
Le timing de tous ces événements est profondément suspect. Le soutien d'Obama à l'Institut de virologie de Wuhan est soit le résultat d'une incompétence, soit d'une trahison diabolique. La Bible indique la trahison !
Antiochos du temps de la fin
Le livre de Daniel est une prophétie pour le temps de la fin (Daniel 12 : 4, 9). Dieu a révélé la signification de ce livre à notre époque. Daniel 8 : 9 prophétise qu'il y aura « une petite corne, qui s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays ». La plupart des commentaires bibliques s'accordent à dire qu'il s'agit du roi séleucide Antiochos Épiphane (175 av. J.-C.). Antiochos ne fut jamais destiné à être roi. Il prit le contrôle en prétendant être quelqu'un qu'il n'était pas. Daniel 11 : 21 dit qu'il obtint le pouvoir par des mensonges et des flatteries avant d'attaquer le peuple de Juda, de le massacrer et de profaner le temple de Jérusalem avec une idole à son image.
Daniel écrivit son livre au cours du sixième siècle avant Jésus-Christ, quelque 3½ siècles avant l'arrivée d'Antiochos. Mais cet ancien accomplissement de la prophétie n'était qu'un type ou un précurseur de ce qui se passe aujourd'hui. En fait, il est prophétisé que trois dirigeants du temps de la fin viendront dans l'esprit trompeur et destructeur d'Antiochos. Un premier Antiochos s'empara du contrôle de l'Église de Dieu, un deuxième Antiochos s'empare du contrôle de l'Amérique, et un troisième Antiochos s'empare du contrôle d'un Saint Empire romain reconstitué en Europe.
Barack Obama est le second Antiochos. Il arriva au pouvoir en prétendant être un social-démocrate modéré, mais son objectif est de transformer fondamentalement l'Amérique en quelque chose de pire qu'une dictature communiste.
Le regretté Herbert W. Armstrong a averti l'Amérique, il y a des décennies, que « le parti communiste n'est pas un simple parti politique, au sens où les Américains pensent à ce terme. Il s’agit d’une dictature totalitaire impitoyable. Il est dirigé, avec un pouvoir absolu, par quelques hommes au sommet—qui sont tous complètement soumis à un homme qui est le Dictateur Absolu. Cette dictature d'un seul homme est censée être nécessaire car il peut y avoir différentes interprétations de la philosophie marxiste. Par conséquent, pour éviter la division, ils doivent avoir un interprète suprême » (La pure vérité, février 1962). Obama, qui a eu pour mentor le communiste Frank Marshal Davis, veut être l'interprète suprême du communisme américain. À cette fin, le coronavirus est devenu son arme la plus dangereuse pour convaincre les gens d'abandonner les libertés constitutionnelles et d'embrasser un gouvernement autoritaire.
Tout cela revient à un homme dont le programme déclaré est de « transformer fondamentalement les États-Unis d'Amérique » et d'effacer les bénédictions et les traditions de ce pays !