La Cour suprême rejette les accusations d'obstruction portées contre les manifestants du 6 janvier

La Cour suprême des États-Unis a statué le 28 juin que le ministère de la Justice (DOJ) avait utilisé une interprétation trop large d'une loi fédérale pour poursuivre un manifestant du 6 janvier. Les juges de la Cour suprême ont rendu une décision (6-3) dans l'affaire Fischer v. United States, estimant que Joseph Fischer n'aurait pas dû être accusé d'« obstruction à une procédure officielle ».

M. Fischer a participé à la manifestation « Stop the Steal » à Washington le 6 janvier 2021 et est entré dans le bâtiment du Capitole vers 15 h 25, alors que le Congrès était déjà en vacances. Il a ensuite été inculpé d’« obstruction à une procédure officielle » en violation de la loi Sarbanes-Oxley de 2002, adoptée en réponse au scandale Enron.

L'avis majoritaire de la Cour suprême, rédigé par le président de la Cour suprême John Roberts, précise que la loi Sarbanes-Oxley ne s'applique qu'à la falsification de preuves matérielles utilisées dans le cadre d'une procédure officielle. Par conséquent, M. Fischer n'est coupable que d'intrusion.

La loi Sarbanes-Oxley de 2002 a été utilisée par le DOJ pour inculper plus de 300 manifestants du 6 janvier de délits passibles de 20 ans de prison. Le nouvel arrêt de la Cour suprême s'applique à tous.

Le conseiller spécial Jack Smith a également accusé Donald Trump d'entrave à une procédure officielle le 6 janvier 2021, de sorte que cette décision de la Cour suprême pourrait également avoir une incidence sur cette affaire.

Persécution politique : Le rassemblement « Stop the Steal » était censé attirer l'attention sur la question de la fraude électorale, tandis que 100 représentants du Congrès présentaient suffisamment de preuves de cette fraude pour convaincre le vice-président Michael Pence de bloquer la certification de l'élection. Mais les violences au Capitole ont empêché ce plan de se réaliser.

Aujourd'hui, les gauchistes radicaux tentent de décourager toute enquête sur le grave problème de la fraude électorale en poursuivant les manifestants. La Cour suprême révèle combien de procureurs détournent la loi.

La cour du roi : Une prophétie étonnante dans Amos 7:13 décrit un sanctuaire du roi et une maison royale qui soutiennent un type du roi Jéroboam II du temps de la fin. Le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a expliqué que Donald Trump est le Jéroboam II du temps de la fin. En janvier 2019, il a montré que « le sanctuaire du roi » est « un lieu de culte qui appartient au roi », et que « la maison royale » (mieux traduite comme « la cour du royaume ») est une « entité non religieuse […] faisant référence à la Cour suprême des États-Unis. »

La Cour suprême n'a pas eu le courage de mettre fin au vol des élections, à la tyrannie gouvernementale et à d'autres problèmes en 2020. Mais elle a commencé à s'opposer aux tentatives de la gauche radicale de poursuivre ceux qui enquêtent sur la fraude électorale.

Continuez à surveiller la Cour suprême pour qu'elle dénonce cette fraude d'une manière qui profite à la campagne de Donald Trump.

Pour en savoir plus : Lisez « La Cour suprême des États-Unis est-elle dans la prophétie biblique?  ».