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La corruption des Nations unies

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La corruption des Nations unies

Le scandale pétrole contre nourriture a été un embarras international—mais c’est juste un exemple dans une organisation où la corruption est monnaie courante.

Viols. Meurtres. Des milliards de dollars de fraude et de détournement à l’échelle mondiale. Les Nations unies, formées pour «sauver les générations à venir du fléau de la guerre», sont devenues, au lieu de cela, plutôt comme un film trop explicite pour être montré à vos enfants.

L’année dernière, la réputation de l’onu a été mise en lambeaux par les allégations de pots de vin, les milliards de dollars obtenus dans le scandale pétrole contre nourriture, le viol de mineurs dans un scandale sexuel au Congo, et un manque total de responsabilité. Les fonctionnaires des Nations unies savent que le moment est venu pour une réforme sérieuse.

Les rapports indépendants sur le scandale pétrole contre nourriture, produits par un comité dirigé par l’ancien Président de la U.S. Federal Reserve Bank, l’américain Paul Volcker, ont finalement été publiés en septembre. Critiquant l’onu de haut en bas, le langage du rapport était clair comme le jour: «La conclusion inéluctable que l’on tire du travail du comité», c’est que l’onu «a besoin d’une réforme profonde—et elle en a besoin de toute urgence.» Nous verrons exactement combien les erreurs de jugement étaient sérieuses, à chaque niveau.

Mais avec un but aussi noble qui est de sauver nos enfants de la guerre, comment l’idée de l’onu a-t-elle fait pour aller de travers de manière aussi lamentable ? Qu’est-ce qui ne va pas avec les Nations unies?

Pétrole contre nourriture

Après la Guerre du Golfe de 1991, les sanctions imposées contre l’Irak étaient destinées à limiter le commerce international avec ce pays. Bien que ces sanctions n’aient pas empêché l’importation de nourriture et de médicaments, les Irakiens n’avaient pas d’argent pour acheter ce dont ils avaient besoin sous le régime de Saddam Hussein.

Le programme pétrole contre nourriture a commencé en 1996 en tant qu’effort humanitaire pour nourrir les Irakiens. C’était absolument unique, étant le premier programme humanitaire de l’onu qui soit financé par les ressources même de ceux qu’il servait; il a été financé entièrement par la vente du pétrole irakien. L’idée semblait bonne: les irakiens avaient un véritable besoin d’aide humanitaire, et le pétrole contre nourriture était une façon de procurer cette aide, sans tirer sur les ressources d’autres pays.

Cependant, cela a aussi resserré l’emprise de S. Hussein sur les Irakiens. L’onu a dit que 60 pour cent de la population irakienne recevait des rations au moyen de ce programme; autrement dit, 60 pour cent de la population se reposait maintenant sur Hussein, juste pour avoir assez à manger. En dehors de la nourriture et des médicaments, le seul produit qui pouvait être exporté ou importé légalement était le pétrole, lequel était uniquement contrôlé par S. Hussein. Cela signifiait aussi que l’onu elle-même était l’employée de S. Hussein pour des sommes atteignant les milliards de dollars, parce que l’onu prélevait une commission sur chaque baril de pétrole vendu. Beaucoup de pays recevaient le pétrole irakien à prix réduits à travers ce programme—et sans étonnement, certains des pays mêmes qui s’étaient opposés si véhémentement à la guerre en Irak.

Ainsi le résultat du programme pétrole contre nourriture a été que les Irakiens se sont trouvés encore plus dépendants de Hussein, un tyran que l’onu a aidé à consolider; en attendant, la communauté mondiale a reçu un pétrole au prix de négoce, pendant qu’elle se rendait elle-même redevable à Hussein. Ainsi vont les programmes humanitaires, celui-ci était au mieux douteux, même si le programme avait été dirigé correctement. Mais la mise en place structurelle, malheureusement, a laissé la porte grande ouverte à la corruption, sur une échelle massive.

Tandis que le pétrole contre nourriture a vraiment accompli ses buts pour les irakiens à un certain degré, le programme a aussi abouti à des milliards de dollars de pots de vin et a été asservi à la corruption dans les affaires, les gouvernements et à chaque niveau de l’onu.

Ainsi, l’institution internationale, la plus vantée dans l’histoire, a mis en place le plus grand scandale financier dans l’histoire.

Au commencement du programme pétrole contre nourriture, le rapport de P. Volcker montre une légère surévaluation, mais en 2003, des marchandises humanitaires se vendaient à presque trois fois le prix attendu.

Le rapport déclarait: «Le revenu total illicite que le régime irakien a extrait conformément au programme des acheteurs pétroliers et des fournisseurs humanitaires était de 1,8 milliard de dollars. Ce chiffre reflète 229 millions de dollars en surtaxes pétrolières, 1,06 milliards de dollars en honoraires de service après-vente et 527 millions de dollars en honoraires de transport intérieurs payés au régime irakien» («Gestion du Programme Pétrole contre nourriture des Nations unies», du 7 septembre). C’était de l’argent gagné directement par la manipulation du programme.

De plus, pendant la période des sanctions contre l’Irak (1991-2003), l’enquête montre qu’environ 12 pour cent du pétrole irakien était disponible pour la contrebande, ce qui a produit presque 11 milliards de dollars de revenus complémentaires. Ce pétrole a été vendu à un tarif au-dessous du marché—en dehors du programme pétrole contre nourriture—à la Jordanie, la Syrie, la Turquie et l’Égypte, aussi bien qu’à des entités privées.

Au total, le rapport a identifié 12,8 milliards de dollars nommés «revenu illicite», n’incluant pas d’intérêt. Et c’est seulement ce que l’Irak a réussi à retirer dans ce scandale.

Ce qui est peut-être le plus inquiétant de tout c’est qu’il se peut qu’il ne soit pas possible de retrouver où certains des pourcentages de l’arrangement sont allés. L’onu, par exemple, a autorisé S. Hussein à vendre un pétrole à au moins 70 sociétés des Émirats arabes unis. «Un acheteur pétrolier autorisé …  était un vestige de la banque criminelle mondiale défunte, la bcci. Un autre était proche des taliban tandis que Oussama Ben Laden s’élevait en Afghanistan; un troisième était lié avec une banque aux Bahamas impliquée dans le réseau financier d’Al-Qaida, un quatrième avait un rapport proche avec l’un des fabricants potentiels de la bombe nucléaire de Saddam» (le Wall Street Journal, du 28 avril 2004). Autrement dit, cela n’a pas seulement financé S. Hussein; cela a aussi financé d’autres terroristes.

Le fait qu’un programme humanitaire avait des liens avec un réseau terroriste mondial, financièrement administré par Saddam Hussein avec la complicité des fonctionnaires de l’onu, aurait dû faire la Une des dernières nouvelles! Mais quand la preuve a commencé à émerger en avril de l’année dernière, elle a été rapidement éclipsée par le scandale de la prison d’Abu Ghraib.

Personne ne peut vraiment être choqué que Saddam Hussein dérobe l’argent d’un programme humanitaire. L’histoire c’est que l’onu a laissé non seulement cela arriver, mais, en réalité, avait aussi des fonctionnaires qui participaient activement à la corruption.

Ce programme a été dirigé par un fonctionnaire de l’onu: Benon Sevan, que le rapport Volcker identifie à plusieurs reprises comme n’ayant pas réussi à accomplir son devoir à l’égard du programme pétrole contre nourriture. En fait, en tant que chef du programme, B. Sevan «a compromis sa position en sollicitant secrètement, et en bénéficiant financièrement, des attributions pétrolières irakiennes au cours du programme» (Volcker, op. cit.).

Lorsque les problèmes étaient rapportés au Secrétaire adjoint, et au Secrétaire général de l’onu lui-même, Kofi Annan, ces individus les ont essentiellement ignorés ou écartés. Ensuite, le plus gênant de l’enquête, c’est que le fonctionnaire irakien responsable de l’audit du scandale a été tué par une bombe fixée à sa voiture de fonction.

Par conséquent, le vol irakien a continué.

Le scandale de l’approvisionnement

Alors que la commission de Volcker enquêtait sur le programme pétrole contre nourriture, il en découvrait un autre, un scandale apparenté.

Un ancien fonctionnaire de l’approvisionnement de l’onu, Alexandre Yakovlev, a été arrêté en août; il a plaidé coupable pour conspiration, fraude et blanchiment de l’argent des taxes. Ensuite, en septembre, des procureurs fédéraux de Manhattan ont accusé le chef du comité de surveillance du budget de l’onu, Vladimir Kuznetsov, de blanchiment de l’argent des taxes. À présent, les autorités croient au moins que certains des vols de A. Yakovlev—beaucoup d’entre eux pourraient ne rien avoir affaire avec le programme pétrole contre nourriture—ont été fait avec l’aide de V. Kuznetsov.

Le plus grand problème avec ce scandale, est sa portée: le département de l’approvisionnement touche à chaque programme de l’onu (c’est à travers ces contrats d’approvisionnement que l’onu dépense les milliards de dollars auxquels ses membres contribuent). Ces deux hommes ont exercé beaucoup d’influence. V. Kuznetsov a estimé les articles en ligne avec le budget de l’onu. A. Yakovlev a travaillé à l’onu pendant plus de 20 ans et a traité avec des
entrepreneurs en Afrique, en Asie et au
Proche-Orient—tout autour du monde. Il a même géré le contrat architectural pour la nouvelle rénovation, de 1,2 milliard de dollars, proposée pour le siège central de l’onu à Manhattan.

P. Volcker a aussi dit que A. Yakovlev avait reçu plus de 950 000 dollars de dessous de table de la part des sociétés qui étaient responsables à plus de 79 millions de dollars dans des contrats et des bons de commande de l’onu, sans rapport avec le programme pétrole contre nourriture.

Le rapport Volcker

Dans le rapport indépendant, qui était basé sur plus de 12 millions de documents, le comité a discuté de la réputation de l’onu, et du lien avec sa capacité à fonctionner efficacement: «L’enjeu est la capacité des Nations unies à répondre promptement et efficacement à la poussée vigoureuse des responsabilités dues aux réalités d’un monde turbulent et souvent violent. Dans la dernière analyse, cette capacité repose sur la crédibilité de l’organisation—à entretenir une perception largement maintenue parmi les États membres et leurs populations de sa compétence, son honnêteté et sa responsabilité.

«C’est précisément ces qualités qui étaient trop souvent absentes dans l’administration du programme pétrole contre nourriture.»

Ce rapport est arrivé alors que l’onu était sur le point de se réunir sur le sujet de la réforme, du 14 au 16 septembre. Les résultats de ce sommet? The Age a reporté que «c’est plus facile de dire ce que le sommet n’a pas réalisé que ce qu’il a fait» (20 septembre). Malgré une résolution appelant les États à interdire l’incitation au terrorisme, les membres de l’onu n’ont pas convenu d’une définition du terrorisme lui-même. Ils ne sont parvenus à aucun accord sur la non-prolifération et le désarmement nucléaires. Ce qui est net, c’est que malgré le rapport Volcker, la réforme de l’onu ne progresse pas vraiment. Le rapport Volcker lui-même nous montre pourquoi.

Le Secrétaire général Annan était en haut de la liste de ceux qui ont été soumis à la critique. «Le rapport me critique personnellement et j’accepte la critique», a dit K. Annan. Il a accepté cette critique; néanmoins, dans la coutume typique de l’onu il a dit: «Je ne prévois pas de faire démissionner quelqu’un. Nous continuons notre travail.» Au milieu de ce grand besoin de réformer l’onu, c’est une réponse extrêmement minimaliste.

Ce scandale s’est produit sous le regard du Secrétaire général Annan. À un certain point, son propre fils—Kojo Annan—a été impliqué, et le rapport déclare spécifiquement que K. Annan «n’était pas diligent et efficace dans la poursuite d’une enquête.»

Le manque de diligence et d’efficacité du Secrétaire général à corriger son propre fils est à peine surprenant. Après tout, Kofi Annan était coupable d’incompétence, de mauvaise gestion caractérisée—et même de fraude.

La chose intéressante, c’est que K. Annan avait «réformé» l’onu auparavant, et l’institution profondément corrompue que nous voyons aujourd’hui en est le résultat. Les réformes actuellement sous proposition—«une culture de plus grande franchise, de cohérence, d’innovation et de confiance … des standards plus rigoureux pour juger de la performance des forces de maintien de la paix, sur le terrain et au siège central»—ont été prises directement d’un dossier de l’onu publié en juin 2002. N’importe qui peut voir ce que ces ‘bonnes’ réformes ont fait une première fois.

Depuis que les réformes de la fois dernière, destinées à révolutionner le siège central de l’onu, avaient été débattues, le scandale pétrole contre nourriture a coûté des milliards de dollars—qui, en partie, ont probablement fini aux mains d’organisations terroristes. En termes de dollars, il est tout à fait probable que cela a été la plus grande escroquerie dans l’histoire humaine.

Ce qui est même plus écœurant, c’est que le scandale sexuel du Congo, d’abord découvert en février 2004, a continué pendant plus d’un an, après même que les fonctionnaires de l’onu aient reconnu les allégations que leurs forces de maintien de la paix avaient violé des enfants, aussi jeunes que 12 ans, et avaient commis de nombreux autres crimes sexuels. Il y a eu plus de 150 accusations de viol, de mauvais traitements à enfant, de sollicitation et d’autres crimes sexuels—70 dans la seule ville de Bunia. Des centaines d’images de pornographie d’enfants, impliquant des enfants congolais, ont été trouvées sur l’ordinateur portable d’un civil français de l’onu qui travaillait à Goma (Independent, Londres, du 11 janvier).

«Il est net que l’enquête n’a pas agi en tant que dissuasion pour certaines des troupes, peut-être parce qu’elles n’avaient pas été conscientes des sévères pénalités à s’engager dans une telle conduite, ni n’avaient vu l’évidence d’un impact négatif d’un tel comportement sur les forces individuelles de maintien de la paix», dit le rapport de l’Agence de surveillance de l’onu (ibid.). Plus spécifiquement, pas un soldat de l’onu n’a été chargé, bien que les allégations dans au moins six cas aient été entièrement justifiées. Le rapport recommandait plutôt que les pays qui avaient envoyé des forces de maintien de la paix prennent des mesures.

Une telle incompétence indique que l’onu est au-dessus de la réforme.

Peut-être que l’incompétence de l’onu à résoudre de tels problèmes serait moins évidente si cette institution vantée s’était en fait montrée capable d’empêcher la guerre. Au lieu de cela, son histoire de 60 ans est là, tel un testament d’échec massif.

Un exemple d’échec

Ces scandales mettent l’onu dans la pire des positions, mais n’importe quelle analyse honnête montre que les Nations unies étaient un échec même sans le scandale pétrole contre nourriture, le plus récent scandale de l’approvisionnement, ou le scandale du sexe au Congo.

Alors qu’aucune guerre mondiale n’a transpiré depuis la fondation de l’onu, il y a eu la guerre tout autour du monde—plus que 250 conflits armés depuis 1945—une moyenne de plus de quatre par an! Par ce simple critère, nous voyons que les Nations unies ont échoué dans leur mandat.

L’onu n’a pas agi au Liberia, quand Charles Taylor (qui est devenu président en 1997) a lancé une guerre civile de sept ans en 1989 dans laquelle 200 000 personnes ont été tuées. En 1994, les 270 casques bleus envoyés au Rwanda n’ont pu empêcher le meurtre de 800 000 Rwandais. L’onu n’a pas réussi à condamner l’esclavage au Soudan; a échoué misérablement en Sierra Leone; n’a pas réussi à soutenir les droits des fermiers blancs au Zimbabwe (ce qui a abouti à une famine massive). L’onu a échoué en Angola, au Cachemire et en Colombie. L’onu n’a pas réussi à agir contre Saddam Hussein, prétendant que la diplomatie et des inspections fourniraient la réponse. L’onu a refusé de s’attaquer à la stratégie nucléaire de la corde raide de la Corée du Nord, et a ignoré les violations des droits de l’homme partout dans le Proche et l’Extrême Orient.

Le rôle des Nations unies en tant qu’agence des droits de l’homme est un déshonneur international. Lors d’une réunion de la Commission des droits de l’homme de l’onu en avril dernier, le Secrétaire Annan s’est dit inquiet du fait que «la crédibilité en baisse de la commission ait jeté une ombre sur la réputation du système des Nations unies dans leur ensemble.»

Les choses sont si sombres à l’onu qu’une ombre pourrait en fait en améliorer sa réputation. Jetez un regard spécifique à la Commission des droits de l’homme. Le Soudan—auteur du génocide le plus récent—en est membre; le Zimbabwe—des terres saisies, des élections condamnées internationalement, et une presse contrôlée—en est membre. La Chine et la Russie en sont membres; toutes deux également accusées d’abus de droits.

Pouvons-nous vraiment nous attendre à ce qu’émerge de la sagesse d’un tel groupe, sur la façon d’améliorer les droits de l’homme au niveau mondial?

La raison de l’échec de l’onu

Mais, à nouveau, l’idée d’un corps international pour maintenir la paix semble être un noble but. Qu’est-ce qui a mal tourné?

Les hommes agissent selon leur propre nature humaine. Saddam Hussein a agi selon ses intérêts. Les fonctionnaires des Nations unies ont agi selon leurs propres intérêts égoïstes. Les affaires étaient recherchées pour le profit. Plutôt que de suivre la voie d’amour de Dieu—du souci d’autrui—ces hommes ont recherché leur intérêt numéro un—eux-mêmes!

Jérémie 17:9 nous dit que le cœur est tortueux par-dessus toutes choses, et désespérément mauvais. L’avidité affecte chaque niveau de la société. Même quand nous voyons une organisation qui devrait incarner l’éthique, la moralité et la norme la plus haute de la vertu humaine en tant qu’exemple pour le monde entier, nous voyons, au lieu de cela, une description parfaite de la nature humaine à son plus mauvais niveau. Au lieu d’une institution pieuse et juste, nous en voyons une de charnelle.

Plutôt qu’une gestion efficace au sommet, l’onu n’a aucun vrai leadership. Le Secrétaire général Annan a prouvé qu’il n’est pas à la hauteur de la tâche et qu’il n’est pas disposé à se retirer ou même à remplacer ceux qui sont sous lui quand ils échouent.

C’est ce qui arrive quand vous laissez Dieu hors de vos plans. «Si l’Éternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent travaillent en vain» (Psaumes 127:1). Dieu n’avait certainement aucune part dans cette tentative, qui a échoué, d’un gouvernement mondial.

Si Dieu avait édifié les Nations unies, chaque nation suivrait une loi commune—la loi de Dieu. Chaque nation suivrait le principe d’amour, montrant un intérêt altruiste pour les autres pays. Chacune travaillerait pour l’intérêt de tous. Plutôt que la nature humaine, nous verrions une nature pieuse à l’œuvre. Cela produirait la paix et l’abondance sur toute la Terre!

L’onu n’apportera jamais la paix au monde—aucune organisation humaine ne le fera. Cela exigera l’intervention de Dieu Lui-même.

Bientôt, nous verrons un gouvernement du monde avec Jésus-Christ à la tête. Et au lieu d’un cœur tortueux, et désespérément mauvais, Dieu donnera un nouveau cœur à l’homme (Ézéchiel 36:26), et déversera Son Esprit sur toute chair (Actes 2:17). Alors les nations seront vraiment unies, et la corruption cessera. 

LA TROMPETTE EN BREF

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