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La Californie rend les études ethniques obligatoires dans les écoles secondaires de l'État

JUSTIN SULLIVAN/GETTY IMAGES

La Californie rend les études ethniques obligatoires dans les écoles secondaires de l'État

Le cheminement vers la théorie critique de la race commence par cette première étape.

Le 8 octobre, le gouverneur de la Californie, Gavin Newsom, signa une loi rendant obligatoire le suivi d'études ethniques par les élèves californiens pour obtenir leur diplôme d'études secondaires. Les écoles publiques ont jusqu'en 2025 pour proposer ce cours, qui deviendra une condition d'obtention du diplôme en 2030.

« L'inclusion d'études ethniques dans le programme d'études secondaires n'a que trop tardé », a déclaré Jose Medina, membre démocrate de l'Assemblée, qui a rédigé le projet de loi. « Les étudiants ne peuvent pas avoir une compréhension complète de l'histoire de notre État et de notre nation sans inclure les contributions et les luttes des Amérindiens, des Afro-Américains, des Latinos et des Asiatiques américains. »

Certains des enseignements du cours d'études ethniques seront « #BlackLivesMatter et le changement social », « Afrofuturisme : Réimaginer les avenirs et la science-fiction des Noirs », « Les immigrés sans-papiers américains du Mexique et d'ailleurs », « L'expérience d'immigration des Lao-Américains », « Cette terre est indienne : Le but, la politique et la pratique de la reconnaissance des terres ».

Les études ethniques s'avéreront certainement être une porte d'entrée pour l'introduction de la très controversée théorie critique de la race, qui enseigne l'idée selon laquelle les institutions américaines ont été fondées dans le but d'assurer la domination blanche.

Neuf États ont déjà interdit ou limité l'enseignement de la théorie critique de la race. Le gouverneur de la Floride, Ron DeSantis, a plutôt signé une loi selon laquelle les enfants doivent recevoir un enseignement sur « les méfaits du communisme », en opposition à la théorie critique de la race. Et dans tout le pays, des parents protestent contre l'introduction de la théorie critique de la race dans les programmes scolaires.

En conséquence, l’Association nationale des conseils scolaires [National School Boards Association—NSBA] a écrit une lettre à Joe Biden dans laquelle elle affirme qu'il y a eu un « pic » de menaces de violence et d'activités malveillantes de la part des parents et que ces actions équivalent à « une forme de terrorisme domestique et de crimes haineux ».

L'étude cite 20 exemples de comportements perturbateurs à l'échelle nationale, et deux exemples d'individus arrêtés pour ce type de comportement. Après la lettre de la NSBA, le procureur général Merrick Garland annonça que le Bureau fédéral des enquêtes [Federal Bureau of Investigation—FBI] prendrait la direction de la gestion des protestations contre la théorie critique de la race.

Un récent sondage Economist/YouGov extrapole que 58% des Américains sont opposés à la théorie critique de la race. Et pourtant, après l'arrestation de seulement deux Américains, le gouvernement a décidé de déployer le FBI pour diriger l'ensemble de la réponse des forces de l'ordre. Il a pratiquement criminalisé la parentalité.

Pourquoi une réponse aussi énergique ? Voici ce que Ben Weingarten a écrit pour le Fédéraliste :

Si, comme l'affirme l'administration Biden, la lutte contre la terreur intérieure, dont la plus grande menace provient du suprématisme blanc, nécessite de « s'attaquer au racisme et au sectarisme sous-jacents », comme le dit la stratégie nationale, et que l'opposition à la CRT [critical race theory—théorie critique des races] est raciste, alors cibler les critiques de la CRT devient un impératif de sécurité nationale. […]

Chercher à effrayer les parents pour qu'ils se taisent en les menaçant d'envoyer les organes d'application de la loi les plus puissants de notre pays contre eux pour avoir contesté la théorie critique de la race ou les politiques relatives au coronavirus semble parfaitement conforme à la « stratégie nationale de lutte contre le terrorisme intérieur » de l'administration Biden.

Sa portée est pratiquement illimitée si la dissidence par rapport à l'agenda du régime constitue un danger pour la « démocratie ». Au minimum, il devrait être clair que les critiques de l'idéologie CRT du régime, et les politiques du coronavirus, ont été classés comme des menaces.

L'administration Biden estime que le terrorisme intérieur est la plus grande menace pour la sécurité nationale. Elle considère également que la suprématie blanche est au cœur du terrorisme intérieur. Par conséquent, les opposants à la théorie critique de la race sont considérés comme des terroristes nationaux.

La porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki, a refusé de dire directement si Biden considère les parents protestataires comme des « terroristes nationaux ». Mais en lâchant le Département de la Justice sur les Américains qui protestent, l'administration Biden en a déjà dit long.

La répression de la dissidence et l'endoctrinement des jeunes sont les marques de fabrique des gouvernements communistes. L'ancien agent du KGB Yuri Bezmenov se donna beaucoup de mal pour avertir l'Amérique qu'elle était en guerre contre le communisme. Il prévint que l'Amérique avait une « romance avec l'éducation publique encouragée par les subversifs du KGB » et que cela produisait des étudiants incapables de penser indépendamment.

Aujourd'hui, plus de 90% des enfants américains sont scolarisés dans des écoles publiques.

Le communisme est un État tout-puissant qui dicte aux élèves ce qu'ils doivent apprendre, tandis que les dissidents sont ciblés et réduits au silence. Le communisme est-il sur le point d'atteindre les côtes des États-Unis d'Amérique ?

Dès 1934, le défunt théologien Herbert W. Armstrong avertit qu'elle avait déjà commencé à arriver.

En 1956, il écrivit :

Ce que nous ne parvenons pas à comprendre, dans la lutte contre la Russie, c'est ceci : Nous ne combattons pas une seule nation dans une guerre militaire, mais une gigantesque armée mondiale en civil, déguisée en parti politique, qui cherche à conquérir le monde avec un type de guerre entièrement nouveau. C'est un type de guerre que nous ne comprenons pas, ou auquel nous ne savons pas faire face. Elle utilise tous les moyens diaboliques pour nous affaiblir de l'intérieur, en sapant nos forces, en pervertissant notre morale, en sabotant notre système éducatif , en détruisant notre structure sociale, en détruisant notre vie spirituelle et religieuse, en affaiblissant notre puissance industrielle et économique, en démoralisant nos forces armées, et finalement, après une telle infiltration, en renversant notre gouvernement par la force et la violence ! Tout cela, habilement déguisé en un parti politique inoffensif ! Le communisme est une guerre psychologique mondiale !

Le flirt de l'Amérique avec le communisme est en train de détruire son amour de l'État de droit et d'effacer sa puissance. Les événements actuels tels que l'embarras de l'Afghanistan, l'autoritarisme COVID-19 et la crise de la chaîne d'approvisionnement montrent une superpuissance en déclin. M. Armstrong avertit que cette histoire d'amour avec le communisme fut prophétisée comme devant « dévorer » la force de l'Amérique « et elle ne le sait pas » (Osée 7 : 9 ; traduction selon la Moffatt).

Des mots nobles comme « inclusion » et « égalité » sont courants dans le vocabulaire de la théorie critique de la race. Ils font également partie du vocabulaire des communistes. Mais M. Armstrong écrivit en 1949 que le communisme est présenté comme une « lutte des classes à l'échelle mondiale, opposant la classe la plus pauvre à ceux qui ont économiquement mieux réussi, suscitant les préjugés de classe, attisant les haines raciales. Alors qu'ils prétendent défendre la paix, ils n'engendrent que des dissensions, et ils se nourrissent comme un vautour de la pauvreté, du mécontentement, du découragement, de la confusion et du chaos ».

C'est exactement ce que font aussi la théorie critique de la race et ses partisans.

L'Amérique subit une attaque qui s'intensifie depuis des décennies. C'est une attaque que très peu de gens comprennent car elle a une dimension spirituelle.

La législation californienne sur les études ethniques, le déploiement du FBI, la poussée de la théorie critique des races—tout cela représente cette attaque contre l'Amérique. Cette attaque détruit cette nation beaucoup plus rapidement que beaucoup ne le pense. Et c'est une attaque à laquelle on ne peut survivre qu'avec la protection de Dieu. Pour apprendre la seule façon de contrecarrer cette attaque, veuillez demander votre copie gratuite de L'Amérique sous attaque, par le rédacteur en chef de la Trompette Gerald Flurry.

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