L’ancien président Donald Trump fait campagne le 13 avril à Schnecksville, en Pennsylvanie. [ANDREW HARNIK/GETTY IMAGES]
L’intelligence artificielle et une nouvelle tentative de voler les élections
Alors que les États-Unis se prépare aux prochaines élections, les conflits s’intensifient. Nous assistons à une guerre juridique menée contre le candidat le plus populaire. Nous sommes témoins d’un barrage constant d’attaques de la part des médias, des agences de sécurité, et des politiciens. Nous voyons comment ces éléments contribuent à une division extrême.
L’élection et la nation sont gravement menacées. Ce ne sera pas une transition en douceur. Dans le cas où ils perdent l’élection, les démocrates ne céderont pas. Donald Trump sera contraint à faire la guerre pour revenir au pouvoir, quel que soit le résultat de l’élection : c’est ce que dit la prophétie biblique ! Je l’ai expliqué dans mon article, « Prêt pour la guerre ».
À mesure que cette guerre s’intensifie, il est certain que l’intelligence artificielle y jouera un rôle majeur.
En janvier, des photos générées par l’IA ont circulé, montrant Donald Trump en compagnie de Jeffery Epstein dans son avion. En réponse, Trump a publié le message suivant sur Truth Social :
Voilà ce que font les démocrates à leur adversaire républicain, qui les devance largement dans les sondages. C’est de l’IA, et c’est très dangereux pour notre pays ! Je n’ai jamais été dans l’avion d’Epstein, ni sur son île stupide. Il faut élaborer des lois strictes contre l’IA. Ce sera un problème important et très dangereux à l’avenir !
Le mois suivant, lors d’une interview avec Maria Bartiromo, animatrice de Fox Business, M. Trump a réitéré cette mise en garde, qualifiant l’IA de « peut-être la chose la plus dangereuse qui soit, parce qu’il n’y a pas de véritable solution. […] C’est tellement effrayant. »
Le 18 avril, Fortune a titré : « Les experts avertissent que les deepfakes générés par l’IA pourrait décider de l’élection en novembre, après que Joe Biden a remporté la présidentielle de novembre 2020 par seules 44 000 voix ».
L’élection de 2020 a été systématiquement volée par moyen de bulletins de vote par correspondance, ainsi que de nombreuses autres illégalités. Les médias continuent d’ignorer et même d’enterrer ces preuves. Cependant, ils suggèrent des façons dont la prochaine élection pourrait être contestée et dont le prochain vol pourrait se dérouler. Le récit populaire est désormais que l’IA pourrait décider de l’élection !
Si c’est le cas, la démocratie américaine est morte !
Nous vivons dans un monde rempli de mensonges. Ce fléau s’intensifie et les gens ne savent plus ce qu’ils peuvent croire ni à qui faire confiance. Aucune démocratie ne peut survivre dans de telles conditions !
Bien sûr, beaucoup accusent Trump d’essayer de voler l’élection, même s’il est en tête dans les sondages, qui sont plus souvent favorables aux démocrates. Pourtant, l’histoire récente montre que c’est le camp opposé qui fera tout pour empêcher Trump de revenir à la Maison Blanche.
La guerre pour les « États clés »
Les élections américaines sont en grande partie décidées par celui qui remporte les « swing states », c’est-à-dire les États clés. Il est donc probable qu’un vol d’élection se déroule dans l’un de ces États.
Lors de la dernière présidentielle, Joe Biden a « remporté » dans ces États, grâce à la fraude, avec seulement 44 000 voix d’avance. Dinesh D’Souza a révélé une partie de la fraude dans son film, 2000 Mules. Mon livre L’Amérique sous attaque détaille d’autres aspects de ce vol. Nous devons nous attendre à des actes criminels encore plus graves cette année.
Il semble que les démocrates aient renoncé à toute tentative de remporter le vote populaire et se concentrent principalement sur ces « États clés ». Quel que soit le nombre de personnes qui votent pour Donald Trump, s’il perd ces États à quelques voix près, il perd l’élection. Les démocrates feront donc tout ce qu’ils peuvent afin d’augmenter le nombre de voix en leur faveur, quoi qu’il en coûte.
« La campagne sera incroyablement serrée et se résumera probablement à quelques votes dans quelques comtés de quelques États clés, de sorte que l’IA pourrait faire la différence », a déclaré Julius van der Laar.
M. Van der Laar a travaillé comme militant pour Barack Obama lors des élections présidentielles américaines de 2008 et 2012. En 2012, il a occupé à plein temps le poste de directeur régional de Get Out the Vote, organisation chargée de gérer la mobilisation des électeurs dans l’État clé de l’Ohio. Cet État très contesté était considéré comme le plus important à gagner, et c’était grâce à l’aide de M. van der Laar qu’Obama a fini par l’emporter.
Déjà à l’époque, l’IA jouait un rôle crucial. Dans How to Fight Artificial Intelligence (Comment combattre l’intelligence artificielle), le général Michael Flynn et le sergent Boone Cutler écrivent :
Lors de la campagne électorale d’Obama en 2012, son équipe a été la première à utiliser des outils sophistiqués d’analyse de données et d’IA pour mieux comprendre le comportement et les préférences des électeurs en analysant des millions de tweets et de messages sur Facebook, et en créant des messages ciblés qui suscitaient des émotions et évoquaient des points de vue spécifiques, ce qui l’a finalement aidée à remporter l’élection. Ils ont même utilisé une plateforme de données baptisé « Narwhal » pour créer des profils détaillés d’électeurs individuels. Le projet Narwhal était le nom de code d’une infrastructure technologique centralisée, basée sur le cloud, développée par l’équipe de campagne d’Obama.
Cette équipe sait comment obtenir des voix en apprenant tout sur un individu. Ils se sont servis de ces outils pour créer des biographies d’électeurs, qu’ils ont ensuite utilisées pour façonner leurs messages et influencer les choix électoraux des gens.
En 2013, M. van der Laar a déclaré à Politik & Kommunikation :
Les progrès techniques réalisés entre 2008 et 2012 ont été immenses et absolument nécessaires, compte tenu de la situation politique difficile. Pour avoir une chance de remporter les élections, la campagne devait devenir plus efficace dès le départ et utiliser les ressources disponibles le plus efficacement possible. D’un point de vue technique, Narwhal a permis à la campagne de 2012 de combiner un grand nombre d’informations et de données différentes qui avaient été collectées en ligne et hors ligne et de tirer des conclusions qui ont eu un impact positif sur de nombreux aspects de la campagne.
Il l’a qualifiée d’« absolument nécessaire compte tenu de la situation politique difficile ». Obama avait besoin de cette technologie pour gagner les élections ! Obama lui-même a admis que sans les réseaux sociaux, il ne serait jamais devenu président.
Cela montre que, même à l’époque, la démocratie était mise à mal. Avec suffisamment de main-d’œuvre et d’argent, on peut obtenir des données sur tous les habitants des États-Unis, et en profiter pour remporter les élections ! La vie n’est plus guère privée. Ces gens savent comment manipuler les politiciens et les électeurs, et ils le font à grande échelle. Le ciblage des électeurs, la collecte de fonds, l’analyse des politiques et bien d’autres aspects de la politique peuvent être réalisés beaucoup plus facilement à l’aide de l’IA.
Ce que nous voyons n’a rien à voir avec la démocratie. Il s’agit d’utiliser la tromperie pour influencer les gens. C’est une guerre pour l’esprit des gens.
« L’État profond » livre la guerre àTrump
Lors de la conférence Fortune Brainstorm AI, qui s’est tenue à Londres en avril, des experts électoraux ont averti que l’IA générative pourrait influencer les Américains par une désinformation ciblée dans un petit nombre de zones dans certains États clés. Tara McGuinness, ancienne conseillère principale du président Obama, a déclaré qu’il n’y a aucun moyen de garantir que l’IA n’influence pas le résultat des élections.
Encore une fois, ils accuseront Trump de chercher à manipuler les électeurs—et la campagne de Trump utilisera certainement ces outils et technologies dans une certaine mesure. Mais il devra se préparer à une campagne de désinformation massive de la part de l’autre camp, qui utilisera cette technologie sans aucune inhibition.
Si l’IA jouera un rôle déterminant dans les prochaines élections, nous ferions mieux de nous intéresser à ceux qui la contrôlent.
Sans surprise, M. Obama a ouvertement aidé la Maison Blanche à se préparer à la guerre de l’IA.
L’année dernière, l’administration Biden a dévoilé un vaste ordre exécutif sur l’IA inspirée par Obama, ce dernier n’essayant même pas de dissimuler le fait qu’il en était à l’origine. Cet homme s’implique dans l’outil même qui, selon les experts, pourrait être utilisé pour influencer les prochaines élections.
Les grandes entreprises technologiques qui investissent massivement dans l’IA ont déjà été accusées de promouvoir les idées de la gauche radicale en dressant des listes noires, en interdisant l’accès à certains sites sur internet, et en censurant tous ceux qui ne sont pas d’accord. Ces entreprises disposent d’un pouvoir énorme et ont prouvé qu’elles sont du côté de la gauche radicale et d’Obama.
« À l’approche de la présidentielle, Biden appelle régulièrement l’ancien président Barack Obama pour faire le point sur la course ou parler de la famille », a écrit Katy Roberts, au New York Times. «Obama, lui, appelle Jeffrey D. Zients, le secrétaire général de la Maison-Blanche, et les principaux collaborateurs de la campagne de M. Biden, pour élaborer des stratégies et donner des conseils. » Obama s’adresse directement à ces gens, et non à Biden.
Le 15 janvier, NBC a publié un article sur la façon dont « l’État profond » se prépare à combattre le président Trump. Ce média s’est efforcé de persuader les membres des forces armées, ainsi que ceux qui servent dans d’autres secteurs de l’administration, de désobéir aux ordres parfaitement légitimes donnés par le président.
Cela révèle vraiment ce qu’est l’État profond ! Il méprise la loi, et est composé de gens qui sont prêts à tout pour s’accrocher au pouvoir. Ils veulent usurper le pouvoir, tout comme le diable ! Rien ne les arrêtera, à moins que Dieu ne le fasse.
C’est la guerre
Le livre du général Flynn contient de nombreuses déclarations fortes décrivant une guerre en cours, dont la plupart des gens ne sont pas conscients. Il écrit :
L’utilisation de programmes psychologiques pilotés par l’IA et créés à l’étranger constitue une menace importante pour la sécurité nationale et la sécurité des citoyens. Dans le cas où cette technologie entraîne des dommages importants, tels que la manipulation d’élections, l’incitation à la violence ou la diffusion de propagande pour inciter à la rébellion ou à des troubles à l’ordre public, elle doit être considérée comme un acte de guerre.
C’est un avertissement fort. La technologie et les données actuellement utilisées pour influencer les électeurs pourraient être utilisées par une puissance étrangère dans le but de diviser et détruire les États-Unis ! Mais cela montre aussi le potentiel destructeur de ces outils lorsqu’ils sont utilisé par des acteurs à l’intérieur du pays. Nous devons prendre conscience du pouvoir de ces personnes. Et le général Flynn a raison de dire qu’à un moment donné, cela doit être considéré comme un acte de guerre !
Il écrit ensuite (c’est moi qui souligne) :
Si la programmation psychologique pilotée par l’Al peut sembler une forme nouvelle et énigmatique d’attaque contre le peuple américain, il est important de reconnaître que nous sommes aujourd’hui en guerre. Par conséquent, il peut être nécessaire de recourir à la force militaire cinétique contre les adversaires qui mènent ces attaques, si nous voulons les empêcher de détruire notre pays. Cependant, il est également important d’empêcher les adversaires étrangers d’accéder à l’espace de combat cognitif de nos citoyens.
L’incapacité à reconnaître cet environnement opérationnel émergent et à faire face aux menaces qu’il représente pourrait entraîner notre disparition. En résumé, il est essentiel de réglementer la programmation psychologique de l’IA créé à l’étranger afin de sauvegarder la sécurité nationale, et nous devons agir rapidement afin de protéger nos concitoyens et d’éviter la mort de notre pays. L’IA est plus rentable que le pétrole, et c’est l’arme nucléaire de notre époque.
L’IA est l’arme nucléaire moderne ! Et nous n’avons vraiment pas les moyens de contrecarrer une telle attaque. Ce n’est pas quelque chose à prendre à la légère.
Cela fait plus de 50 ans que nous parlons d’Ézéchiel 7 : 14, qui prophétise une attaque extérieure contre les États-Unis, à laquelle nos forces armées seront incapables de riposter. C’est en effet pire qu’une attaque nucléaire, bien que la Bible indique qu’elle sera suivie d’une attaque nucléaire également !
Obama détestait le général Flynn et a dit à Donald Trump de n’entretenir aucun lien avec lui. Bien que l’homme n’ait enfreint aucune loi et n’ait rien fait de mal, Obama l’a renvoyé et a bouleversé toute sa vie !
Il devrait être clair que les gens à la Maison Blanche sont dirigés par Obama et qu’ils sont en train de détruire les États-Unis d’Amérique !
Nous devons nous rendre compte que l’Amérique est en pleine guerre en ce moment même ! Ces gens font tout ce qu’ils peuvent pour détruire la nation. Ils croient qu’ils peuvent conserver le pouvoir et prendre le contrôle de ces forces destructrices. Mais ils ne savent pas comment construire. Tout ce qu’ils savent faire, c’est détruire.
La Bible révèle que l’Amérique survivra difficilement à l’attaque de ces gens. En fait, il faudra l’intervention divine de Dieu, prophétisée dans 2 Rois 14 : 26-28. Mon livre L’Amérique sous attaque prouve que dans ces versets, il est question d’un Jéroboam des temps modernes.
Le verset 28 se lit comme suit : « Le reste des actions de Jéroboam, tout ce qu'il a fait, ses exploits à la guerre, et comment il fit rentrer sous la puissance d'Israël Damas… ». Ce rôle prophétique sera rempli par Donald Trump qui se battra pour revenir à la Maison Blanche. Autrefois, Jéroboam dut faire la guerre, et aujourd’hui, Trump devra faire la guerre pour revenir au pouvoir ! Nous assistons déjà à cette guerre.
Dieu révèle qu’Il utilisera Donald Trump pour sauver les États-Unis temporairement de cette attaque qui provient de l’intérieur. Mais Il ne sauvera pas la nation de la menace extérieure à moins que le peuple ne voie leur affliction et ne se repente !