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L’homme qui a détruit l’empire soviétique (Transcription)

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L’homme qui a détruit l’empire soviétique (Transcription)

Dieu a utilisé un homme de foi pour ébranler le monde et détruire l’empire soviétique. Cet homme a souffert dans le goulag et a transformé les cœurs et les esprits grâce à ses écrits puissants. Apprenez comment il a exposé les maux de l’Union soviétique, et découvrez le pouvoir salvateur d’une foi véritable.

Transcription de la Clef de David

Il y a plus de 50 ans, l’empire soviétique était grand, et c’était une dictature brutale, un peu comme ce que l’on voit aujourd’hui. Cependant, quelques années plus tard, il s’est effondré, et je pense qu’un certain homme a contribué à tout cela ; il a probablement contribué à faire tomber l’Union soviétique plus que n’importe qui d’autre sur cette Terre. Il s’appelait Alexandre Soljenitsyne, et j’aimerais vous montrer comment il a accompli cela. Il nous a donné une leçon puissante dont il est question même dans la Bible.

En 1975 il écrivit un livre paru en français sous le titre Le Chêne et le Veau et à la même époque, dans L’Archipel du Goulag, il raconta son expérience de prisonnier dans l’une des prisons les plus horribles de l’Union soviétique de l’époque.

C’était donc un homme de foi, un homme de foi, et je crois que Dieu l’a utilisé pour exposer cet empire maléfique et nous montrer quelque chose que nous devons comprendre sur la nature humaine. Soljenitsyne était un seul homme de foi et il comprenait qu’un seul homme peut ébranler le monde, tout comme Jésus-Christ a dit qu’il pouvait le faire ; tout cela est expliqué dans votre Bible, et je vais vous montrer deux ou trois versets pour l’expliquer.

Bien sûr, M. Herbert W. Armstrong s’adressait au monde à cette époque, à la télévision ; il s’adressait presque au monde entier, et il proclamait que le communisme était un ennemi mortel de l’Amérique et de la Grande-Bretagne, et même de l’État juif. Il fallait donc le contenir, et tout cela est expliqué dans notre brochure Il avait raison.

Alors, M. Soljenitsyne a contribué à mettre l’accent sur l’une des déclarations de Jésus-Christ, mais avant de passer à cette histoire, je citerai Matthieu 9, versets 27 à 29. Matthieu 9, à partir du verset 27. Il est dit : « Étant parti de là, Jésus fut suivi par deux aveugles, qui criaient : Aie pitié de nous, Fils de David ! Lorsqu’il fut arrivé à la maison, les aveugles s’approchèrent de lui, et Jésus leur dit : Croyez-vous que je puisse faire cela ? Oui, Seigneur, lui répondirent-ils. » Oui !

Verset 29 : « Alors il leur toucha leurs yeux, en disant : Qu’il vous soit fait selon votre foi. » Il leur a ouvert les yeux et ils n’étaient plus aveugles. « Qu’il vous soit fait selon votre foi. » Dans cette écriture, Dieu met cette vérité à notre disposition. Le monde entier aurait pu avoir accès à Dieu par la foi, s’il avait bien voulu construire un peu de cette foi et faire confiance à Dieu, car cela peut déboucher sur quelque chose de spectaculaire.

Mais presque personne dans ce monde ne comprend cela, et au verset 29, le Christ, lorsqu’Il était dans le monde, a condamné notre manque de foi. Il le condamne ! C’était un homme qui chassait les démons partout où Il allait (et ils sont toujours présents aujourd’hui). Où sont-ils ? Eh bien, le Christ nous a montré comment nous débarrasser d’eux, et même de Satan, le diable, lui-même, si nous lui faisons confiance par la foi. C’était le plan, si seulement les gens croyaient Dieu.

Soljenitsyne a fait preuve de la foi et a ébranlé l’empire dans lequel il vivait, et même le monde entier ; c’est quelque chose dont nous devrions nous souvenir dans nos vies, parce que c’est vraiment une histoire inspirante qui devrait nous motiver tous. Alors, je vais vous montrer comment un homme a détruit l’empire soviétique.

Jetons un petit coup d’œil à Matthieu 17 verset 14 : « Lorsqu’ils furent arrivés près de la foule, un homme vint se jeter à genoux devant Jésus, et dit : Seigneur, aie pitié de mon fils, qui est lunatique » ; eh bien, ne voyons-nous pas de telles personnes aujourd’hui ? Ouais, nous en voyons beaucoup. « Il tombe souvent dans le feu, et souvent dans l’eau. Je l’ai amené à tes disciples, et ils n’ont pas pu le guérir. Race incrédule et perverse, répondit Jésus, jusques à quand serai-je avec vous ? jusques à quand vous supporterai-je ? Amenez-le-moi ici. »

Au verset 18 maintenant : « Jésus parla sévèrement au démon. » Il s’agissait d’une personne possédée ; « ...qui sortit de lui, et l’enfant fut guéri à l’heure même. Alors les disciples s’approchèrent de Jésus, et lui dirent en particulier : Pourquoi n’avons-nous pu chasser ce démon ? »

Au verset 20, remarquez ce puissant verset. « C’est à cause de votre incrédulité, leur dit Jésus. Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne : Transporte-toi d’ici là, et elle se transporterait ; rien ne vous serait impossible. » Rien ne vous sera impossible !

Alors, il dit, Bon, un homme peut même déplacer une montagne d’un endroit à un autre s’il en a vraiment besoin ! Et Il a dit : Rien ne vous sera impossible. Il s’agit là d’un pouvoir incroyable que nous devons comprendre et que nous devons avoir dans nos vies. Comment les hommes peuvent-ils ignorer une telle promesse ?

Je vais vous citer un autre passage de l’Ecriture, dans Matthieu 11, verset 21. Matthieu 11 verset 21 ; remarquez ce qu’il dit. « Malheur à toi, Chorazin ! Malheur à toi, Bethsaïda ! Car, si les miracles qui ont été faits au milieu de vous avaient été faits dans Tyr et dans Sidon, il y a longtemps qu’elles se seraient repenties, en prenant le sac et la cendre. C’est pourquoi je vous le dis : au jour du jugement, Tyr et Sidon seront traitées moins rigoureusement que vous. Et toi, Capernaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel ? Non. Tu seras abaissée jusqu’au séjour des morts ; car, si les miracles qui ont été faits au milieu de toi avaient été faits dans Sodome, elle subsisterait encore aujourd’hui. » Eh bien, qu’est-ce que cela veut dire ?

Lisons le verset 25 : « En ce temps-là, Jésus prit la parole, et dit : Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents », autrement dit, le type de personnes à Capharnaüm. Ces gens-là n’ont même pas reconnu Jésus-Christ parce qu’ils étaient si vaniteux et ignorants des choses spirituelles. Ils avaient une grande culture à certains égards, mais ce n’était pas la culture de Dieu. Et il dit : « Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants. » Le mot « enfants » signifie que ce sont des gens qui sont enseignables ! Dieu nous enseignera ces choses si nous sommes humbles comme des enfants, si nous pouvons être enseignés.

Permettez-moi de vous citer un extrait du livre Le chêne et le veau, dans lequel Soljenitsyne parle du goulag où il vivait. Il écrit : « Le coup le plus dur a été de découvrir qu’après avoir passé par les camps, j’étais toujours aussi stupide et vulnérable. J’avais été un écrivain clandestin pendant 18 ans, tissant ma toile secrète et m’assurant que chaque fil tiendrait. Une erreur sur une seule personne aurait pu me plonger dans une fosse aux loups avec tout ce que j’avais écrit, mais je n’avais pas fait d’erreur et je n’étais pas tombé. J’avais fait tant d’efforts pour garder tout cela en sécurité, tant de sacrifices pour l’écrire. Mon plan était immensément ambitieux. » Immensément ambitieux ! « Dans dix ans, je devrais être prêt à affronter le monde avec tout ce que j’ai écrit. » Et il allait, eh bien, déplacer une montagne, pensait-il. C’était son plan, et c’est ce qu’il s’efforçait de faire. Il était dans cet horrible goulag depuis tant d’années, et il s’est dit que maintenant qu’il en était sorti, son esprit était rempli du goulag, et qu’il allait donc écrire à ce sujet.

Il écrit : « La force de ma position était que ma réputation n’était pas entachée par des compromis, et je devais la garder ainsi, même si je devais garder le silence pendant encore dix ans ! » Il disait, Je n’ai pas été entaché par le compromis ! Il lui a fallu beaucoup de foi pour affronter toutes ces épreuves en Russie, et pourtant il marchait par la foi et disait : Je ne ferai jamais de compromis. Et regardez ce que cela a fait pour lui ! Cela lui a vraiment profité. Mais il s’est également dit stupéfait de voir à quel point il avait été prêt, peu de temps avant, à se faire des illusions et à suivre la multitude sans rien faire. Il est vraiment question de se redresser ; on n’entend pas beaucoup parler de cela aujourd’hui, mais c’est ce qu’il faisait. Il s’humiliait parce qu’il croyait que Dieu était avec lui et qu’il devait être enseigné par Dieu et guidé dans ce qu’il faisait. Il croyait qu’il l’était ! Et c’était certainement le cas. Vous pouvez le prouver en lisant ses livres.

Puis, quelqu’un lui a demandé : Alors, pourquoi êtes-vous toujours si pressé ? Il a répondu : Parce que j’ai tant de choses à écrire dans le futur. Il avait tout planifié, et c’était un plan assez ambitieux, donc il était toujours pressé, et les gens lui posaient des questions à ce sujet. Il n’avait pas de temps à perdre—et il le savait—s’il voulait faire connaître son projet au monde entier.

Permettez-moi de vous lire un peu plus de ce qu’il a écrit. Dans un autre paragraphe de son livre, il se disait « ...enclin à chercher la main de la justice ou un sens cosmique supérieur dans l’histoire des malheurs de la Russie, j’avais appris au cours de mes années d’emprisonnement à sentir cette main qui me guidait, à entrevoir ce sens lumineux au-delà de moi-même et de mes souhaits. » Il cherchait cette main qui le guidait. Il avait foi en Dieu ! Il croyait que cela lui donnait du pouvoir et que Dieu voulait que cette dictature soit exposée au grand jour. Il essayait donc d’interpréter chaque événement important de sa vie.

Il poursuit en disant : « Beaucoup de vies ont un sens mystique, mais tout le monde ne le lit pas correctement. Le secret d’une vie réussie réside souvent dans le fait qu’un homme parvienne à déchiffrer les symboles mystérieux qui lui sont accordés, à les comprendre et à apprendre ainsi à marcher sur le véritable chemin. » En d’autres termes, il a déchiffré cela, et il a demandé à Dieu de l’aider à le déchiffrer correctement afin qu’il sache quoi faire. Il voulait que cette main qui le guidait soit toujours dans sa vie, et il travaillait dur pour déchiffrer ce que Dieu lui montrait. Voilà un homme de foi à bien des égards. Il se laissait guider par Dieu et, dans de telles circonstances, il cherchait Dieu.

Quand on y pense, c’est incroyable ! Il a dit : Eh bien, écoutez, vous pensez que les gens sympas dans le monde ne pourraient jamais commettre de telles transgressions ou provoquer de tels troubles comme ça, ou être méchants. Par contre, il dit : Ce n’est pas vrai. Ils peuvent bien le faire. Il a également dit : « L’on doit lutter pour faire sortir le mal de soi. » Et il a dit : « J’ai dû lutter pour faire sortir le mal de moi ! »

C’est tout à fait biblique, et c’est nécessaire si l’on veut construire le caractère même de Dieu.

Il a dit que c’était ce qu’il faisait. Il comprenait la nature humaine. Combien de personnes dans ce monde comprennent vraiment la nature humaine ?

Eh bien, au verset 9 de Jérémie 17, il est écrit que « Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant : qui peut le connaître ? » Effectivement, qui peut le connaître ?

Je vais vous lire une autre citation ; je pense que c’est essentiel : « Pour jouir de mon défi fier et ouvert, de mon droit reconnu de penser par moi-même, il aurait été—j’ose le dire—douloureux, peut-être impossible, de revenir à ma vie tranquille antérieure. Je commençais enfin à voir se révéler le sens supérieur et caché de cette souffrance pour laquelle j’avais été incapable de trouver une justification, ce rappel brutal de la raison suprême [c’est-à-dire Dieu] qu’aucun simple mortel ne peut comprendre au premier abord. » Qu’en pensez-vous ? C’est vrai ! On ne peut pas comprendre du premier coup, mais Dieu va nous montrer, c’est ce qu’il a compris et appris.

« C’est pourquoi mes malheurs meurtriers m’avaient été envoyés par Dieu pour me priver de toute possibilité », remarquez bien, « et pour m’enlever toute occasion de faire profil bas et de me taire, afin de me rendre assez désespéré pour parler et agir. Car l’heure était venue ! » Il le savait ! Il devait parler maintenant, le moment était venu ! Que faire ?

Eh bien, il dit un peu plus loin : « Heureux l’homme qui déchiffre plus vite l’écriture des cieux, mais je suis lent. J’ai besoin de temps. Pourtant, moi aussi, je me suis réveillé un matin en homme libre dans un pays libre. » Une grande partie de la raison pour laquelle le pays était libre, c’était déjà dû à lui.

Et vous pouvez voir que dans Ésaïe, Dieu dit, « Venez et plaidons ! » Autrement dit, raisonnons ensemble !

Il s’est donc penché sur ses nombreuses erreurs et a admis qu’il les avait commises, puis il a parlé de quelques proverbes russes comme « Tout le reste passera, mais la vérité demeurera. » Ou encore : « Le chagrin ne vous fera pas traverser l’eau. » Ou encore : « La peur fait mourir un homme, mais rend la vie à un autre. » La peur fait mourir un homme, mais un autre y trouve la vie. Quelle affirmation ! Et « Si les ennuis arrivent, il faut s’en servir aussi. » Et il a dit qu’il était vivant lorsqu’il était effrayé ! Effrayé ! Et c’est ainsi que cela l’a impacté.

Il poursuit en faisant une déclaration qui serait une grande déception pour l’Occident : « Je ne place aucun espoir dans l’Occident. D’ailleurs, aucun Russe ne devrait jamais le faire ! Si nous devenons libres un jour, ce sera uniquement grâce à nos propres efforts. Si le 20e siècle a une leçon à donner à l’humanité, c’est nous qui enseignerons à l’Occident, et non l’Occident à nous. La facilité et la prospérité excessives ont affaibli leur volonté et leur raison ». Il condamnait l’Occident, qui lisait tous ses livres et s’enthousiasmait pour ce qu’il disait. Il a même eu l’occasion de venir en Amérique, de se rendre à Harvard et dans quelques autres endroits, et de leur parler de tout cela, ce qui ne leur a pas beaucoup plu parce qu’il condamnait notre mode de vie, en disant : Regardez, nous sommes pris par le sport, le cinéma et toutes sortes de plaisirs, alors il disait, vous n’avez pas de volonté ni de raison. Vous ne savez même pas comment penser. » Ils ont donc commencé à se retourner contre lui, mais ils n’auraient pas dû le faire. Certes, beaucoup de gens l’ont fait, mais pas tous.

Mais il savait qu’il allait devoir renier toute l’histoire connue de son pays, et qu’il faudrait une grande clameur, comme il est dit dans Ésaïe 58 verset 1 : « Crie à plein gosier, ne te retiens pas, élève ta voix comme une trompette », c’est une prophétie du temps de la fin, « et annonce à mon peuple ses iniquités, à la maison de Jacob ses péchés ! »

Alors, la véritable Église de Dieu a reçu l’ordre de proclamer et de déclarer au peuple d’Israël et au monde entier leurs maux et les transgressions, et qu’ils seront punis par Dieu s’ils ne se réveillent pas et ne se repentent pas ! C’est de cela qu’il parle. Vous pouvez le prouver à partir de la Bible.

Mais permettez-moi de paraphraser une autre partie de ce texte dans Le chêne et le veau, et je vais en lire un petit bout. Il parle de la populace instruite qui constituait l’intelligentsia de l’époque, et il dit que nous sommes tous pris par la télévision, le cinéma, le sport et l’endoctrinement politique. Toute la société est entraînée dans ce genre de vie, et l’on en arrive au point où on ne peut même pas raisonner, l’esprit devient faible, et il n’y a plus de volonté, plus de force dans sa pensée, ni de courage et d’enthousiasme pour ce qui est juste et pour dénoncer ce qui est faux. C’est de cela qu’il parle ici. Il a dit : « C’est une situation sordide. » Oui, c’est certainement le cas, et nous le voyons aujourd’hui encore plus qu’à l’époque où il vivait. Il est décédé en 2008.

Mais remarquez ce qu’il dit : « Essayez de comprendre. C’est le seul moyen. L’expérience des camps me montre que plus on est dur avec les traitres, plus on est en sécurité. On ne devez jamais faire appel à l’acquiescement. Si je me tais, ils attendront quelques mois puis me mangeront tranquillement. Mais si je fais suffisamment de bruit, leur position s’affaiblira. » Il était donc déterminé à crier à haute voix et à dire aux gens ce qui se passait dans son pays, dans son propre peuple, et le monde entier, ou presque, a prêté attention à cet homme qui est devenu très célèbre et puissant. À bien des égards, il a déplacé une montagne, comme l’a dit Jésus-Christ. Voilà le genre de pouvoir qu’avait cet homme.

Il a dit qu’il a reçu son éducation dans ce monde de bagnards russes, dans ce goulag. Il a vu les choses différemment parce qu’il demandait à Dieu de l’aider à comprendre et à exposer tout cela, et à crier à haute voix le moment venu. Il a risqué sa vie, et il aurait pu facilement être mis à mort, mais Dieu l’a protégé et Dieu l’a récompensé, comme Il l’avait dit, si nous voulions faire ces choses. Il n’avait donc pas de temps à perdre.

Encore un commentaire sur Matthieu 17, verset 20 : vous n’arrivez pas à faire ces choses « ...à cause de votre incrédulité, leur dit Jésus. Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne : Transporte-toi d’ici là, et elle se transporterait ; rien ne vous serait impossible. » Rien ne vous sera impossible à vous !