L'Autriche n'est pas immunisée

Jusqu'au lundi soir 2 novembre, l'Autriche avait été épargnée par le genre d'attaques terroristes qui ont frappé la France, l'Espagne, les Pays-Bas, l'Angleterre et l'Allemagne ces dernières années. Un terroriste islamiste de 20 ans et peut-être d'autres agresseurs ont tué quatre personnes et en ont blessé 22 autres. Selon le chancelier autrichien Sebastian Kurz, l'attaque était clairement motivée par « la haine de notre mode de vie, de notre démocratie ».

Le tireur, qui avait un passé de terroriste, avait été libéré de prison en décembre dernier. Il était originaire de Macédoine du Nord et possédait la double nationalité autrichienne et macédonienne. Armé d'un fusil automatique, d'un pistolet et d'une machette, et portant une fausse ceinture d'explosifs, l'agresseur a ouvert le feu sur des personnes qui dînaient dehors dans des cafés et des restaurants.

L'événement s'est déroulé près d'une synagogue dans le centre de Vienne vers 20 heures, quelques heures avant l'imposition d'un couvre-feu de minuit en raison des restrictions liées aux coronavirus. Après avoir tiré plus de 100 coups de feu devant l'enceinte de la synagogue, le tireur a été abattu par la police. On suppose que d'autres suspects sont toujours en fuite.

La réaction des capitales européennes a été rapide. Le président français Emmanuel Macron a déclaré que l'Europe ne « cédera rien » face à de telles attaques, et il a offert au chancelier Kurz tout le soutien et l'aide de la France en cas de besoin. La chancelière allemande Angela Merkel a condamné l'attentat en déclarant que « le terrorisme islamique est notre ennemi commun ». De son côté, le président du Conseil européen, Charles Michel, a condamné « vigoureusement cet horrible attentat » et l'a décrit comme un « acte lâche qui viole la vie et nos valeurs humaines ».

L'attentat de Vienne fait suite à la décapitation de l’enseignant français Samuel Paty à Paris par un adolescent tchétchène et à l'agression mortelle au couteau de trois personnes dans une cathédrale de Nice par un agresseur tunisien. Ces récents attentats s'ajoutent à la longue liste de comportements agressifs perpétrés par les terroristes islamiques au cours des dernières années. Où mène toute cette violence et quelle sera la réaction de l'Europe face à cette provocation croissante ?

La prophétie biblique parle d'un grand affrontement qui va se produire entre deux puissantes forces du temps de la fin : le roi du nord et le roi du sud. Le livre de Daniel décrit cette lutte pour le pouvoir : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s’avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera » (Daniel 11 : 40).

Le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a identifié le « roi du sud » comme étant l'Iran, ainsi que le « heurt » terroriste islamique qui lui est associée. Cette force islamique exercera une pression agressive sur les prochains États-Unis d'Europe ou « roi du nord ». Le roi du nord décimera à son tour le roi du sud et ses forces. Comme l'a récemment déclaré le président français Emmanuel Macron, « Nos ennemis doivent savoir à qui ils ont affaire. »

Pour en savoir plus sur l'émergence des deux rois, les blocs de pouvoir qui leur sont associés et le conflit mondial à venir, veuillez demander votre exemplaire gratuit de la brochure de Gerald Flurry intitulée Le roi du sud.