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L’autorité cachée à Harvard University

WILL HART/FLICKR

L’autorité cachée à Harvard University

Il y a une force destructrice derrière le corps enseignant ultra‑libéral contrôlant l’éducation en Amérique. La civilisation est en jeu!

Herbert W. Armstrong a ouvert trois collèges d’enseignement général. Il a dit: «Le bien-être futur, et même l’existence de la civilisation, dépendent du système éducatif» (La Pure vérité, de décembre 1965). Si l’existence de la civilisation est en jeu, nous devons tous être profondément inquiets au sujet de notre système éducatif.

Harvard University a commencé en tant que collège de ministres. Cependant, aujourd’hui, Harvard ne serait pas reconnu par ses propres fondateurs! Un article de la revue Esquire, de septembre 1981, écrit par Timothy Foote, «Le trouble à Harvard», disait ceci aux étudiants de Harvard, pendant les années 1980: «Beaucoup d’étudiants se retrouvent à Harvard avec un sentiment obsédant de l’échec et de l’inquiétude. ‘Il y a tant de liberté ici, dit Kiyo Morimoto, que les études deviennent hors programme. Et vous ne pouvez pas réussir si vos études sont hors programme... Un ancien étudiant... [a dit] : ‘Vous n’alliez pas en cours parce que personne ne prenait les présences. Et vous pouviez obtenir des extensions illimitées pour rédactions pendant le trimestre.’»

L’article dit: «Morimoto est inquiet à propos des objections de Harvard pour utiliser l’autorité au sommet et à la base: il n’insiste pas pour que les étudiants rendent leurs compositions à l’heure, il n’insiste pas pour des réunions formelles entre étudiants et conseillers, étudiants et professeurs privés, même entre étudiants et corps enseignant. ‘Harvard est profondément ambigu sur l’autorité, dit-il, sur le fait d’être ferme, net et sans équivoque. Aujourd’hui, on voit toute autorité comme négative.’»

Mais il y a une autorité cachée à Harvard qui doit être examinée.

Le Président Larry Summers a été forcé de partir de son travail à Harvard, il y a environ deux ans parce qu’il a fait une déclaration politiquement incorrecte (quoique beaucoup de personnes aient été d’accord avec celle-ci). Il a offensé un groupe ultra-libéral parmi les membres du corps enseignant, et ils l’ont poussé dehors.

La revue Newsweek a écrit un article, le 6 mars 2006, disant qu’il était inquiet de la direction vers laquelle Harvard, les collèges et des universités allaient. Mais la publication a été rapidement oubliée, et rien n’a été fait–comme d’habitude.

Ainsi, le corps enseignant—tout au moins un segment de ce corps—ne veut pas donner au président de Harvard l’autorité pour diriger l’université. Le tout est de savoir qui est responsable. Harvard University, avec 34,9 milliards de dollars, a la plus grande dotation par rapport à n’importe quelle autre université dans le pays. C’est presque autant que ce qu’a la fondation de bienfaisance de Bill Gates. Combien cet argent et cette puissance influencent-ils la nation?

Dans une étude de 2005, 72 pour cent des professeurs de collège ont admis être libéraux. Glenn Beck a récemment dit: «La plupart de nos collèges et universités travaillent seulement pour répandre les vues politiques radicales de certains de leurs professeurs» (cnn, le 14 mai). C’est une véritable condamnation, cependant elle sonne juste à la lumière de la démission de Larry Summers. Il a été forcé de démissionner de son poste alors même que la plupart des étudiants ne voulaient pas le voir partir. C’est cela, l’autorité! Vous n’appelleriez pas cela de la démocratie, n’est-ce pas? Vous pourriez l’appeler de la tyrannie exercée par un petit groupe du corps enseignant. Et où cela nous mène-t-il, dans notre éducation aujourd’hui? La dotation de 34,9 milliards de dollars donne une grande influence à Harvard sur le psychisme national. Cela rend cette question extrêmement importante.

Nicholas Lemann a écrit dans la revue Time ce qui suit, quand L. Summers était sur le point de partir: «Une des vedettes de L. Summers que le corps enseignant engage, le psychologue Steven Pinker, a dit au Harvard Crimson juste avant l’annonce de la démission, qu’il a craint que L. Summers ne devienne ‘comme tous les autres présidents de collège—seulement un tuteur, un collecteur et un diseur de platitudes’» (le 26 février 2006).

C’est un des plus grands éducateurs qui prononce, aujourd’hui, cette condamnation à propos de l’éducation et du gouvernement dans l’éducation. Cela, pour moi, est effrayant! Les présidents ne sont-ils que des tuteurs, des collecteurs et des diseurs de platitudes? Ne disent-ils que ce qu’on leur dit de dire? Ce n’est certainement pas ainsi qu’ils vont diriger!

Si le président avait une autorité réelle, le public et le gouvernement national pourraient le tenir pour responsable. Mais qui peut contrôler un segment indistinct, tyrannique du corps enseignant? Il semble que personne n’a le pouvoir d’arrêter cette force scandaleusement destructrice dans l’éducation!

N’oublions pas que l’existence de la civilisation est en jeu!

Quel est le problème avec tous ces changements dans l’éducation? Pendant 6 000 ans, l’homme a pratiquement détruit chaque parcelle de cette création qu’il était destiné à embellir et à entretenir. Pendant tout ce temps, l’homme a expérimenté ce qui était juste et ce qui était faux, et s’est instruit de lui-même dans cette connaissance. Résultat? «L’humanité a produit… une montagne de maux», a écrit M. Armstrong dans le numéro de août-septembre 1970 de la Pure vérité. «Son fonds de connaissance est un mélange de bon et mauvais—de vrai et de faux; il a produit une civilisation pleine d’existences vides, de mécontentement, de tristesse, de douleur et de souffrance, de crime, d’immoralité, de foyers et de vie de famille brisés, de corruption, d’injustice, de déloyauté, de violence, de pollution, de guerre et de mort. Cependant, l’homme refuse de croire aux résultats de sa propre expérience.

Les fruits de notre expérience éducative sont là, pour que chacun les voie, et l’expérience a échoué! Pourquoi? Parce qu’il y a une dimension manquante dans cette expérience.

Aujourd’hui, il y a plus d’étudiants que jamais auparavant à suivre le collège. Pourtant, tous ces gens instruits ne peuvent pas résoudre les problèmes entre nations; ils n’empêchent pas les troubles économiques, la rupture de la famille, et d’autres conditions malheureuses qui ont cours. C’est un véritable paradoxe!

«Pendant des décennies, nombre d’éminents scientifiques ont insisté sur le fait que la solution pour tous les problèmes de la société pourrait être trouvée si seulement il nous était donné une connaissance suffisante», avons-nous écrit dans notre brochure L’éducation avec la vision (gratuite sur demande). «Il semble que les grands éducateurs et les politiciens contemporains s’accrochent toujours à une logique aussi défectueuse. Il est temps pour les grands esprits d’aujourd’hui de faire face aux faits. Les maux du monde augmentent aussi rapidement que la connaissance. Pourquoi ce paradoxe? Se peut-il que l’augmentation de la connaissance et la montée en flèche des maux soient possiblement liées?»

La connaissance que nous avons aujourd’hui ne guérit pas nos maux ou n’empêche pas de nouveaux. Cela devrait vous dire que quelque chose est mauvais avec notre connaissance et notre éducation! Savez-vous de quoi il s’agit? Les éducateurs de ce monde ont simplement fermé les yeux au grand Créateur Dieu qui nous a donné un Livre nous disant comment vivre—la base de toute connaissance.

L’éducation ne nous apprend pas, aujourd’hui, comment résoudre nos problèmes, et la Bible n’est pas admise en salle de classe. Nous avons permis que cela arrive, et maintenant nous en payons le prix. Maintenant que nous sommes plus instruits que jamais auparavant, nous faisons face aux temps les plus dangereux qui soient! Le jour du Jugement est là: notre principal problème, c’est la survie humaine!

Harvard a commencé en mettant le plus d’accent sur Dieu et sur la Bible. Aujourd’hui, cette institution méprise et rejette totalement la Bible comme Parole inspirée de Dieu. Il y a une leçon stupéfiante et révélatrice dans cette histoire. Ces éducateurs sont-ils assez humbles pour tirer profit de leur propre histoire?

Les fondateurs de Harvard enseignaient également qu’il y a un être spirituel méchant qui se bat pour prendre le contrôle de ce que nous apprenons à notre peuple. Cela aussi est biblique (2 Corinthiens 4:4). Si ces fondateurs étaient ressuscités aujourd’hui, ils reconnaîtraient une autorité mortelle cachée derrière le petit groupe de membres du conseil.

Le corps enseignant des origines de Harvard aurait vu toute la «liberté» d’aujourd’hui comme la sorte d’esclavage la plus horrifiante. Ils auraient vu le dessein précis derrière cet «enseignement supérieur».

Où l’éducation nous mène-t-elle aujourd’hui? Faites la demande de notre brochure gratuite L’Éducation avec la vision pour avoir la réponse.

Des enquêtes ont montré que 95 pour cent de nos étudiants croient en Dieu quand ils entrent en première année de collège. Quand ils obtiennent un diplôme quatre ans plus tard, 95 pour cent d’entre eux sont agnostiques ou athées. C’est, à ce point, le pouvoir de l’éducation—elle peut être bonne ou mauvaise!

Ce sont là des statistiques alarmantes! Comment cela peut-il se faire? Le Nouveau Testament dit: «Ils ont fermé leurs yeux» (Matthieu 13:15). Les collèges et universités permettent l’enseignement de maintes théories extravagantes, mais rejettent l’instruction de la Bible—bien que beaucoup d’entre eux aient commencé en tant qu’institutions religieuses. Ils ont fermé leurs yeux et leurs esprits.

Est-ce, là, l’«éducation supérieure», ou la pire sorte d’ignorance? Comment le fait de fermer les yeux, cela peut-il être de l’éducation? L’éducation n’est-elle pas supposée vous ouvrir les yeux? (Faites la demande de notre brochure La Bible est infaillible. Toute notre littérature est gratuite.)

Comme va Harvard, ainsi va l’éducation américaine—et la nation elle-même! 

LA TROMPETTE EN BREF

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