L’Allemagne prolonge ses mesures dictatoriales de la COVID

Mercredi le 25 août, le Bundestag allemand a décidé que le coronavirus est toujours une « situation épidémique d’importance nationale », et donc les mesures de crise de la COVID ont été prolongées de trois mois. La classification de « situation épidémique d’importance nationale » permet au gouvernement fédéral d’émettre des ordonnances sur les tests, les vaccinations, les règles d’entrée, etc., sans le consentement du Bundesrat, l’organe législatif allemand. Les États individus peuvent exiger des mandats de masquage et des restrictions de contact.

Seuls les partis actuellement au pouvoir, l'Union chrétienne-démocrate et les sociaux-démocrates, ont voté pour la prolongation des mesures. Ils ont justifié leur décision en invoquant la « menace grave pour la santé publique dans toute la République fédérale d'Allemagne ». Les Verts, le parti de gauche, Alternative für Deutschland et les Démocrates libres ont voté contre, affirmant que les preuves montrent que la surcharge du système de soins de santé n'a jamais été une menace. Les fermetures et autres mesures, cependant, dépendront désormais des capacités des hôpitaux dans les régions spécifiques.

Mais si les mesures de confinement peuvent devenir moins intenses pour la population générale, la pression sur les personnes non vaccinées augmente d'autant plus. Le ministre de la santé, Jens Spahn, a averti que l'Allemagne « connaît une pandémie de personnes non vaccinées ».

Le Tagesspiegel a écrit : « Tous les efforts sont axés sur une nouvelle augmentation des taux de vaccination ; ce n'est qu'à un taux de 85 pour cent que la pandémie est considérée comme définitivement contrôlable selon l'Institut Robert Koch » (traduction de la Trompette).

Les mesures d'urgence prolongées sont principalement destinées à obliger davantage de personnes à se faire vacciner. Hambourg a récemment annoncé que les cinémas, les pubs et les théâtres pourront être pleins, et les heures de couvre-feu supprimées, si les organisateurs et les propriétaires ne laissent entrer que les personnes vaccinées et récupérées. Les organisateurs pourront également laisser entrer les personnes non vaccinées si elles peuvent présenter un test COVID négatif. Mais comme l'a noté le Tagesspiegel, « les conditions telles que le nombre limité de personnes et la distanciation sociale s'appliquent » aux personnes non vaccinées.

Le message adressé aux entreprises est clair : vos bénéfices dépendent de votre capacité à faire respecter les mandats indirects de vaccination.

Cent millions de doses de vaccin ont déjà été administrées et 60 pourcent de la population est entièrement vaccinée, selon les chiffres officiels. Sur les 4 millions de personnes qui avaient la COVID, moins de 100,000 sont décédées au cours de la soi-disant pandémie.

Au début de la crise de la COVID-19, le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a noté que la réponse de l'Europe à la pandémie devait être surveillée de près. « L'un des effets les plus importants de la panique mondiale à propos de la COVID-19 a été presque ignoré », a-t-il écrit. « La réponse de l’Europe à la pandémie accélère l’accomplissement de l’une des prophéties les plus cruciales de votre Bible concernant le temps de la fin ! »

Il a spécifiquement averti que « Les dirigeants européens se comportent de plus en plus comme des dictateurs et assument un pouvoir dictatorial. Les citoyens européens sont conditionnés pour accepter une direction plus tyrannique… »

La décision de l'Allemagne d'étendre ses pouvoirs d'urgence est l'une des nombreuses indications que les dirigeants européens ne veulent pas renoncer à leurs pouvoirs. Même si les cas de la COVID diminuent, les gouvernements veulent maintenir leurs citoyens dans une attitude soumise. M. Flurry a mis en garde contre cette tendance, car la Bible révèle que nous pouvons nous attendre à des règles encore plus autoritaires de la part des dirigeants européens. Voici comment M. Flurry a expliqué ces prophéties :

La Bible révèle que l’UE est sur le point d’être réduite à un super-État de 10 nations. Cette prophétie se réalisera très bientôt—dans, probablement, pas plus de deux à quatre ans, et peut-être même dès cette année, d’après les preuves bibliques que je vois. L’apôtre Jean a vu cette résurrection finale du Saint-Empire romain en vision, dépeint comme une bête à sept têtes et 10 cornes. Dieu lui a révélé le symbolisme. Les sept têtes sont sept résurrections successives de cet empire semblable à une bête. Apocalypse 17 : 1-2 montre cet empire dans une alliance avec une église, symbolisée par une femme. Il s’agit d’une prophétie exacte du Saint-Empire romain—une alliance Église-État. Comme nous l’expliquons dans notre brochure gratuite, Qui est, ou qu'est-ce que, la bête prophétique ?, six de ces résurrections ont eu lieu au cours de l’histoire, et la septième s’effectue, maintenant !

Je vous encourage à lire son article « Le coronavirus et le Saint-Empire romain » pour apprendre plus sur les prophéties qui sont sur le point d’impacter les vies de nous tous. Demandez aussi un exemplaire gratuit de Qui est, ou qu'est-ce que, la bête prophétique ? par Herbert W. Armstrong pour acquérir une compréhension prophétique compréhensive des écritures citées ci-dessus.