
Klaus Schwab démissionne de la présidence du Forum économique mondial
Klaus Schwab, fondateur et président du Forum économique mondial (WEF), a annoncé le 21 mai qu’il démissionnerait de son poste de président exécutif l’année prochaine. Il conservera un rôle non exécutif.
Schwab a créé le WEF en 1971. Aujourd’hui, ses réunions annuelles sont les rencontres les plus connues des élites mondiales (souvent appelées « mondialistes »).
Quel est l’objectif du WEF ? Son propre site web indique que son objectif est de « façonner les agendas mondiaux, régionaux et sectoriels ».
Liens avec le socialisme : Dans les années 1930, le père de Schwab était directeur d’une entreprise qui utilisait des travailleurs esclaves pour construire des technologies de bombes atomiques pour l’Allemagne nazie. Schwab était trop jeune pour être complice de ces crimes, mais l’agenda du « socialisme d’entreprise » de l’Allemagne nazie ressemble fortement à l’agenda du soi-disant « capitalisme des parties prenantes » de Schwab et du WEF.
Cet agenda pousse les dirigeants mondiaux à remplacer la liberté individuelle (y compris les marchés libres) par des augmentations massives de l’impôt sur la fortune, de la réglementation gouvernementale et des dépenses d’infrastructure. La crise de la COVID-19 a rendu ces mesures possibles, dans le cadre de ce que Schwab et d’autres ont appelé « la grande remise à zéro ». Depuis lors, les mondialistes ont poussé plus ouvertement à la mise en place d’un système ouvertement socialiste.
Les remplaçants potentiels présumés de M. Schwab sont Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, Marc Benioff, PDG de Salesforce, Peter Maurer, ancien président du Comité international de la Croix-Rouge, et Tony Blair, ancien Premier ministre du Royaume-Uni. La raison et l’importance du retrait de Schwab ne sont pas claires, mais le Forum économique mondial pourrait bien réussir là où le régime d’Adolf Hitler a échoué.
En savoir plus : Lisez « Forum économique mondial : le fascisme renaît ».