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Hitler et le Saint Empire romain (deuxième partie)
La suite provenant de Hitler et le Saint Empire romain (première partie)
Que s’est il passé à Vienne?
Adolf Hitler déclara que les fondements de sa philosophie furent posés à Vienne. Pourquoi Vienne? Que s’est il passé là-bas?
«Il affirma… que ses toutes premières années à Vienne furent absolument cruciales pour sa carrière parce que ‘en ce temps là, je me formais une image du monde et une vision de la vie qui devinrent les fondements de mes actions … je n’ai rien eu a change.’ …
«Albert Speer, qui connaissait le mieux Hitler, durant la Seconde guerre mondiale, était convaincu que le développement intellectuel du Führer s’arreta au monde, tel qu’il l’avait connu, a vienne, en 1910» (Waite, op. cit., p. 14).
Plus tard, Hitler écrivit sur cette période cruciale à Vienne dans son livre, Mein Kampf: «Ce fut l’époque pendant laquelle le plus grand changement que je n’avais eprouve s’effectua en moi. De cosmopolite tiède que j’étais, je me suis transformé en antisémite fanatique».
Waite continue dans son livre: «Il est difficile d’exagérer l’importance pour Hitler de son engagement pour l’antisémitisme. Cela signifiait presque tout pour lui» (pp. 216-217).
Cependant, le plus grand changement chez Hitler ne fut pas de devenir un antisémite fanatique. Ce n’est là qu’une partie de l’histoire. Et c’est là où beaucoup de gens ont été trompés.
Beaucoup de monde regardent les Juifs comme le peuple choisi de Dieu. A Vienne, Hitler en vint à croire que Dieu avait remplacé les Juifs par les Allemands et le Saint Empire romain. Il croyait que les Allemands étaient le peuple élu de Dieu. C’est la raison pour laquelle les joyaux de la couronne de cet empire représentaient tant pour lui.
En 1938, lors d’un meeting à Nuremberg, «Hitler avait rapporté, de Vienne, après cent quarante ans, les insignes du premier reich—la couronne impériale, le globe de l’empire, le sceptre et l’épée impériale. A la présentation de ces symboles de l’impérialisme, il jura, solennellement, qu’ils resteraient a nuremberg pour toujours» (Toland, op. cit., p. 644).
C’était une déclaration forte. Il «jura solennellement» que les joyaux de la couronne du Saint Empire romain «resteraient pour toujours à Nuremberg.» Cela ressemble à un engagement de résister jusqu’à la mort pour le Saint Empire romain et pour son dieu! Il fit un engagement à vie!
Les joyaux de la couronne devaient etre une partie-cle du troisieme reich, comme ils le furent pour le premier reich!
Quand et où Hitler devint-il si farouchement loyal aux joyaux de la couronne? La logique nous dit que cela s’est passé à Vienne alors qu’il devenait adulte.
Une bonne partie de cette information est restée clandestine. Le dieu de ce monde veut que cette vérité demeure cachée jusqu’à ce qu’il dirige, une fois encore, ce grand pouvoir de la bête (Apocalypse 13, 17).
Hitler fit ses discours les plus «inspirés» lors de ses meetings délirants, à Nuremberg, à la lumière des flambeaux. C’est là que se trouvaient les joyaux de la couronne. Et là où se trouvent les joyaux de la couronne, Satan—le roi—est proche.
Encore une fois, qui est le véritable roi du Saint Empire romain? «Un autre signe parut encore dans le ciel; et voici, c’était un grand dragon rouge feu, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes. Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer son enfant, lorsqu’elle aurait enfanté» (Apocalypse 12:3-4). Satan est le dirigeant des sept têtes—il a porté les six couronnes du Saint Empire romain. Et il est sur le point de porter la septième. Il est le véritable roi de la bête (voir Apocalypse 13:4).
Il a le genre de pouvoir qui amena un tiers des anges à se rebeller (Apocalypse 12:4). Combien il peut agir alors beaucoup plus facilement sur de faibles hommes!
Quand nous réveillerons-nous?
Comprenez cette vérité significative! La leçon fondamentale de Hitler, à Vienne, concernait le Saint Empire romain! Si nous ne pouvons apprendre cette leçon en écoutant le message de Dieu, alors nous devrons l’apprendre en devenant victimes!
Dans son livre The Young Hitler I Knew, August Kubizek dépeint un Hitler adolescent parlant de solutions personnelles pour résoudre l’homosexualité et autres «problèmes sociaux» quand il aura établi son empire. Selon Kubizek, le jeune Hitler était «absolument persuadé qu’un jour il donnerait, personnellement, des ordres par lesquels les centaines et les milliers de projets et de programmes, qu’il savait sur le bout des doigts, seraient exécutés» (pp. 207, 212-213).
Hitler parlait de gouverner le monde, en donnant même des détails sur la manière dont il le ferait! Comment un jeune homme, un adolescent, pourrait-il avoir de telles pensées? Parce qu’il savait que cela avait été fait plusieurs fois, auparavant, par le Saint Empire romain.
Hitler était convaincu que lui seul comprenait le véritable sens de l’histoire du monde. Waite cite deux discours de Hitler dans lesquels il faisait ressortir sa propre importance. Le premier discours fut donné aux généraux commandant de la Wehrmacht, le 23 novembre 1939. Hitler déclara: «Je dois dire en toute modestie que ma propre personne est indispensable. Ni une personnalité militaire ni une personnalité civile ne pourrait me remplacer … Je suis convaincu de la puissance de mon cerveau et de ma détermination… le destin du reich depend entierement de moi.»
Dans un autre discours, donné le 15 février 1942, Hitler déclara: «J’ai créé une puissance mondiale émanant du Reich allemand. Je suis très fier d’avoir été béni par la Providence, avec la permission de mener cette bataille.»
Hitler entendait des voix
Hitler considérait le Juif comme étant le mal personnifié. En vérité, les Juifs ont reçu la mission spéciale de préserver les oracles de Dieu (Rois 3:1-3). Les oracles incluent le calendrier sacré, la connaissance de la semaine biblique, y compris le sabbat du septième jour, et les Écritures de l’Ancien Testament.
Les Juifs souffrirent aux mains de Hitler plus qu’aucune autre race. Historiquement, les principales victimes du Saint Empire romain ont été les Juifs spirituels—ou Eglise de Dieu (Apocalypse 6:9; 17:5-6).
Donc, la haine de Hitler envers les Juifs était plus profonde que le monde ne l’a jamais imaginé. La violence essentielle de ce sentiment est la haine de Satan contre Dieu!
«Un dédlic se fit à l’hôpital Pasewalk. Ce fut là, au tournant de l’année 1918-1919, que Hitler résolut son problème d’identité et arrêta ce qu’il appela ‘la décision la plus importante de ma vie.’ A ce moment-là il sut, enfin, qui il était et ce qu’il devait faire. Il était le leader envoyé par la destinée. Il devait repondre aux ‘voix’, qu’il disait avoir entendues—comme Jeanne d’Arc—l’appelant distinctement alors qu’il etait allonge dans son lit d’hopital. Les voix lui disaient de sauver la mère patrie, des Juifs qui l’avaient violée» (Waite, op. cit., p. 236).
A la page 29 de son ouvrage, Waite écrivit: «Il dit à un assistant que durant l’automne précédent, alors que, blessé, il était dans un hôpital militaire, il avait eu une vision surnaturelle qui lui ordonnait de sauver l’Allemagne.»
Hitler entendait des voix. Il eut une «vision surnaturelle qui lui ordonnait de sauver l’Allemagne.» Ordonnait? Bien sûr, en fait, il causa la destruction de l’Allemagne, mais uniquement parce que Dieu intervint.
Il obéissait à l’ordre de son faux dieu! Il écouta et tint compte de la voix surnaturelle de Satan! Hitler savait que cette voix n’émanait pas des hommes. Mais la plupart des gens ne le savent pas! La majorité refuse toujours de comprendre. Quand nous réveillerons-nous et comprendrons-nous le dieu de ce monde? Combien de souffrance faudra-t-il endurer?
Les yeux de Hitler
Pourquoi Hitler avait-il des yeux si brillants avec un «curieux effet hypnotique»? «La caractéristique la plus grande impressionnante de son visage, grossier par ailleurs et plutôt banal, était ses yeux. Ils étaient d’un bleu clair extraordinaire, avec un soupçon de vert et de gris. Presque toutes les personnes qui le rencontrèrent, mentionnèrent ses yeux etrangement irresistibles. Ceci inclus Robert Coulondre, l’Ambassadeur français et le dramaturge allemand Gerhart Hauptmann qui, quand il fut présenté la première fois à Hitler, regarda fixement ses fameux yeux et déclara plus tard à des amis: «‘ce fut le plus grand moment de ma vie!’ Martha Dodd, fille de l’Ambassadeur américain, ne fut pas déçue de ces fameux yeux, les trouvant ‘surprenants et inoubliables …’
«Il connaissait le pouvoir de ses yeux légèrement globuleux et brillants, dont les paupières sans cils ajoutaient, curieusement, à leur effet hypnotique» (ibid. p. 5).
Un ami d’enfance de Hitler déclara que «ses yeux étaient si frappants qu’on ne remarquait rien d’autre. Jamais dans ma vie je n’ai vu une autre personne dont l’apparence, comment pourrais-je dire? … etait aussi completement dominee par les yeux … Il était troublant de voir ces yeux changer d’expression, particulièrement quand Adolf parlait… En fait, Adolf parlait avec ses yeux et même quand ses lèvres ne bougeaient pas, on savait ce qu’il voulait dire. Quand il vint chez nous, la première fois, et que je le présentai à ma mère, elle me dit, dans la soirée: ‘quels yeux a ton ami!’ Et je me souviens très distinctement qu’il y avait plus de crainte que d’admiration dans ses paroles. En me demandant où quelqu’un pouvait percevoir, dans sa jeunesse, les qualités exceptionnelles de cet homme, je ne puis que répondre: ‘Dans ses yeux’» (Kubizek, op. cit., pp. 17-18).
Waite continue dans son livre: «Les femmes, en particulier, continuaient à être impressionnees et effrayees par ses yeux. La sœur de Nietzsche fut, typiquement, fascinee et troublee par eux: ‘Ils… me pénétraient de part en part.’ La capacité de pénétration demeura jusqu’à la fin. Un jeune adjudant qui vit Hitler, son führer, juste avant qu’il ne se suicide en 1945, fut profondément choqué par l’apparence d’un ‘vieillard malade et presque sénile.’ Mais les yeux produisaient encore de l’effet: ‘Seulement, dans ses yeux, il y avait une intensite intermittente indescriptible … et le regard qu’il me jeta était étrangement pénétrant’ « (ibid., p. 6).
H.S. Chamberlain, après sa rencontre avec Hitler, lui dit plus tard: «c’est comme si vos yeux etaient pourvus de mains pour empoigner un homme et le maintenir fermement» (ibid., p. 131).
A la page 182, Waite écrivit, «Les yeux de Hitler étaient particulièrement importants pour lui, et d’autres commencèrent à les remarquer tôt dans son adolescence. Son professeur à l’école secondaire, le Docteur Gissinger, décrivait les yeux de Adolf comme ‘brillants.’»
Il n’est pas naturel d’avoir des yeux brillants qui peuvent jeter un tel envoûtement. Toute personne qui connaît la Bible sait qu’il était possédé par Satan—ou un démon.
Dans Ezéchiel 28:11-14, Dieu fait référence à un méchant roi et à Satan de manière interchangeable. C’est parce que ce roi en question était soit possédé ou soit complètement contrôlé par Satan—le roi de ce monde. Satan a séduit le monde entier par son pouvoir (Apocalypse 12:9).
A partir de ces citations, nous savons que les yeux de Hitler étaient «étrangement irrésistibles», «brillants», «surprenants et inoubliables», qu’ils suscitaient la peur, «effrayaient» et troublaient les gens. Ses yeux pouvaient «empoigner un homme et le maintenir fermement.» Ils avaient un «curieux effet hypnotique.»
Ses yeux n’étaient pas normaux. Pourquoi? Le premier signe physique indiquant la possession du démon se voit au travers des yeux. Comment une expérience aussi horrible n’affecterait-elle pas profondément les yeux?
L’amour peut se voir dans les yeux, toute comme la haine. La Bible décrit les femmes iniques d’Israël comme ayant «des regards effrontés» (Esaie 3:16). Le terme hébreu veut dire qu’elles «séduisaient avec leurs yeux.» Et aussi que «l’aspect de leur visage témoigne contre [elles]» (verset 9). Rien, dans le corps humain, n’est aussi révélateur que les yeux.
Les gens dans ce monde voient tellement de choses à propos de Satan, et en savent si peu à son sujet! Il peut les regarder fixement et ils n’ont pas la moindre indice qu’il puisse être là.
Un sujet consentant
«Hitler n’aimait pas qu’on lui dise que les voies de Dieu ne lui étaient pas toujours révélées. A une occasion, un assistant fit la remarque que ‘Dieu ne laisse pas voir aux gens les cartes qu’Il détient.’ Hitler se mit, immédiatement, dans un tel paroxysme de fureur qu’il craignit lui-même une crise cardiaque. Il donna l’ordre que l’assistant ne répète jamais plus cette phrase offensante.
«Le sentiment qu’il etait specialement guide d’en haut, devint plus intense avec les annees. Le 16 septembre 1935, il déclara: ‘Ce qui a été refusé à des millions d’hommes, nous a été donné par la Providence et notre travail sera encore commémoré par les derniers membres de la postérité.’ Dans un autre discours tenu dans sa ville natale de Linz, le 12 mars 1938, il dit: ‘Quand, autrefois, j’ai quitté cette ville, j’ai porté avec moi la même confession de foi qui me remplit aujourd’hui… Si la Providence m’appela une fois hors de cette ville… alors la Providence, de ce fait, doit m’avoir donné une mission.’…
«Ses convictions furent renforcées après qu’il eût échappé miraculeusement à des tentatives d’assassinat. Après l’échec de l’attentat à la bombe du 20 juillet 1944, il déclara à un assistant de la marine: ‘Eh bien, le Tout-Puissant a arrêté leurs mains [des assassins] une fois encore» (Waite, op. cit., p. 30).
Au tout début du mois d’octobre 1923, «pendant qu’il roulait avec sa nouvelle voiture à travers les collines bavaroises avec Rosenberg et les Hanfstaengl, le brouillard, de façon inattendue, recouvrit l’autoroute, et la Mercedes rouge décapotable fit une embardée dans un fossé. Personne ne parlait sur la route du retour vers Munich, il se tourna alors vers Hélène. «J’ai remarqué que vous n’avez pas du tout été effrayée par notre mésaventure. Je savais que nous n’aurions pas été blessés. Ce ne sera pas le seul accident duquel je sortirai indemne. Je passerai au travers et réussirai dans mes projets» (Toland, op. cit., p. 200).
Dans un discours à Munich, le 14 mars 1936, Hitler déclara: «je poursuis le chemin que la providence trace devant moi, avec toute l’assurance d’un somnanbule» (Waite, op. cit.)
C’est une déclaration très troublante—si vous comprenez Satan et ses pouvoirs. Hitler n’avait pas le véritable contrôle de son esprit! Il dépendait totalement de son dieu pour le diriger!
C’est très commun dans l’histoire. Satan dirige le monde par le biais de personnes. Comme Hitler s’abandonnait totalement à Satan, il recevait un plus grand pouvoir.
«Son efficacité de démagogue est attestée par, à peu près, toutes les personnes qui l’entendirent. Les rapports de la police de Munich, pour novembre 1919, décrivent ses performances d’orateur du Parti comme ‘autoritaires’ et notent à de nombreuses reprises qu’il était reçu avec ‘de tumultueux applaudissements.’ Ernst Hanfstaengl, un diplômé raffiné de Harvard, trouvait Hitler ‘absolument irrésistible… un maître en plaidoirie.’ Konrad Heiden, alors étudiant universitaire et opposant politique de Hitler, et qui l’avait entendu des douzaines de fois, [déclara]…: ‘Soudainement cet homme, qui se tenait là, maladroitement… commence à parler, remplissant la salle de sa voix, en mettant fin aux interruptions ou aux contradictions par ses manieres dominatrices, provoquant un frisson parmi ceux qui etaient presents, a cause de la ferocite de sa declaration, abordant chaque sujet de conversation à la lumière de l’histoire… l’auditeur est rempli d’un effroi mêlé de respect et a la sensation qu’un nouveau phenomene est entre dans la salle. Ce demon fulminant n’etait pas la auparavant; ce n’est pas le même homme timide aux épaules contractées. Il est capable d’opérer cette transformation lors d’une interview personnelle et face à un auditoire d’un demi million de personnes.»
«D’autres opposants observèrent le même phénomène: un petit homme mou se change en une force irresistible, le flot du discours le raidissant comme le jet d’eau raidit le tuyau d’arrosage». (ibid., pp. 240-241).
M. Waite dit que, quand il était jeune, Hitler mangeait un kilo de chocolat par jour. Il suivait aussi en général un régime végétarien. Hitler fut physiquement faible tout au long de sa vie. Mais durant ses discours, il parlait avec une puissance impressionnante.
Après un discours au Reichstag, un observateur anglais, le Commandant Francis Yeats-Brown, déclara ceci à propos de Hitler: «Durant les passages de rhétorique, sa voix allait jusqu’au délire; c’était un homme transformé et possédé. nous etions en presence d’un miracle» (Toland, op. cit., p. 598). Ce fut un miracle surnaturel!
Hitler était un homme «possédé.» Ces événements ne peuvent être interprétés que par Dieu. Les écrivains attribuent généralement ce pouvoir à l’homme, Hitler. Mais ils ont mortellement tort. C’était un pouvoir au-delà du domaine humain.
Les observateurs virent ses «manières dominatrices», et notèrent qu’un «nouveau phénomène était entré dans la salle.» «Ce démon fulminant n’était pas là auparavant»! Il était «possédé» et c’était un «miracle.» Un «petit homme mou changé en une force irrésistible»!
Les hommes virent l’effet mais ne comprirent pas la cause. Mais ils auraient dû. Tout ce qu’ils avaient à faire, c’était de croire Dieu et Sa parole!
Très bientôt, un autre homme apparaîtra sur la scène avec un pouvoir encore plus grand que celui de Hitler. Il sera possédé par un Satan rempli de colère, un diable qui sait qu’il a peu de temps avant le retour du Christ (Apocalypse 12:12). Ce que Hitler fit, paraîtra doux comparé à ce que fera cet homme.
«A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s’élèvera un roi impudent et artificieux» (Daniel 8:23). Il sera «impudent et artificieux,» avec des yeux irrésistibles, qui empoignent, effraient et hypnotisent!
«Sa puissance s’accroîtra, mais non par sa propre force; il fera d’incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints» (verset 24). Il a un pouvoir effrayant, mais «non par sa propre force.» C’est la force de Satan! Et Satan est rempli de la pire colère qu’il ait jamais eue!
Il s’apprête à faire «des ravages incroyables,» ou terribles. Le peuple saint de Dieu—les Juifs spirituels—sont sa cible principale.
Mais quelle glorieuse fin a cette nuit noire! «A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l’arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d’hommes qui vivaient paisiblement, et il s’élèvera contre le chef des chefs; mais il sera brisé, sans l’effort d’aucune main» (verset 25). Il apparaît désirer la paix. Mais c’est seulement une ruse pour détruire soudainement ses amants. Jésus-Christ va détruire cet empire méchant pour toujours!
Il est temps pour les hommes de sortir de leur sommeil et de tenir pour certain ce qui va arriver! Nous y sommes presque. ▪
La suite sur Hitler et le Saint Empire romain (troisième partie)