Enquête : derrière le blocus du lycée Joliot-Curie à Nanterre, l’offensive de l’entrisme islamiste
Mercredi 12 octobre. Au lendemain des échauffourées, un calme apparent règne aux abords du lycée Joliot-Curie à Nanterre (Hauts-de-Seine). Sur les trottoirs, entre la mairie et ce lycée polyvalent, les élèves errent, se regroupent et discutent, entourés de médiateurs municipaux et de quelques policiers. Vers midi, quelques élèves sortent de cours. Au sein de leur groupe, deux jeunes filles arborent le hijab dans l’enceinte de l’établissement. Alors que la loi de 2004 interdit le port de signe religieux au sein des écoles, leur cas est loin d’être isolé au lycée Joliot-Curie. L’islam radical y gagne du terrain : le port du voile semble très répandu dans cet établissement, où nous nous sommes rendus à l'heure de la sortie des cours ce 12 octobre.
« Un blocus dégénère entre élèves et policiers », « 14 interpellations et 2 policiers blessés au lycée Joliot-Curie », « la mobilisation s’achève en garde à vue »… Depuis le blocus au lycée Joliot-Curie à Nanterre, tenu par plusieurs centaines d’élèves ce 11 octobre, et les affrontements avec les forces de l’ordre qui s’ensuivent, une grande partie de la presse se concentre sur la mutation d’office d’un professeur de mathématiques. Dans les médias, Kai Terada, enseignant syndiqué suspendu la veille de la rentrée puis muté par l’académie de Versailles, est souvent – si ce n’est toujours – présenté comme le prétexte de la mobilisation. Pourtant, dans l’un de leurs communiqués, le collectif des élèves justifie son action par trois revendications : la fin de l’aide aux devoirs, la pression de la direction sur les tenues de certains élèves considérées comme religieuses (type abayas) et le soutien à Monsieur Terada. Après notre visite aux abords du lycée, il apparaît que le deuxième motif est loin d’être anecdotique.
Ce 12 octobre, de nombreux élèves traînent devant les grilles - surveillées par des médiateurs, vigiles et policiers - de l’établissement. Parmi eux, on ne compte plus les jeunes filles voilées. À l’heure du déjeuner, alors que le groupe de lycéens se dirige vers le commissariat de Nanterre, à quelques centaines de mètres de là, pour saluer la libération de neuf des quatorze jeunes placés en garde à vue la veille, des adolescentes arborant un hijab se joignent au groupe. « C’est de pire en pire, nous confie une source policière locale. Il y a toujours eu dans cet établissement quelques tenues islamiques, mais depuis le mois de septembre, il y en a de plus en plus. » Christophe Versini, délégué départemental du Rassemblement national dans les Hauts-de-Seine, partage le même constat. « On voit des jeunes femmes voilées et des lycéens [garçons, NDLR] qui portent des abayas », déplore l’homme politique qui, en 2020, a tenté, sans succès, de constituer une liste RN pour les élections municipales de Nanterre. Interrogée à ce sujet, la direction du lycée Joliot-Curie se refuse à tout commentaire. De son côté, l’académie de Versailles note qu’il a pu y avoir, « par le passé, quelques points d’attention remontés par les équipes pédagogiques, mais sans gravité ».
Le conflit fondamental entre l’Europe et le monde islamique est de nouveau mise en évidence. À mesure que l’islam radical se propage en France, un plus grand nombre de français favoriseront une réponse plus forte pour protéger leurs valeurs. Comment la république, et toute l’Europe, vont-elles réagir face à l’Islam ? La prophétie biblique en fournit la réponse.
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