Des incendies et des inondations sont prévus à l'avenir en Amérique

Alors que les images satellites révèlent l'ampleur des inondations catastrophiques causées par l'ouragan Ida à New York et au New Jersey, il est facile d'oublier qu'une autre saison explosive de feux de forêt est en cours en Californie. Depuis que l'ouragan Ida a atteint la Louisiane le 29 août, les nouvelles ont été remplies d'images de rues inondées par des pluies torrentielles et de maisons détruites par des vents de 240 km/h. Cette tempête laissa plus d'un million de personnes sans électricité en Louisiane avant de se déplacer vers l'intérieur des terres et de provoquer d'autres inondations et tempêtes dans l'Est des États-Unis. Et tout cela s'est produit alors que le deuxième plus grand feu de forêt jamais enregistré en Californie ait incinéré près de 365,000 hectares.

L'ouragan Ida a déjà tué 46 personnes, et la société de modélisation des risques de catastrophe Karen Clark & Co. estime que les pertes financières dues à cet ouragan s'élèveront à 18 milliards de dollars. Pendant ce temps, la Californie a dépensé 217,6 millions de dollars pour tenter d'éteindre l'énorme incendie de Dixie. Au total, les conditions météorologiques extrêmes ont coûté 99 milliards de dollars aux contribuables en 2020. Les experts du changement climatique prévoient que le coût des catastrophes naturelles va s'aggraver au fur et à mesure que l'humanité continuera de produire des gaz à effet de serre en brûlant des combustibles fossiles.

Mais la combustion du pétrole provoque-t-elle vraiment des catastrophes telles que l'ouragan Ida et l'incendie de Dixie ? Presque tous les médias grand public répondent ‘Oui’, mais lorsque vous examinez les données réelles, l'ouragan Ida n'est que le cinquième ouragan le plus puissant à avoir touché le continent américain, si l'on se base sur la vitesse du vent au moment où il a touché terre. Les quatre ouragans les plus forts étaient l'ouragan du Labor Day de 1935, l'ouragan Camille en 1969, l'ouragan Andrew en 1992 et l'ouragan Michael en 2018. Parmi ces quatre ouragans, l'ouragan de Labor Day et l'ouragan Andrew ont eu lieu à des moments où la Terre se réchauffait, mais l'ouragan Michael a eu lieu pendant une pause du réchauffement climatique et l'ouragan Camille a eu lieu lorsque le globe se refroidissait. De nombreux scientifiques mettaient en garde contre une nouvelle ère glaciaire lorsque Camille a touché terre dans le Mississippi.

Il n'y a donc aucune corrélation entre l'augmentation du dioxyde de carbone atmosphérique et les ouragans désastreux, tout comme il n'y a aucune corrélation entre l'augmentation du dioxyde de carbone atmosphérique et les incendies de forêt désastreux.

Le National Interagency Fire Center [Centre national inter-agences d'incendie] des États-Unis a récemment supprimé toutes ses données sur le nombre d'acres consumés par des feux de forêt avant 1983, parce que ces données montraient que les feux de forêt hors de contrôle étaient pires il y a 100 ans qu'ils ne le sont qu'aujourd'hui. Les scientifiques financés par le gouvernement ignorent les preuves que les émissions de dioxyde de carbone ne provoquent pas de catastrophes naturelles afin de convaincre les gens que la seule façon de mettre fin aux catastrophes naturelles est de signer l'accord de Paris sur le climat, de voter pour le Green New Deal et de confier le contrôle de l'ensemble de l'économie mondiale à un comité central de planification socialiste.

Mais de telles « solutions » ne rendront pas les catastrophes naturelles moins dévastatrices. Le plus ancien livre de la Bible, le livre de Job, affirme que Dieu contrôle l’équilibre des vapeurs des nuées et réchauffe la Terre par un vent du sud (Job 37 : 16-17). Il ordonne aux nuages de faire Sa volonté, que ce soit pour la miséricorde ou pour la correction (versets 12-13).

De nombreux climatologues se moquent de l'idée que Dieu contrôle le temps, mais le vent du sud est chaud parce qu'il vient des régions équatoriales qui sont exposées à une lumière solaire plus directe. Et de nouvelles recherches publiées dans la revue scientifique Research in Astronomy and Astrophysics [Recherche en astronomie et astrophysique] montrent que le soleil a probablement un impact bien plus profond sur la température de la Terre que les émissions humaines de dioxyde de carbone. Job a peut-être compris bien plus de choses sur le mécanisme réel du climat de la Terre que les soi-disant scientifiques qui travaillent au sein du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies.

L'auteur du Psaumes 148 comprenait aussi le pouvoir de Dieu sur les éléments, en écrivant : « Louez l'Éternel du haut des cieux ! Louez-le dans les lieux élevés ! … Louez-le, soleil et lune, louez-le, vous toutes, étoiles lumineuses ! … Feu et grêle, neige et brouillards, vents impétueux, qui exécutez ses ordres » (versets 1, 3, 8).

Ce passage confirme que Dieu contrôle le soleil et équilibre les gaz qui composent les nuages. Il confirme également que Dieu envoie du feu et les vents orageux pour accomplir Ses promesses et Ses prophéties. Parmi les promesses de Dieu figure celle de donner « la pluie en leur saison » lorsque Son peuple Lui obéit (Lévitique 26 : 4). Et parmi Ses prophéties, il y en a une sur la punition d'Israël au temps de la fin pour s'être détourné de Lui en envoyant de la pluie sur certaines villes jusqu'à ce qu'elles soient inondées et en la retenant sur d'autres jusqu'à ce qu'elles soient desséchées (Amos 4 : 7).

Le regretté Herbert W. Armstrong explique dans son livre Les Anglo-Saxons selon la prophétie que les peuples anglo-saxons qui colonisèrent les États-Unis et la Grande-Bretagne descendent de l'ancien Israël. Le fait que la côte Ouest de l'Amérique soit consumée par des incendies de forêt en même temps que sa côte Est fut inondée est un accomplissement de la prophétie biblique. Dieu fait tout ce qu'Il peut pour attirer l'attention de l'Amérique, mais les dirigeants américains ne cessent d'inventer des explications toujours plus élaborées pour expliquer que les catastrophes naturelles ne sont pas vraiment envoyées par Dieu, mais qu'elles sont le résultat de la consommation excessive de pétrole.

« L'idée que les émissions de carbone provoquent des tempêtes est l'antithèse de ce que Dieu dit », a écrit le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, dans The Deadly Climate Change Deception [La tromperie mortelle du changement climatique —uniquement disponible en anglais]. « Dans Amos 4 : 7, Dieu dit : ‘Et moi, je vous ai refusé la pluie, lorsqu'il y avait encore trois mois jusqu’à la moisson ; j'ai fait pleuvoir sur une ville, et je n'ai pas fait pleuvoir sur une autre ville ; un champ a reçu la pluie, et un autre qui ne l'a pas reçue s'est desséché.’ Ici, Dieu contrôle les précipitations, provoquant des inondations et des sécheresses ! Pourquoi ferait-il cela ? Le verset 8 répond : ‘Deux, trois villes sont allées vers une autre pour boire de l'eau, et elles n'ont point apaisé leur soif. Malgré cela, vous n'êtes pas revenus à moi, dit l'Éternel.’ Dieu provoque ces conditions pour nous punir de l'avoir écarté de nos vies. Ce sont des prophéties pour un avenir proche. De nombreuses écritures montrent que Dieu récompense et protège ceux qui Le mettent en premier. »

Toutes les preuves montrent que si tout le monde en Amérique se tournait vers Dieu, les fléaux cesseraient.

Pour plus d’information sur ce que dit la Bible sur les phénomènes liés à la nature qui font les gros titres avec une fréquence troublante, veuillez demander notre brochure gratuite intitulée : Why 'Natural' Disasters? [Pourquoi des catastrophes ‘naturelles’ ?—uniquement disponible en anglais].