Dans une dernière tentative pour convaincre, les Démocrates associent Trump... à Hitler !

Nous sommes témoins de ce qui s'annonce comme l'élection américaine la plus controversée de l'histoire, et le Parti démocrate est de plus en plus désespéré. Donald Trump progresse considérablement dans les sondages auprès des électeurs noirs et hispaniques, de sorte que les médias démocrates redouble d'efforts pour faire croire que Trump est un dangereux suprémaciste blanc qui doit être arrêté à tout prix.

Les propriétaires du Drudge Report ont repris les affirmations non vérifiées de l'ancien chef d'état-major John Kelly selon lesquelles Trump aurait suggéré que Hitler « a fait de bonnes choses ». Par ailleurs, le rédacteur en chef de l'Atlantic, Jeffrey Goldberg, a également cité le général Kelly dans son article intitulé « Trump : “I Need the Kind of Generals Hitler Had" ».

Cela ne s'invente pas !

La gestion de la crise de l'inflation et de la crise frontalière par Joe Biden a rendu les Démocrates profondément impopulaires, de sorte que les médias corporatistes tentent d'attirer l'attention sur une remarque aléatoire que Trump aurait fait (ou pas) à propos de certains généraux nazis qui seraient de bons stratèges. Comment un tel comportement de la part des journalistes contribue-t-il à résoudre les problèmes de l'Amérique ? En fait, ils ne cherchent pas à résoudre les vrais problèmes de l'Amérique. Cette stratégie vise à unir les minorités raciales contre un homme qui s'efforce de rétablir les mesures de sécurité frontalière des années 1990 mises en place par Bill Clinton. Pourtant, on fait passer Trump pour un dictateur fasciste.

Il est étonnant que certains se laissent séduire par cette propagande. Donald Trump a été président pendant quatre ans et n'a jamais gouverné comme Adolf Hitler. Pourtant, certains des médias les plus populaires de l'Amérique interprètent ce qu'a écrit M. Kelly (ce qui n'est par ailleurs qu'une rumeur) comme un signe que Trump est un admirateur du national-socialisme.

Lors d'une réunion publique organisée par CNN, Kamala Harris a elle aussi taxé Trump de fasciste. Par ailleurs, Tim Walz et Hillary Clinton ont tous deux accusé Trump d'avoir imité un rassemblement de 1939 au Madison Square Garden en faveur de Hitler. Ils n'ont cité une seule phrase de Trump, se contentant de souligner le lieu du rassemblement dans une tentative désespérée de convaincre les Américains de subir quatre ans supplémentaires avec la frontière grand ouverte et une économie moribonde.

Barack Obama a été légèrement moins incendiaire que Harris, Walz et Clinton. Jusqu'à présent, il s'est abstenu de qualifier Trump de fasciste ou de partisan de Hitler. Pourtant, il a accusé les partisans noirs de Trump de sexisme et d'ignorance. Obama ne veut pas aborder les difficultés économiques qui poussent de nombreux électeurs noirs à soutenir Trump, et il ne peut pas accuser les Noirs de racisme comme il le fait contre les Blancs. Il en est donc réduit à parler de sexisme pour expliquer la baisse de popularité de Harris avant les élections.

Les fausses accusations de sexisme et de racisme sont les seuls outils dont disposent les Démocrates, qui redoublent donc d'efforts pour faire croire que « Trump est littéralement Hitler. » Leur objectif immédiat est de dissuader les gens de voter pour Trump, mais ne vous attendez pas à ce qu'ils atténuent leur rhétorique si Trump l'emporte haut la main. À ce stade, les démocrates comparent Trump à Adolf Hitler parce qu'ils veulent que quelqu'un lui tire dessus. Pourtant, même s'ils essaient, Trump ne sera pas assassiné avant d'avoir repris ses fonctions et d'avoir réformé le pays.

Dieu a promis de sauver les États-Unis par la main d'un roi Jéroboam II du temps de la fin (2 Rois 14 : 26-28 ; Amos 7 : 8). Mon père a identifié Donald Trump comme ce Jéroboam moderne. Jéroboam n'était pas un roi juste comme l'était le roi David. Or, il n'était pas non plus un tyran génocidaire. Dieu s'en est servi pour sauver Israël de la destruction totale. De même, Dieu se sert de Trump pour sauver l'Amérique des forces de la gauche radicale qui cherchent à la détruire. C'est la véritable raison pour laquelle la gauche a une telle haine vitriolique pour Trump.

Israël aurait pu se repentir pendant le règne de Jéroboam II. Malheureusement, la nation a choisi de persévérer dans ses péchés et a finalement été conquise par l'empire assyrien. Aujourd'hui, les États-Unis ont l'occasion de tirer les leçons de cette histoire, si seulement ils voulaient bien le faire. Pour en savoir plus, demandez votre exemplaire gratuit de L'Amérique sous attaque.