L'Administration des denrées alimentaires et des médicaments (FDA) et le vaccin. [PAVLO GONCHAR/SOPA IMAGES/LIGHTROCKET VIA GETTY IMAGES]
Ce que révèlent les documents de la FDA à propos du vaccin COVID
L’Administration des denrées alimentaires et des médicaments [ Food and Drug Administration —FDA] a publié le 1 er mars le premier lot de documents relatifs au vaccin COVID-19. La FDA voulait initialement publier les 200 000 pages sur une période de 75 ans. Sur ordre du tribunal, la FDA a produit 50 000 pages. La plus controversée était « 5.3.6 Analyse cumulative des événements indésirables après autorisation », qui fournit des données sur le vaccin de Pfizer du 1 er décembre 2020 au 28 février 2021. Les données sont choquantes.
Alors que le nombre de vaccins administrés a été expurgé, le rapport a donné le nombre total de cas indésirables, déclarant : « De manière cumulative, jusqu'au 28 février 2021, il y avait un total de 42 086 rapports de cas (25 379 confirmés médicalement et 16 707 non confirmés médicalement) contenant 158 893 événements. » Parmi ces effets indésirables, 1 223 personnes sont décédées. Cela signifie que 2,9 pour cent des personnes ayant subi un effet indésirable du vaccin Pfizer sont décédées à cause du vaccin. Cela représente un taux de 1 personne sur 34.
Prenons l'exemple de l'épidémie de grippe porcine en 1976. L'administration Ford a lancé un vaccin à la hâte, et un certain nombre de décès étaient signalés. Le New York Times a rapporté à l'époque que le programme de vaccination avait été arrêté dans neuf États parce que trois personnes étaient mortes à cause du vaccin. Pourquoi le programme le plus récent n'a-t-il pas été arrêté ou examiné après le décès de 1 223 personnes ?
Le rapport de la FDA comporte une annexe de neuf pages sur les « événements indésirables d'intérêt particulier ». « Plus de 1 200 effets indésirables différents y sont répertoriés, allant d'effets secondaires légers à des blessures pouvant mettre la vie en danger.
La FDA a également publié une révision du vaccin Moderna, qui a révélé que « la surveillance de la sécurité post-autorisation a identifié des risques sérieux de myocardite et de péricardite, en particulier dans les sept jours suivant la deuxième dose du vaccin Moderna contre la COVID-19. Le risque observé est plus élevé chez les hommes de moins de 40 ans que chez les femmes et les hommes plus âgés. Le risque observé est le plus élevé chez les hommes âgés de 18 à 24 ans. […] Un risque accru de thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (TTS) a été identifié après l'administration des vaccins contre la COVID-19 vectorisés par l'adénovirus. » Pourquoi les médias et le gouvernement n'avertissent-ils pas les gens à propos des effets indésirables documentés ?
Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) affirment que les vaccins sont « sûrs et efficaces ». Les effets secondaires répertoriés sur le site web du CDC sont qualifiés de « extrêmement rares » et comprennent « la fatigue, les maux de tête, douleurs musculaires, frissons, fièvre et nausées ». Si les gens doivent prendre des décisions éclairées sur la vaccination, pourquoi les 1 200 effets indésirables et décès n'ont-ils pas été communiqués au public jusqu'à présent ?
Le site web de VAERS, en date du 28 mars, recense 26 059 décès causés par le vaccin et 143 554 hospitalisations. Les effets secondaires comprennent 14 827 cas de paralysie de Bell, 4 377 fausses couches, 13 360 crises cardiaques, 37 133 cas de myocardite/péricardite, 13 139 cas de zona et 48 342 invalidités permanentes. Et il ne s'agit là que des cas signalés. Historiquement, les effets indésirables de VAERS sont sous-déclarés par un facteur de 100.
Les effets secondaires signalés ne sont que la partie visible de l'iceberg. Le New York Post a fait une étude d'octobre 2020 qui avertit que certains vaccins contre la COVID peuvent augmenter le risque de cancer. « Un virus modifié utilisé dans quatre vaccins COVID-19—l'adénovirus 5 (Ad5)—s'est avéré augmenter la transmission du virus du SIDA par le passé, ont écrit les chercheurs dans une mise en garde publiée dans la revue médicale Lancet », a écrit le Post. Il faudra du temps pour voir si cette prédiction est vraie, mais les premières données semblent confirmer cette analyse.
Le sénateur Ron Johnson a organisé une table ronde à Washington, D.C., en janvier, intitulée « COVID-19 : un deuxième avis ». L'avocat Thomas Renz a présenté des données provenant des lanceurs d’alerte au sein du système médical américain. « M. Renz a présenté des données sur les effets indésirables des vaccins, y compris un taux de fausses couches qui a augmenté de 300 pour cent par rapport à la moyenne sur cinq ans, un taux de cancer qui a augmenté de 300 pour cent et une augmentation des problèmes neurologiques de plus de 1 000 pour cent (de 82 000 en moyenne par an à 863 000 en un an avec les vaccins) », a écrit Conservative Treehouse. Avec le passage du temps, les effets indésirables se manifestent de plus en plus chez les gens.
Un autre effet indésirable à grande échelle est l’acouphène, un bourdonnement ou d'autres bruits dans les oreilles. VAERS a signalé 12 247 cas de ce type. Pourtant, les médecins n'ont aucune explication quant à la raison pour laquelle le vaccin provoque ce problème. ZeroHedge a rapporté :
En raison du nombre relativement élevé de cas, [les chercheurs] ont soutenu qu'« il est absolument nécessaire de déterminer la physiopathologie précise et la prise en charge clinique » des acouphènes associés à la vaccination, car « bien que plusieurs cas d'acouphènes aient été signalés après la vaccination contre le virus SARS-CoV-2, la physiopathologie précise n'est toujours pas claire. »
La FDA a émis un avertissement selon lequel les vaccins peuvent induire une personne à tester positif pour la syphilis. Mais il n'y a pas eu d'explication directe quant à la raison de ce phénomène.
Une autre étude publiée dans le Journal of Pediatric and Adolescent Gynecology [Journal de la gynécologie pédiatrique et adolescente] a révélé que l'utilisation accrue des vaccins Pfizer chez les enfants de 12 ans et plus était corrélée à une augmentation des ulcères génitaux post-vaccination. Pourtant, les grandes entreprises pharmaceutiques continuent de faire pression pour que le vaccin soit approuvé pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans.
Une étude menée en Pologne, qui doit encore être examinée par des pairs, a découvert que le vaccin ARN messager a un effet sur les cellules gliales in-vitro du cerveau. Selon l'étude, le « vaccin ARN messager produit des changements statistiquement significatifs dans le noyau des cellules en raison d'altérations des histones. Les résultats obtenus pour les mitochondries, les gouttelettes lipidiques, et le cytoplasme peuvent suggérer que le vaccin ARN messager (Pfizer/BioNT) reprogramme les réponses immunitaires. Les altérations observées dans les profils biochimiques lors de l'incubation avec l’ARN messager de la COVID-19 dans les organelles spécifiques des cellules gliales sont similaires à celles que nous observons pour le cancer du cerveau, en fonction du degré d'agressivité. »
Les effets indésirables sont de plus en plus clairs. Les vaccins nous protègent-ils réellement contre les infections ? En janvier, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a déclaré : « Nous savons que deux doses du vaccin offrent une protection très limitée, sinon aucune. » M. Bourla a ensuite recommandé une troisième dose. Le 14 mars, il a déclaré qu'une quatrième dose pourrait être nécessaire pour combattre les nouvelles variantes. Mais M. Bourla a promis en 2021 que deux doses du vaccin Pfizer offriraient une protection à 100 pour cent contre les infections et les maladies. Fait notable, Pfizer a gagné des milliards de dollars grâce à ces vaccins.
Le Service national de la santé du Royaume-Uni a indiqué que les données de février 2022 montrent clairement qu'il y a un plus grand nombre de personnes vaccinées dans les hôpitaux et de personnes infectées dans presque toutes les tranches d'âge.
Aux États-Unis, Clayton Fox, de Real Clear Investigations, a utilisé des données publiées au niveau des États pour montrer qu'il ne s'agissait pas d'une pandémie des non-vaccinés. « Sur les huit États qui ont publié des données détaillées sur les décès des personnes vaccinées, Real Clear Investigations a constaté que le Massachusetts, qui affiche un taux de vaccination de 75 pour cent, a enregistré le pourcentage le plus élevé de décès de personnes vaccinées : 55 pour cent du 1er janvier au 12 février […] Même un récent rapport du CDC, peu médiatisé et moins complet, note que parmi les personnes âgées de 18 ans ou plus dans 25 juridictions américaines, du début avril à la fin décembre 2021 […] 1 décès sur 5 était associé aux vaccinés, selon l'étude, ce qui suggère une protection plus faible que ce que le public a été amené à croire. »
Plus les vaccins sont utilisés longtemps et plus le virus mute, moins les vaccins sont efficaces. Les mêmes données provenant du Royaume-Uni et des États-Unis ont montré que l'efficacité de la dose de rappel diminuait de 75 pour cent en quelques mois.
Malgré toutes ces preuves, les grandes entreprises pharmaceutiques continuent à procéder avec le programme de vaccination. SkyNews a rapporté que Moderna lance un nouveau programme de vaccination à trois volets qui ciblera la COVID, la grippe et le virus respiratoire syncytial. Quelle sera la prochaine étape ? Forbes a cité un bioéthicien en août 2020, affirmant qu'une « pilule de moralité » devrait être développée pour renforcer la moralité des gens et les rendre plus susceptibles d'adhérer au porte du masque et aux autres directives de santé.
L’évidence concernant les vaccins contre le coronavirus indique non seulement un désastre sanitaire, mais aussi un programme sinistre derrière la pandémie et les vaccins. Le numéro d’avril 2022 de notre magazine anglais The Trumpet expose cette corruption et l'agenda derrière la dissimulation des effets indésirables et la promotion agressive des vaccins. Le rédacteur en chef de la Trompette, Gerald Flurry, a écrit dans « Un chemin sûr vers la guérison et la santé » :
Le problème est que nous avons vu à quel point beaucoup de nos institutions de santé les plus célèbres sont devenues politisées. Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), l'Administration des denrées alimentaires et des médicaments (FDA), les Instituts nationaux de la santé—il a été démontré qu'ils sont profondément influencés par l'argent des sociétés pharmaceutiques et qu'ils prennent des décisions qui leur profitent au détriment de la santé publique. On constate des problèmes similaires même avec les médecins locaux : souvent, ils prescrivent des médicaments ou recommandent des procédures par intérêt financier, et non pour la santé.
Cela devrait ébranler notre foi dans la science médicale, n'est-ce pas ? Mais il semble que la plupart des gens continuent à lui faire pleinement confiance.
En quoi devriez-vous mettre votre foi ? Il s'agit d'une question importante que chacun doit décider pour lui-même. Pour en savoir plus sur ce sujet essentiel, veuillez lire « Un chemin sûr vers la guérison et la santé. »