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Bien sûr, les inculpations de Trump constituent une ingérence dans les élections

Le Président américain Donald Trump dans un tribunal de Manhattan lors de sa mise en accusation le 4 avril. [SETH WENIG-POOL/GETTY IMAGES]

Bien sûr, les inculpations de Trump constituent une ingérence dans les élections

Le 3 août, le Président Donald Trump a été traduit en justice pour la troisième fois cette année. Après avoir quitté le tribunal fédéral de Washington, il a déclaré sans ambages aux journalistes : « Si vous regardez ce qui se passe, il s’agit d’une persécution d’un opposant politique. Cela n’aurait jamais dû se produire en Amérique. »

Ce nouvel acte d’accusation fédéral comprend quatre chefs d’accusation criminels : conspiration visant à frauder les États-Unis en tentant de renverser les résultats de l’élection ; conspiration visant à violer les droits civils, à savoir le droit des citoyens de voter et de voir leur vote comptabilisé ; conspiration visant à entraver une procédure officielle, à savoir la certification du vote électoral par le Congrès ; et l’obstruction effective de cette procédure. L’avocate de M. Trump, Alina Habba, a affirmé que chacune des inculpations de M. Trump, sans parler du moment où elles ont été prononcées, sont de la diversion intentionnelle par rapport aux informations sur les crimes de Joe Biden et de sa famille.

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Trump a demandé à la Cour suprême d’« intercéder » dans l’affaire qui l’oppose au procureur spécial Jack Smith, affirmant à juste titre que poursuivre quelqu’un pour avoir déclaré qu’il croyait que l’élection avait été volée constitue une violation de la liberté d’expression. Mais, une fois de plus, le soutien de la plupart des républicains brille par son absence. Dans une interview accordée à CNN, l’ancien procureur général Bill Barr a rejeté la défense de la liberté d’expression de Trump en déclarant que « la liberté d’expression ne vous donne pas le droit de vous engager dans une conspiration frauduleuse. » M. Barr suppose, et veut que les téléspectateurs supposent, que Trump a délibérément menti au lieu d’exprimer une opinion sincère—et encore moins une opinion qui est tout à fait juste au sujet de l’élection présidentielle de 2020, qui a été très irrégulière.

Entre-temps, la commission de contrôle et de reddition de comptes de la Chambre des représentants a publié une transcription de 141 pages de son entretien avec Devon Archer, un ancien partenaire commercial de Hunter Biden. Cet entretien contient un témoignage qui prouve sans l’ombre d’un doute que Joe Biden était impliqué dans les affaires apparemment criminelles de son fils. Pourtant, nous n’en entendons pas assez parler parce que Trump est jugé pour des allégations de fraude électorale qu’il a faites il y a deux ans.

Même le populaire podcasteur libéral Joe Rogan suggère que « l’État profond » a aidé à organiser le chaos lors de la manifestation du 6 janvier 2021 au Capitole. Comme la Trompette l’a souligné à plusieurs reprises, cette cabale de radicaux de l’élite gouvernementale, dirigés non pas par Joe Biden mais par le marionnettiste Barack Obama, avait tout à gagner d’un tel chaos. Donald Trump avait tout à gagner à ce que les manifestants fassent entendre leur voix « pacifiquement et patriotiquement » pendant que des dizaines de membres du Congrès utilisaient les voies officielles pour exiger des enquêtes sur les irrégularités de l’élection avant de la certifier comme légitime, légale et contraignante.

Nous savons lequel de ces deux camps a obtenu ce qu’il voulait.

Obama et Biden veulent maintenir l'attention des Américains sur les aspects les plus extrêmes de la manifestation du 6 janvier au Capitole, les imputer à Trump et surtout minimiser et ignorer les activités criminelles des Biden. Chaque inculpation de Trump a correspondu, d’une manière ou d’une autre, à des nouvelles fracassantes concernant les Biden ; dans ce cas, elle a été programmée deux jours avant la publication de la transcription de Devon Archer.

Si les Américains portent leur attention sur les millions en pots-de-vin que la famille criminelle Biden a engrangés, sur les irrégularités électorales de 2020 qui ont conduit Joe Biden de sa cave au bureau ovale, ou sur le fait que ce prétendant au trône est clairement contrôlé par quelqu’un d’autre, les démocrates perdront le pouvoir en 2024, si ce n’est avant.

D’où la dernière poussée de la propagande « Trump est un insurgé », avec cette fois une mise en accusation officielle. Nous ne savons pas ce qui se passera à court terme, mais cet acte d’accusation pourrait donner à Trump l’occasion de présenter au public des preuves de la fraude électorale. L’inculpation dépend en grande partie de la question de savoir si ses allégations de vol d’élection relevaient de la « liberté d’expression » ou de la « conspiration frauduleuse ». Un juge un tant soit peu impartial devra permettre à la défense de M. Trump de fournir des preuves des raisons pour lesquelles il pense que l’élection a été volée.

La prochaine audience pour cette affaire contre Donald Trump est fixée au 28 août. Nous verrons comment elle se déroulera, mais aucune personne raisonnable ne peut honnêtement conclure que l'élection présidentielle de 2020 a été libre et équitable. Et aucune personne observatrice ne peut honnêtement penser que la fraude n'a pas fait de différence.

Ceux qui contrôlent l’État profond ont organisé le chaos au Capitole et, plus important encore, une certification rapide par le Congrès de l’élection de 2020 sans débat. Ils savaient que l’élection était truquée, et ils ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour détourner l’attention des événements qui ont ramené Joe Biden—et Barack Obama—à la Maison Blanche. Jusqu’à présent, ils sont restés au pouvoir en grande partie en empêchant un nombre suffisant d’Américains de prendre conscience des preuves, des faits et de l’importance de la fraude électorale de 2020.

La Trompette affirme depuis deux ans maintenant que l’élection a été volée et que, plus que toute autre personne, l’escroquerie à l’encontre des États-Unis en 2020 par l’annulation des vrais résultats de l’élection, la violation des droits civils, à savoir le droit de voter et d’avoir son vote comptabilisé, la conspiration pour entraver une procédure officielle, à savoir la certification du vote électoral par le Congrès, et l’obstruction réelle de cette procédure ont été l’œuvre de Barack Hussein Obama.

Dans L’Amérique sous attaque, mon père, le rédacteur en chef de la Trompette Gerald Flurry, explique que Donald Trump est un type du roi d'Israël Jéroboam II du temps de la fin. Il explique que 2 Rois 14 : 26-27 n’est pas seulement de l’histoire, mais aussi une prophétie dans laquelle Dieu promet de sauver—temporairement—l’Amérique et les autres descendants d’Israël du temps de la fin « par la main de Jéroboam ». La déclaration de Donald Trump après l’inculpation, « Je suis le seul qui peut sauver cette nation, parce que vous savez qu’ils ne s’en prennent pas à moi, ils s’en prennent à vous, et il se trouve que je leur fais obstacle », est largement vraie—plus vraie qu’il ne le sait.

Mon père relie également cette prophétie au prophète Amos, qui vivait à la même époque que le roi Jéroboam II et dont les prophéties ont été préservées pendant des milliers d’années pour aujourd’hui. Amos 7 : 8 déclare : « L’Éternel me dit : Que vois-tu, Amos ? Je répondis : Un niveau. Et le Seigneur dit : Je mettrai le niveau au milieu de mon peuple d’Israël, je ne lui pardonnerai plus. » Dieu dit que, tout comme Il a mesuré la destruction des ancêtres israélites de l’Amérique pour leurs rébellions contre Ses lois, Il mesurera la même destruction punitive pour les mêmes péchés nationaux—dans cette génération.

Cette prophétie est la raison pour laquelle la Trompette continue d’affirmer que le Président Trump va effectivement revenir au pouvoir. Nous ne savons pas exactement comment cela va se dérouler, mais il y a de fortes chances que la fraude qui ébranle la nation soit bientôt exposée ! Et lorsqu’elle le sera, rappelez-vous que la cause de cette révélation est un miracle non pas de Donald Trump mais de Dieu, et que le but de cette révélation est de donner aux Américains—libéraux et conservateurs—une dernière chance de se repentir vraiment de leurs péchés avant que la punition nationale, la destruction nationale, ne s’abatte.

LA TROMPETTE EN BREF

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