Biden libère 11 prisonniers yéménites

L'administration Biden a libéré lundi 11 prisonniers yéménites qui étaient détenus depuis longtemps à Guantánamo Bay. Deux d'entre eux auraient été les gardes du corps du planificateur du 11 septembre, Oussama ben Laden.

Pourquoi c'est important : C'est le dernier exemple en date de l'indulgence du président Joe Biden à l'égard des criminels. Cela illustre aussi le mépris de la gauche radicale pour les forces de l'ordre.

• Cette libération intervient alors même que les terroristes mandataires de l'Iran au Yémen multiplient les attaques contre Israël, proche allié des États-Unis.

Précisions : Les prisonniers seront transférés de Guantánamo Bay à Oman, le voisin immédiat du Yémen.

• Une grande partie du processus de réhabilitation d'Oman n'est pas connue, mais les fonctionnaires américains affirment qu'il est « bien établi », selon le New York Times.

Chaque prisonnier a été détenu à la suite des attentats du 11 septembre 2001.

• L'un des prisonniers, Ahmed al-Alwi, est un soldat présumé d'Al-Qaïda et un garde du corps de Ben Laden. Un document de 2016 indique qu'il a fait plusieurs déclarations indiquant qu'il « conserve un état d'esprit extrémiste ». En prison, il a commis de nombreuses infractions disciplinaires.

• L'autre garde du corps présumé, Anam al-Sharabi, s'est entraîné en Afghanistan avant le 11 septembre et « pourrait avoir été associé à un détournement d'avion avorté similaire à ce qui s'est passé le 11 septembre en Asie du Sud-Ouest, dirigé par le chef des opérations extérieures d'Al-Qaïda, Khalid Shaikh Mohammed », selon un document datant de 2020.

• Shaqawi al-Hajj, un autre prisonnier, a entamé plusieurs grèves de la faim pour protester contre son arrestation et a été hospitalisé à plusieurs reprises.

Biden a demandé leur libération en octobre 2023, mais le Congrès s'y est opposé.

Anarchie prophétisée : La Bible a prophétisé qu'au temps de la fin, Israël (dont les descendants se sont installés principalement aux États-Unis et en Grande-Bretagne) détesterait l'État de droit. Des histoires comme celle-ci confirment la validité des prophéties bibliques.

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