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Barack Obama dans la Prophétie Biblique
Le 20 janvier 2017, lors de son dernier jour au bureau ovale, Barack Obama laissa un message manuscrit au nouveau président. Dans ce document, M. Obama déclarait à Donald Trump que les présidents des États-Unis sont « les gardiens de ses institutions et ses traditions démocratiques—comme la primauté du droit, la séparation des pouvoirs, l'égalité de protection et les libertés civiles—pour lesquelles nos ancêtres se sont battus et ont versé leur sang. Peu importe la poussée et l'influence de la politique quotidienne, c'est à nous de laisser ces instruments de notre démocratie au moins aussi forts que nous les avons trouvés ».
La note de M. Obama semble si noble et si sincère. Mais c'est l'un des messages le plus diabolique et hypocrite jamais écrit par un président des États-Unis. Barack Obama passa son mandat de président à faire exactement ce qu'il avait averti à M. Trump de ne pas faire. Pendant huit ans, il s'attaqua aux « institutions et traditions démocratiques » de l'Amérique dans la poursuite de son objectif suprême de « transformer fondamentalement l'Amérique ».
Pourquoi en parler maintenant, quatre ans après que M. Obama ait quitté ses fonctions ? Parce que cet homme continue de poursuivre son ambition de transformer fondamentalement l'Amérique.
Barack Obama était à l'épicentre de la crise électorale et des efforts de la gauche radicale pour empêcher la réélection de Donald Trump !
Les États-Unis sont entrés dans leur plus grande crise politique de tous les temps le 3 novembre 2020, le jour des élections. Pour faire de Joe Biden le président, la gauche radicale a manipulé de manière flagrante le système de vote électoral du pays. Puis pendant des semaines les grands médias traditionnels, au moins la moitié du public, la plupart des politiciens du pays, (Démocrates et Républicains) et une grande partie du reste du monde ont cru que M. Biden avait été élu président de manière légitime.
Mais c'était un mensonge géant. Des montagnes de preuves prouvaient que cette élection avait été manipulée. Lors d'audiences judiciaires dans de nombreux États, des centaines de témoins donnaient des témoignages vécus sur toutes sortes de comportements répréhensibles. Des milliers de témoins signèrent des déclarations sous serment alléguant une fraude. D'éminents scientifiques et analystes de données ont enquêté sur les chiffres et témoigné de l'impossibilité statistique de certains décomptes de voix. Les machines et les logiciels de vote électronique ont été audités et ont révélé une activité malhonnête. Il y a même eu des séquences vidéo exposant des comportements illicites évidents.
Tout le système électoral américain est aujourd'hui en lambeaux. La nation n'aura jamais d'autre élection sûre et incontestée. Et tout ceci parce que la gauche radicale s'est livrée à une attaque effrénée contre les « institutions et traditions démocratiques » de l'Amérique, y compris la Constitution et l'État de droit. Des centaines, et même des milliers, de personnes et d'institutions ont été impliquées dans ce coup d'État, directement ou indirectement. Pratiquement toutes les principales organisations et personnalités médiatiques américaines étaient complices, ainsi que les puissantes entreprises technologiques et la plupart des plus hauts responsables politiques du pays.
Mais derrière ce vaste réseau de mensonges, de corruption et d'anarchie, il y avait un seul homme : Barack Obama.
Il existe des preuves irréfutables que M. Obama n'était pas seulement au courant du complot visant à pervertir cette élection, mais qu'il était intimement lié à ceux qui tiraient les ficelles. Une chose est sûre : ce scandale épique était le résultat de Barack Obama dirigeant le Parti démocrate et la gauche radicale.
Nombreux sont ceux qui ont qualifié cela de coup d'État continuel et ils ont raison. Ce coup d'État fut initié par Barack Obama avant qu’il quitta ses fonctions en janvier 2017. Alors même qu'il écrivait ce « beau » message demandant à Donald Trump de garder la démocratie et l'État de droit, cet homme élaborait des plans pour renverser M. Trump et ramener la gauche radicale à la Maison Blanche !
Je veux montrer comment la crise électorale de 2020 expose M. Obama et ses plus proches alliés. Plus important encore, cette crise révèle la force invisible mais extrêmement puissante derrière M. Obama et la gauche radicale. Cette crise met en lumière une prophétie biblique cruciale, celle que j'explique depuis 2012 et que vous devez comprendre !
L'architecte de l'illégalité
Depuis le jour des élections, la corruption et l'illégalité dans la politique et le système électoral des États-Unis ont été révélés de façon spectaculaire. Cela a mis en lumière une énorme tendance à l'illégalité dans cette nation. Nous devons comprendre la cause de tout cela.
L'être le plus anarchique de l'univers est un être spirituel, Satan le diable. 2 Corinthiens 4 : 4 l'appelle « le dieu de ce monde ». Cela veut dire que les gens de ce monde l'adorent, même si c'est involontairement. Cet être maléfique a un pouvoir effrayant—un pouvoir que nous pouvons difficilement imaginer ! Cela peut sembler une déclaration extrême, mais en ces temps extrêmes et déroutants, cela ne mérite-t-il pas au moins d'être pris en considération ? Il y a beaucoup en jeu pour l'Amérique et pour vous personnellement !
Un chapitre remarquable qui nous aide à comprendre l'étendue de l'influence du diable sur l'homme se trouve dans Apocalypse 12. Ce passage prophétise qu'il y eut une guerre dans le ciel où de grands êtres angéliques ont combattu contre le diable et ses démons, dont il y a des millions. Voici le résultat de cette guerre spirituelle : « …Et le dragon et ses anges [les anges déchus—démons], combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité le grand dragon, le serpent ancien, appelé le Diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui » (versets 7-9).
Remarquez : le verset 9 dit que Satan trompe le monde entier : tout le monde ! Sa séduction affecte l'éducation de ce monde, sa religion, sa politique, sa science—tout ! C'est ce que dit votre Bible. Éphésiens 2 : 2 appelle Satan « le prince du pouvoir de l'air, l'esprit qui maintenant agit dans les enfants de la désobéissance » (King James Française). Il suscite les émotions, les humeurs et les attitudes des gens. C'est incroyable, mais c'est biblique et vous pouvez le prouver à vous-même, et vous devriez certainement le faire.
Apocalypse 12 : 9 est une prophétie du temps de la fin. Elle nous dit que Satan a été précipité sur Terre. Dans ma brochure gratuite L'Amérique sous attaque, j'explique pourquoi nous pouvons savoir que cet événement critique se produisit le 16 janvier 1986. Tout tourne autour des événements dans l'Église de Dieu. Le verset 13 montre que lorsque le diable fut précipité, il attaqua l'Église de Dieu !
Peut-être que vous, comme la plupart de nos lecteurs, n'avez aucun antécédent avec cette Église. Mais cette histoire est toujours extrêmement pertinente pour vous. La Bible décrit l'Église comme « l'Israël » spirituel (par exemple, Galates 6 : 16 ; Éphésiens 2 : 12). Lorsque Satan fut précipité, il attaqua immédiatement l'Israël spirituel. C'était sa première cible. Mais il ne s'est pas arrêté là. Après cela, il dirigea sa haine contre l'Israël physique. Mais qui est l’Israël physique aujourd’hui ? Plus précisément, il s'agit de trois des nations modernes qui sont les descendants de la nation biblique d'Israël—principalement les États-Unis, la Grande-Bretagne et l'État juif. (Cette preuve de l'identité de ces nations peut être trouvée dans le livre Les Anglo-Saxons selon la prophétie par Herbert W. Armstrong.)
C'est l'un des objectifs principaux du diable et de ses démons : ils cherchent à faire tomber Israël, qu'il soit spirituel ou physique. Ce qui se passa dans cette Église montre un modèle pour ce que Satan fait à l'Amérique et à la Grande-Bretagne. C'est pourquoi cette histoire de l'Église est si pertinente et si importante à saisir pour vous. (Vous pouvez lire sur cette attaque contre l'Église dans Le message de Malachie. Toute notre littérature est gratuite.)
Toute l'histoire de la prophétie biblique montre que Satan attaque en trois phases après avoir été précipité. Tout d'abord, il attaque l'Église de Dieu, l'Israël spirituel. Deuxièmement, il attaque les nations d'Israël, en particulier les États-Unis, la nation dirigeante. Troisièmement, il travaille à travers le Saint Empire romain et détruit ces nations dans la Grande Tribulation.
Ce passage dans l'Apocalypse est loin d'être le seul passage biblique décrivant la passion destructrice du diable. En réalité, la haine de Satan envers Israël est un thème important dans toute la Bible. J'ai expliqué la prophétie dans 2 Rois 14 : 23-29, par exemple, qui décrit un mouvement dirigé par Satan au temps de la fin pour « effacer le nom d'Israël de dessous les cieux ».
C’est le plan magistral de Satan : Il veut détruire l'Église de Dieu, ainsi que les États-Unis d'Amérique et les nations du Commonwealth britannique. Pour comprendre les événements en Amérique et en Grande-Bretagne, nous devons les considérer dans ce contexte prophétique.
Toutes ces prophéties s'accompliront si notre peuple ne tient pas compte du message d'avertissement de Dieu !
L'Antiochus du temps de la fin
Cette prophétie de l'Apocalypse 12 est liée à une prophétie étonnante du temps de la fin délivrée par le prophète Daniel. Le livre de Daniel est uniquement pour ce temps de la fin (Daniel 12 : 4, 9). Elle montre que Satan poursuit son ambition de détruire Israël à travers des instruments humains.
La dernière partie de Daniel 8 : 17 se lit comme suit : « Sois attentif, fils de l'homme, car la vision concerne un temps qui sera la fin ». Au verset 26, Dieu dit à Daniel de sceller la vision, « car elle se rapporte à des temps loin dans l’avenir » (selon la version Moffat). Bon nombre des événements décrits dans ce chapitre ont été accomplis en type au cours des siècles après que Daniel les ait enregistrés en 550 av. J.C. Cependant, même ces événements pointent vers l’accomplissement principal de cette prophétie à la fin des temps, juste avant le retour du Christ.
Commençant au verset 9, il s'agit d'une prophétie d'une « petite corne » qui a surgi de l'une des quatre divisions de l'Empire grec. Pratiquement tous les commentaires s'accordent à dire que cela fait référence à Antiochus Épiphanes, un dictateur qui a obtenu le pouvoir en Palestine en 176 avant J.-C. par la tromperie et la flatterie. Ce qu'ils oublient, cependant, c'est que cela a également un accomplissement au temps de la fin.
Lorsque nous mettons cette prophétie à côté d'autres, ainsi que des événements réels de la fin des temps, il est clair qu'il existe en fait trois types d'Antiochus de la fin des temps. Premièrement, il y a l'Antiochus spirituel, l'homme qui égara l'Église de Dieu. Deuxièmement, il y a un Antiochus dans l'Israël physique. Troisièmement, un Antiochus dirige également la résurrection finale prophétisée du Saint Empire romain, que Dieu utilise pour punir Israël.
Barack Obama est le type d'Antiochus du temps de la fin qui cherche à détruire l'Israël physique !
Il ne s'agit pas d'une nouvelle prophétie. J'ai mis en garde contre M. Obama et ses ambitions anti-américaines avant qu'il est devenu président en 2008. Tout au long de sa présidence de huit ans, j'ai expliqué que M. Obama était un type d'Antiochus qui cherchait à détruire l'Amérique. C'est le thème principal de ma brochure L'Amérique sous attaque, publié pour la première fois en 2012.
Lorsque M. Obama quitta la Maison Blanche en janvier 2017, certains ont dit qu'il s'agissait d'une prophétie ratée. M. Obama n'était plus président et il semblait qu'il n'avait plus aucune influence sur la politique américaine. Mais en vérité, cet Antiochus n'a jamais quitté la scène politique, et il n'a jamais cessé d'essayer de déstabiliser l'Amérique !
Les détails de cette prophétie ont une signification très personnelle et émotionnelle pour moi—parce que nous avons personnellement fait face à un type d’Antiochus dans l'Église de Dieu. Satan utilisa cet homme pour détruire l'Église ! Daniel 8 : 11 dit que cet homme « s'éleva jusqu'au [contre le] chef de l'armée [Jésus-Christ], lui enleva le sacrifice perpétuel, [l'œuvre de Dieu] et renversa le lieu de son sanctuaire ». Le diable utilisa cet homme semblable à un Antiochus à l'intérieur de l'Église de Dieu pour détruire l'œuvre de Dieu.
Le verset 12 décrit plus en détail le caractère de cet homme : « L'armée [une armée de démons] fut livrée avec le sacrifice perpétuel à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. » Antiochus jeta la vérité par terre. C'était un homme sans foi ni loi ! De plus, sa campagne de non respect de la loi « se pratiquait et prospérait »—elle eut beaucoup de succès.
Lisez toute la prophétie de Daniel pour voir quel genre d'homme est cet Antiochus. L'histoire fournit également un aperçu. Daniel 11 : 21 dit que ce chef a obtenu le pouvoir par des mensonges trompeurs et des flatteries. Il parlait bien et avait une personnalité convaincante. Autrefois, Antiochus Épiphanes prit le contrôle en se faisant passer pour quelqu'un qu'il n'était pas. Il en va de même pour les trois types d'Antiochus du temps de la fin : ce sont des maîtres trompeurs.
Nous devons toujours nous méfier du diable pour cette raison : Il vient comme un ange de lumière (par exemple, 2 Corinthiens 11 : 14).
Daniel décrit Antiochus plus en détail dans Daniel 8 : 23-24 : « Et au dernier temps de leur royaume, quand les transgresseurs auront comblé la mesure, il s'élèvera un roi au visage audacieux, et entendant les énigmes. Et sa puissance sera forte, mais non par sa propre puissance : et il détruira merveilleusement [ou puissamment], et il prospérera, et agira, et détruira les hommes forts et le peuple des saints » (version Darby).
Considérez les récentes élections américaines. Il est juste de dire que nous vivons à une époque « où les transgresseurs sont arrivés au maximum » ! Le non respect de la loi, la corruption et le péché sont répandus, et même célébrés ! Et voici un dirigeant qui comprend les « énigmes » et est capable de détruire puissamment, « non par son propre pouvoir », mais par le diable.
« À cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l'arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement, et il s'élèvera contre le Chef des chefs [Jésus-Christ Lui-même] ; mais il sera brisé sans l'effort d'aucune main » (verset 25). Remarque : Antiochus a une politique de ruse. Il trompe les gens, semblant venir en paix avant de les détruire !
Satan est trompeur et fourbe, habile à se présenter comme quelqu'un qu'il n'est pas. Il est le père des menteurs et était un meurtrier depuis le commencement (Jean 8 : 44). Quand il est impliqué, les choses mènent au meurtre si on ne se réveille pas !
Une terre promise
En novembre dernier, à l'époque des élections américaines, Barack Obama publia son nouveau livre, A Promised Land [Une terre promise]. Le livre et son auteur ont été très bien accueillis par la critique en Amérique et dans le monde entier. Le moment opportun n'était pas une coïncidence.
M. Obama est un orateur public exceptionnel et peut sembler très attrayant. Il semble sophistiqué et éclairé, et semble plein d'amour et de préoccupation pour les États-Unis et son peuple. Et juste au moment où la nation était en proie à une crise politique, ce livre et la publicité qui lui était associée ont propulsé Barack Obama sous les projecteurs. Il était sur les écrans partout en Amérique semblant rationnel, sage et présidentiel.
Dans son livre, M. Obama écrit à plusieurs reprises que le « besoin d'un changement fondamental » de l'Amérique était un thème majeur de sa campagne et de sa présidence. Il répéta à plusieurs reprises que l'Amérique avait besoin de changer. Lors d'un rassemblement électoral le 30 octobre 2008, il déclarait : « Nous sommes à cinq jours de transformer fondamentalement les États-Unis d'Amérique. »
C'est un thème dominant de la vie de Barack Obama ! Ses livres montrent qu'il a eu pour objectif de changer fondamentalement l'Amérique depuis son enfance. Et cet objectif de vie n'a pas disparu lorsqu'il quitta ses fonctions.
En tant que président, M. Obama a poursuivi cette ambition avec passion. Il a eu beaucoup de succès en transformant l'identité américaine, tant au niveau national qu'international.
Rappelons le soutien de l'administration Obama au soulèvement islamiste populaire contre le président égyptien Hosni Moubarak. Rappelez-vous la façon dont ils ont ignoré le soulèvement populaire en Iran—ensuite ils ont négocié un accord nucléaire grotesque avec les dirigeants iraniens qui les a vidés d'argent et a fourni une couverture pour l'activité nucléaire en cours. Pensez à la façon dont ils ont géré Benghazi, quand une foule jihadiste attaqua l'ambassade américaine lors de l'anniversaire du 11 septembre. Les responsables d'Obama ont honteusement dit à nos soldats de se retirer tandis que les terroristes tuaient un ambassadeur et trois autres Américains. Rappelons le rétablissement par Obama des relations diplomatiques avec le Cuba communiste. Rappelez-vous le traitement réservé à la Grande-Bretagne par M. Obama (par exemple, la menace de renvoyer le Royaume-Uni au bas de la liste si elle votait pour quitter l'Union européenne). Rappelez-vous son hostilité ouverte envers l'État juif. Rappelez-vous son vif soutien aux organisations internationales comme l'Organisation mondiale de la santé corrompue ou les Nations Unies anti-israéliennes et anti-américaines. Rappelons sa participation enthousiaste à l'Accord de Paris sur le climat, qui a nui à l'industrie et à l'économie des États-Unis.
Sur le plan intérieur, l'administration Obama a opéré des « changements fondamentaux » tout aussi importants. Rappelez-vous l'Affordable Care Act, une loi destructrice qui augmente la dette nationale et fait de l'Amérique un État plus socialiste. Rappelons la politisation par l'administration Obama du Bureau fédéral des enquêtes [Federal Bureau of Investigation—FBI] de l’Agence de renseignement centrale [Central Intelligence Agency—CIA] et d'autres agences de renseignement, et son utilisation des institutions fédérales pour espionner les Américains. Rappelez-vous le scandale Fast and Furious, et le scandale du Service du revenu interne [Internal Revenue Service—IRS]. Rappelez-vous M. Obama déclarant que les Américains blancs ont du racisme dans leur ADN. Rappelez-vous la manière dont il a sapé l'application de la loi américaine.
Ce sont les actions d'un homme et d'une administration qui s'efforcent de « transformer fondamentalement les États-Unis d'Amérique ». En termes bibliques, ce sont des actions visant à effacer le nom d'Israël ! C'est ainsi que l'Antiochus se comporte !
Enfin, rappelez-vous la manière dont l'administration Obama a géré son départ de la Maison Blanche et le transfert du pouvoir à Donald Trump. Étudiez cette histoire et vous découvrirez que c'est à ce moment-là que le coup d'État a commencé !
Le coup d'État
Le 5 janvier 2017, Barack Obama rencontra ses principaux responsables du renseignement dans le Bureau ovale. Le but de cette réunion était d'informer le président Obama sur le rapport qu'il avait commandé pour enquêter sur l'allégation de l'ingérence de la Russie dans les élections de 2016. La demande d'enquête d'Obama reposait en grande partie sur le dossier Steele, un rapport frauduleux initié par la campagne Clinton qui alléguait une collusion entre le Kremlin et la campagne Trump.
Lors de cette réunion du 5 janvier, le président fut informé par James Comey, Michael Rogers, John Brennan et James Clapper, respectivement directeurs du FBI, de l’Agence de sécurité nationale [National Security Agency—NSA], de la CIA et du Bureau du renseignement national [Office of National Intelligence]. Le vice-président Joe Biden, la conseillère à la sécurité nationale Susan Rice et la procureure générale par intérim Sally Yates étaient également présents. Pratiquement tous les pouvoirs clés du gouvernement étaient présents pour cette réunion sur Donald Trump, qui était sur le point d'entrer à la Maison Blanche.
Après cette réunion, M. Obama rencontra Yates et Comey, qui resteraient tous les deux en fonction lorsque M. Trump deviendrait président. Avec eux, M. Obama a poursuivi la discussion concernant l'enquête sur la Russie, l'enquête en cours sur Donald Trump, l'enquête du FBI sur le général américain à la retraite Michael Flynn—un homme que Obama détestait—et le compte rendu que le directeur du FBI Comey allait donner au nouveau président le lendemain, 6 janvier.
Au cours de cette deuxième réunion, le président Obama demanda au directeur Comey d'être sélectif lorsqu'il informerait le président élu Trump. Il ne devait pas dire à Trump qu'il faisait l'objet d'une enquête. « Les responsables d'Obama ont affirmé adhérer à un livre qui interdisait les consultations entre les dirigeants politiques et les enquêteurs. Mais ici, ils étaient en consultation », écrit Andrew McCarthy dans le National Review (15 février 2018 ; je souligne tout au long). Et sur quoi consultaient-ils ?
Ces réunions du 5 janvier avaient pour but de maintenir l'enquête sur Donald Trump même après qu'il soit devenu président !
À propos de ces événements de janvier 2017, la journaliste Mollie Hemingway a écrit : « Non seulement les informations sur la Russie n'ont pas été entièrement partagées avec la nouvelle équipe de Trump, comme Obama la dirigeait, mais les fuites et les embuscades ont rendu la transition chaotique, et effrayaient les personnes qualifiées à travailler dans l'administration, rendant une gouvernance efficace presque impossible, et endommageant gravement la sécurité nationale » ( New York Post, 10 mai 2020).
Deux semaines plus tard, le 20 janvier 2017, Susan Rice s'envoya un courriel pour rendre compte de ce qui s'était passé lors de la réunion du 5 janvier. Ce courriel était étrange. Comme l'a écrit McCarthy, il ne s'agissait pas vraiment « d'un courriel à soi-même. Il s'agit consciemment d'un courriel pour le dossier » (op cit). Dans ce document, Rice écrivit que tout ce qui se passa lors de la réunion du 5 janvier était entièrement honnête. Le président, écrit-elle, a tout fait « selon les règles ». La vérité est, comme l'écrivait McCarthy, le courriel de Rice n'était « pas écrit pour commémorer ce qui a été décidé. Il était écrit pour réviser la mémoire de ce qui a été décidé afin de rationaliser ce qui a ensuite été fait ».
Rice savait que ce dont ils avaient discuté était illégal. Elle voulait anticiper toute enquête en déclarant que tout avait été fait « selon les règles » !
Si vous avez accès à l’Internet, je vous encourage à lire « What Did Comey Tell President Trump About the Steele Dossier ? » [Qu'est-ce que Comey a dit au président Trump concernant le dossier Steele ?] par Andrew McCarthy dans le National Review, ainsi que « Obama Meeting Could Be Behind Corrupt Michael Flynn Probe » [La réunion d'Obama pourrait être derrière l'enquête corrompue de Michael Flynn], par Mollie Hemingway au New York Post.
En tant que président, Barack Obama était-il le gardien des « institutions et traditions démocratiques de l'Amérique—comme l'État de droit » ? A-t-il laissé « les instruments de notre démocratie au moins aussi forts qu'il les a trouvés » ?
Les preuves montrent que Barack Obama a passé ses derniers jours au pouvoir à travailler avec des agents de l'État profond pour déterminer comment il pourrait continuer à déstabiliser, et même à espionner, le nouveau président !
De cette manière, Barack Obama commença le coup d'État continuel qui a abouti aux élections de 2020 !
Président Joebama
C'est le terme que Freddy Gray, rédacteur en chef du Spectator USA, utilisa pour décrire une éventuelle présidence de Joe Biden. « Obama se sent comme le Roi du monde ces jours-ci, mais on ne peut pas lui reprocher de se sentir joyeux. Il a sorti son troisième livre de mémoires… il gagne des millions grâce à l'édition et aux accords Netflix, son grand ennemi Donald Trump semble finalement avoir été vaincu—et, encore une fois, sa bande prend en charge Washington » (28 novembre 2020).
Barack Obama était heureux lorsque Biden a commencé à annoncer ses sélections aux divers postes dans son administration. Dans une interview accordée à Politico le 23 novembre, il a déclaré : « Vous voyez une équipe se développer en laquelle j'ai une grande confiance. » Bien sûr, il a une grande confiance en eux—ils sont ses subordonnés !
« En fait, la nouvelle administration Biden semble être plus en faveur d’Obama, que ne l'était l'administration Obama d'origine », a écrit Gray. Un membre du personnel de campagne de Biden a même déclaré à Politico : « Les membres du personnel Obama éliminent maintenant les personnes qui ont fait élire Biden. »
La présence de Barack Obama dans la campagne électorale de Joe Biden n'a jamais reçu l'attention qu'elle méritait. Pour la plupart des gens, en particulier les médias grand public, qui adorent Obama, ce n'était pas un problème. Mais prophétiquement, c'est une énorme préoccupation ! Antiochus était actif et il poursuivait son grand objectif de changer l'Amérique !
Dans le journal Epoch Times, Lee Smith a écrit : « Obama veut que ses subordonnés comprennent que Biden est un avatar pour un troisième mandat Obama. Maintenant, il peut achever le travail de ‘transformer fondamentalement l'Amérique’, comme il le disait quelques jours avant les élections de 2008 » (17 novembre 2020).
Barack Obama a été le premier président en plus d'un siècle à s'installer à Washington après avoir quitté ses fonctions. La plupart des présidents quittent la capitale, en partie par respect pour leur successeur. Pourquoi Obama est-il resté ? En mars 2017, le Daily Mail écrivait que la maison d'Obama à Washington D.C., à moins de trois kilomètres de la Maison Blanche, était devenue le « centre névralgique de l'insurrection croissante contre son successeur, le président Donald J. Trump ».
Pouvez-vous imaginer ? Basée à Washington D.C., cet homme a été le directeur de la gauche radicale depuis le début. M. Obama s'est personnellement impliqué dans la tentative de renverser le président Trump. En mars, il a personnellement guidé la sélection de Joe Biden comme candidat démocrate à la présidence. Par exemple, Obama a personnellement appelé Pete Buttigieg après qu'il se soit retiré de la course et lui a demandé d'approuver Biden. Il a demandé à des assistants de faire des appels similaires à Amy Klobuchar et Elizabeth Warren.
Entre mars et novembre, Barack Obama et son équipe ont fait campagne pour Joe Biden. Non seulement cela, ils ont encouragé les électeurs à voter tôt et à voter par correspondance. Nous savons maintenant qu'une grande partie de la fraude a été commise avec ces votes par correspondance. Le 3 novembre, la gauche radicale était prête à manipuler une élection.
Puis, le 7 novembre, Joe Biden—le bras droit de Barack Obama pendant huit ans—a été déclaré le prochain président des États-Unis. La vice-présidente de Biden, Kamala Harris, a également été sélectionnée par M. Obama. Lorsque Biden et Harris ont annoncé des candidats à des postes dans la nouvelle administration, beaucoup de ces personnes étaient soit proches d'Obama, ou avaient fait partie de l'administration Obama.
À la mi-décembre, ce qui représentait une troisième administration Obama avait été créé, et était prête à réintégrer la Maison Blanche !
La partie la plus remarquable était que la plupart des Américains n'avaient aucun problème avec cela ! Antiochus était prêt à reprendre le contrôle, et l'Amérique s'en moquait !
Si ce plan n'avait pas été interrompu, je crois que Barack Obama se serait retrouvé à la Maison Blanche—au moins en tant que grand marionnettiste dirigeant Joe Biden et Kamala Harris. Cela peut sembler exagéré pour certains. Mais est-ce vraiment le cas ?
Considérez ce que Obama lui-même a dit dans une interview avec Stephen Colbert en novembre. « Les gens me demanderaient, sachant ce que vous savez maintenant, souhaiteriez-vous avoir un troisième mandat ? Et j'avais l'habitude de dire, si je pouvais faire un arrangement où j'avais un remplaçant, un homme ou une femme de paille, et ils portaient une oreillette et j'étais dans mon sous-sol avec mes survêtements regardant à travers les choses et je pouvait livrer les répliques, mais quelqu'un d'autre s'occupait de tout le discours et de la cérémonie, je serais d'accord avec cela parce que j'ai trouvé le travail fascinant. » M. Obama a fait d'autres déclarations similaires montrant qu'il veut être président à nouveau !
Dans Matthieu 12 : 34, Jésus a dit : « C'est de l'abondance du cœur que la bouche parle. »
Considérez ce qu'a dit l'avocat de Donald Trump, Rudy Giuliani, lors d'une interview à Fox News le 6 décembre. « C'était un modèle qui a été établi par quelqu'un à Washington, parce que tout le monde a procédé exactement de la même façon et ils l'ont fait dans les villes corrompues… Je ne sais pas qui en était responsable. Tout ce que je peux vous dire, c'est que cela ressemble à une situation très bien planifiée et très bien exécutée. »
M. Giuliani a accès à toutes sortes de faits et de renseignements, et il dit que quelqu'un à Washington D.C., a orchestré ce coup d'État. Il n'a pas dit qui il croyait que c'était. Mais il est logique de conclure que c'était Antiochus !
Dans les semaines et les mois à venir, attendez-vous à ce que des preuves supplémentaires apparaissent prouvant que Barack Obama était derrière l'attaque de la gauche radicale contre l'administration Trump et le système électoral américain !
Comment être sauvé
Imaginez à quel point ce serait destructeur pour l'Amérique si Barack Obama dirigeait la nation, soit directement en tant que président, ou par l'intermédiaire d'un mandataire comme Joe Biden ou Kamala Harris, pour les quatre prochaines années. Depuis qu'il a quitté ses fonctions, la gauche radicale est devenue beaucoup plus puissante. Pensez au pouvoir étouffant des entreprises technologiques, à la suprématie incontestée des médias grand public radicalisés, et à la montée des marxistes purs et durs au sein du parti démocrate. Toutes ces entités puissantes sont dirigées par un Antiochus anti-Dieu dont le but est d'effacer le nom d'Israël—ou le plan magistral de Dieu pour l'humanité ! Avec le soutien de ces gens, Obama pourrait facilement terminer le travail de « transformer fondamentalement » l'Amérique !
Barack Obama et ses substituts auraient le pouvoir de s'assurer qu'un dirigeant comme Donald Trump ne serait plus jamais au pouvoir ! L'Amérique telle que nous la connaissons—une nation soutenue par des valeurs judéo-chrétiennes et gouvernée par la primauté du droit, une nation qui respecte ses ancêtres, une nation unique pour sa puissance et sa prospérité données par Dieu—serait détruite !
J'ai expliqué les prophéties dans Amos 7 et 2 Rois 14, qui révèlent que Dieu ne permettra pas à M. Obama et à la gauche radicale d'effacer le nom d'Israël. Ces prophéties sont doubles, ce qui signifie que les événements décrits dans ces chapitres se sont produits anciennement en Israël, mais se produiront également en Amérique et en Grande-Bretagne (les descendants d'Israël biblique) à la fin des temps.
Dans 2 Rois 14 : 26, Israël est dans une affliction sévère. « Car l’Éternel eut pitié des misères incommensurables d'Israël tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, car il n'y avait pas de tranquillité pour Israël » (traduction selon la version Ferrar Fenton). Remarquez, une grande partie de la souffrance est infligée de l'intérieur de la nation. La nation est détruite de l'intérieur par Antiochus et ses partisans !
Et rappelez-vous que le livre des Rois est l'un des anciens prophètes, qui contient principalement des prophéties pour les derniers jours—notre époque aujourd'hui.
Mais remarquez le verset 27 : « Or l'Éternel n'avait point résolu d'effacer le nom d'Israël de dessous les cieux, et il les délivra par Jéroboam, fils de Joas. » Le nom d'Israël est sur le point d'être effacé. Dieu lui-même intervient et sauve Israël temporairement. Comment ? Par la main d'un Jéroboam du temps de la fin !
Aujourd'hui, Donald Trump joue le rôle d'un Jéroboam du temps de la fin.
La plupart des Américains considéreront cela comme une bonne nouvelle, et c'est le cas—mais pas pour la raison que beaucoup pensent.
Ces prophéties ne s'arrêtent pas au fait que l'Amérique reste perpétuellement prospère et paisible. Autrefois, le royaume d'Israël fut détruit par l'Assyrie après la fin du règne du roi Jéroboam (2 Rois 18). Les prophéties de Ésaïe 10 et de Habacuc 1 nous disent que cela arrivera également à Israël à la fin des temps : l'Amérique et la Grande-Bretagne seront détruites par le Saint Empire romain, qui est dirigé par l'Allemagne—les descendants de l'ancienne Assyrie.
Dans Amos 7 : 8, Dieu révèle pourquoi Il sauve l'Amérique à travers Jéroboam. Il dit : « …Je mettrai le niveau [un fil à plomb] au milieu de mon peuple d'Israël : Je ne lui pardonnerai plus ». Un fil à plomb est généralement utilisé pour mesurer un bâtiment ou une construction. Mais Dieu l'utilise différemment ici : il s'agit de mesurer la destruction qui va s'abattre sur les nations d'Israël. Cette destruction n'est pas aléatoire ; Dieu la mesure avec soin et précision. Et cela produira les résultats les plus merveilleux que l'on puisse imaginer.
Quand Dieu sauve l'Amérique de Barack Obama et de la gauche radicale, Il donne à la nation une dernière occasion de se repentir de ses péchés et de se tourner vers Lui !
Parlant de ce temps, Dieu dit dans Ézéchiel 33 : 11, « Ce que je désire, ce n'est pas que le méchant meure, c'est qu'il change de conduite et qu'il vive. Revenez, revenez de votre mauvaise voie ; et pourquoi mourriez-vous, maison d'Israël ? »
Dieu est profondément ému à ce sujet ! Quand Il sauve Israël, ce n'est que temporaire. Mais Il aspire à sauver Israël en permanence ! Il n'a aucun plaisir à voir les gens souffrir. C'est pourquoi Il plaide avec ces gens année après année, criant à travers ce magazine, l'émission de télévision La Clef de David et theTrumpet.com [laTrompette.fr], les implorant de se repentir de leurs péchés.
Dieu est plein de miséricorde et d'amour, et prompt à pardonner et à protéger. Mais pour recevoir le pardon et la protection de Dieu, le peuple d'Amérique et de Grande-Bretagne—et toute personne de toute race ou nation—doit se repentir. Nous devons arrêter de pécher, cesser de nous rebeller contre la loi de Dieu et cesser de résister à Dieu !
Alors que les conditions mondiales se détériorent, souvenez-vous de ce message. Dieu nous protégera physiquement et spirituellement (Apocalypse 12 : 14). Même dans un message brûlant comme celui d'Amos, il y a de bonnes nouvelles ! Quand ce monde se désintègre sous nos yeux, nous savons qu'un nouveau monde est presque là ! Oui, des prophéties difficiles nous attendent, mais elles mènent toutes au retour du Christ !
Ce monde ne connaît pas Dieu ! Ils sont sur le point de le connaître et d'avoir leur chance d'être sauvés. Spirituellement, la plupart d'entre eux connaîtront Dieu pour la première fois lors d'une résurrection d'entre les morts.
« Voici, les jours viennent, dit l'Éternel, où le laboureur suivra de près le moissonneur. Et celui qui foule le raisin, celui qui répand la semence, où le moût ruissellera des montagnes et coulera de toutes les collines. Je ramènerai les captifs de mon peuple d'Israël ; Ils rebâtiront les villes dévastées et les habiteront. Ils planteront des vignes et en boiront le vin ; ils établiront des jardins et en mangeront les fruits. Je les planterai dans leur pays, et ils ne seront plus arrachés du pays que je leur ai donné, dit l'Éternel, ton Dieu » (Amos 9 : 13-15). C'est la merveilleuse conclusion qu'Amos nous donne.
Les mauvaises nouvelles dans ce qui s'en vient ne sont que temporaire. Bientôt, tout le monde sera éduqué et ils seront bénis pour leur obéissance.
Mais leur temps de compréhension est dans l'avenir. Pour ceux qui sont prêts à se repentir et à obéir à Dieu, aujourd'hui est notre jour. Nous avons l'opportunité sans précédent de donner à Dieu, de donner à ce monde et d'assumer notre responsabilité de soutenir fidèlement l'œuvre même de Dieu. Dieu prépare son peuple à aider Jésus-Christ à régner pour toute l'éternité !